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JP_B

Nombre de posts : 8

Inscrit depuis le : 19 septembre 2014

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Réponse postée 20 septembre 2014 08:27

Oui, effectivement, vu comme ça, je pense que la situation est similaire, puisque que si je passe 6 mois à l'étranger, c'est comme si j'habitais B tout en ayant mon entreprise en A.


J'avais vu ce site dans le passé, mais si je prends par exemple le cas caricatural de Singapour:
  • [*:6ad9441f10]Les étrangers ne sont pas autorisés à acheter un logement sur l'île, donc les coûts d'achat sont en réalité sans importance. Les locations sont les seules qui comptent.
    [*:6ad9441f10]La possessions d'une voiture est extrêmement exotique (très forte densité de population donc le gouvernement impose quasiment aux gens via des taxes énormes de prendre le taxi ou les transports en commun). Donc les coûts d'achat et d'essence sont en réalité sans importance, alors que les coûts de taxi et de métro sont plus importants.
    [*:6ad9441f10]Comme souvent en Asie, les restaurants sont très peu chers donc on fait bien moi la cuisine et donc les prix des courses ont moins d'importance, alors que les prix des resto en ont plus.
    [*:6ad9441f10]Les appartement centraux sont en général dans des lotissements et fournissent accès à une salle de gym et piscine gratuitement, donc ces coûts ont moins d'importance.
Les situations entre les pays peuvent être assez différentes et je doute que le site module ses coefficients pour les prendre en compte, donc les résultats synthétiques ont peu de crédibilité sauf à rester dans notre petit périmètre local.
Alors si on connaît suffisamment le pays, on peut regarder les chiffres et faire soi-même ses budgets mais c'est assez difficile.
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Réponse postée 19 septembre 2014 20:36

De ce que je comprends, vous ferez votre travail de chez vous (à l'étranger), donc effectivement, votre pays de travail sera le pays où se situe votre société. Ce ne sera donc pas une mission à l'étranger comme évoquée ci-dessus, mais pour l'étranger, un travail local (pour vous) sur un contrat commercial international, n'est-ce pas ?

Je me méfie des études sur le coût de la vie; en général elles comparent des pommes et des oranges 😉 J'ai l'impression qu'on paye moins essentiellement parce qu'on a moins bien.

Par curiosité, et si ce n'est pas indiscret, où allez-vous ?
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Réponse postée 19 septembre 2014 20:19

Bonjour hmg,

Merci pour ces réponses!
Etant donné que le CA sera assez stable et probablement inférieur à 100k€/an, je pense à une EURL. Je ne mettais pas vraiment posé la question de capital variable ou non, donc je suis pris de court pour préciser :)
Dans le but de renforcer la crédibilité de l'entreprise, je pense que capital variable peut être une caractéristique défavorable (cela réduit la solidité de la garantie de couverture que fournit le capital).
Dans le cas d'un capital fixe, ce sont des coûts de formalité?
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Réponse postée 19 septembre 2014 20:11

Bonjour HMG!

De fait, j'ai commencé à télécharger dans la soirée les conventions de quelques pays pour regarder. La lecture s'annonce un peu rude, mais ça doit se faire :)

Je suppose que le fait dans le cas où la France considère que mes intérêts restent en France malgré les 6 mois dépassés, il y a risque de double imposition ?

Merci de votre aide!
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Réponse postée 19 septembre 2014 18:49

Bonjour à tous (c'est la dernière, promis),

Ancien directeur technique (DT) info ayant récemment profité d'un plan de licenciement, j'aimerais reprendre mon activité à mon compte en tant que consultant.

Je me suis pas mal documenté sur les status & co, mais il me reste encore beaucoup de points flous.

Je groupe ici les deux derniers sujets, qui sont à la limite du hors-sujet côté Freelance.
Mais on peut les généraliser à des situations similaires (plusieurs boîtes de freelance dans des domaines similaires ; le côté intermittent peut intéresser les freelances qui font du web design).

Un facteur de complexité est notamment que je ne souhaite pas faire que du consulting. Je compte également avoir des activités, disons, artistiques ou péri-artistique type organisation de spectacles, création et commercialisation de petites applications, auto-publication d'un livre etc. Et comme ces revenus sont variables, je souhaiterais également les "abriter" dans une société pour pouvoir étaler l'imposition si jamais l'une de ces activités fait mouches (on peut rêver 😉 ).

1. Je me demandais déjà si je pouvais cumuler des activités si diverses au sein de la seule société de consulting.

Pour le moment, je vois le problème ainsi:

Pour plusieurs sociétés:
  • [*:474ba1376f]les pertes d'une société ne mettent pas en danger les autres.
    [*:474ba1376f]on bénéficie de la tranche d'IS à 15% pour chaque société si l'on ne fait pas de holding consolidatrice.
    [*:474ba1376f]on peut avoir certaines activités en SARL avec peu de charges sur le salaire régulier, et certaines parties en SASU avec peu de charges sur les dividendes pour ventiler des revenus sporadiques.
    [*:474ba1376f]pas de soucis de code NAF tant qu'on groupe bien les activités.
Contre plusieurs sociétés:
  • [*:474ba1376f]cela va multiplier les frais (création, mais aussi comptable, certaines taxes...).
    [*:474ba1376f]certaines seront techniquement inactives pendant de longs moments.
Pour une seule société:
  • [*:474ba1376f]les pertes d'une "branche" peuvent compenser les gains d'une autre et réduire leur imposition (vrai aussi pour plusieurs sociétés avec une holding consolidatrice).
    [*:474ba1376f]pas de soucis de code NAF.
    [*:474ba1376f]une certaine clareté de lecture pour les clients ;-)
    [*:474ba1376f]frais moins élevés
Contre une seule société:
  • [*:474ba1376f]problème de code NAF et donc d'attribution de certaines aides qui en dépendent.
    [*:474ba1376f]imposition peu souple
J'ai plutôt tendance à penser que séparer le consulting du reste est une bonne chose, mais je ne sais pas si cela vaut le coup de séparer l'applicatif (pour le CIR/JEI?), l'évènementiel, l'édition...
Auriez-vous des compléments de réflexions, des avis ?

2. Dans le cas de l'évènementiel (et éventuellement pour mes applications -musique, dessin-), je pourrais avoir à employer des intermittents. Je sais que mon ancienne boîte avait été dans l'impossibilité juridique de le faire; elle était obligé de passer par une société intermédiaire qui elle avait été créer ultérieurement en ayant tiré des leçons de cela. Du coup, je me demandais qu'elles étaient les règles auxquelles il fallait obéir pour ce faire.


Merci encore!
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Réponse postée 19 septembre 2014 18:33

Bonjour à tous,

Ancien directeur technique info ayant récemment profité d'un plan de licenciement, je compte utiliser les aides ARCE/maintien de l'indemnité pour reprendre mon activité à mon compte.

Je me suis pas mal documenté sur les status & co, mais il me reste encore beaucoup de points flous.

Je regroupe dans ce sujet plusieurs "petites" questions "techniques".

1. Si j'accorde à ma société un capital important, et que je souhaite le réduire au bout de 2-3 ans une fois la société "sur des rails". Que se passe-t-il ? Ais-je des prélèvements quelconques sur cet argent (qui est mon propre apport) ?

2. En admettant que je choisisse le maintien de l'indemnité, et que je ne me verse pas de salaire pour ne pas amputer cette indemnité, je suppose que ma retraite et ma sécu de base sont comprises dans l'indemnité, mais puis-je m'octroyer par la société les à-côtés du type mutuelle ou remboursement de carte orange -il me semble que la loi oblige à prendre 50% à charge sur Paris- par exemple ?

3. Est-ce que la domiciliation de l'entreprise a une réelle importance ? J'ai un ami qui me dit que ses amis (et ouais...) bénéficient à plein de domicilier leurs entreprises chez eux. Je ne vois pas en quoi. Je fais du consulting (je ne sais pas si c'est leur cas), donc je ne mobilise pas une partie importante de mon habitation pour mon travail.

Merci!
(Note: J'ai plusieurs questions, mais je vais créer des sujets séparés pour que ce soit plus lisible...)
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Réponse postée 19 septembre 2014 18:28

Bonjour à tous,

Ancien directeur technique (DT) info ayant récemment profité d'un plan de licenciement, j'aimerais reprendre mon activité à mon compte en tant que consultant.

Je me suis pas mal documenté sur les status & co, mais il me reste encore beaucoup de points flous.

J'envisage cette activité comme étant une EURL (car salaire assez stable, il me semble qu'il vaut mieux optimiser le salaire que les dividendes) avec, en tout cas au début, moi comme seul travailleur.

J'avais l'habitude en tant que DT de gérer les problématiques de CIR. Je me demande donc si, en tant que consultant, je pouvais bénéficier du CIR sur mes prestations. Ou si mes clients pouvaient en bénéficier sur ce qu'il me font faire (pour les français donc). De manière à pouvoir baisser le coût effectif de ma prestation. Et je me demandais également si j'étais éligible au status de JEI. Si non, serais-ce potentiellement le cas en y joignant mon activité (potentielle pour le moment) de création d'application ?

Merci!
(Note: J'ai plusieurs questions, mais je vais créer des sujets séparés pour que ce soit plus lisible...)
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Réponse postée 19 septembre 2014 18:25

Bonjour à tous,

Ancien directeur technique info ayant récemment profité d'un plan de licenciement, j'aimerais reprendre mon activité à mon compte en tant que consultant.

Je me suis pas mal documenté sur les status & co, mais il me reste encore beaucoup de points flous.

J'envisage cette activité comme étant une EURL (car salaire assez stable, il me semble qu'il vaut mieux optimiser le salaire que les dividendes) avec, en tout cas au début, moi comme seul travailleur.
Je suis dans un domaine très spécialisé et donc une bonne partie de mes clients seront à l'étranger (US, UK, et peut-être Japon, Chine, Singapour, Canada, Australie) et j'irais faire des missions de plusieurs mois chez eux.

A priori, tant qu'une mission ne dépasse pas 6 mois, je ne vois pas de soucis, mais j'avais l'impression qu'au-delà de 6 mois, il fallait que je déclare mon IR à l'étranger -que ce soit un BNC ou un salaire- (et je ne sais pas si en tant que gérant d'EURL, on peut être "détaché" ou "expatrié"), et je me posais sérieusement la question pour l'IS de la société et les cotisations sociales.
Une conseillère de RESSAC (une association composée d'ex-comptables/juristes qui aide les créateurs d'emploi) m'a soutenu ce jour qu'il n'y avait rien de tout cela. Que comme il n'y avait pas contrat de travail mais simple contrat de prestation avec une société, rien ne changeait pour moi et je devais simplement payer en France, comme de normal.

J'aimerais bien avoir votre avis! Il me semble que ce serait un facteur majeur de fraude si c'était le cas; il suffirait de s'établir dans un pays avec peu de charges et de voguer là où le travail nous appelle à moindre coût.

Merci!
(Note: J'ai plusieurs questions, mais je vais créer des sujets séparés pour que ce soit plus lisible...)

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