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Seturiel

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Réponse postée 10 mars 2009 17:54

Donc a part les clause spécifiques, pour vendre un application, il suffit d'avoir les licenses des outils utilisés.
Mais bon après avoir regardé, c'est déjà pas mal :
Visual Studio Edition Standard : 305 euros HT
Expression Blend 2 : 499 euros

Je crois que c'est pas maintenant que je vais pouvoir rentabiliser ça ^^
En tout cas merci ^^
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Réponse postée 6 mars 2009 21:31

Bonjour, travaillant dans le développement de site web, je souhaiterais proposer mes services pour des petites entreprises, souhaitant refondre ou développer un nouveau site web.
Les technologies de développement étant varié, et je suis plus spécialisé dans le développement orienté Microsoft.
Je souhaiterais savoir comment facturer un site qui est développer sur un logiciel payant, et dans un langage non libres.
Je développe actuellement avec Visual Studio, dont ma licence m'ai acquise par le fait que je suis encore étudiant, avec la technologie Silverlight, et cette technologie n'a pas besoin de serveur spécifique pour fonctionner.
La solution aurais été a développer avec un langage libre comme le php, mais je souhaite rester dans mon domaine de compétence et me démarque par la technologie utilisé (Silverlight étant une technologie qui commence a faire surface et qui offre de nombreux avantages)

Dois-je forcement avoir une vrai licence acheté pour facturer ce que je développe avec?

Il y-a t'il des spécificité à vendre des outils développé avec un langage propriétaire?

Merci d'avance.
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Réponse postée 24 octobre 2008 21:53

Merci, après quelque recherche, que je fait partager :
L'entreprise individuelle (EI) est le statut le plus fréquemment utilisé : il concerne plus de 80 % des entreprises de un à cinq salariés. Les démarches nécessaires pour s’installer sont réduites au minimum et l’entrepreneur est seul maître à bord. A la différences des sociétés, il n’est pas contraint de dévoiler l’état de ses finances à des tiers en publiant ses comptes. Sur le plan fiscal, le bénéfice de l’entreprise constitue la rémunération de l’exploitant
Les bénéfices de l’entreprise sont taxés, selon la nature de l’activité, en bénéfices industriels et commerciaux (BIC)
le régime de la micro-entreprise, qui dispense l'exploitant de fournir un bilan au fisc et de rédiger une déclaration de bénéfices professionnels. Au régime micro BIC, les frais sont évalués forfaitairement et l’activité n’est pas soumise à la TVA. Ce régime ne concerne cependant que les entreprises de vente ne réalisant pas plus de 76 300 euros de chiffre d’affaires annuel hors taxes
La fiscalité du dirigeant

L’entrepreneur individuel paie l’impôt sur le revenu sur tout le bénéfice réalisé, que celui-ci soit réinvesti dans l’entreprise ou non. Cette fiscalité est pénalisante pour les entreprises qui réalisent un bénéfice important ou qui veulent investir pour se développer.

La couverture sociale du dirigeant

L’entrepreneur individuel est affilié au régime des travailleurs indépendants pour l’assurance maladie, les allocations familiales et la retraite. A rémunération égale, cotisations et prestations d’un indépendant sont très proches de celles d’un salarié. Le conjoint de l’exploitant qui travaille dans l’entreprise doit quant à lui opter soit pour le statut de collaborateur non rémunéré, soit pour le statut de salarié.
Avantages de l'entreprise individuelle

C’est la forme juridique la moins coûteuse. Le fonctionnement est simple (pas de statuts à rédiger et pas d'assemblée générale à organiser comme dans le cas des sociétés) et le coût est faible (pas de capital social à constituer au départ, frais de comptabilité et de gestion peu élevés).
Inconvénients de l'entreprise individuelle

L'exploitant est indéfiniment et solidairement responsable sur ses biens propres des dettes de l'entreprise. S'il vient à faire faillite, ses biens personnels peuvent donc être engagés. C'est pourquoi il est parfois préférable d'adopter le statut d'associé unique d'EURL ou même de passer en SARL.
C'est exactement ce qui me faut, ça répond à toutes mes exigence, et disponibilité.
Car n'ayant aucun capital et n'en ayant pas besoin dans la conception de logiciel,je ne risque pas de faire faillite. Je peut rayer le seul inconvénient.

Par contre, pour le bénéfice, vu que j'ai aucun coût, le bénéfice est intégralement le prix de mes facturations, donc je vais devoir trouver un moyen d'équilibrer et trouver des coûts (achat de matériel informatique, déplacement, ...) pour équilibrer, car sinon les impôt vont me prendre une belle part. :S

Merci beaucoup en tout cas.
Pour le matériel, je suivrais ton conseil, vu que je dois lui faire acheter aussi un abonnement pour un hébergement d'un web en ASP (pour les commandes en lignes)

Me manque à trouver les informations pour la license de logiciel.
Pour la création de l'EI je dois m'adresser à qui? je dois avoir un dossier, des justificatif, ext...?
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Réponse postée 23 octobre 2008 17:21

J'ai bien écrit mon logiciel ligne par ligne,
j'ai utilisé Windows XP et Visual Studio 2008 dont j'ai les licences.
Le premier logiciel que je compte vendre, comprend le service d'informatisation (Un PC fixe avec écran tactile, imprimante à ticket, et imprimante normal, que je compte facturer en pack, à la vente du logiciel)
J'achèterais le matériel après la signature et le paiement du contrat (car je n'ai pas l'argent pour pouvoir l'acheter sans l'argent du contrat).
Je compte fournir un service après vente pour les éventuelles mise à jours, problèmes technique, mais uniquement concernant le logiciel.
Comme je compte vendre uniquement dans ma ville, je n'aurais pas de problème pour me déplacer, ( à part pour le matériel, mais ça je verrais par la suite)
Finalement, pour le moment je compte distribuer à la voler, en faisant des démarches vers les clients potentielles, leurs démontrant mon programmes et leur présentant les closes du contrat de vente.

Si vous avez des conseil pour les services, et l'organisation de la vente, je suis ouvert aux conseil ^^
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Réponse postée 23 octobre 2008 16:31

Compte tenu de ce qui précède, ne relèvent pas de l’assujettissement au régime de sécurité
sociale des auteurs :
...
les auteurs de logiciels qui conçoivent ou adaptent un progiciel ou un logiciel existant, en
fonction des besoins spécifiques exprimés par une clientèle déterminée, dont l’oeuvre n’est
donc pas vendue au public, mais fait l’objet d’une diffusion restreinte (ex : logiciels de tenue de
comptabilité, des dossiers des clients ou des fournisseurs, etc.) ;
...
Donc si je fait des logiciels sur mesure, où spécialisé dans un domaine et avec un clientèle particulier, je n'ai pas le droit de les faire licencié?

:S mince, ça m'inquiète cette histoire.

Mon logiciel étant un logiciel de gestion (commande, livraison, base de donné, et résultat financé) dans le cadre d'un snack, ça rentre dans ces conditions.
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Réponse postée 23 octobre 2008 16:16

Il y a quelque chose que j'ai pas compris pour la license en tant que développeur de logiciel :
Compte tenu de ce qui précède, ne relèvent pas de l’assujettissement au régime de sécurité
sociale des auteurs :
...
- les auteurs de logiciels qui éditent eux-mêmes leur logiciel
...
C'est à dire, si je créer mes propres logiciels, et m'occupe de l'éditions et de la distributions, je n'ai pas le droit de les faire licencié?
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Réponse postée 23 octobre 2008 16:08

Oui je compte bien garder la propriété de mes logiciels,
mais dans tout les cas, avant de chercher à les vendre, je déposerait un dossier pour les faire licencié.
Je vais me renseigné sur les inscriptions à l'Agessa, merci.
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Réponse postée 22 octobre 2008 18:45

moi c'est dans le cadre de développement informatique, ca m'intéresse aussi.
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Réponse postée 22 octobre 2008 18:39

Je me suis déjà un peu renseigné, en partie grâce à votre forum, que j'explore et que je trouve très instructif.
J'ai découvert plusieurs solutions :

Micro-entreprise
Portage Salarial

Le statut de freelance et auto-entrepreneur ne sont pas très clair à mes yeux.

Le problème du portage est du statut de salarié, qui pourrais causé des souci d'incompatibilité sur la durée, pour l'instant, avec mon statut d'étudiant.
Le revenu ne dépasse pas les 50% du montant facturé (encore c'est pas un si gros problèmes pour moi)
Je ne sais pas si le fait que je vais me développé très lentement les premières années va poser un souci, car je cherche a obtenir juste quelques petits revenu pour m'aider dans mes études.

Le problème de la micro-entreprise est principalement constitué par la gestion de la comptabilité et du reste, car je n'ai pas beaucoup de notions en droit et en économie.
Je n'ai pas les moyen de payer des charges tout les mois pour cette micro-entreprise, ni le temps pour gérer tout son coté administratif.

Merci d'avance de votre aide et de vos conseil, dans ma découverte du monde professionnel dépendant. ^^
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Réponse postée 22 octobre 2008 18:30

Bonjour, je suis actuellement étudiant en informatique, spécialisé dans le développement de logiciel.
J'ai actuellement un projet pratiquement fini, et je souhaite le distribué sur Nice.
C'est un logiciel de gestion assez complet pour des snack-pizzeria, et comme la concurrence est chère et propose à un détail près le même service, et étant très peu développer sur les petits commerces de Nice, j'ai trouver un bon moyen de commencer une activité professionnel en informatique dans un environnement pas trop hostile.
Je projette de vendre dans un premier temps mon logiciel à quelques snack (pour vérifier et corriger les éventuelles problèmes techniques)
puis le distribuer plus rapidement.
Ensuite je compte développer d'autre logiciels, mais pour l'instant travaillant seul et n'aillant qu'un projet en phase terminal, je ne peut assurer des revenus stable suite au facturation de mes logiciels

Le problème vient du fait que pour vendre un logiciel, je doit avoir un statut, avec tous ce qui en découle.

J'aimerais savoir qu'elle serais la meilleurs solutions pour mon projet?

Je n'ai aucune dépense particulière, a part dans le cadre de l'informatisation d'un snack.
Je n'ai pas les moyens de rentabiliser les frais sur la durée, mais seulement sur les ventes.

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