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SpyStyle
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Inscrit depuis le : 3 avril 2013
Réponse postée 30 août 2013 09:02
J'ai du être trop thrash sur quelques points. En globalité, ça se passe bien avec ma SSII. Mais j'ai mon ressenti personnel, et inavoué, de la rancune ne n'avoir pendant 5 ans pas été terrain d'investissement pour cette boîte, zéro formation et augmentation. Alors que personnellement je faisais de mon mieux pour être un bon élément. Donc visiblement y'a pas d'automatique récompense au mérite.
C'est à peu près tout. Donc dans l'absolu, travailler avec eux ne me poserais pas de soucis. Je sais par exemple que leur compta est propre et les paiements rapides et fait et temps et en heure, sans besoin de relance.
Ce qu'il faut considérer, c'est qu'actuellement j'ai une mission, pas trop mal, qui devrait durer un peu, et où ils sont en direct. Travailler avec eux me permettrait une transition invisible au quotidien, je continue juste d'aller chez ce client.
D'un autre côté, si je démissionne, la perte d'un client ne va pas me tuer. Ce sera juste plus chiant.
Mais d'un autre côté encore, ils n'ont sans doute pas envie de perdre ce client qui est satisfait de mon travail.
Mon soucis est qu'accepter une rupture conventionnelle sans les indemnités, c'est définitivement avoir écarté les fesses du début à la fin avec eux.
On me dit que je pourrais alors négocier le taux, puisqu'ils prennent 20%, par exemple obtenir 10%, et dans ce cas là les indemnités non perçues seraient. récupérables assez rapidement.
En gros, pour simplifier le tout:
- je n'ai pas envie de partir avec rien, vu que je n'ai jamais rien eu pendant, et qu'ils ont un interêt à continuer de bosser avec moi
- je peux alors partir et basta, je leur dis adieu, chacun y perds ce qu'il y perds, j'ai envie de dire que pour moi je perds juste du confort sur un petit moment et eux beaucoup d'argent à vie.
Le tout et de présenter ça dans un mail... Je dois me durcir un peu car je sais pertinemment que ne pas tout dire et ne pas s'imposer va me porter préjudice dans le business.
C'est à peu près tout. Donc dans l'absolu, travailler avec eux ne me poserais pas de soucis. Je sais par exemple que leur compta est propre et les paiements rapides et fait et temps et en heure, sans besoin de relance.
Ce qu'il faut considérer, c'est qu'actuellement j'ai une mission, pas trop mal, qui devrait durer un peu, et où ils sont en direct. Travailler avec eux me permettrait une transition invisible au quotidien, je continue juste d'aller chez ce client.
D'un autre côté, si je démissionne, la perte d'un client ne va pas me tuer. Ce sera juste plus chiant.
Mais d'un autre côté encore, ils n'ont sans doute pas envie de perdre ce client qui est satisfait de mon travail.
Mon soucis est qu'accepter une rupture conventionnelle sans les indemnités, c'est définitivement avoir écarté les fesses du début à la fin avec eux.
On me dit que je pourrais alors négocier le taux, puisqu'ils prennent 20%, par exemple obtenir 10%, et dans ce cas là les indemnités non perçues seraient. récupérables assez rapidement.
En gros, pour simplifier le tout:
- je n'ai pas envie de partir avec rien, vu que je n'ai jamais rien eu pendant, et qu'ils ont un interêt à continuer de bosser avec moi
- je peux alors partir et basta, je leur dis adieu, chacun y perds ce qu'il y perds, j'ai envie de dire que pour moi je perds juste du confort sur un petit moment et eux beaucoup d'argent à vie.
Le tout et de présenter ça dans un mail... Je dois me durcir un peu car je sais pertinemment que ne pas tout dire et ne pas s'imposer va me porter préjudice dans le business.
Réponse postée 29 août 2013 16:17
Bonjour,
Je souhaite passer freelance (informatique). Je suis dans une SII depuis 5 ans, bons rapports à tous les étages, jamais d'intercontrats, je suis un bon rameneur d'argent (500 €/j mais jamais d'augmentation ni de formation depuis 5 ans malgré mes insistances).
Donc j'envisage dans un premier temps du portage salarial, puis monter mon EURL IS, mais ce n'est pas de ça que je veux parler.
Il se trouve que depuis 2 ans, date à laquelle j'ai prévenu ma boîte de mon projet, j'étais parti sur une EURL IS. Je voulais donc l'ACRRE/ARCE, et j'avais donc besoin d'une rupture conventionnelle. Ce qui était très difficile à obtenir puisque je suis un bon élément de ma boîte, qui participe très activement à sa bonne santé financière. Donc on m'a bien fait poireauter près de 2 ans, pour moults raisons différentes que je ne détaillerais pas, la principale étant que , vu que je devrais bosser avec eux pendant au moins un an, en demandant 400€ bruts pour moi, il fallait trouver une mission où ma boîte serait "en direct" auprès du client, ie référencée et pas passer via un intermédiaire de plus. Cette mission a été trouvée et j'y suis depuis début juin.
Donc enfin le projet est viable, et aujourd'hui j'ai eu un entretien pour parler de cette rupture conventionnelle. On me dit donc que toute indemnité lié à cette rupture devra être retourné aux caisse de la boîte, et ce sous forme de restitution en jours non facturés dès que nous auront une relation de facturation. En gros, ils sont gentils, veulent bien me libérer à l'amiable car ils m'aiment bien (sic), mais faut pas que ça leur coûtent un euro.
Pour moi ce deal me le faisait bien. Mais voilà, il y a 2 mois et après grosses réflexion j'ai décidé de passer en portage salarial et non plus de monter mon EURL, du moins pas tout de suite.
Donc, je n'ai plus d'ACCRE. Donc, je n'ai plus besoin d'une rupture conventionnelle, je pourrais démissionner.
J'en parle donc à l'entretien, et là les choses me sont alors présentées comme ça:
- Rupture conventionnelle, avec quoiqu'il arrive retour de ce qu'elle pourra coûter dans les caisses de la boîte, ceci plaqué sur contrat commercial.
- Démission, ça leur va aussi, et pour être gentils ils veulent bien diminuer les le préavis de 3 à 1 mois, pour que dans les 2 cas je sois indep au 1er octobre.
Dans leur esprit, ça ne fait pas de doute que je continuerai à travailler avec eux.
Et alors je me pose quelques questions profondes:
-Autant je ressentirais comme une obligation morale de travailler avec eux si j'obtenais une rupture conventionnelle SANS devoir rendre mes indemnités, autant, en les retournant, qu'est-ce que j'y gagne à rester sans aller voir ailleurs direct si l'herbe n'est pas plus verte ?
- Si je démissionne, pourquoi je n'irais pas direct voir ailleurs ? Dans les 2 cas j'ai l'impression qu'on me considère comme un gentil qui ne réfléchi pas à tout, ce qui est une bien grasse erreur de jugement de leur part.
MA QUESTION PRINCIPALE EST:
en prenant en considération que la rupture conventionnelle s'obtient mais sans indemnités, qu'est-ce qui est le plus intéressante pour moi:
- procéder à cette rupture conventionnelle
- démissionner directement
Y'a-t'il un minimum à toucher question indemnités si je démissionne (à part les jours de congés) ?
A noter qu'en fait le deal du départ se projette avec l'idée que je reste dans ma mission actuelle, que je facture ma SSII, etc. Bien entendu, je peux trouver une autre mission, j'ai la chance qu'il en pleuve dans mon domaine en ce moment.
Tout ne s'est pas dit lors de cet entretien, ils maîtrisent parfaitement les ficelles du discours commercial, la priorité de leurs interêts,avec une bonne maîtrise de l'enfumage, du non dit, du dit-dans-le-bon-sens, etc, etc... bref je grille tous leurs trucs mais ne m'impose pas forcément afin de ne pas durcir l'ambiance.
Mais là, j'ai envie, par mail, de leur expliquer ultra clairement mon point de vue, ce qui ,'a pas été fait à l'entretien:
- Rupture conventionnelle avec toute indemnité non rendue. Et on travaille ensemble dans le futur, pas de soucis
- Sinon, démission, et on se dit adieu. Eux ils perdent de l'argent, moi je vais facilement le trouver ailleurs, et surtout, ILS PERDENT LEUR CLIENT ACTUEL !
Evidemment j'aimerais que ça se passe dans le meilleur des mondes, je continue ma mission, je suis freelance du jour au lendemain, suite à une rupture conventionnelle dont j'ai gardé les indemnités.
Je précisais en début de post que dans cette boîte, même si on fait style on s'entends bien et tout et tout sans accros, j'ai pleuré des formations et des augmentations que je n'ai jamais eu. En 5 ans. Depuis 2 ans qu'il savent que je veux passer freelance, je n'ai même plus d'entretiens annuels. Je peux toujours leur rappeler ça, et par là même leur apprendre en toute transparence mon ressenti sur ces 5 ans passés. Ceci pour justifier d'un coup le ton plus durci que je pourrais employer.
A votre avis, dois-je leur présenter les choses comme ça ?
Je souhaite passer freelance (informatique). Je suis dans une SII depuis 5 ans, bons rapports à tous les étages, jamais d'intercontrats, je suis un bon rameneur d'argent (500 €/j mais jamais d'augmentation ni de formation depuis 5 ans malgré mes insistances).
Donc j'envisage dans un premier temps du portage salarial, puis monter mon EURL IS, mais ce n'est pas de ça que je veux parler.
Il se trouve que depuis 2 ans, date à laquelle j'ai prévenu ma boîte de mon projet, j'étais parti sur une EURL IS. Je voulais donc l'ACRRE/ARCE, et j'avais donc besoin d'une rupture conventionnelle. Ce qui était très difficile à obtenir puisque je suis un bon élément de ma boîte, qui participe très activement à sa bonne santé financière. Donc on m'a bien fait poireauter près de 2 ans, pour moults raisons différentes que je ne détaillerais pas, la principale étant que , vu que je devrais bosser avec eux pendant au moins un an, en demandant 400€ bruts pour moi, il fallait trouver une mission où ma boîte serait "en direct" auprès du client, ie référencée et pas passer via un intermédiaire de plus. Cette mission a été trouvée et j'y suis depuis début juin.
Donc enfin le projet est viable, et aujourd'hui j'ai eu un entretien pour parler de cette rupture conventionnelle. On me dit donc que toute indemnité lié à cette rupture devra être retourné aux caisse de la boîte, et ce sous forme de restitution en jours non facturés dès que nous auront une relation de facturation. En gros, ils sont gentils, veulent bien me libérer à l'amiable car ils m'aiment bien (sic), mais faut pas que ça leur coûtent un euro.
Pour moi ce deal me le faisait bien. Mais voilà, il y a 2 mois et après grosses réflexion j'ai décidé de passer en portage salarial et non plus de monter mon EURL, du moins pas tout de suite.
Donc, je n'ai plus d'ACCRE. Donc, je n'ai plus besoin d'une rupture conventionnelle, je pourrais démissionner.
J'en parle donc à l'entretien, et là les choses me sont alors présentées comme ça:
- Rupture conventionnelle, avec quoiqu'il arrive retour de ce qu'elle pourra coûter dans les caisses de la boîte, ceci plaqué sur contrat commercial.
- Démission, ça leur va aussi, et pour être gentils ils veulent bien diminuer les le préavis de 3 à 1 mois, pour que dans les 2 cas je sois indep au 1er octobre.
Dans leur esprit, ça ne fait pas de doute que je continuerai à travailler avec eux.
Et alors je me pose quelques questions profondes:
-Autant je ressentirais comme une obligation morale de travailler avec eux si j'obtenais une rupture conventionnelle SANS devoir rendre mes indemnités, autant, en les retournant, qu'est-ce que j'y gagne à rester sans aller voir ailleurs direct si l'herbe n'est pas plus verte ?
- Si je démissionne, pourquoi je n'irais pas direct voir ailleurs ? Dans les 2 cas j'ai l'impression qu'on me considère comme un gentil qui ne réfléchi pas à tout, ce qui est une bien grasse erreur de jugement de leur part.
MA QUESTION PRINCIPALE EST:
en prenant en considération que la rupture conventionnelle s'obtient mais sans indemnités, qu'est-ce qui est le plus intéressante pour moi:
- procéder à cette rupture conventionnelle
- démissionner directement
Y'a-t'il un minimum à toucher question indemnités si je démissionne (à part les jours de congés) ?
A noter qu'en fait le deal du départ se projette avec l'idée que je reste dans ma mission actuelle, que je facture ma SSII, etc. Bien entendu, je peux trouver une autre mission, j'ai la chance qu'il en pleuve dans mon domaine en ce moment.
Tout ne s'est pas dit lors de cet entretien, ils maîtrisent parfaitement les ficelles du discours commercial, la priorité de leurs interêts,avec une bonne maîtrise de l'enfumage, du non dit, du dit-dans-le-bon-sens, etc, etc... bref je grille tous leurs trucs mais ne m'impose pas forcément afin de ne pas durcir l'ambiance.
Mais là, j'ai envie, par mail, de leur expliquer ultra clairement mon point de vue, ce qui ,'a pas été fait à l'entretien:
- Rupture conventionnelle avec toute indemnité non rendue. Et on travaille ensemble dans le futur, pas de soucis
- Sinon, démission, et on se dit adieu. Eux ils perdent de l'argent, moi je vais facilement le trouver ailleurs, et surtout, ILS PERDENT LEUR CLIENT ACTUEL !
Evidemment j'aimerais que ça se passe dans le meilleur des mondes, je continue ma mission, je suis freelance du jour au lendemain, suite à une rupture conventionnelle dont j'ai gardé les indemnités.
Je précisais en début de post que dans cette boîte, même si on fait style on s'entends bien et tout et tout sans accros, j'ai pleuré des formations et des augmentations que je n'ai jamais eu. En 5 ans. Depuis 2 ans qu'il savent que je veux passer freelance, je n'ai même plus d'entretiens annuels. Je peux toujours leur rappeler ça, et par là même leur apprendre en toute transparence mon ressenti sur ces 5 ans passés. Ceci pour justifier d'un coup le ton plus durci que je pourrais employer.
A votre avis, dois-je leur présenter les choses comme ça ?
Réponse postée 10 avril 2013 14:32
Bonjour,
Je déterre un peu ce sujet, car d'ici 2 mois je vais avoir besoin d'un compte PRO pour mon EURL.
Dans ma prospection, j'ai d'abord appelé ma propre banque (Banque Populaire Val de France), pour avoir un "devis".
Conclusion:
- 113 euros/an le compte avec assurance "pro", carte bleue normale (pas besoin de Premier ou autre, ou on verra par la suite), et chéquier.
- 10€/mois pour utiliser Internet (opérations de virement, etc...). La consultation seule c'était gratos mais je me suis trop habitué au confort de faire des virements en 3 clics depuis des années.
- 25 €/trimestre pour ,euh... me rappelle même plus.
Au final sur l'année c'est 339 euros la totale. Soit 28 €/mois. Pour être dans ma banque.
Est-ce que vous trouvez ça cher ? Je vais bien sûr prospecter ailleurs car si je peux faire des économies là-dessus je suis preneur (surtout que je considère aussi que c'est un peu l'arnaque... 10€ par mois pour des virements sur Internet, faut pas déconner).
Pour informations ce compte n'aura que eut de mouvements (vu mon activité de Freelance en informatique). C'est déjà pris en compte dans ce tarif, comme le CA.
Avant de continuer à appeler les banques j'aimerais votre avis sur ce prix, par rapport à vos expériences personnelles.
Merci beaucoup d'avance !
Je déterre un peu ce sujet, car d'ici 2 mois je vais avoir besoin d'un compte PRO pour mon EURL.
Dans ma prospection, j'ai d'abord appelé ma propre banque (Banque Populaire Val de France), pour avoir un "devis".
Conclusion:
- 113 euros/an le compte avec assurance "pro", carte bleue normale (pas besoin de Premier ou autre, ou on verra par la suite), et chéquier.
- 10€/mois pour utiliser Internet (opérations de virement, etc...). La consultation seule c'était gratos mais je me suis trop habitué au confort de faire des virements en 3 clics depuis des années.
- 25 €/trimestre pour ,euh... me rappelle même plus.
Au final sur l'année c'est 339 euros la totale. Soit 28 €/mois. Pour être dans ma banque.
Est-ce que vous trouvez ça cher ? Je vais bien sûr prospecter ailleurs car si je peux faire des économies là-dessus je suis preneur (surtout que je considère aussi que c'est un peu l'arnaque... 10€ par mois pour des virements sur Internet, faut pas déconner).
Pour informations ce compte n'aura que eut de mouvements (vu mon activité de Freelance en informatique). C'est déjà pris en compte dans ce tarif, comme le CA.
Avant de continuer à appeler les banques j'aimerais votre avis sur ce prix, par rapport à vos expériences personnelles.
Merci beaucoup d'avance !
Réponse postée 8 avril 2013 21:02
Exact, merci de rectifier le tire. On on fait une demande pour l'ACCRE afin de toucher l'ARCE.
Y'avait pas la NACRE aussi avant ?...
Y'avait pas la NACRE aussi avant ?...
Réponse postée 8 avril 2013 10:03
Je viens de contacter un expert comptable qui m'a été recommandé par le touilleur express. On va parler de tout ça.
J'aimerais vraiment savoir si les versements de l'ACCRE sont à mettre sur mon compte bancaire particulier ou sur le compte de l'EURL ?
Merci.
J'aimerais vraiment savoir si les versements de l'ACCRE sont à mettre sur mon compte bancaire particulier ou sur le compte de l'EURL ?
Merci.
Réponse postée 3 avril 2013 23:25
bien sûr quand je disais 'verser tout en salaire" je pensait au HT et laisser un peu de marge. Par contre 40 % du HT me parait vraiment peu, ça me ferais perdre vraiment beaucoup par rapport à mon salaire net actuel... Ce serais possible un temps en vivant sur l'ACCRE,mais pas viable dans le futur.
Pourquoi si peu ? Les taxes étant prévues (stockées on va dire) puisqu'on parle de HT, pourquoi ne prendre que 40 % de ce qui reste ?
Autre question: C'est bien au bout de 2 ans que le premier (GROS) appel par les impôts est fait, me trompe-je ?
Sinon je viens de me poser une question inédite: le montant touché de l'ACCRE est-il à mettre sur le compte bancaire de l'EURL ou est-il pour moi-même, versable sur mon compte bancaire particulier?
Encore mille mercis.
Pourquoi si peu ? Les taxes étant prévues (stockées on va dire) puisqu'on parle de HT, pourquoi ne prendre que 40 % de ce qui reste ?
Autre question: C'est bien au bout de 2 ans que le premier (GROS) appel par les impôts est fait, me trompe-je ?
Sinon je viens de me poser une question inédite: le montant touché de l'ACCRE est-il à mettre sur le compte bancaire de l'EURL ou est-il pour moi-même, versable sur mon compte bancaire particulier?
Encore mille mercis.
Réponse postée 3 avril 2013 19:48
Merci beaucoup pour ces réponses.
1) je suis peu renseigné sur l'EI. D'ailleurs je me posais des questions entre EURL IR et EURL IS. Si on ne fais plus que se verser des salaires en ayant monté une EURL IS, quel différence(s) ou avantage(s) par rapport à l'EURL IR ?
2) J'ai à ce propos une autre question: doit-on se verser chaque mois l'intégralité de la facturation touchée en salaire, ou faut-il en laisser sur le compte de l'entreprise ? Quel intérêt d'en laisser (ou pas) ?
3) Je me suis également peu penché sur la question des retraites. Cotise-t'on à hauteur de ce que l'on veut ? Comment optimiser le tout (problème des tranches) --> l'expert comptable ? Au final est-ce qu'on cotise autant, ou pour avoir en retour en temps voulu autant qu'en étant employé ?
Y'a-t'il plusieurs organismes de retraites complémentaires ?
4) concernant la rupture conventionnelle je ne savais pas qu'il fallait une période de non travail. Heureusement que vous êtes là ... Mais alors comme je compte bien 'enquiller" quasiment de suite entre mon dernier jour en tant qu'employé et en tant que Freelance, quel est la durée minimum de non-travail ? J'ai un ami qui a stoppé le vendredi son contrat et qui est passé freelance le lundi suivant. Un week-end suffirait ? Est-ce possible de se présenter au pôle emploi pour demander l'ACCRE en anticipation, c'est-à-dire avant l'arrêt du contrat en tant qu'employé, et si on a une date précise de très peu de temps après pour le début d'activité en tant que freelance ? Cette ACCRE, c'est une condition sine qua none à cette création d'entreprise. Je ne peux râter le coche.
Merci de vos réponses encore une fois. Demain je vais devoir lire tout le forum...
1) je suis peu renseigné sur l'EI. D'ailleurs je me posais des questions entre EURL IR et EURL IS. Si on ne fais plus que se verser des salaires en ayant monté une EURL IS, quel différence(s) ou avantage(s) par rapport à l'EURL IR ?
2) J'ai à ce propos une autre question: doit-on se verser chaque mois l'intégralité de la facturation touchée en salaire, ou faut-il en laisser sur le compte de l'entreprise ? Quel intérêt d'en laisser (ou pas) ?
3) Je me suis également peu penché sur la question des retraites. Cotise-t'on à hauteur de ce que l'on veut ? Comment optimiser le tout (problème des tranches) --> l'expert comptable ? Au final est-ce qu'on cotise autant, ou pour avoir en retour en temps voulu autant qu'en étant employé ?
Y'a-t'il plusieurs organismes de retraites complémentaires ?
4) concernant la rupture conventionnelle je ne savais pas qu'il fallait une période de non travail. Heureusement que vous êtes là ... Mais alors comme je compte bien 'enquiller" quasiment de suite entre mon dernier jour en tant qu'employé et en tant que Freelance, quel est la durée minimum de non-travail ? J'ai un ami qui a stoppé le vendredi son contrat et qui est passé freelance le lundi suivant. Un week-end suffirait ? Est-ce possible de se présenter au pôle emploi pour demander l'ACCRE en anticipation, c'est-à-dire avant l'arrêt du contrat en tant qu'employé, et si on a une date précise de très peu de temps après pour le début d'activité en tant que freelance ? Cette ACCRE, c'est une condition sine qua none à cette création d'entreprise. Je ne peux râter le coche.
Merci de vos réponses encore une fois. Demain je vais devoir lire tout le forum...
Réponse postée 3 avril 2013 15:41
Bonjour,
Voilà ça fait longtemps que je souhaite passer en freelance et j'ai enfin la bonne occasion qui se profile.
Pour information j'ai 36 ans,je suis cadre dans l'informatique, je fais de l'intégration applicative. Nombre de mes collègues par le passé ont franchi le pas, les intercontrats sont rares.
Cela fait des mois que je me renseigne de partout pour ne rien rater à la création. J'ai lu pas mal des posts de ce forum notamment. J'ai décidé de m'y inscrire aujourd'hui car les questions globales que je me posent ont besoin de trouver des réponses. Merci d'avance !
1) je souhaite créer une EURL IS. Dans mon entourage, c'est ce qui se fait en grande majorité. Le CA serait de 88000€/an (en comptant sur 220 jours travaillés au tarif de 400 € pour commencer). Bien que je n'ai pas assimilé la totalité des subtilités entre IS et IR, est-ce vraiment (ou toujours) la meilleure forme juridique dans mon cas ?
2) Bien que je m'apprête à passer des heures en gestion de bureaucratie, est-il vraiment mieux de prendre un expert comptable dès la création ? Comment savoir si tel ou tel expert comptable sera bon, sachant que j'en entends des vertes et des pas mûres autour de moi pour ceux qui ont prospecté avant de se fixer... Je me suis laissé dire qu'un des critères important serait sa proximité physique (genre celui en bas de chez moi). Quelqu'un en a t'il l'expérience. Comment puis-je checker rapidemet que c'est le bon expert-comptable, celui qui connaît bien mon cas, et qui sera un bon optimiseur ?
3) Le CFE m'a transmis le formulaire Cerfa 11680*01.Je me suis aperçu sur le net que pour une EURL c'était le 11680*02. Ce sont bien eux qui se sont trompés non ?
4) Ce formulaire 11680*02 me parait un peu costaud à remplir. Est-ce que l'aide proposée (pour 80 € je crois) au CFE sera suffisante ? Je ne trouve pas d'aide à son remplissage sur le net...
5) je me pose des questions quand au capital à amener. 3000 € ? 6000 € ? Mon activité ne me coûtera pas cher, car il s'agit d'aller chez mes clients au quotidien, en fait à ce niveau rien ne changerais par rapport à ma vie d'employé. Si c'est essentiellement une question de crédibilité vis à vis des clients, alors que je n'ai pas envie d'y balancer beaucoup de mon épargne, est-ce que 3000 € restent "crédibles" ?
6) Les banques exigent-elles un compte dit "pro" ou un compte normal au nom de l'entreprise suffit-il? En gros est-ce catégorisé et a-t'on le choix ?
7) Je serais issu d'une rupture conventionnelle (je serais fixé vendredi). Peut-on "s'incrire" à l'ACCRE en même temps que le dépôt de la déclaration au CFE ? Un entretien à pôle emploi est-il obligatoire ?
8 ) Est-il vrai que les dividendes ne sont plus attractives comme avant ? Faudra-t'il se tout se verser sous forme de salaire ?
Voilà je vous remercie d'avance beaucoup pour vos réponses. Je penses que j'en oublie pas mal au passage mais je reviendrais les poser !
Voilà ça fait longtemps que je souhaite passer en freelance et j'ai enfin la bonne occasion qui se profile.
Pour information j'ai 36 ans,je suis cadre dans l'informatique, je fais de l'intégration applicative. Nombre de mes collègues par le passé ont franchi le pas, les intercontrats sont rares.
Cela fait des mois que je me renseigne de partout pour ne rien rater à la création. J'ai lu pas mal des posts de ce forum notamment. J'ai décidé de m'y inscrire aujourd'hui car les questions globales que je me posent ont besoin de trouver des réponses. Merci d'avance !
1) je souhaite créer une EURL IS. Dans mon entourage, c'est ce qui se fait en grande majorité. Le CA serait de 88000€/an (en comptant sur 220 jours travaillés au tarif de 400 € pour commencer). Bien que je n'ai pas assimilé la totalité des subtilités entre IS et IR, est-ce vraiment (ou toujours) la meilleure forme juridique dans mon cas ?
2) Bien que je m'apprête à passer des heures en gestion de bureaucratie, est-il vraiment mieux de prendre un expert comptable dès la création ? Comment savoir si tel ou tel expert comptable sera bon, sachant que j'en entends des vertes et des pas mûres autour de moi pour ceux qui ont prospecté avant de se fixer... Je me suis laissé dire qu'un des critères important serait sa proximité physique (genre celui en bas de chez moi). Quelqu'un en a t'il l'expérience. Comment puis-je checker rapidemet que c'est le bon expert-comptable, celui qui connaît bien mon cas, et qui sera un bon optimiseur ?
3) Le CFE m'a transmis le formulaire Cerfa 11680*01.Je me suis aperçu sur le net que pour une EURL c'était le 11680*02. Ce sont bien eux qui se sont trompés non ?
4) Ce formulaire 11680*02 me parait un peu costaud à remplir. Est-ce que l'aide proposée (pour 80 € je crois) au CFE sera suffisante ? Je ne trouve pas d'aide à son remplissage sur le net...
5) je me pose des questions quand au capital à amener. 3000 € ? 6000 € ? Mon activité ne me coûtera pas cher, car il s'agit d'aller chez mes clients au quotidien, en fait à ce niveau rien ne changerais par rapport à ma vie d'employé. Si c'est essentiellement une question de crédibilité vis à vis des clients, alors que je n'ai pas envie d'y balancer beaucoup de mon épargne, est-ce que 3000 € restent "crédibles" ?
6) Les banques exigent-elles un compte dit "pro" ou un compte normal au nom de l'entreprise suffit-il? En gros est-ce catégorisé et a-t'on le choix ?
7) Je serais issu d'une rupture conventionnelle (je serais fixé vendredi). Peut-on "s'incrire" à l'ACCRE en même temps que le dépôt de la déclaration au CFE ? Un entretien à pôle emploi est-il obligatoire ?
8 ) Est-il vrai que les dividendes ne sont plus attractives comme avant ? Faudra-t'il se tout se verser sous forme de salaire ?
Voilà je vous remercie d'avance beaucoup pour vos réponses. Je penses que j'en oublie pas mal au passage mais je reviendrais les poser !