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th.boudier

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Réponse postée 3 janvier 2022 11:00

Bonjour,

Je travaille depuis quelques années avec une entreprise "CAC40", avec des équipes réparties entre plusieurs continents, donc l'anglais est indispensable. Je m'occupe régulièrement des recrutements pour l'équipe française (sur la partie technique), et d'expérience, peu importe que le CV soit en français ou en anglais, ca ne joue pas dans la décision.
Simplement, on n'a pas besoin des mêmes infos :
Pour un CV français, je veux savoir en 1er si la personne maitrise l'anglais ou non. Donc, je m'attends à ce que la maitrise de l'anglais apparaisse en première page, sans avoir à aller chercher au fond du CV. Je cherche aussi à savoir si la personne l'a pratiqué dans un cadre pro, donc pour chaque expérience, je regarde ou s'est passé la mission. Il faut donc bien penser à mettre le pays et la ville ou vous avez travaillé, ou au moins la langue employée. A partir du moment où vous avez des expériences dans un pays anglophone, personnellement je considère que vous avez une très bonne maitrise de l'anglais et je m'interesse en détail aux compétences.
Pour un CV anglais, je pars du principe que la maitrise de l'anglais est bonne mais que la personne n'est pas française. Ce n'est pas un point de blocage généralement mais c'est mieux si la personne parle un peu français. Donc, dans votre cas, il faut faire apparaitre en première page que vous êtes français.

Attention, là je parle de missions dans laquelle l'anglais est indispensable. Si ce n'est pas mentionné, il faut rester sur un CV français, sans se poser de questions.

PS : je fais toujours un tour sur le linkedin de la personne. On peut faire des profils dans différentes langues et je regarde toujours s'il en existe un en anglais.
Forum : Votre activité
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Réponse postée 18 février 2021 14:32

Bonjour,

Pour ma part, j'ai réussi à passer en direct avec mon client final après avoir bossé pendant 2 ans pour eux en passant par un intermédiaire.
Je voulais passer en direct mais ne voulais pas avoir de soucis non plus. Je savais que mon client avait encore besoin de monde pour les projets. Voilà ce que j'ai fait pour y arriver :
1- J'ai prévenu l'intermédiaire que j'allais arreter la mission car je comptais trouver une mission en direct, sans leur demander de passer en direct avec mon client final.
2- J'ai prévenu mon client final que j'allais arreter la mission, non pas parce que je ne voulais plus travailler avec eux, mais parce que je pouvais avoir de bien meilleures conditions en passant en direct. Je leur ai proposé de passer en direct mais leur ai expliqué que j'avais une clause m'en empechant. Après 2 ans auprès d'eux, ils voulaient me garder.
3- J'ai proposé à mon client final de dialoguer avec l'intermédiaire pour qu'ils discutent entre eux, sans que j'intervienne dans ces discussions.

De cette manière, je n'ai jamais exprimé l'envie de passer en direct avec mon client final auprès de mon intermédiaire, mais c'est bien le client final qui l'a proposé et négocié avec l'intermédiaire.
L'accord final a permis à mon intermédiaire d'être bien référencé auprès de mon client et de placer d'autres intervenants.
Moi, on ne m'a rien demandé du tout et je suis en direct
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Réponse postée 18 juin 2015 16:53

Salut,

Pour tous ceux qui sont dans cette démarche, voici la réponse de la CCI dont je dépend :

la procédure de changement :
http://nantesstnazaire.cci.fr/sites/default/files/mediatheque/contenu_froid/dev_entreprise/10378_modification_forme_juridique.pdf

La question sur le fait de conserver l'ACCRE ou pas en cas de changement :
Concernant votre demande ACCRE, une lettre ministérielle du 5 mai 1999, rappelle qu'aucune disposition légale ne prévoit que le changement de statut juridique entraîne la perte du bénéfice de l'aide. Si la condition de contrôle de la société est remplie, si l'activité reste identitique et si elle n'a pas été interrompue, le dirigeant peut continuer à bénéficier de l'ACCRE le temps restant.
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Réponse postée 15 juin 2015 12:07

Bonjour,

J'ai créé ma SASU en tant que demandeur d'emploi en février sur les conseils d'experts-comptables. Leur discours était en résumé "tu conserves tes ARE de demandeur d'emploi jusqu'en août 2016 (fin de mes droits) et tu te prends pas de salaire sur cette période."

Ce que je trouvais limite à ce moment (mais je me suis laissé tenter, mea culpa), me gêne vraiment aujourd'hui que ma première facture m'a été payée par mon client et que je vais pouvoir commencer à me dégager un salaire. Ce qui est légal n'est pas toujours moral 😕

Donc je voudrais maintenant arrêter de percevoir mes ARE, probablement demander l'ARCE (moins ce que j'ai déjà touché) et modifier mon statut pour passer de SASU en EURL pour payer moins de charges sur mon futur salaire.

1 - Est-ce que vous connaissez la procédure pour changer mon statut? J'ai vu qu'il fallait remplir les formulaires M2 cerfa n°11682*02 et M3 cerfa n°11683*02 puis envoyer le tout à mon CFE. Il faut également faire paraître une annonce au journal légal. Y a t-il d'autres choses à faire?
2 - Je vais devoir rédiger de nouveaux statuts pour mon EURL. Est-ce que je dois les faire comme une création classique en oubliant totalement les précédents?
3 - En changeant de statut, est-ce que je vais perdre le bénéfice de l'ACCRE et ses réductions de charges ou les droits sont transférés à la nouvelle société?

En vous remerciant pour vos conseils.
Thibaud
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Réponse postée 24 mars 2015 12:45

Ok,
Merci beaucoup pour le conseil.
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Réponse postée 24 mars 2015 11:33

Merci pour la réponse. C'est pas celle que j'espérais mais c'est comme ça qu'on apprend.
Donc soit je décide de payer moi-même ces frais (c'est un premier contrat avec eux et j'aimerais pouvoir continuer) soit je tente la renégociation au titre de "on s'est mal compris, je pensais bien rajouter les frais de déplacement". Ca sera difficile mais je pense que c'est le mieux, en l'amenant en douceur. Et si ça ne passe pas, tant pis pour moi 🙁 .

Et sinon, concernant la facturation de ces frais, vis à vis du client c'est peut-être mieux de ne pas faire apparaître les frais de déplacement sur la facture mais de les inclure au TJM, pour éviter les discours du genre "je vais prendre quelqu'un proche de chez moi pour que ça me coûte moins cher".

Merci.
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Réponse postée 23 mars 2015 10:42

Bonjour,
Toutes les infos glanées sur freelance-info m'ont permis de créer ma SASU depuis peu. Aujourd'hui je cherche des conseils sur le lancement de mon activité.

J'ai rencontré une SSII qui m'a recontacté pour me proposer des missions. Lors du premier entretien avec eux, on a discuté de la distance que j'accepterai de faire et je sais donc qu'ils vont me proposer des missions à 1h30 de route de chez moi (ce qui ne me dérange pas pour l'instant).

Ma question concerne la manière de refacturer ces frais. Je leur ai déjà parlé de mon TJM mais je n'avais pas inclus dedans des déplacements eventuels (en tout cas pas autant, vu sur viamichelin, péage + essence environ 55€ TTC aller-retour).
-Comment, à notre prochaine rencontre, justifier efficacement d'augmenter mon TJM?
-Comment calculer le coût supplémentaire journalier à facturer?
-Est-ce qu'il est mieux de facturer ces frais de manière distinctes (une ligne pour le travail chez le client et une ligne pour le déplacement) ou tout inclus (x€ par jour)?

Merci pour vos réponses.

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