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Démission ou Rupture conventionnelle ???
SpyStyle
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3 avril 2013
Bonjour,
Je souhaite passer freelance (informatique). Je suis dans une SII depuis 5 ans, bons rapports à tous les étages, jamais d'intercontrats, je suis un bon rameneur d'argent (500 €/j mais jamais d'augmentation ni de formation depuis 5 ans malgré mes insistances).
Donc j'envisage dans un premier temps du portage salarial, puis monter mon EURL IS, mais ce n'est pas de ça que je veux parler.
Il se trouve que depuis 2 ans, date à laquelle j'ai prévenu ma boîte de mon projet, j'étais parti sur une EURL IS. Je voulais donc l'ACRRE/ARCE, et j'avais donc besoin d'une rupture conventionnelle. Ce qui était très difficile à obtenir puisque je suis un bon élément de ma boîte, qui participe très activement à sa bonne santé financière. Donc on m'a bien fait poireauter près de 2 ans, pour moults raisons différentes que je ne détaillerais pas, la principale étant que , vu que je devrais bosser avec eux pendant au moins un an, en demandant 400€ bruts pour moi, il fallait trouver une mission où ma boîte serait "en direct" auprès du client, ie référencée et pas passer via un intermédiaire de plus. Cette mission a été trouvée et j'y suis depuis début juin.
Donc enfin le projet est viable, et aujourd'hui j'ai eu un entretien pour parler de cette rupture conventionnelle. On me dit donc que toute indemnité lié à cette rupture devra être retourné aux caisse de la boîte, et ce sous forme de restitution en jours non facturés dès que nous auront une relation de facturation. En gros, ils sont gentils, veulent bien me libérer à l'amiable car ils m'aiment bien (sic), mais faut pas que ça leur coûtent un euro.
Pour moi ce deal me le faisait bien. Mais voilà, il y a 2 mois et après grosses réflexion j'ai décidé de passer en portage salarial et non plus de monter mon EURL, du moins pas tout de suite.
Donc, je n'ai plus d'ACCRE. Donc, je n'ai plus besoin d'une rupture conventionnelle, je pourrais démissionner.
J'en parle donc à l'entretien, et là les choses me sont alors présentées comme ça:
- Rupture conventionnelle, avec quoiqu'il arrive retour de ce qu'elle pourra coûter dans les caisses de la boîte, ceci plaqué sur contrat commercial.
- Démission, ça leur va aussi, et pour être gentils ils veulent bien diminuer les le préavis de 3 à 1 mois, pour que dans les 2 cas je sois indep au 1er octobre.
Dans leur esprit, ça ne fait pas de doute que je continuerai à travailler avec eux.
Et alors je me pose quelques questions profondes:
-Autant je ressentirais comme une obligation morale de travailler avec eux si j'obtenais une rupture conventionnelle SANS devoir rendre mes indemnités, autant, en les retournant, qu'est-ce que j'y gagne à rester sans aller voir ailleurs direct si l'herbe n'est pas plus verte ?
- Si je démissionne, pourquoi je n'irais pas direct voir ailleurs ? Dans les 2 cas j'ai l'impression qu'on me considère comme un gentil qui ne réfléchi pas à tout, ce qui est une bien grasse erreur de jugement de leur part.
MA QUESTION PRINCIPALE EST:
en prenant en considération que la rupture conventionnelle s'obtient mais sans indemnités, qu'est-ce qui est le plus intéressante pour moi:
- procéder à cette rupture conventionnelle
- démissionner directement
Y'a-t'il un minimum à toucher question indemnités si je démissionne (à part les jours de congés) ?
A noter qu'en fait le deal du départ se projette avec l'idée que je reste dans ma mission actuelle, que je facture ma SSII, etc. Bien entendu, je peux trouver une autre mission, j'ai la chance qu'il en pleuve dans mon domaine en ce moment.
Tout ne s'est pas dit lors de cet entretien, ils maîtrisent parfaitement les ficelles du discours commercial, la priorité de leurs interêts,avec une bonne maîtrise de l'enfumage, du non dit, du dit-dans-le-bon-sens, etc, etc... bref je grille tous leurs trucs mais ne m'impose pas forcément afin de ne pas durcir l'ambiance.
Mais là, j'ai envie, par mail, de leur expliquer ultra clairement mon point de vue, ce qui ,'a pas été fait à l'entretien:
- Rupture conventionnelle avec toute indemnité non rendue. Et on travaille ensemble dans le futur, pas de soucis
- Sinon, démission, et on se dit adieu. Eux ils perdent de l'argent, moi je vais facilement le trouver ailleurs, et surtout, ILS PERDENT LEUR CLIENT ACTUEL !
Evidemment j'aimerais que ça se passe dans le meilleur des mondes, je continue ma mission, je suis freelance du jour au lendemain, suite à une rupture conventionnelle dont j'ai gardé les indemnités.
Je précisais en début de post que dans cette boîte, même si on fait style on s'entends bien et tout et tout sans accros, j'ai pleuré des formations et des augmentations que je n'ai jamais eu. En 5 ans. Depuis 2 ans qu'il savent que je veux passer freelance, je n'ai même plus d'entretiens annuels. Je peux toujours leur rappeler ça, et par là même leur apprendre en toute transparence mon ressenti sur ces 5 ans passés. Ceci pour justifier d'un coup le ton plus durci que je pourrais employer.
A votre avis, dois-je leur présenter les choses comme ça ?
Je souhaite passer freelance (informatique). Je suis dans une SII depuis 5 ans, bons rapports à tous les étages, jamais d'intercontrats, je suis un bon rameneur d'argent (500 €/j mais jamais d'augmentation ni de formation depuis 5 ans malgré mes insistances).
Donc j'envisage dans un premier temps du portage salarial, puis monter mon EURL IS, mais ce n'est pas de ça que je veux parler.
Il se trouve que depuis 2 ans, date à laquelle j'ai prévenu ma boîte de mon projet, j'étais parti sur une EURL IS. Je voulais donc l'ACRRE/ARCE, et j'avais donc besoin d'une rupture conventionnelle. Ce qui était très difficile à obtenir puisque je suis un bon élément de ma boîte, qui participe très activement à sa bonne santé financière. Donc on m'a bien fait poireauter près de 2 ans, pour moults raisons différentes que je ne détaillerais pas, la principale étant que , vu que je devrais bosser avec eux pendant au moins un an, en demandant 400€ bruts pour moi, il fallait trouver une mission où ma boîte serait "en direct" auprès du client, ie référencée et pas passer via un intermédiaire de plus. Cette mission a été trouvée et j'y suis depuis début juin.
Donc enfin le projet est viable, et aujourd'hui j'ai eu un entretien pour parler de cette rupture conventionnelle. On me dit donc que toute indemnité lié à cette rupture devra être retourné aux caisse de la boîte, et ce sous forme de restitution en jours non facturés dès que nous auront une relation de facturation. En gros, ils sont gentils, veulent bien me libérer à l'amiable car ils m'aiment bien (sic), mais faut pas que ça leur coûtent un euro.
Pour moi ce deal me le faisait bien. Mais voilà, il y a 2 mois et après grosses réflexion j'ai décidé de passer en portage salarial et non plus de monter mon EURL, du moins pas tout de suite.
Donc, je n'ai plus d'ACCRE. Donc, je n'ai plus besoin d'une rupture conventionnelle, je pourrais démissionner.
J'en parle donc à l'entretien, et là les choses me sont alors présentées comme ça:
- Rupture conventionnelle, avec quoiqu'il arrive retour de ce qu'elle pourra coûter dans les caisses de la boîte, ceci plaqué sur contrat commercial.
- Démission, ça leur va aussi, et pour être gentils ils veulent bien diminuer les le préavis de 3 à 1 mois, pour que dans les 2 cas je sois indep au 1er octobre.
Dans leur esprit, ça ne fait pas de doute que je continuerai à travailler avec eux.
Et alors je me pose quelques questions profondes:
-Autant je ressentirais comme une obligation morale de travailler avec eux si j'obtenais une rupture conventionnelle SANS devoir rendre mes indemnités, autant, en les retournant, qu'est-ce que j'y gagne à rester sans aller voir ailleurs direct si l'herbe n'est pas plus verte ?
- Si je démissionne, pourquoi je n'irais pas direct voir ailleurs ? Dans les 2 cas j'ai l'impression qu'on me considère comme un gentil qui ne réfléchi pas à tout, ce qui est une bien grasse erreur de jugement de leur part.
MA QUESTION PRINCIPALE EST:
en prenant en considération que la rupture conventionnelle s'obtient mais sans indemnités, qu'est-ce qui est le plus intéressante pour moi:
- procéder à cette rupture conventionnelle
- démissionner directement
Y'a-t'il un minimum à toucher question indemnités si je démissionne (à part les jours de congés) ?
A noter qu'en fait le deal du départ se projette avec l'idée que je reste dans ma mission actuelle, que je facture ma SSII, etc. Bien entendu, je peux trouver une autre mission, j'ai la chance qu'il en pleuve dans mon domaine en ce moment.
Tout ne s'est pas dit lors de cet entretien, ils maîtrisent parfaitement les ficelles du discours commercial, la priorité de leurs interêts,avec une bonne maîtrise de l'enfumage, du non dit, du dit-dans-le-bon-sens, etc, etc... bref je grille tous leurs trucs mais ne m'impose pas forcément afin de ne pas durcir l'ambiance.
Mais là, j'ai envie, par mail, de leur expliquer ultra clairement mon point de vue, ce qui ,'a pas été fait à l'entretien:
- Rupture conventionnelle avec toute indemnité non rendue. Et on travaille ensemble dans le futur, pas de soucis
- Sinon, démission, et on se dit adieu. Eux ils perdent de l'argent, moi je vais facilement le trouver ailleurs, et surtout, ILS PERDENT LEUR CLIENT ACTUEL !
Evidemment j'aimerais que ça se passe dans le meilleur des mondes, je continue ma mission, je suis freelance du jour au lendemain, suite à une rupture conventionnelle dont j'ai gardé les indemnités.
Je précisais en début de post que dans cette boîte, même si on fait style on s'entends bien et tout et tout sans accros, j'ai pleuré des formations et des augmentations que je n'ai jamais eu. En 5 ans. Depuis 2 ans qu'il savent que je veux passer freelance, je n'ai même plus d'entretiens annuels. Je peux toujours leur rappeler ça, et par là même leur apprendre en toute transparence mon ressenti sur ces 5 ans passés. Ceci pour justifier d'un coup le ton plus durci que je pourrais employer.
A votre avis, dois-je leur présenter les choses comme ça ?
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pmd
Nombre de posts : 5Nombre de likes : 0Inscrit : 8 mars 2012Hello,
Je peux partager mon expérience sur ce sujet d'une certaine façon puisque j'ai vécu une situation similaire il y a un peu plus d'un an, à savoir désir de passer freelance tout en obtenant l'ACCRE/ARCE.
Comme tu l'as compris cela obligeait soit à obtenir une rupture conventionnelle, soit à se faire licencier (mais pas pour faute). Le licenciement étant "difficile" à obtenir du fait des frais qu'il engendre à l'employeur, j'ai décidé de jouer la carte de la rupture conventionnelle.
J'avais alors (et j'ai toujours) un rapport privilégié avec ma direction et l'ensemble des mes interlocuteurs en interne (RH/commerciaux), ce qui a facilité grandement les choses. Ceci étant j'ai dès le départ traité ce sujet uniquement avec mon directeur général sans aucun intermédiaire vu qu'ils n'ont aucun pouvoir de décision. A titre d'information ma SSII à l'époque comprenait alors 500 collaborateurs.
A l'instar de ta situation, mon directeur a accepté ma demande de rupture et la poursuite de ma mission chez mon client avec comme seule condition le "remboursement" des indemnités liés à la rupture conventionnelle. Après réflexion et calculs/simulations, j'ai accepté l'offre car financièrement parlant je sortais gagnant puisque je suis passé AE et j'ai rapidement obtenu l'ACCRE/ARCE. Ainsi j'ai pu profiter de charges faibles dès le départ et maximiser mes revenus sur une très courte période (CA plafonné au prorata temporis en tant qu'AE). Cela m'a permis de mettre de l'argent de côté et tenter mon projet à l'étranger sous trois mois en ayant les fonds nécessaires pour vivre les premiers mois avec ma petite famille.
Voilà pour mon cas particulier.
Dans ton cas, la relation avec ta hiérarchie ne semble pas "très bonne", et implicitement cela ne s'arrangera pas si jamais tu es amené à collaborer avec eux en tant qu'indépendant. Mon expérience en tant qu'employé (10ans en SSI) m'a appris plusieurs choses:
1. Personne n'est irremplaçable, difficilement remplaçable tout au plus.
2. Quand on a décidé de partir, il faut partir
3. On ne battît rien avec une mauvaise relation
4. Client satisfait, futur prospect
Ma courte expérience en tant qu'indépendant en France et à l'étranger quant à elle m'a appris:
1. Pas de réseau, pas de chocolat
2. Savoir se vendre est un art, être son propre commercial un métier
3. Qui dit marché volumineux ne signifie pas mission assurée
4. Toutes les missions ne sont pas bonnes à prendre
Au final même si je ne connais pas tous les variables de ton équation, j'aurais plutôt tendance à trouver dans une premier temps une mission ailleurs puis donner ma démission avec un préavis adéquat à mon employeur.
pmd -
kzg
Nombre de posts : 2927Nombre de likes : 4Inscrit : 2 mai 2012
Je vais vous dire ce que je répète à tous ceux, et ils sont nombreux, que j'entends se plaindre des "abus" réels ou supposés de leur employeur :SpyStyle a écrit : [...]Je suis dans une SII depuis 5 ans, bons rapports à tous les étages, jamais d'intercontrats, je suis un bon rameneur d'argent (500 €/j mais jamais d'augmentation ni de formation depuis 5 ans malgré mes insistances).[...] je suis un bon élément de ma boîte, qui participe très activement à sa bonne santé financière. Donc on m'a bien fait poireauter près de 2 ans[...] ils sont gentils, veulent bien me libérer à l'amiable car ils m'aiment bien (sic), mais faut pas que ça leur coûtent un euro.
Pour moi ce deal me le faisait bien. [...] Autant je ressentirais comme une obligation morale de travailler avec eux si j'obtenais une rupture conventionnelle SANS devoir rendre mes indemnités, autant, en les retournant, qu'est-ce que j'y gagne à rester sans aller voir ailleurs direct si l'herbe n'est pas plus verte ? [...]Si je démissionne, pourquoi je n'irais pas direct voir ailleurs ? Dans les 2 cas j'ai l'impression qu'on me considère comme un gentil qui ne réfléchi pas à tout[...]Tout ne s'est pas dit lors de cet entretien, ils maîtrisent parfaitement les ficelles du discours commercial, la priorité de leurs interêts,avec une bonne maîtrise de l'enfumage, du non dit, du dit-dans-le-bon-sens, etc, etc... bref je grille tous leurs trucs mais ne m'impose pas forcément afin de ne pas durcir l'ambiance.[...] j'ai pleuré des formations et des augmentations que je n'ai jamais eu. En 5 ans. Depuis 2 ans qu'il savent que je veux passer freelance, je n'ai même plus d'entretiens annuels. Je peux toujours leur rappeler ça, [...] Ceci pour justifier d'un coup le ton plus durci que je pourrais employer.
Tant que l'employé se laisse faire, l'employeur a raison.
Je vous laisse méditer là dessus. -
mixomatose
Nombre de posts : 7214Nombre de likes : 13Inscrit : 12 février 2008@SpyStyle
je ne comprend pas vraiement les motivations pour passer independent si c'est pour continuer a travailler pour les memes.
Bien sur qu'il faut demissionner et aller voir ailleurs. Les relations semblent suffisamment pourries pour ne pas continuer a travailler avec cette SSII.
Il ne faut meme pas envisager de continuer avec eux, a moins de se metre dans une logique de looser.calculette de charges sociales TNS indépendant en ligne, comparateur simulateur Autoentrepreneur EI EURL http://www.entrepriseindividuelle.info/Calc_CharSoc.php -
SpyStyle
Nombre de posts : 8Nombre de likes : 0Inscrit : 3 avril 2013J'ai du être trop thrash sur quelques points. En globalité, ça se passe bien avec ma SSII. Mais j'ai mon ressenti personnel, et inavoué, de la rancune ne n'avoir pendant 5 ans pas été terrain d'investissement pour cette boîte, zéro formation et augmentation. Alors que personnellement je faisais de mon mieux pour être un bon élément. Donc visiblement y'a pas d'automatique récompense au mérite.
C'est à peu près tout. Donc dans l'absolu, travailler avec eux ne me poserais pas de soucis. Je sais par exemple que leur compta est propre et les paiements rapides et fait et temps et en heure, sans besoin de relance.
Ce qu'il faut considérer, c'est qu'actuellement j'ai une mission, pas trop mal, qui devrait durer un peu, et où ils sont en direct. Travailler avec eux me permettrait une transition invisible au quotidien, je continue juste d'aller chez ce client.
D'un autre côté, si je démissionne, la perte d'un client ne va pas me tuer. Ce sera juste plus chiant.
Mais d'un autre côté encore, ils n'ont sans doute pas envie de perdre ce client qui est satisfait de mon travail.
Mon soucis est qu'accepter une rupture conventionnelle sans les indemnités, c'est définitivement avoir écarté les fesses du début à la fin avec eux.
On me dit que je pourrais alors négocier le taux, puisqu'ils prennent 20%, par exemple obtenir 10%, et dans ce cas là les indemnités non perçues seraient. récupérables assez rapidement.
En gros, pour simplifier le tout:
- je n'ai pas envie de partir avec rien, vu que je n'ai jamais rien eu pendant, et qu'ils ont un interêt à continuer de bosser avec moi
- je peux alors partir et basta, je leur dis adieu, chacun y perds ce qu'il y perds, j'ai envie de dire que pour moi je perds juste du confort sur un petit moment et eux beaucoup d'argent à vie.
Le tout et de présenter ça dans un mail... Je dois me durcir un peu car je sais pertinemment que ne pas tout dire et ne pas s'imposer va me porter préjudice dans le business. -
kzg
Nombre de posts : 2927Nombre de likes : 4Inscrit : 2 mai 2012
Une augmentation ou une formation ne servent pas à récompenser le travail déjà fourni (vous touchez un salaire pour ça)SpyStyle a écrit : J'ai du être trop thrash sur quelques points. En globalité, ça se passe bien avec ma SSII. Mais j'ai mon ressenti personnel, et inavoué, de la rancune ne n'avoir pendant 5 ans pas été terrain d'investissement pour cette boîte, zéro formation et augmentation. Alors que personnellement je faisais de mon mieux pour être un bon élément. Donc visiblement y'a pas d'automatique récompense au mérite.
Ce sont des outils qui permettent de maintenir la motivation et l'efficacité des salariés à haut niveau. Si vous vous montrez motivé et efficace sans rechigner pendant 5 ans, la ssii n'a aucun intérêt à vous augmenter.
Quel intérêt ???SpyStyle a écrit : Ce qu'il faut considérer, c'est qu'actuellement j'ai une mission, pas trop mal, qui devrait durer un peu, et où ils sont en direct. Travailler avec eux me permettrait une transition invisible au quotidien
Si vous trouvez cela chiant de changer de mission (et donc d'en trouver une autre) vous n'êtes peut être pas prêt ou pas fait pour être indep.SpyStyle a écrit : D'un autre côté, si je démissionne, la perte d'un client ne va pas me tuer. Ce sera juste plus chiant.
Hors sujet. Si vous démissionnez, ils vous remplacent. Il y a très peu de risques qu'ils perdent le client (personne n'est indispensable ou irremplaçable).SpyStyle a écrit : Mais d'un autre côté encore, ils n'ont sans doute pas envie de perdre ce client qui est satisfait de mon travail.
Pas du tout : ils perdent au pire le coût d'un recrutement s'ils n'ont pas la ressource disponible pour vous remplacer ; il est même possible qu'ils y gagnent s'ils ont la ressource disponible en intercontrat.SpyStyle a écrit : - je peux alors partir et basta, je leur dis adieu, chacun y perds ce qu'il y perds, j'ai envie de dire que pour moi je perds juste du confort sur un petit moment et eux beaucoup d'argent à vie.
De votre côté, vous perdez en confort (mais si vous recherchez le confort, encore une fois, ne passez pas indep) et vous gagnez en liberté.
Ou recommandé avec AR :SpyStyle a écrit : Le tout et de présenter ça dans un mail... Je dois me durcir un peu car je sais pertinemment que ne pas tout dire et ne pas s'imposer va me porter préjudice dans le business.
"Je vous informe que je démissionne de mon poste de ... que j'occupe au sein de votre société, et ce à compter du ....
Cordialement"