sdelice a écrit : Moi je voudrais bien prendre l'ARCE et renoncez à la moitié de mes droits restants mais c'est Pôle Emploi qui ne veut pas parce que j'ai créé ma boite pendant que j'étais en préavis dispensé de travail(dans le cadre d'une rupture conventionnelle). Javais pas le choix d'attendre, pour demarrer j'avais une mission d' un an... Par contre je peux avoir les ARE. Cherchez l'erreur ? C'est comme si tout est fait pour t'inciter ou te forcer à profiter du système!
Je suis dans la même situation que toi. ça me rend fou alors que j'ai insisté pour avoir l'ARCE
Je vais essayer d'aller jusqu'au bout et voir directement avec le pôle emploi. Après tout, c'est pas un automate qui décide. Chaque dossier est traité différemment et statué individuellement. Je vous tiens au courant.
On me conseille de mettre ça:
- Emploi exercé: Gérant ou autre
- Nombre heures: 40 /semaine
- Nom de l'employeur: nom déclaré de l'EURL
- Date de début: date d'enregistrement de l'entreprise
Je me permet de déterrer ce sujet car je suis dans la même situation que Gribsy.
Suite à un licenciement, j'ai crée une EURL mi-décembre 2015. Je viens d'avoir l'accord pour l'ACCRE et je souhaite faire ma demande d'ARCE. Donc besoin d’inscription au pôle emploi. Or, ils demandent ces info pour l'inscription:
- Nature de l'activité (Salariée ou non)
- Emploi exercé
- Nombre d'heures par mois
- Nom de l'employeur
- Date de début d'activité
Tous les champs ci-dessus sont obligatoires. Sachant que j'ai déjà démarré chez un client depuis mi-décembre, que dois-je remplir dans ces champs ? J'ai pas envie de faire le faux pas qui me privera des aides.
Pour info, je ne me suis pas encore versé un sous ni remboursé la moindre note de frais.
kzg a écrit :
Je suppose que vous allez travailler comme sous traitant pour des ssii ?
Tout à fait
kzg a écrit : Dans ce cas une solution peut être de commencer à prospecter dès maintenant en indiquant que vous "pouvez" être disponible rapidement (i.e. laisser entendre que votre employeur est disposé à écourter votre préavis), ça n'engage à rien.
Quand vous trouvez une mission il faudra négocier au mieux des 2 côtés : obtenir le préavis le plus court possible avec votre employeur, et obtenir de la ssii qu'elle fasse patienter son client au maximum. Dans le pire des cas, la mission vous passe sous le nez mais vous avez au moins gagné la confiance d'un client et d'un intermédiaire, ça pourra toujours servir.
Effectivement, c'est ce que je projette de faire.
Donc je laisse tomber la rupture conventionnelle quelques soient les conditions de mon employeur? ça va rien m'apporter d'intéressant quitte à faire des sacrifices au niveau du taux journalier?
mixomatose a écrit :
Faites comme conseillé par kzg. Déterminez votre valaur sur le marché.
Quel est votre salaire actuel? Années d'expérience? Domaine?
Aujourd'hui je suis à 49K brut/an. Et j'ai eu sur les trois derniers mois deux propositions de CDI à 54K. Je suis consultant dans le domaine de l'EAI avec 6 ans d'expérience en février 2016
kzg a écrit :
Vous en pensez quoi, vous ? Comment avez-vous estimé que vous valiez 500€/jour sur le marché ?
J'ai beaucoup d'amis/collègues qui sont freelance sur la même techno que que moi et c'est le prix qui se pratique sur le marché. Les collègues ont plus ou moins le même profil et la même expérience que moi.
kzg a écrit :
Si vous n'arrivez pas à convaincre votre employeur actuel, qui connaît votre expérience et vos compétences, vous aurez du mal à convaincre un prospect qui ne vous connaît pas. Ou alors c'est que vous vous surestimez.
Je sais que j'étais vendu plus cher chez mes anciens clients. Le client actuel a un sérieux problème de budget (en tout cas c'est ce qu'on m'a dit) et si ma boite m'a placé chez lui c'est parce qu'elle avait pas de ressources de dispo à lui présenter - à part moi - et qu'ils ont d'autres intérêts avec lui qu'ils souhaitent conserver.
kzg a écrit :
Ni l'un ni l'autre. A mon avis vous devez d'abord (i) vous assurer de votre vraie valeur sur le marché (ii) activer votre réseau pour communiquer sur le fait que vous vous mettez à votre compte et par la même occasion sonder votre marché, (iii) estimer de combien de trésorerie disponible vous disposez en cas de coup dur.
Déjà fait et j'ai déjà eu des propositions mais pour une disponibilité immédiate. Si je pose ma démission aujourd'hui je ne serai pas sur le marché avant début février. D'ici là, les postes à promouvoir peuvent se faire rare.
Je suis nouveau sur ce forum et ceci est mon premier message.
Comme beaucoup d'entre nous, j'ai décidé de me lancer dans l'aventure freelance. Actuellement salarié, j'ai abordé le sujet avec mon employeur pour éventuellement signer une rupture conventionnelle afin d'être un peu serein à mes débuts.
Seulement voilà, mon employeur n'est pas contre l'idée mais il souhaite que je reste avec lui sur ma mission actuelle. Et pour ça, il m'a demandé mon futur TJM et j'ai répondu que ça sera aux alentours de 500euros HT. Auquel il m'a répondu tout de suite que c'était un peu trop cher et que chez le client actuel les taux sont beaucoup plus bas que ça...
Selon vous, est-ce que ça vaut le coup de signer la rupture conventionnelle et rester sur la même mission avec un taux inférieur à ce qui se fait ailleurs ou bien je pose ma démission en croisant les doigts pour trouver rapidement une mission après le préavis de 3 mois (que mon employeur refusera d'écourter vu la charge de travail que présente mon projet actuellement).
En gros, la question pour laquelle j'ai posté aujourd'hui est la suivante:
- Que vais-je gagner en terme d'aides en signant la rupture conventionnelle, autre que la prime de départ si je démarre tout de suite sur la mission sur laquelle je suis ? (0 jours d’inter-contrat)
Merci à tous pour vos conseils.
Cordialement,
JenWal
Nouveauté ! Avec Free-Work MyBusiness, vous pouvez désormais gérer votre facturation, vos clients et votre activité facilement. C'est gratuit et sans engagement !
