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fmarcq
Nombre de posts : 16
Inscrit depuis le : 3 août 2006
Réponse postée 11 septembre 2014 15:30
Bonjour,
Je vous invite à contacter webportage qui a l'habitude de travailler avec des consultants qui utilisent Google adwords et adsense.
(ce n'est pas de la publicité déguisée car je fais partie de la concurrence).
Cordialement,
Franck MARCQ
Je vous invite à contacter webportage qui a l'habitude de travailler avec des consultants qui utilisent Google adwords et adsense.
(ce n'est pas de la publicité déguisée car je fais partie de la concurrence).
Cordialement,
Franck MARCQ
Réponse postée 8 août 2011 12:05
Bonjour,
N'avez vous pas a dispo un extranet avec d'indiqués les différents provisionnés (congés payés, prime de précarité, etc...), un historique, ainsi que le solde de votre activité ?
N'avez vous pas a dispo un extranet avec d'indiqués les différents provisionnés (congés payés, prime de précarité, etc...), un historique, ainsi que le solde de votre activité ?
Réponse postée 6 juillet 2011 12:54
Nous sommes référencés dans la plus part des grandes sociétés.
Pour les autres, nous montant un dossier de référencement qui, grâce à la taille de notre groupe, répond totalement aux exigences des clients ( CA,organisation, garantie, assurance, juridique,etc..)
Pour les autres, nous montant un dossier de référencement qui, grâce à la taille de notre groupe, répond totalement aux exigences des clients ( CA,organisation, garantie, assurance, juridique,etc..)
Réponse postée 6 juillet 2011 12:08
En effet, le portage commercial permet à de petites structures (S. A. R. L., nom propre, profession libérale, travailleur indépendant, auto-entrepreneur, etc.) de travailler pour de grands comptes par le biais d'une société référencée.
Juridiquement, un contrat de prestation de services est passé entre le client et la société de portage commercial, un contrat de sous-traitance est passé entre le freelance et la société de portage commercial.
C'est un service que nous proposons également mais, dans notre solution, le freelance reste mettre de la négociation technique, juridique et tarifaire avec le client en prennent notamment en compte notre marge de 6%.
Ce service permet également de bénéficier d’un règlement à réception de facture malgré le fait que le client règle à 60 jours.
Juridiquement, un contrat de prestation de services est passé entre le client et la société de portage commercial, un contrat de sous-traitance est passé entre le freelance et la société de portage commercial.
C'est un service que nous proposons également mais, dans notre solution, le freelance reste mettre de la négociation technique, juridique et tarifaire avec le client en prennent notamment en compte notre marge de 6%.
Ce service permet également de bénéficier d’un règlement à réception de facture malgré le fait que le client règle à 60 jours.
Réponse postée 23 novembre 2010 12:08
Pour informations 2 choses distinctes :
La société d'affacturage : qui vous achète la créance, vous règles sous 48H et se fait payer par le client.
La société d'assurance impayés : dans le cas où le client ne règle pas la facture à la société d'affacturage, cette dernière vous la restitue (le montant de cette facture "impayée" est retenu sur votre prochaine remise de facture au factor ce qui aura comme effet de ne pas pouvoir "financer" la totalité de cette nouvelle facture) ; puis vous montez un dossier avec la société d'assurance impayés qui va se charger du contentieux
Il existe maintenant du "full factoring" qui regroupe l'affacturage et l'assurance impayés.
La société d'affacturage : qui vous achète la créance, vous règles sous 48H et se fait payer par le client.
La société d'assurance impayés : dans le cas où le client ne règle pas la facture à la société d'affacturage, cette dernière vous la restitue (le montant de cette facture "impayée" est retenu sur votre prochaine remise de facture au factor ce qui aura comme effet de ne pas pouvoir "financer" la totalité de cette nouvelle facture) ; puis vous montez un dossier avec la société d'assurance impayés qui va se charger du contentieux
Il existe maintenant du "full factoring" qui regroupe l'affacturage et l'assurance impayés.
Réponse postée 23 novembre 2010 11:33
Concrètement mon Nom et Prénom sont les bons.
Je ne me fais pas passer pour une autre personne pour proposer mes services du type " Je suis freelance, et je connais une boite très, très, sérieuse qui ....";)
Mais, je ne souhaite pas non plus polluer les échanges.
Positivement,
Franck
Je ne me fais pas passer pour une autre personne pour proposer mes services du type " Je suis freelance, et je connais une boite très, très, sérieuse qui ....";)
Mais, je ne souhaite pas non plus polluer les échanges.
Positivement,
Franck
Réponse postée 23 novembre 2010 10:56
Non, mais la pub est interdite sur ce forum.
Franck
Franck
Réponse postée 23 novembre 2010 10:45
Bonjour,
Ma société a une solution qui regroupe l'affacturage et l'assurance impayés le tout dédié aux freelances.
Vous pouvez me contacter par email pour en parler.
Franck
Ma société a une solution qui regroupe l'affacturage et l'assurance impayés le tout dédié aux freelances.
Vous pouvez me contacter par email pour en parler.
Franck
Réponse postée 12 novembre 2010 14:08
HMQ,
Je trouve que tu es un peu excessif dans tes propos en parlant de "toutou salarié".
Tout le monde n'a pas les mêmes objectifs.
Certains cherchent l'autonomie, d'autres l'argent, et d'autres encore la sécurité.
Je ne pense pas qu' une personne à plus raison qu'une autre, l'objectif étant pour tous de trouver l'épanouissement personnel et professionnel.
Ne cherchant aucunement le conflit, respectueusement.
Franck MARCQ
Je trouve que tu es un peu excessif dans tes propos en parlant de "toutou salarié".
Tout le monde n'a pas les mêmes objectifs.
Certains cherchent l'autonomie, d'autres l'argent, et d'autres encore la sécurité.
Je ne pense pas qu' une personne à plus raison qu'une autre, l'objectif étant pour tous de trouver l'épanouissement personnel et professionnel.
Ne cherchant aucunement le conflit, respectueusement.
Franck MARCQ
Réponse postée 28 octobre 2010 09:57
Bonjour,
Petit rappel sur le portage salarial. La société de portage salarial ne te proposera pas de missions.
Article L1251-64 du code du travail
"Le portage salarial est un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l'entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle. ", c'est donc bien toi qui trouves les clients.
Si tu a un problème de trésorerie, il existe notamment l'affacturage ou le portage commercial.
Petit rappel sur le portage salarial. La société de portage salarial ne te proposera pas de missions.
Article L1251-64 du code du travail
"Le portage salarial est un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l'entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle. ", c'est donc bien toi qui trouves les clients.
Si tu a un problème de trésorerie, il existe notamment l'affacturage ou le portage commercial.
Réponse postée 10 mai 2010 12:06
Comme je vous l'ai dis, mon avis ne peut être objectif et un expert comptable ou votre CCI serait plus à même de vous renseigner ;
mais je pense que si vous choisissez le statut d'EURL et que vous contractez personnellement un prêt à la consommation (donc hors de votre comptabilité entreprise mais sur vos deniers personnels) vous perdrez de l'argent car ce prêt n'entrera pas dans les charges de votre EURL.
A étudier donc.
mais je pense que si vous choisissez le statut d'EURL et que vous contractez personnellement un prêt à la consommation (donc hors de votre comptabilité entreprise mais sur vos deniers personnels) vous perdrez de l'argent car ce prêt n'entrera pas dans les charges de votre EURL.
A étudier donc.
Réponse postée 6 mai 2010 13:27
Bonjour,
Il existe des offres packagées regroupant les avantages de l’affacturage, d’une assurance impayée ainsi que des assurances RC pro et exploitation.
Vous êtes payés sous 48H, si vos charges sont trimestrielles, votre besoin en fond de roulement est négatif (ta trésorerie est positive).
Ce message n'est pas impartial car ma société propose ce type de service.
Renseignez vous avant auprès de votre comptable pour voir si c'est une bonne solution.
Cordialement,
Franck MARCQ
Il existe des offres packagées regroupant les avantages de l’affacturage, d’une assurance impayée ainsi que des assurances RC pro et exploitation.
Vous êtes payés sous 48H, si vos charges sont trimestrielles, votre besoin en fond de roulement est négatif (ta trésorerie est positive).
Ce message n'est pas impartial car ma société propose ce type de service.
Renseignez vous avant auprès de votre comptable pour voir si c'est une bonne solution.
Cordialement,
Franck MARCQ
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Réponse postée 6 mai 2010 07:34
Pourquoi certaines banques et sociétés d’assurance souhaitent restreindre l’utilisation de freelances (travailleurs indépendants) dans le cadre de prestations de services intellectuelles ?
Plusieurs raisons sont données par ce secteur pour restreindre l’utilisation des services des travailleurs indépendants :
La volatilité des freelances : certains donneurs d’ordres estiment que les freelances sont plus enclin à abandonner des missions en cours que le salarié d’un cabinet de conseil ou d’une société de services informatiques.
Cette analyse est un peu rapide, à mon goût, pour les raisons suivantes :
- l’accumulation d’intermédiaires, donc de marges ;
- des freelances (très) influencés par ces intermédiaires pour accepter des missions sans une réelle prise en compte de l’intérêt technique et/ou financier ;
-la compression des tarifs de la part des donneurs d’ordres.
Confrontés à une ou plusieurs de ces situations, quelques rares freelances décident en effet, sans préavis ni transfert de compétences, d'abandonner leur missions.
Chacun des acteurs (freelance, intermédiaire, donneur d’ordres) a alors une certaine responsabilité dans ces actes manqués.
Une réglementation renforcée : les nouvelles dispositions visant à sécuriser les relations du travail, dans le cadre de la sous-traitance de main d’œuvre, impliquent une responsabilité solidaire du donneur d'ordres et du sous-traitant.
Concrètement, les banques et les assureurs doivent prouver à tout moment que les freelances sont à jour de leurs cotisations sociales et fiscales sous peine d’être inquiétés.
Il paraît donc plus simple pour ces donneurs d’ordres de contrôler, par exemple une société de services avec 50 employés, que 50 freelances avec chacun leur propre statut juridique.
Requalification en CDI : Pour finir, la crainte ultime des grands comptes; la requalification d’un freelance en contrat de travail à durée indéterminée.
Certains juristes d’entreprise estiment plus aisé de prouver que le salarié d’un cabinet de conseil ou d’une SSII, donc salarié d’une société « dite » organisée ayant un savoir-faire reconnu et agissant dans le cadre d’un contrat forfaitaire, n’est pas placé sous la responsabilité de la société cliente et qu’il n’existe donc pas de lien de subordination.
Ceci annonce-t-il la mort du freelancing ?
Non – Non parce que les opérationnels auront toujours leur mot à dire.
Prenons l’exemple des services informatiques : le responsable informatique et/ou le chef de projet a besoin de compétences précises et le statut de la personne (employé, SSII, freelance, etc.) n’est pas sa priorité. Sa priorité est de trouver un administrateur AS400 « pour hier » sous risque de dysfonctionnement.
Non – Non parce que le marché du travail va se retourner.
Aujourd’hui le marché de l’emploi est en faveur des donneurs d’ordres avec plus de ressources que de besoins, mais le vieillissement programmé de la population va très rapidement inverser la tendance.
Quel avenir pour les travailleurs indépendants ?
Le positionnement des freelances, et de façon plus générale celui des sociétés françaises, doit être tourné vers la création de valeur ajoutée par l’expertise.
C’est ce qui fera que les services juridiques, achats et RH des donneurs d’ordres verront l’intérêt de leur entreprise à travailler avec des freelances.
Franck MARCQ
Plusieurs raisons sont données par ce secteur pour restreindre l’utilisation des services des travailleurs indépendants :
La volatilité des freelances : certains donneurs d’ordres estiment que les freelances sont plus enclin à abandonner des missions en cours que le salarié d’un cabinet de conseil ou d’une société de services informatiques.
Cette analyse est un peu rapide, à mon goût, pour les raisons suivantes :
- l’accumulation d’intermédiaires, donc de marges ;
- des freelances (très) influencés par ces intermédiaires pour accepter des missions sans une réelle prise en compte de l’intérêt technique et/ou financier ;
-la compression des tarifs de la part des donneurs d’ordres.
Confrontés à une ou plusieurs de ces situations, quelques rares freelances décident en effet, sans préavis ni transfert de compétences, d'abandonner leur missions.
Chacun des acteurs (freelance, intermédiaire, donneur d’ordres) a alors une certaine responsabilité dans ces actes manqués.
Une réglementation renforcée : les nouvelles dispositions visant à sécuriser les relations du travail, dans le cadre de la sous-traitance de main d’œuvre, impliquent une responsabilité solidaire du donneur d'ordres et du sous-traitant.
Concrètement, les banques et les assureurs doivent prouver à tout moment que les freelances sont à jour de leurs cotisations sociales et fiscales sous peine d’être inquiétés.
Il paraît donc plus simple pour ces donneurs d’ordres de contrôler, par exemple une société de services avec 50 employés, que 50 freelances avec chacun leur propre statut juridique.
Requalification en CDI : Pour finir, la crainte ultime des grands comptes; la requalification d’un freelance en contrat de travail à durée indéterminée.
Certains juristes d’entreprise estiment plus aisé de prouver que le salarié d’un cabinet de conseil ou d’une SSII, donc salarié d’une société « dite » organisée ayant un savoir-faire reconnu et agissant dans le cadre d’un contrat forfaitaire, n’est pas placé sous la responsabilité de la société cliente et qu’il n’existe donc pas de lien de subordination.
Ceci annonce-t-il la mort du freelancing ?
Non – Non parce que les opérationnels auront toujours leur mot à dire.
Prenons l’exemple des services informatiques : le responsable informatique et/ou le chef de projet a besoin de compétences précises et le statut de la personne (employé, SSII, freelance, etc.) n’est pas sa priorité. Sa priorité est de trouver un administrateur AS400 « pour hier » sous risque de dysfonctionnement.
Non – Non parce que le marché du travail va se retourner.
Aujourd’hui le marché de l’emploi est en faveur des donneurs d’ordres avec plus de ressources que de besoins, mais le vieillissement programmé de la population va très rapidement inverser la tendance.
Quel avenir pour les travailleurs indépendants ?
Le positionnement des freelances, et de façon plus générale celui des sociétés françaises, doit être tourné vers la création de valeur ajoutée par l’expertise.
C’est ce qui fera que les services juridiques, achats et RH des donneurs d’ordres verront l’intérêt de leur entreprise à travailler avec des freelances.
Franck MARCQ
Réponse postée 19 février 2010 09:36
Bonjour,
Malgré ce qui est dit dans ce forum les charges sociales peuvent varier suivant les entreprises :
Le nombre de salarié, le passif de l’entreprise concernant les accidents du travail (taux AT), le code APE de l'entreprise, et d'autres paramètres sont à prendre en compte.
Le mieux est de demander une simulation précise.
Bonne journée
Franck MARCQ
Malgré ce qui est dit dans ce forum les charges sociales peuvent varier suivant les entreprises :
Le nombre de salarié, le passif de l’entreprise concernant les accidents du travail (taux AT), le code APE de l'entreprise, et d'autres paramètres sont à prendre en compte.
Le mieux est de demander une simulation précise.
Bonne journée
Franck MARCQ
Réponse postée 10 septembre 2009 06:37
je suis gérant d'une société de portage salarial, voici quelques informations :
1 - Article L1251-64 du code du travail
"Le portage salarial est un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l'entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle."
Ainsi la clause de "non sollicitation" du contrat de prestation de service est caduc face au code du travail.
2 - La société de portage salarial ne peut vous dissimuler le contrat de prestation de service car "normalement" c'est qui l'avez négocié.
1 - Article L1251-64 du code du travail
"Le portage salarial est un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l'entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle."
Ainsi la clause de "non sollicitation" du contrat de prestation de service est caduc face au code du travail.
2 - La société de portage salarial ne peut vous dissimuler le contrat de prestation de service car "normalement" c'est qui l'avez négocié.
Réponse postée 10 avril 2009 21:01
L’Entreprise de Travail à Temps Partagé permet, même aux professions réglementées, de travailler pour un ou plusieurs clients.