mixomatose a écrit : Non, non et non, le plafond est au prorata de la durée d'exercice en AE .....

Effectivement, j'ai vu cette information juste après avoir posté mes questions. Mauvais timing 🙂

Bonjour,

Je suis en pleine recherche pour essayer de déterminer la méthode la plus adaptée pour tester la viabilité de mon lancement en tant qu'indépendant.

J'ai démissionné de mon poste récemment, ce qui fait que je suis actuellement sans ressources (avec quelques économies pour tenir le coup bien entendu), j'ai bien des propositions pour des CDI, mais je me dis qu'il serait bête de ne pas profiter de ma situation actuelle pour essayer de me lancer en freelance.

Ma principale crainte est de ne pas trouver de missions. Sur les différents jobs boards que j'ai pu consulter, les missions dans ma région et mon domaine de compétence sont rares (Lille et Java avec 3-4 ans d'XP).

J'ai un contact (projet sur lequel j'ai bossé dans ma SSII précédente) qui pourrait déboucher sur une mission courte, mais je ne souhaite pas forcément monter toute une structure si mon expérience d'indépendant se limite à ça.



Est-ce que le fait de faire une première mission en portage pour tenter l'expérience (et voir si je suis effectivement fais pour être en indépendant), de démarcher en condition réelle et de potentiellement créer une EI ou EURL si j'ai des missions pour poursuivre, vous parait cohérent?

Est-ce envisageable de le faire en tant qu'auto-entrepreneur ? Sans dépasser le plafond, je peux arriver à 3-4 mois d'activité, ce qui me parait pas mal pour arriver à tâter le marché.

Y a t'il des pièges à éviter avec le portage (engagement quelconque, clause de non-concurrence)?


D'ailleurs, si un freelance avec le même profil que moi pouvait se manifester et me donner l'état du marché sur la métropole lilloise, ca me dépannerait (et me rassurerait) bien.

Merci d'avance pour votre aide !