Je confirme ce qu'a dit Hmg, Il est préférable d'attendre la fin de votre contrat pour ouvrir votre société, pour ne pas que Pole emploi vous pose de probleme.
J'ai vécu ça, ma société ayant été ouverte 1 mois avant la fin de mon contrat, Pole Emploi considera alors que je pouvais assurer mon travail de salarié pendant que ma société etait ouverte, et que du coup je pouvais toujours activement cherche du travail meme en étant créateur d'entreprise. Donc pas l'idéal,
Bref, pour que cela soit plus simple pour vous, essayez si possible d'attendre un peu pour ouvrir votre société (si on ne considere que ces conditions d'ARCE)
Chez mon client, Banque/assurance aussi, pour certaines équipes c'est 100% au bureaux, pour d'autres c'est deux jours minimum obligatoire de présence sur site par semaine...
scamp a écrit :
Petite précision, ma mutuelle est 100% à ma charge n'étant pas salarié de ma société et les frais d'ostéo ne me sont pas remboursés.
Bonjour
Désolé ne pas répondre directement à votre question, mais ne pouvez vous pas prendre une mutuelle loi Madelin avec votre société ? C'est ce qui se fait en EURL pour un travailleur non salarié
1/ Les vêtements ne sont pas déductibles. A moins de justifier que c’est un uniforme, un habit de fonction (robe des avocats, blouse des médecins), un habit de protection (combinaison pour mécanicien, tablier et toque pour cuisinier)... les vêtements dits « de ville » ne sont pas déductibles.
HMG, je me rappelle encore de la réponse très claire fournie par un député ou un sénateur à propos de la non-déductibilité des costumes, au motif que ce sont des vêtements qu'il est possible de porter aussi dans le civil, donc pas des habits de travail.
Et pourtant, suite aux derniers petits scandales liés aux frais de nos députés, il est désormais très clair qu'en ce qui les concerne, les dépenses liées à leurs costumes et coiffeurs sont considérés comme des frais liés à leur travail, et donc remboursés par l'assemblée nationale.
En ce qui me concerne, si un député peut déduire les costumes qu'il porte quand il rencontre ses administrés, je ne vois pas pourquoi je ne déduirais pas les miens, que je porte quand je rencontre des directeurs généraux et autres PDG. Bien sur, je suis très raisonnable : pas plus d'une paire de chaussures Berlutti par an.
Je ne le faisais pas avant, mais depuis que les frais professionnels des députés sont listés précisément et incluent leurs costards, les miens passent en charge.
Picasso4All a écrit : Comme tu as acquis la confiance de ton client ces 3 dernières années, ton client peut faire passer le message à ton ESN qu'il vaudrait mieux ne pas activer la clause de non concurrence, au risque de se faire dé-référencer.
Je pense aussi comme Picasso4All
Il faut en parler aux deux parties (Client et ESN), et faire ça intelligemment.
Si le client est intéressé pour t'embaucher, l'ESN devrait se plier à leur requête au risque d'envenimer leur relation commerciale.