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vincent-am
Nombre de posts : 5
Inscrit depuis le : 7 août 2018
Réponse postée 10 août 2018 11:51
Bonjour,
S'il facture la société Suisse depuis un statut Français (la société Suisse fait office de porteuse commerciale) : aucun problème.
Si la société Suisse dispose d'une succursale ou filiale en France : aucun problème.
S'il facture la société Suisse depuis un statut Français (la société Suisse fait office de porteuse commerciale) : aucun problème.
Si la société Suisse dispose d'une succursale ou filiale en France : aucun problème.
Réponse postée 7 août 2018 15:22
Bonjour,
Il faut nuancer les choses:
- De quel type de 'portage' parle-t-on ? salarial, commercial (facturez-vous la société Suisse) ?
- La société Suisse dispose-t-elle d'une succursale en France ?
- Sur le plan légal, vous êtes techniquement tenu d'être domiciliés dans le pays ou vous payez vos impôts. Etant donné que vous percevez des revenus (à l'étranger), vous êtes également tenus de les déclarer au fisc français - il y a cependant des conventions fiscales visant à éviter la double imposition.
Bien cordialement,
V.
Il faut nuancer les choses:
- De quel type de 'portage' parle-t-on ? salarial, commercial (facturez-vous la société Suisse) ?
- La société Suisse dispose-t-elle d'une succursale en France ?
- Sur le plan légal, vous êtes techniquement tenu d'être domiciliés dans le pays ou vous payez vos impôts. Etant donné que vous percevez des revenus (à l'étranger), vous êtes également tenus de les déclarer au fisc français - il y a cependant des conventions fiscales visant à éviter la double imposition.
Bien cordialement,
V.
Réponse postée 7 août 2018 15:13
Effectivement, ma réponse était plus d'ordre stratégique dans une optique long-termiste.
La transition même si exceptionnelle (& l'exoneration qui en découle) est cela dit avantageuse dans le cas cité.
La transition même si exceptionnelle (& l'exoneration qui en découle) est cela dit avantageuse dans le cas cité.
Réponse postée 7 août 2018 14:47
Bonjour,
Il suffit de partir de votre tarif journalier (H.T), d'y sous-traire entre 5 et 10% de commission selon les sociétés de portage et de diviser le tout par 2 (grossièrement) pour payer vos charges salariales & patronales.
La commission dépend ensuite de différents critères (nature de celui qui apporte le client, avance de trésorerie sur factures, taille de la société, TJM, ..).
Faites cela dit attention aux sociétés de portage vous 'vendant' une rémunération annuelle tout en négociant votre TJM avec votre client pour espérer grignotter quelques % supplémentaires.
V.
Il suffit de partir de votre tarif journalier (H.T), d'y sous-traire entre 5 et 10% de commission selon les sociétés de portage et de diviser le tout par 2 (grossièrement) pour payer vos charges salariales & patronales.
La commission dépend ensuite de différents critères (nature de celui qui apporte le client, avance de trésorerie sur factures, taille de la société, TJM, ..).
Faites cela dit attention aux sociétés de portage vous 'vendant' une rémunération annuelle tout en négociant votre TJM avec votre client pour espérer grignotter quelques % supplémentaires.
V.
Réponse postée 7 août 2018 14:40
Bonjour,
Achetez du Bitcoin.
(A prendre au second degré, évidemment).
En fonction de votre volume d'affaires (et de son évolution dans le temps), plusieurs possibilités pour capitaliser et optimiser vos actifs:
1 - Montage d'une SCI dont l'actionnaire majoritaire est votre SASU (et vous minoritaire), vous capitalisez un maximum et injectez sur la SCI pour faire effet de levier et constituer un patrimoine immobilier.
L'injection de société a société vous évitera d'être imposé au passage par le fisc. Vraiment ? C'est illégal ? non.
2 - Investissements mobiliers : risques relatifs, j'ai connu des consultants injectant des tickets dans des start-ups en early-stage.
3 - Remonter vos revenus à l'étranger, comme le font à peu près toutes les multi-nationales (et même les françaises...) : Defiscalisation ? ou plus poliment, optimisation fiscale.
La France a une fiscalité à dissuader tout entrepreneur d'aller de l'avant.
Or, le capital est la ressource la plus rare.
On vous la coupe simplement sous le pied, sauf si vous avez les moyens à coup de fiscalistes et d'avocats d'exploiter les lois (notamment Européennes) à votre avantage.
Besoin de conseils ? n'hésitez pas.
Bien cordialement,
V.
Achetez du Bitcoin.
(A prendre au second degré, évidemment).
En fonction de votre volume d'affaires (et de son évolution dans le temps), plusieurs possibilités pour capitaliser et optimiser vos actifs:
1 - Montage d'une SCI dont l'actionnaire majoritaire est votre SASU (et vous minoritaire), vous capitalisez un maximum et injectez sur la SCI pour faire effet de levier et constituer un patrimoine immobilier.
L'injection de société a société vous évitera d'être imposé au passage par le fisc. Vraiment ? C'est illégal ? non.
2 - Investissements mobiliers : risques relatifs, j'ai connu des consultants injectant des tickets dans des start-ups en early-stage.
3 - Remonter vos revenus à l'étranger, comme le font à peu près toutes les multi-nationales (et même les françaises...) : Defiscalisation ? ou plus poliment, optimisation fiscale.
La France a une fiscalité à dissuader tout entrepreneur d'aller de l'avant.
Or, le capital est la ressource la plus rare.
On vous la coupe simplement sous le pied, sauf si vous avez les moyens à coup de fiscalistes et d'avocats d'exploiter les lois (notamment Européennes) à votre avantage.
Besoin de conseils ? n'hésitez pas.
Bien cordialement,
V.