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codeconcept33
Nombre de posts : 11
Inscrit depuis le : 20 mars 2012
Réponse postée 13 novembre 2013 14:04
Bonjour,
Mon EC m'a donné son feu vert pour passer la totalité du loyer en frais
https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/13803-location-d-un-appartement-durant-un-deplacement-en-mission
Mon EC m'a donné son feu vert pour passer la totalité du loyer en frais
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Réponse postée 18 septembre 2013 09:13
Merci pour vos réponses respectives. Bon, avec moins de 2 ans d'activités freelance, ça risque d'être difficile. Mais on ne sait jamais. Je reviendrai faire une retour d'expérience.
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Réponse postée 7 septembre 2013 10:46
Bonjour,
En tant que TNS, est-il possible d'obtenir un crédit pour l'achat d'un véhicule ? Pour la location d'un appartement, mon EC m'a fait une attestation de revenus en qualité de gérant, et cela a remplacé les fiches de paie demandées. En revanche, qu'en est-il lorsque l'on souhaite avoir recours à un organisme de crédit pour financer l'achat d'un véhicule de société ? Et ce, en prenant l'hypothèse de l'achat d'un véhicule neuf, puis l'hypothèse d'un véhicule d'occasion.
J'ai lu ici-même, dans les archives, qu'il pouvait s'avérer préférable d'acheter un véhicule personnel cette fois, et d'opter pour le remboursement kilométrique des frais des déplacements pro. Est-il alors possible d'obtenir un crédit, en temps que TNS, auprès d'un organisme de crédit, pour l'achat d'un véhicule personnel ? Est-ce que le fait de ne pas être salarié en CDI entraînera un refus automatique, ou bien des taux d'intérêts très élevés pour ne pas dire dissuasifs ? Se verrait-on imposer des assurances supplémentaires : les TS sont obligés de souscrire des assurances de perte d'emploi, qu'en est-il pour nous autres TNS ? De nouveau, les deux hypothèses véhicule neuf à crédit, véhicule d'occasion à crédit, retiennent toutes deux mon attention.
Question subsidiaire, le marché de l'automobile étant toujours en crise (-11% d'immatriculation de véhicule neuf en août 2013 il me semble), cela joue-t-il en faveur des acheteurs ? Ou bien les sociétés de crédits, craindront-elles de prêter en période de crise à des clients qui pourraient eux-mêmes voir leurs revenus baisser ?
Merci d'avance.
En tant que TNS, est-il possible d'obtenir un crédit pour l'achat d'un véhicule ? Pour la location d'un appartement, mon EC m'a fait une attestation de revenus en qualité de gérant, et cela a remplacé les fiches de paie demandées. En revanche, qu'en est-il lorsque l'on souhaite avoir recours à un organisme de crédit pour financer l'achat d'un véhicule de société ? Et ce, en prenant l'hypothèse de l'achat d'un véhicule neuf, puis l'hypothèse d'un véhicule d'occasion.
J'ai lu ici-même, dans les archives, qu'il pouvait s'avérer préférable d'acheter un véhicule personnel cette fois, et d'opter pour le remboursement kilométrique des frais des déplacements pro. Est-il alors possible d'obtenir un crédit, en temps que TNS, auprès d'un organisme de crédit, pour l'achat d'un véhicule personnel ? Est-ce que le fait de ne pas être salarié en CDI entraînera un refus automatique, ou bien des taux d'intérêts très élevés pour ne pas dire dissuasifs ? Se verrait-on imposer des assurances supplémentaires : les TS sont obligés de souscrire des assurances de perte d'emploi, qu'en est-il pour nous autres TNS ? De nouveau, les deux hypothèses véhicule neuf à crédit, véhicule d'occasion à crédit, retiennent toutes deux mon attention.
Question subsidiaire, le marché de l'automobile étant toujours en crise (-11% d'immatriculation de véhicule neuf en août 2013 il me semble), cela joue-t-il en faveur des acheteurs ? Ou bien les sociétés de crédits, craindront-elles de prêter en période de crise à des clients qui pourraient eux-mêmes voir leurs revenus baisser ?
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Réponse postée 27 août 2013 09:49
Merci pour vos réponses. Ma comptable n'était en fait pas en vacances et m'a répondu dans le sens de ce qui a été dit plus haut, à savoir qu'il n'y a aucun souci pour que les frais de logement (loyer, EDF, Eau, Internet...) soient pris en charge par la société, du fait que ma mission se trouve à Rennes et que ma résidence principale est à Angers.
En outre, étant donné qu'il existe une éventualité que je déménage vers Rennes dans le futur, il est préférable que le bail soit à mon nom (pas à celui de la société) ET de bien préciser sur les quittances de loyer que c'est pour le compte de la société SSSS dans le cadre de sa mission pour la société YYYY.
En outre, étant donné qu'il existe une éventualité que je déménage vers Rennes dans le futur, il est préférable que le bail soit à mon nom (pas à celui de la société) ET de bien préciser sur les quittances de loyer que c'est pour le compte de la société SSSS dans le cadre de sa mission pour la société YYYY.
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Réponse postée 25 août 2013 16:01
Merci pour cette réponse. Je vais donc vérifier avec le propriétaire s'il accepte la sous-location. Car cela semble en effet indispensable :
http://www.pap.fr/conseils/location/la-sous-location/la-sous-location-autorisee-ou-pas-a2363
http://www.pap.fr/conseils/location/la-sous-location/la-sous-location-autorisee-ou-pas-a2363
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Réponse postée 24 août 2013 14:19
Bonjour,
Je suis en mission freelance près de Rennes, tandis que mon domicile est à Angers (128 km de distance). J'ai opté pour l'hôtel du dimanche soir au vendredi à Rennes (ville de ma mission) et rentre à Angers (ville où je réside et où se trouve le siège de ma société) du vendredi soir au dimanche soir (le weekend donc). L'hôtel étant deux fois à trois fois plus coûteux que la location sur le lieu de mission d'un T2, je vais louer à titre privé un logement à Rennes (bail à mon nom, pas à celui de l'EURL dont je suis gérant). Pourrais-je passer en frais de déplacement, comme je le fais actuellement pour l'hôtel, le loyer, l'eau EDF, internet du T2 de mon lieu de mission ?
Si la mission était amenée à durer sur l'année 2014, je cesserai de louer mon appartement principal à Angers, afin de vivre près de mon lieu de mission. D'où mon souhait de louer le logement sur le lieu de mission à mon nom, pas à celui de la société. Celà me permettrait ainsi de continuer sur le bail initialement signé, mon loyer rennais devenant un loyer unique (plus de déplacement ni de frais de déplacement) et non plus un double loyer consécutif à un double domicile : est-ce faisable ? Ou bien dois-je obligatoirement signer mon nouveau bail au nom de ma société afin de pouvoir déclarer mon deuxième domicile, proche de mon lieu de mission, comme une alternative à l'hôtel durant la période de double domicile, domicile dont le loyer pourrait faire office de frais professionnel ?
Mon EC étant en congés, je ne peux pas lui poser la question directement et ne souhaite pas voir passer l'appartement que j'ai en vue.
Merci d'avance
Nota : mon deuxième appartement servira uniquement de logement. Je travaille dans les bureaux du client.
Je suis en mission freelance près de Rennes, tandis que mon domicile est à Angers (128 km de distance). J'ai opté pour l'hôtel du dimanche soir au vendredi à Rennes (ville de ma mission) et rentre à Angers (ville où je réside et où se trouve le siège de ma société) du vendredi soir au dimanche soir (le weekend donc). L'hôtel étant deux fois à trois fois plus coûteux que la location sur le lieu de mission d'un T2, je vais louer à titre privé un logement à Rennes (bail à mon nom, pas à celui de l'EURL dont je suis gérant). Pourrais-je passer en frais de déplacement, comme je le fais actuellement pour l'hôtel, le loyer, l'eau EDF, internet du T2 de mon lieu de mission ?
Si la mission était amenée à durer sur l'année 2014, je cesserai de louer mon appartement principal à Angers, afin de vivre près de mon lieu de mission. D'où mon souhait de louer le logement sur le lieu de mission à mon nom, pas à celui de la société. Celà me permettrait ainsi de continuer sur le bail initialement signé, mon loyer rennais devenant un loyer unique (plus de déplacement ni de frais de déplacement) et non plus un double loyer consécutif à un double domicile : est-ce faisable ? Ou bien dois-je obligatoirement signer mon nouveau bail au nom de ma société afin de pouvoir déclarer mon deuxième domicile, proche de mon lieu de mission, comme une alternative à l'hôtel durant la période de double domicile, domicile dont le loyer pourrait faire office de frais professionnel ?
Mon EC étant en congés, je ne peux pas lui poser la question directement et ne souhaite pas voir passer l'appartement que j'ai en vue.
Merci d'avance
Nota : mon deuxième appartement servira uniquement de logement. Je travaille dans les bureaux du client.
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Réponse postée 8 mars 2013 19:51
En effet 🙂kzg a écrit : "cela va sans dire, mais ça va mieux en l'écrivant"...
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Réponse postée 8 mars 2013 00:03
Bonsoir,
Merci pour votre réponse. Afin de pas causer de problèmes à freelance-info et ne pas verser dans la diffamation, je ne donnerai pas d'indice sur la société dont il est question. Cela m'apprendra à relire au calme un contrat. Car entre lire en diagonal et lire de travers, j'ai prouvé que la frontière était parfois ténue.
On reproche souvent aux freelances leur caractère imprévisible. A l'occasion d'une précédente mission, j'ai effectivement appris, le matin même de son arrivée programmée, qu'un freelance ne viendrait pas en renfort, car il avait trouvé mieux ailleurs. Personnellement, j'ai tendance à ne pas changer d'avis lorsque j'annonce que j'accepte une mission, même avant d'avoir signé. Je considère - ou plutôt considérais jusqu'à présent - que le contrat est le plus petit dénominateur commun, et que la confiance devait aller au delà. Mais ce genre de mésaventure me pousse à considérer que la parole ne vaut finalement pas grand chose (rien ?). Il vaut sans doute mieux considérer que ce qui n'a pas été couché sur papier puis signé n'a pas d'existence ... L'époque de la poignée de main, si elle a jamais existée, est probablement révolue.
Merci pour votre réponse. Afin de pas causer de problèmes à freelance-info et ne pas verser dans la diffamation, je ne donnerai pas d'indice sur la société dont il est question. Cela m'apprendra à relire au calme un contrat. Car entre lire en diagonal et lire de travers, j'ai prouvé que la frontière était parfois ténue.
On reproche souvent aux freelances leur caractère imprévisible. A l'occasion d'une précédente mission, j'ai effectivement appris, le matin même de son arrivée programmée, qu'un freelance ne viendrait pas en renfort, car il avait trouvé mieux ailleurs. Personnellement, j'ai tendance à ne pas changer d'avis lorsque j'annonce que j'accepte une mission, même avant d'avoir signé. Je considère - ou plutôt considérais jusqu'à présent - que le contrat est le plus petit dénominateur commun, et que la confiance devait aller au delà. Mais ce genre de mésaventure me pousse à considérer que la parole ne vaut finalement pas grand chose (rien ?). Il vaut sans doute mieux considérer que ce qui n'a pas été couché sur papier puis signé n'a pas d'existence ... L'époque de la poignée de main, si elle a jamais existée, est probablement révolue.
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Réponse postée 6 mars 2013 11:16
Merci pour vos réponses. Le plus "drôle" est qu'initialement, le contrat prévoyait "60 jours" après le paiement de la SSII.
La meilleure façon de résoudre un problème aurait en effet été de l’éviter en amont. J'aurais dû éviter de signer un tel contrat. Etant habitué à être payé à 30 jours fin de mois, et surtout à ne pas avoir deux intermédiaires - contact direct avec les SSII -, je n'ai pas été assez vigilant. J'ai été obnubilé par le chiffre (60), que je ne voulais absolument pas voir figurer sur le contrat, que j'ai réduit à "30", sans prendre garde à la persistance de cette clause absurde, qui m'a contraint à fourrer mon nez dans ce qui se passe entre la SSII et l’intermédiaire. Car chaque mois, l'intermédiaire et la SSII s'accusaient mutuellement de créer les dérives de règlement.
J'avais pourtant été transparent au téléphone et en vis-à-vis, tant avec le commercial de la SSII que celui de l'intermédiaire : cette mission étant intégralement en déplacement, il était impératif que je sois payé à 30 jours fin de mois en raison des frais conséquents (hôtels, restaurants, train ...), sans quoi il valait mieux s'adresser à un autre prestataire implanté localement. Accord oral de l'un et de l'autre. Mais en affaires comme en politique, les promesses orales n'engagent que ceux qui les écoutent.
Je n'ai jamais eu ce genre de problème en travaillant directement avec une SSII. Il faut se méfier des proverbes, mais parfois ils résument bien une situation : "quand il y deux intermédiaires, il y en a un de trop". En voilà un que je garderai à l'esprit pendant le restant de ma carrière.
Merci pour ce lien de la DGCCRF. Je sais maintenant que le règlement ne pourra excéder 60 jours. Un huissier le saura sans doute également. Autant je fuis les intermédiaires, autant je délègue, chaque fois que je le peux, à des spécialistes, afin de me consacrer à mon coeur de métier.
La meilleure façon de résoudre un problème aurait en effet été de l’éviter en amont. J'aurais dû éviter de signer un tel contrat. Etant habitué à être payé à 30 jours fin de mois, et surtout à ne pas avoir deux intermédiaires - contact direct avec les SSII -, je n'ai pas été assez vigilant. J'ai été obnubilé par le chiffre (60), que je ne voulais absolument pas voir figurer sur le contrat, que j'ai réduit à "30", sans prendre garde à la persistance de cette clause absurde, qui m'a contraint à fourrer mon nez dans ce qui se passe entre la SSII et l’intermédiaire. Car chaque mois, l'intermédiaire et la SSII s'accusaient mutuellement de créer les dérives de règlement.
J'avais pourtant été transparent au téléphone et en vis-à-vis, tant avec le commercial de la SSII que celui de l'intermédiaire : cette mission étant intégralement en déplacement, il était impératif que je sois payé à 30 jours fin de mois en raison des frais conséquents (hôtels, restaurants, train ...), sans quoi il valait mieux s'adresser à un autre prestataire implanté localement. Accord oral de l'un et de l'autre. Mais en affaires comme en politique, les promesses orales n'engagent que ceux qui les écoutent.
Je n'ai jamais eu ce genre de problème en travaillant directement avec une SSII. Il faut se méfier des proverbes, mais parfois ils résument bien une situation : "quand il y deux intermédiaires, il y en a un de trop". En voilà un que je garderai à l'esprit pendant le restant de ma carrière.
Merci pour ce lien de la DGCCRF. Je sais maintenant que le règlement ne pourra excéder 60 jours. Un huissier le saura sans doute également. Autant je fuis les intermédiaires, autant je délègue, chaque fois que je le peux, à des spécialistes, afin de me consacrer à mon coeur de métier.
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Réponse postée 5 mars 2013 15:21
Bonjour,
Je passe par un intermédiaire ayant pour client une SSII, qui elle même a un client final :
moi (freelance) -> intermédiaire -> SII cliente -> client final
L'intermédiaire stipule sur le bon de commande qui est destiné au freelance (moi-même) que :
"le paiement des factures sera effectué au maximum dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception du règlement client".
Est-ce légal ? En effet, si la SSII cliente paie mon intermédiaire à 30, 60, 90,120 jours ou davantage, je me retrouverais payé à 30 + 30, ou 60 + 30, 90 + 30 jours ... . Un délai de paiement aussi vague (potentiellement : infini + 30 jours) est-il légal ?
Est-il possible, lorsque l'intermédiaire ne fait rien pour inciter la SSII intermédiaire à régler ses factures, d'avoir recours à un huissier, qui motiverait mon intermédiaire à se faire régler par la SSII ? D'autant que je soupçonne l'intermédiaire d'avoir recours à une solution d'affacturage, qui le motive peu à se faire régler par la SSII cliente.
Merci
Je passe par un intermédiaire ayant pour client une SSII, qui elle même a un client final :
moi (freelance) -> intermédiaire -> SII cliente -> client final
L'intermédiaire stipule sur le bon de commande qui est destiné au freelance (moi-même) que :
"le paiement des factures sera effectué au maximum dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception du règlement client".
Est-ce légal ? En effet, si la SSII cliente paie mon intermédiaire à 30, 60, 90,120 jours ou davantage, je me retrouverais payé à 30 + 30, ou 60 + 30, 90 + 30 jours ... . Un délai de paiement aussi vague (potentiellement : infini + 30 jours) est-il légal ?
Est-il possible, lorsque l'intermédiaire ne fait rien pour inciter la SSII intermédiaire à régler ses factures, d'avoir recours à un huissier, qui motiverait mon intermédiaire à se faire régler par la SSII ? D'autant que je soupçonne l'intermédiaire d'avoir recours à une solution d'affacturage, qui le motive peu à se faire régler par la SSII cliente.
Merci
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Réponse postée 5 janvier 2013 00:16
L'ingratitude d'un seul ne doit pas cacher la reconnaissance de beaucoup d'autres (dont EURLalala et moi). Je profite donc de l'occasion pour remercier HMG, qui a répondu, au fil du temps, a un grand nombre de questions avec clarté et courtoisie.
Bonne année 2013 🙂
Bonne année 2013 🙂