Aie aie aie, si j'en crois ce message tout devient plus compliqué : https://www.freelance-info.fr/forum/posting.php?mode=quote&p=340962
Je n'ai pas vraiment de notions de compta, je ne sais pas si les logiciels de comptabilité permettent de faire des écritures dans le passé (pour rattraper le retard)..
Je pensais justement qu'en tant qu'auto-entrepreneur, un livre des recettes me suffirait. Je n'ai pour l'instant jamais fais de dépense pour le compte de l'entreprise. C'est prévu dans les prochains mois, mais pour l'instant tout ce que je fais c'est encaisser la TVA et la restituer à l'état..
Dur dur, même en cherchant sur le net on ne sait plus trop où donner de la tête.
Pour les questions 1 et 2, je pense que dans le sujet cité il s'agissait de rayer pour ne pas pouvoir ajouter a posteriori d'opérations sur l'année précédente. Là vous allez commencer sur la première page du cahier donc déjà aucune possibiltié que vous puissiez ajouter quelquechose avant..;
Donc cette première page, je ne la raye pas entièrement en mentionnant 2020 et un total à zéro ? Car en cas de controle, si ma premiere ligne commence au XX/04/2021, l'URSSAF ne me demandera pas où se trouve l'année 2020 ? (même s'ils sont bien au courant que je ne percevais rien, je déclare mensuellement mon CA).
Sur le poste que j'ai linké, il me semble qu'il est bien fait mention de rayer la page en cas de changement d'année, pour commencer la nouvelle année sur une nouvelle page.
Laura.p63 a écrit :
Pour la question 4 est ce que vous êtes assujeti volontairement à la TVA (je doute que vous ayez dépassé le plafond en 2 mois ^^) ? Si ce n'est pas le cas, vous enregistrez simplement le montant de votre facture (qui ne fait pas la distinction HT/TTC)
Concernant la TVA, je la déclare depuis fin 2021 donc un an après la création de mon entreprise. J'ai donc moi-même contacté le service des impots afin de créer un numéro de TVA, en prévision d'un paiement à venir qui allait me faire passer le palier. Sur ma facture, il est bien précisé à la fois le montant HT et le montant TTC. Je me tate à noter le montant HT sur le livre des recettes car l'URSSAF ne s'interesse qu'au chiffre d'affaires HT lors des déclarations. Donc s'ils veulent comparer avec leurs données, et que je mets le montant TTC, cela ne correspondrait pas.
J'ai pris connaissance de ce post : https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/24071-question-livre-de-recette
J'ai quelques questions complémentaires.
J'ai créé une microentreprise fin 2020, mais je n'ai eu mon premier client qu'au mois de Mars 2021. Je ne reços qu'un paiement par mois, par virement (prestation de service).
Je n'en suis pas fier, mais au début j'étais plus focalisé sur la recherche de clients que les règles de compta, et quand ma premiere mission a commencé tout est allé bien vite.
Du coup je n'ai toujours pas de livre de recettes ! J'ai dû recevoir une dizaine de paiements depuis.
Etant en pause entre 2 prestations, j'ai envie de tout régulariser immédiatement. J'ai deja acheté un cahier de livre de recettes, je trouve qu'au format papier c'est mieux.
J'ai donc quelques questions. Avant cela, toutes les factures et bons de commandes sont bien tenus, tout est à jour. Seul le livre de recettes est manquant.
Mes questions :
1) J'ai reçu mon premier paiement en Avril 2021. Ce sera donc la 1ère ligne du livre de recettes il me semble ? Inutile de mentionner "Zéro" sur des mois précédents, ce n'est pas le but du livre.
2) Est-ce que je laisse tout même la 1ere page vide avec toutes les lignées barrées pour mentionner un total à ZERO pour 2020 ? Si oui, je précise "année 2020" a côté du total ? Car aucune recette n'y est inscrite.
3) J'ai lu sur le post linké plus haut qu'a chaque changement d'année, je dois barrer le reste des lignes avant de passer a la page suivante pour la nouvelle année (réponse : https://www.freelance-info.fr/forum/posting.php?mode=quote&p=341400 ). Cela ne concerne bien que les années ? Le cahier parle aussi de "totalisation des montants" a chaque trimestre.
4) C'est bien le montant HT que je dois mentionner ? Il n'y a pas de colonne TVA, ou des colonnes qui distinguent HT et TTC. Seulement une colonne montant. Et je ne facture la TVA que depuis fin 2021.
Merci d'avance pour vos réponses. C'est le seul point manquant dans la bonne gestion de mon entreprise, j'ai acheté le cahier il y a quelques mois deja mais entre "ne pas vouloir faire d'erreur" et "j'ai trop de travail", je n'ai pas pu m'en charger.
Ci-joint quelques photos du cahier en question : récap légal au début du livre, et une page pour illustrer le modèle de déclaration (surtout pour les questions 2 et 4) : Photo 1 Photo 2 Photo 3
En effet c'est bien le client final qui dit me payer directement, je dois donc leur fournir un RIB.
En gros l'ESN ne sert que d'intermédiaire et prendrait sa part..L'intermédiaire ici nous met en relation et est garant de la qualité du travail fourni. Le client final ne travaille qu'avec des ESN pour les presta, pas directement avec les freelance.
Donc : je facture l'ESN, l'ESN facture le client final, le client final me paye et paye l'ESN.
Je vais demander a changer le HT en TTC dans l'acte de sous-traitance pour eviter toute ambiguïté.
Merci pour votre retour.
La le document il ne s'agit pas d'un contrat de prestation entre moi et l'ESN, mais une sorte de "acte" qui sert de contrat de sous-traitance, où il est mentionné que l'ESN fait appel a un sous traitant pour une prestation donnée, avec les engagements de chaque parti, et les 3 partis doivent signer le document.
Et il est bien précisé que l'ESN devra indiquer au bas de toutes ses factures la mention HT à payer au sous-traitant, ainsi que le solde à payer "total" correspondant a la différence entre le montant TTC de la facture de l'ESN et le montant HT de la facture du sous-traitant (moi).
Donc en gros je donne ma facture TTC a l'ESN, qui transmet mon montant HT au client final, qui me paye le montant HT.. et j'en fais quoi de ces 20% ? Hors de question de payer de ma poche bien evidemment.
Donc soit il y a une règle juridique/comptable à appliquer dans ce type de situation (facture HT sans TVA, mais a confirmer avec URSSAF ou impôts), soit ils doivent trouver un moyen de me payer la TVA.
Bonjour,
Je suis auto-entrepreneur.
On me propose une mission chez une grosse société privée bien connue qui mène des actions de service publique.
Je passe via une ESN.
Mais voila, dans le contrat fourni pour la prestation (marché public apparemment), il est mentionné que j'enverrai ma facture à mon client ESN, qui la transmettera au client final. Ce client final me paiera le montant HT précisé dans ma facture, relative a ma prestation.
Et la y a souci : je suis redevable de la TVA. Donc je fais des factures TTC. Mais si le client final me paye directement le tarif HT, ils sont où les 20% restants ?
Est-ce qu'on ne facture pas la TVA lorsqu'il s'agit d'un marché public ? Si oui il y a une mention a mettre dans la facture ? J'ai pour habitude de declarer ma TVA tous les mois sur le site des impôts, et j'aimerais éviter de faire n'importe quoi.
Je rappel que dans ce cas précis, mon client est une ESN. Certes le client final me paye directement par virement, mais ce n'est pas lui qui est mentionné sur ma facture.
Je suis en prestation depuis bientôt un an, je signais a chaque fois un bon de commande "standard" de 3 mois. Le dernier se termine à la fin du trimestre, suite à quoi je ne désire pas renouveller (je veux changer de mission).
J'en ai deja parlé a l'oral a plusieurs reprises à mon client (grosse ESN), depuis plusieurs mois. Ils sont bien au courant que je vais quitter la mission.
Est-ce qu'un email suffit pour annoncer son départ ? Ou dois-je faire une lettre avec accusé de reception ? Sachant que je vais respecter les dates mentionnées dans le bon de commande, mais je n'irai pas au dela.
J'aurai tendance à penser que - puisque je respecte les dates mentionnées dans le bon de commande - un email suffit, car il s'agit plus de courtoisie (informer par écrit, en plus de l'information orale) que de formalité légale. Car en soi je ne suis pas engagé tant que je n'ai rien signé par la suite.
Mais bon souvent il vaut mieux être prudent, il s'agit de ma premiere mission donc autant bien faire les choses.
Bon en effet je suis en mission depuis quelques mois, je cotise bien auprès de l'URSSAF le taux relatif à la prestation de service et je n'ai aucun souci que ce soit avec eux ou mon client..
Tant mieux :)
Bonne soirée
Merci pour les conseils.
Le tarif et le délai de paiement ont été négociés par téléphone, puis j'ai reçu un mail du contact client me rappelant les diverses infos (date de démarrage, tarif journalier, délai de paiement). Email auquel j'ai répondu en confirmant mon accord.
Maintenant j'ai pas encore le contrat, j'espere juste qu'il ne sera pas tordu et dur a comprendre pour un non initié.
Je n'ai cependant pas de "liste précise" des tâches. J'ai eu au premier échange un transfert de mail du client final qui fout un peu tout et n'importe quoi (c'est une sorte d'annonce emploi classique) mais rien d'extreme a part 2-3 technos que je n'ai jamais utilisé. Cependant tout ce qui a été énoncé à l'oral lors de nos rendez-vous rentrent dans mon scope.
En effet les clauses qui conditionnenent le paiement et/ou pénalités et/ou ruptures sont ce dont je me méfie le plus.. à voir une fois reçu.
Je vais bientôt travailler avec une (très) grosse ESN en tant que prestataire (developpeur).
Après discussion par téléphone, on m'a dit que c'était pas la peine que je leur envoi un devis : ils m'enverront directement un contrat avec toutes les informations (tarif, durée, délai paiement facture, etc) que je devrai signer et renvoyer. Ils ont leur service achat, ils font des commandes, etc (bref tout l'administratif des grosses boites, qui me dépasse un peu).
L'absence de devis n'est pas problématique ? Vu qu'il y aura un contrat signé par les deux partis, ça devrait me couvrir en cas d'impayé ou autre abus ?
Nouvel indépendant, j'ai pas envie de me faire manger par une baleine que je ne saurais affronter en cas de litige. Surtout s'il y a un vice quelque part qui joue en ma défaveur.
Je suis développeur Java, en presta (chez le client ou en télétravail).
Lors de la création de ma microentreprise, j'ai choisi l'activité "Programmation Informatique" (car c'est ce qui se rapproche le plus de ce que je fais..), j'ai donc eu le code APE/NAF 6201Z.
L'URSSAF m'a classé en activité "Commerçant" car cette activité libérale est non réglementée, mais me rassure en me disant "vous déclarez en prestation de services, vous n'avez pas de numéro RCS tant que vous ne vendez pas de logiciel".
Je ne vends pas d'application, c'est pas prévu en tout cas.
Je viens de prendre connaissance du code APE 6202A (Conseil en systèmes et logiciels informatiques) qui se rapproche bien plus de ma réelle activité, puisque ce serait le code utilisé par les ESN/SSII.
Du coup je me demande : 1) Est-ce grave si j'ai le "mauvais" code NAF ? Je peux avoir des soucis niveau facturation ou autre procédure légale ? Je compte déclarer mon CA en prestation de services.
2) Je n'aurai pas de souci avec la chambre du commerce (ou autre entité gérant le RCS) ? L'URSSAF m'a confirmé que mon CFE est bien l'URSSAF.
Je suis déja engagé avec un client, j'aimerais donc éviter de l'embrouiller en changeant de APE/NAF en pleine mission. Si je le fais après ma mission (dans X temps), est-ce que je dois prévoir une incidence ou autre conséquence néfaste sur la gestion de mon entreprise ?
Par curiosité, je peux savoir quel est votre code APE ?
Le mien est 6201Z (programmation informatique), et pour l'URSSAF c'est classé en activité commerciale car activité liberale qui ne relève pas de la CIPAV.
Mais ils me disent que c'est normal, et que je dois declarer en BNC.
Mais je ne me suis jamais inscrit au RCS, car malgré la dénomination "commerciale" côté URSSAF, je ne vends aucune application. Je fais juste de la prestation de service
Ca me rassure, j'allais presque me demander si c'était moi qui n'était pas "prêt à faire des sacrifices" pour bien lancer mon activité. Mais j'avais bien raison, c'est débile comme proposition.
De toutes façons j'ai rapidement été méfiant : la premiere partie de la discussion était un jeu de devinettes pour que l'interlocuteur tente de deviner chez quel client j'étais deja positionné (est-ce que c'est M. un tel de telle boite ? etc). Et j'ai lu plusieurs fois sur ce forum que les commerciaux cherchaient a prendre de telles infos pour piquer des clients/opportunités.
Je débute donc j'en vois de toutes les couleurs niveau échanges téléphoniques (pas tous heureusement, certaines ESN ont l'air bien plus pro), mais a force j'apprends et je me protège mieux.
Une ESN me propose une mission chez un client, et en même temps me dit que "vu que c'est pas sûr que mon profil passe", le client aimerait que je fasse la premiere semaine de gratuite pour avoir plus de chances : si ça se passe bien on signe un contrat sur X mois, sinon on s'arrête là et j'ai travaillé gratuit.
Ca sent la quenelle quand même non ? Je viens de lancer mon activité et je cherche ma 1ere mission, mais le temps est precieux et donner une semaine de taf gratuitement ça n'augure rien de bon. Et puis en une semaine, tu fais quoi ? Combien de projets je suis arrivé où ton poste est opérationnel au bout de 2 jours car X truc déconne, la doc dev est inexistante et tu te bats avec la config pour que ça marche, etc..
Ca vous est deja arrivé ? C'est une option envisageable si vraiment on trouve rien ?
Si j'étais au bord du gouffre et que je devais absolument travailer, je dirais "ok 1 semaine de test mais je fais un devis pour 3 jours a l'ESN" comme ça je me casse pas completement les dents. Mais même ça aujourd'hui ça me tente moyen...
Post très interessant.
Je suis freelance depuis peu, et je cherche ma premiere mission en dev Java.
Je suis inscrit sur Malt. J'ai pu échanger avec eux et un point m'a surpris : ils prennent 10% de comission, cette même commission n'est pas déduite de la facture qui est éditée en fin de mois. Donc en gros, en tant qu'autoentrepreneur qui ne peut déduire ses charges, je paye des cotisations sur un montant de 100% alors que ne perçois que 90%.
Donc si on prend l'exemple de 390€ TJM sur Malt, qui revient a 350€ HT pour le développeur :
390 € x 22j = 8580 HT par mois => ~2059 € de cotisations à 24% (cotisations urssaf + versement libératoire impots)
350€ x 22j = 7700 HT par mois => 1848 € de cotisations à 24%
Donc en gros, je touche 880€ de moins a la fin du mois (commission de malt), mais je paye 211€ de cotisations de plus. Donc le manque a gagner est de 1091€.
Alors que de l'autre coté, les ESN (même si c'est toujours mieux de passe via un client final), prennent une commision qu'ils facturent eux même à leurs clients. Donc si je facture X € HT a l'ESN, elle facture Y € au client final. Moi dans tous les cas je percevrai X et je payerai 24% sur ce montant X.
Un peu déçu au final, je pensais vraiment que Malt facturerait directement le client, et que moi j'aurais une facture d'un montant équivalent à ce que je perçois réellement.
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