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totalfreelance
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Réponse postée 30 octobre 2013 16:24
Mon principal conseil est de passer par du portage pour une première experience en FREELANCE ceci permet de bénéficier du chomage une fois la mission terminée. Etre freelance implique d'être son propre commercial (donc d'avoir un réseau et plusieurs experiences à vendre), compte-tenue de la situation décrite trouver une mission à la suite risque de ne pas être si aisé (penser à absorber les périodes creuses càd sans CA = vacances, intermission etc)
Néanmoins quelques éléments :
- la clause de non concurrence est généralement levée par l'employeur sinon il doit verser le salaire pendant son maintient
- la rupture conventionnelle nécessite un délais légal de 5 semaines environs entre la date de signature et la date de fin de contrat. Elle permet de "bénéficier" de pôle emploi (attention à prendre en compte les délais de carrence qui peuvent monter à 75 jours)L'accord ne peut être défavorable à un licenciement (indemnité en fonction de l'ancienneté et des conventions collectives, SYNTEC est un peu plus avantageux que le droit du travail par ex)
- il faut faire attention, l'aide octroyée pour la création d'entreprise permet un abbatement des charges dans certaines limites (un peu plus du SMIC)
Dans la situation décrite, il y a plusieurs solutions pour partir en bénéficiant des aides :
- SOL1 donner sa démission en négociant le préavis et enchainer sur un portage. Ceci permet d'avoir un statut salarié et d'être "licencié" soit en fin de mission (puis pôle emploi) soit en cours de mission pour créer sa propre structure (avec ou sans étape pole emploi pour bénéficier des aides)
- SOL2 essayer d'obtenir une rupture conventionnelle mais pourquoi la SSII dépenserait plus qu'il ne faut ...
- SOL3 "abandon de poste" ce qui entraîne un licenciement de fait (et sans préavis)et permet de bénéficier de pôle emploi. Incroyable mais le système est tel qu'il vaut mieux "abandonner son poste" que démissioner
- Quelle que soit la solution retenue et pour absorber les délais "français", rien n'empeche de se faire porter à l'étranger
Néanmoins quelques éléments :
- la clause de non concurrence est généralement levée par l'employeur sinon il doit verser le salaire pendant son maintient
- la rupture conventionnelle nécessite un délais légal de 5 semaines environs entre la date de signature et la date de fin de contrat. Elle permet de "bénéficier" de pôle emploi (attention à prendre en compte les délais de carrence qui peuvent monter à 75 jours)L'accord ne peut être défavorable à un licenciement (indemnité en fonction de l'ancienneté et des conventions collectives, SYNTEC est un peu plus avantageux que le droit du travail par ex)
- il faut faire attention, l'aide octroyée pour la création d'entreprise permet un abbatement des charges dans certaines limites (un peu plus du SMIC)
Dans la situation décrite, il y a plusieurs solutions pour partir en bénéficiant des aides :
- SOL1 donner sa démission en négociant le préavis et enchainer sur un portage. Ceci permet d'avoir un statut salarié et d'être "licencié" soit en fin de mission (puis pôle emploi) soit en cours de mission pour créer sa propre structure (avec ou sans étape pole emploi pour bénéficier des aides)
- SOL2 essayer d'obtenir une rupture conventionnelle mais pourquoi la SSII dépenserait plus qu'il ne faut ...
- SOL3 "abandon de poste" ce qui entraîne un licenciement de fait (et sans préavis)et permet de bénéficier de pôle emploi. Incroyable mais le système est tel qu'il vaut mieux "abandonner son poste" que démissioner
- Quelle que soit la solution retenue et pour absorber les délais "français", rien n'empeche de se faire porter à l'étranger