Le principe :
- Pendant l'année, on dispose d'une couverture sociale et de cotisations réduites en tant qu'AE pour les 2 associés ;
- On facture les clients en tant qu'AE (chacun de son coté) ;
- La SAS facture également les clients pour certaines prestations (prestations où les 2 associés interviennent) ;
- On facture également la SAS en tant qu'AE, sans atteindre le plafond de l'AE, pour récupérer la part de chacun dans les prestations communes ;
- En fin d'exercice, s'il reste quelque chose dans la SAS (c'est le but aussi), on se verse un dividende qui vient compléter nos revenus sur la déclaration 2042. Dans ce cas, on ne peut pas prétendre au prélèvement libératoire de l'impôt en tant qu'AE... et on serait soumis à l'impôt sur le revenu pour les revenus AE + dividendes. Pour le reste, je ne vois pas vraiment où ça poserait problème.
L'avantage :
- Suivant les clients, il est plus facile de présenter une offre sous couvert d'une SAS (plus crédible pour certains) ; plus ici : http://www.choisirmutuelle.com
- On peut bosser à 2 dans une structure centrale et les reversions viennent en diminution du résultat de la SAS (pas de déduction possible pour un AE) ;
- Il est possible de faire des achats sur la SAS...et de déduire la TVA de ces achats.
Merci d'avance pour vos points de vue et observations.