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Maseri

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Inscrit depuis le : 1 septembre 2023

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Réponse postée 17 décembre 2023 13:35

Pour compléter ce message et donner un retour d'expérience, effectivement les fois où je suis allée au bout du process et qu'on souhaitait me faire une proposition de poste en CDI, systématiquement le cabinet "chasseur de tête" voire les RH du grand groupe en question m'ont demandé des références... et ont appelé les personnes. Évidemment j'ai vu en amont avec les personnes pour pas qu'il y ait de soucis, sachant que c'était d'anciens clients.

Donc une pratique qui existe, qui peut se justifier, mais dans un contexte autre que juste une ESN qui souhaite remplir sa liste de prospection. En ce qui me concerne je ne me vois pas donner le nom de mes précédents clients à une ESN inconnue, surtout en début de process.

Je rejoins de nombreux éléments échangés au dessus.

Toutes les demandes de références que j'ai eu en freelance étaient en fait pour gratter des noms et des numéros.
Comme beaucoup, je ne donne plus au premier échange. Eventuellement je pourrais le faire en toute fin de process, mais ce n'est pas demandé 😜

Si je me place quand j'étais côté client final :

  • Pour les recrutements de prestataires, je fais confiance à l'ESN pour s'assurer que le profil présenté est compétent pour la tâche demandée. Si ce n'est pas le cas, c'est sorti de mission très rapide, et remplacement avec une période de gratuité.
    Et 2 profils pas top = je ne veux plus de cette ESN.

  • Pour les recrutements CDI : Nous (avec les RHs) demandions régulièrement des références, et on appelait quasi systématiquement au moins une des références données. On a eu quelques surprises.

Un autre vision, j'ai également eu d'anciens collègues qui me donnaient comme références.
C'est délicat et c'est mieux de demander avant. Par 2 fois, j'ai du indiquer à la personne qui m'appelait que je m'abstiendrai de répondre aux questions pour éviter la diffamation. Mais j'imagine que ce n'est pas valorisant pour la personne m'ayant donné en référence.

Réponse postée 17 décembre 2023 13:24

Bonjour à tous,

J'ai récemment lancé mon activité de consultante freelance

A ce titre, j'ai dû prendre une assurance (obligatoire pour la société qui me porte) mais également eu affaire aux clauses contractuelles du client final qui présentent des pénalités assez lourdes, en cas de retard de livraison de livrables par exemple (principalement vis à vis de la société qui me porte, d'où la majeure partie des ETP du dispositif sont sourcés, étant la seule indep de la mission). Cela m’a fait réfléchir aux risques touchant le type de prestations que nous sommes amenés à faire en tant que freelancer, dans l’informatique ou en proximité.

Ayant été consultante pendant pas mal d’années, j’ai déjà été confrontée à des cas d’insatisfaction client, mais généralement avec des impacts relativement limités : au pire un client qui ne paie pas une partie de la prestation, voire des menaces de blacklisting ou de procès mais au final une facture qui fini par être honorée. Les pénalités sont rarement activées (voire tout simplement injustifiables) et se finisse en geste commercial du fournisseur.

J’imagine qu’il peut y a voir des cas bien plus graves, pouvant impacter un indépendant. Avez-vous déjà été confrontés à ce type de difficultés ?

Il y aura probablement de la trésorerie dans ma société qui se cumulera année après année, des bénéfices placés en RAN, voire j’envisage de créer une filiale SCI dans quelques temps avec un proche pour un investissement immo. En cas de soucis opérationnel, sachant que je ne fais que de la prestation intellectuelle (je ne touche ni aux machines ni au code), je me demande s’il y a nécessité ou non de faire des montages plus complexes pour séparer l’activité opérationnelle de l’activité gestion de trésorerie…

Réponse postée 17 décembre 2023 09:48

Bonjour,

J'ai un peu du mal à trouver des infos complémentaires sur cette pratique. Pas de soucis pour que les cotisations sur dividendes soient prises en charge par l'EURL, cf la réponse parlementaire, mais ces dividendes en sont-elles pas donc considérées comme une rémunération, et à ce titre entre dans la base imposable du gérant ? ou a minima le montant des cotisations prises en charge, qui doivent bien être prises en compte qq part dans l'imposition du gérant

Le détail du calcul pour l'EURL avec mix salaire et dividendes n'est pas hyper explicite sur ce qui est pris en charge ou non et à quel moment. Par exemple sur le montant de dividendes possible de se verser, il me semble que vous avez tenu compte des cotisations sur dividendes prises en charge par la société qui de facto réduisent également l'IS... est-ce que vous confirmez ?

Merci pour l'éclairage !

Bonjour à tous,

J'ai fait une modification sur l'EURL dans mon simulateur. Désormais, les cotisations sociales sur dividendes sont prises en charge par la société.

C'est une pratique bien connue des experts-comptable qui permet une économie importante de prélèvements obligatoires (IR, cotisations) et donc de revenu net (de 1 à 3% de gains de rentabilité).

Le niveau de cotisations sociales reste très similaire.

Comme toujours, vos retours sont les bievenus !

Réponse postée 9 décembre 2023 12:30

Bonjour Leo,

Merci beaucoup pour cet outil, la feature comparateur est top pour voir les différences lorsqu'on ajuste

Je plussoie les autres personnes ayant réagi, s'il était possible de décider du montant de dividendes à se verser en complément, on serait vraiment sur le nec + ultra de l'optim !

Bonjour à tous,

Depuis la sortie de la nouvelle version du simulateur, j'ai eu des retours très interessants et j'ai pu faire évoluer le simulateur.

Voici les principales fonctionnalités nouvelles pour octobre / novembre :

- Protection sociale : en plus d'estimer la retraite par statut juridique, le simulateur offre désormais la possibilité de connaître les prestations sociales auxquelles vos cotisations sociales vous donnent droit

- Comparateur de statut : un nouveau tableau de comparaison voit le jour, permettant à l’utilisateur d’ajouter jusqu’à 3 situations et de comparer son résultat net et sa protection sociale

- Gestion comptable optimisée des dividendes en EURL (cf ma réponse précédente)

Comme d'habitude, n'hésitez pas si vous pensez que quelque chose manque où si vous voyez des pistes d'amélioration.

Lien du simulateur

A bientôt :)

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Réponse postée 1 septembre 2023 14:07

Bonjour à tous,

Je vais prochainement me lancer à mon compte, suite à la rupture conventionnelle que j'ai pu obtenir de mon employeur. Mon contrat actuel se termine fin septembre.

J'ai bien compris et lu sur ce forum qu'il était important d'attendre l'ouverture des droits avant de lancer la création de la société (je m'oriente vers la création d'une SASU)

Je m'interrogeais sur les actes pouvant être réalisés avant l'immatriculation de la société, notamment la prospection (pas trop de soucis je pense de commencer à réseauter) et surtout l'achat d'un pc portable qui me sera nécessaire dans le cadre de mon activité

J'ai cru comprendre qu'il était possible de facturer ma future société avec une mention "société en formation" si je souhaite récupérer la TVA... sauf que société en formation a l'air de signifié que j'ai signé des statuts ou ouvert un compte bancaire, or je dois attendre pour mes droits ARE ?

Preneuse de vos retours si vous avez engagé des frais avant de vraiment démarrer et comment éventuellement optimiser

Merci !

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