Bonjour,

Merci pour ta réponse. Je me rends compte en relisant que ma question n'est pas claire.
Je reformule donc : je suis en télétravail forcé, je n'ai plus d'indemnité pour frais de repas car plus de déplacement chez le client. Est-ce que c'est normal, légal ? En bref je "me sens perdante" car "le télétravail me coûte de l'argent".

Si j'avais eu des tickets restaurant j'aurais du les avoir (l'employeur n'a pas le droit de les supprimer à cause du télétravail sauf s'il le fait pour l'intégralité des salariés). Pour les primes de repas, j'ai malheureusement l'impression que c'est différent, donc pas de déplacement = pas de prime repas (source : https://www.editions-legislatives.fr/actualite/le-teletravail-en-periode-de-confinement).
Bref ça répond à ma question.

Bonne journée,

Bonjour à tous,

Je viens de changer de société de portage pour ma mission et j'ai eu la surprise de me rendre compte que l'on m'avait supprimé l'intégralité des frais de repas pour le mois de novembre (et une partie de ceux d'octobre). Motif : pas de déplacement chez le client puisque télétravail forcé. Dans mon ancienne société de portage je n'avais pas cette différence.
Il s'agit d'un remboursement forfaitaire au barême urssaf du coup je ne sais pas si c'est égal aux titres restaurants (qui eux ne peuvent pas être supprimés en cas de télétravail si d'autres salariés sur site continuent à en bénéficier - cf le site de l'urssaf). Bref est-ce qu'ils ont le droit de faire comme ça ou est-ce qu'il sont censés me verser une indemnité si le jour est travaillé ?

Merci d'avance pour vos lumières.

Bonjour,

Merci pour cette réponse.
J'ai par écrit ma demande de ne pas être positionné chez ce client et les réponses de la commerciale (où elle indique juste que non c'est pas grave si tu connais déjà des gens le client, on en tiendra compte pas de problème. Mais c'est un mail vs. un contrat et juridiquement ça ne vaudra pas grand chose). Le projet m'a été présenté à l'oral.

J'ai déjà échangé avec mon contact, mais j'ai du mal à me positionner sur une des possibilités :
- Garder l'intermédiaire et négocier la marge : c'est la solution que j'aurais adoptée de prime abord. Mon souci c'est leur clause m'interdisant ensuite de bosser pour ce client. Dans ce cas il faut que je négocie un avenant indiquant que pour ce client cette clause est levée. Et vue la manière dont ils écoutent mes demandes j'ai un doute...
- Passer en direct : c'est sans doute la solution la plus simple mais je me questionne sur les conséquences potentielles : je risque quoi au juste (sachant que je n'ai pas rencontré le client, j'ai juste son nom) ?
- Laisser tomber ce projet et dénoncer le contrat avec la SSII parce qu'ils ne me donnent pas envie de travailler avec eux

Pourquoi est-ce que le temps joue en ma défaveur ? Parce que la SSII va chercher une autre personne à présenter au client ou pour d'autres raisons ?

Bonjour,

Je suis freelance et je suis souvent porté par des SSII chez des clients finaux. L'une de ces SSII m'a fait signé un accord avec une clause de non-concurrence (interdiction de travailler directement pour un client après un projet réalisé pour eux chez ce client) et interdiction de contacter directement le client pour lui proposer ses services dans le cadre d'une avant-vente. Dans le principe cela ne me posait pas de problème.

J'ai demandé à la commerciale (demande écrite) de ne pas me présenter certaines entreprises car j'ai des contacts là-bas et pas envie de me retrouver en porte-à-faux. Elle n'a pas tenu compte de ma demande et m'a proposé une mission chez un client avec qui je travaillais déjà en direct, mais dans un autre département. Manque de chance, un de mes contacts directs chez ce client vient de changer de poste et d'intégrer ce service et je ne m'en suis rendu compte qu'après lui avoir envoyé mon CV pour cette mission.

J'ai prévenu la commerciale de ce problème, mais pas de réponse pour le moment. Je me sens coincé, je ne sais pas quelle est la bonne attitude à adopter. Des conseils ? Merci d'avance.