Merci Pitivier pour ta réponse (que je considère un peu insultante :)).
Je connais bien sûr toute la différence entre gratuit et ouvert. Je viens de contribuer à la traduction de 3 chapitres du livre-projet Modèles Ouverts qui vient de sortir en anglais (Open Models), et qui traite en profondeur des modèles économiques du libre :)
Je n'évoque pas que l'aspect économique dans ma réponse. Contribuer dans un projet open est très fun au début. Beaucoup de projets finissent cependant par "s'essouffler". Rien que la maintenance technique pure pose vraiment problème à beaucoup de projets où des développeurs clés finissent par perdre intérêt (mon préféré est ScanTailor) et on a du mal à les remplacer. Là c'est pas simplement de la maintenance qui est demandée, mais un véritable travail de veille (merci le fisc) que pratique tout naturellement tout professionnel en exercice. Oui, je peux trouver des contre-exemple, et un tel logiciel (critique) à jour peut exister.
Je dis simplement que la probabilité en est faible, surtout quand on rajoute à l'aspect "veille" (très lourd sur le long terme) les autres contraintes évoquées, que je ne vais pas répéter..
Sujet très intéressant.
Je pense que les arguments "pertinents" n'ont pas été explicitement exprimés dans les deux sens :
- Un logiciel open/gratuit ne peut être utilisé pour la simple raison qu'il faut un investissement important des développeurs pour le maintenir à jour, ce qui est très coutant. Il faut un expert comptable en exercice (il y a pas mal de pratique qui rentre en jeu), et je ne vois pas pourquoi un tel expert se tirerait une balle dans le pied en se fatiguant à maintenir à jour un logiciel complexe gratuit au prix de son expérience durement acquise, en se privant de potentiels clients dans la foulée, et en se mettant à dos toute une corporation par dessus le marché !
- Dans l'autre sens, cette situation est ubuesque et purement due au pouvoir absolu et abusif de l'administration fiscale. Elle est juge, partie, arbitre, supporter, commentateur, cuisto.. et geôlier à la fois avec un recours quasi-nul (dans la pratique) pour ses bon sujets. Il faut bien prendre conscience que l'administration fiscale est un pouvoir absolu à part qui détruit toute notion de démocratie dans la république (une illusion). Elle a raison, ou alors vous avez tort ! Choisissez.
Je vais tout simplement me rémunérer au maximum (en essayant de na pas dépasser, ou peu, la limite de la 3ème tranche IR, c-a-d. ~80ke).
Concernant les charges sociales, elles viennent en charges dans le bilan et contribuent donc à réduire le résultat, idem pour l'IS (faible consolation)..
Excusez la naïveté de ma question : le principe de l'optimisation de la distribution salaire/résultat EURL est-il de minimiser ce dernier ? (résultat = 0).
Je pose la question car le résultat est imposé à 15%, alors que mon salaire est à 20% (j’essaie de ne pas rentrer dans la 4ème tranche IR).
Dans l'autre sens, si laisse de l'argent en résultat, il sera soumis à l'IS, et il devra passer en revenu (il devra bien sortir un jour ou l'autre), donc il repassera à la caisse en IR !!
La solution de passer le résultat en capital no plus : je m'inquiète quant à sa disponibilité, et puis le jour ou je réduis le capital pour le récupérer, ne va-t-il pas être imposé de toutes façons ?!
Je confirme : depuis le début de l'année, aucune réponse, même négative, à mes candidatures (même sur des offres qui cadrent bien avec mon profil).
Janvier serait-il le mois exclusif de la collecte aux CVs ??
Question: les tarifs indiqués dans les offres sur freelance-info sont ceux du client final (auxquels il faudrait alors enlever la commission de l'intermédiaire), ou les tarifs effectivement perçus si je signe ?
Merci.
Nouveauté ! Avec Free-Work MyBusiness, vous pouvez désormais gérer votre facturation, vos clients et votre activité facilement. C'est gratuit et sans engagement !
