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bolanate95
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Inscrit depuis le : 28 février 2022
Réponse postée 28 février 2022 15:22
La "notion" de SXO recouvre plus ou moins deux choses, pas vraiment nouvelles, ni l'une ni l'autre.
La première n'est qu'une actualisation du SEO en se fondant sur une expérience utilisateur plutôt que de celle d'un algorithme informatique "classique". Il ne s'agit en réalité que de l'évolution du SEO, puisque les algorithmes n'ont de cesse de se "calquer" sur l'expérience utilisateur pour interpréter une page au plus proche de ce que ferait un humain. Depuis plusieurs décennies, les moteurs essayent d'analyser le contenu réel d'une page pour distinguer, avec plus ou moins de bonheur, un contenu authentique d'un contenu généré dans le seul but de se positionner dans les SERP, et font de même avec l'analyse du netlinking.
Cela va plus loin depuis plusieurs années : avec une évaluation de l'expérience utilisateur.
C'est l'objet des métriques en terme de vitesse de chargement par exemple, ou de la compatibilité sur mobile, ou de ce que seront en mai prochain les core vitals. Au-delà du contenu, l'expérience utilisateur doit être satisfaisante.
L'autre aspect s'éloigne un peu du SEO : c'est comment l'arrivée d'un utilisateur via un moteur de recherche peut conduire à une transformation. Mais ce n'est pas nouveau non plus : les sites qui sont rémunérés par la pub et géré par des agence digital cherchent non seulement à acquérir du trafic, mais à conserver les internautes en les incitant à aller consulter d'autres pages (car va générer plus d'affichage et plus de chances de clic). Les sites marchands "classiques" se moquent finalement d'avoir 1 000 ou 10 000 vues : ce qui compte c'est le nombre de commandes. D'où le développement de stratégies diverses pour s'efforcer de transformer une visite en une commande.
La première n'est qu'une actualisation du SEO en se fondant sur une expérience utilisateur plutôt que de celle d'un algorithme informatique "classique". Il ne s'agit en réalité que de l'évolution du SEO, puisque les algorithmes n'ont de cesse de se "calquer" sur l'expérience utilisateur pour interpréter une page au plus proche de ce que ferait un humain. Depuis plusieurs décennies, les moteurs essayent d'analyser le contenu réel d'une page pour distinguer, avec plus ou moins de bonheur, un contenu authentique d'un contenu généré dans le seul but de se positionner dans les SERP, et font de même avec l'analyse du netlinking.
Cela va plus loin depuis plusieurs années : avec une évaluation de l'expérience utilisateur.
C'est l'objet des métriques en terme de vitesse de chargement par exemple, ou de la compatibilité sur mobile, ou de ce que seront en mai prochain les core vitals. Au-delà du contenu, l'expérience utilisateur doit être satisfaisante.
L'autre aspect s'éloigne un peu du SEO : c'est comment l'arrivée d'un utilisateur via un moteur de recherche peut conduire à une transformation. Mais ce n'est pas nouveau non plus : les sites qui sont rémunérés par la pub et géré par des agence digital cherchent non seulement à acquérir du trafic, mais à conserver les internautes en les incitant à aller consulter d'autres pages (car va générer plus d'affichage et plus de chances de clic). Les sites marchands "classiques" se moquent finalement d'avoir 1 000 ou 10 000 vues : ce qui compte c'est le nombre de commandes. D'où le développement de stratégies diverses pour s'efforcer de transformer une visite en une commande.