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blast75
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Réponse postée 15 décembre 2021 11:03
On peut ajouter, sans exhaustivité :
hitech pros
xxe
Ce sont plutôt les ESN, les webabencies ou les cabinets de placement de freelances anglo-saxons qui y postent des annonces.
Mieux vaut cultiver ses réseaux et démarcher directement les acteurs précités.
hitech pros
xxe
Ce sont plutôt les ESN, les webabencies ou les cabinets de placement de freelances anglo-saxons qui y postent des annonces.
Mieux vaut cultiver ses réseaux et démarcher directement les acteurs précités.
Réponse postée 14 décembre 2021 09:45
Il n'y a pas d'âge pour être freelance. Ce qui importe, c'est :
- de bien choisir son positionnement : sectoriel, technique, fonction dans une équipe (consultant, chef de projet, formateur, expert...), marché de niche ou non ;
- de veiller à ce qu'il existe un marché pour son positionnement : des besoins à satisfaire et des clients prêts à passer commande pour cela ;
- avoir une fourchette de prix justes pour son positionnement. Les dépassements sont permis dans les marchés de niche.
- avoir une communication appropriée auprès de ses cibles-clientes (le faire-savoir complétant le savoir-faire) : les bons canaux, les bons messages, les bons supports...
A titre d'illustration, il y a des chefs de projet ou développeur COBOL à 60 ans, des managers de transition à 70 ans... 🙂
- de bien choisir son positionnement : sectoriel, technique, fonction dans une équipe (consultant, chef de projet, formateur, expert...), marché de niche ou non ;
- de veiller à ce qu'il existe un marché pour son positionnement : des besoins à satisfaire et des clients prêts à passer commande pour cela ;
- avoir une fourchette de prix justes pour son positionnement. Les dépassements sont permis dans les marchés de niche.
- avoir une communication appropriée auprès de ses cibles-clientes (le faire-savoir complétant le savoir-faire) : les bons canaux, les bons messages, les bons supports...
A titre d'illustration, il y a des chefs de projet ou développeur COBOL à 60 ans, des managers de transition à 70 ans... 🙂
Réponse postée 14 décembre 2021 09:34
Bonjour,
Il s'agit de frais cachés. Beaucoup de boîtes de portage ont cette pratique douteuse, consistant à afficher des taux attractifs pour attirer le chaland, et à prélever des frais supplémentaires, ajoutant soit des lignes dans les bulletins de paye ne correspondant à aucune charge sociale, soit des mouvements de débit dans le tableau d'activité du consultant.
Il s'agit de frais cachés. Beaucoup de boîtes de portage ont cette pratique douteuse, consistant à afficher des taux attractifs pour attirer le chaland, et à prélever des frais supplémentaires, ajoutant soit des lignes dans les bulletins de paye ne correspondant à aucune charge sociale, soit des mouvements de débit dans le tableau d'activité du consultant.
Réponse postée 3 février 2021 09:19
Bonjour a.CMS,
Tu as la possibilité de participer une fois à des petits déjeuners BNI, afin de voir si ce réseau peut t'être utile, avant d'envisager une adhésion.
Mon avis concernant BNI :
- c'est un réseau plus approprié pour des commerçants de quartier (ex : chocolatier, poissonnier...), des professionnels du droit ou du chiffre (ex : avocat, expert-comptable...), des professionnels de l'immobilier (agent immobilier, décorateur d'intérieur...) ou des agences qui n'ont pas de commercial à temps plein et qui misent sur le bouche-à-oreille (ex : agences de com, webagencies, cabinets de coaching...). Sur le site de BNI, tu peux voir la composition des groupes locaux BNI : beaucoup de petits acteurs en B2C mais peu/pas de PME/PMI.
- si les professions présentes dans un groupe local sont tes prescripteurs (ie : pouvant t'orienter du business), ca peut être intéressant d'intégrer le groupe en question.
- le mode de fonctionnement peut paraître autoritaire et ne pas convenir à tout le monde : assiduité hebdomadaire, obligation de privilégier les membres du groupe pour router des affaires (même s'ils ne sont pas convaincants), obligation de déclarer publiquement à chaque matinée combien d'affaires on a apporté à chacun... Contrevenir à ce fonctionnement peut entraîner un blâme voire une exclusion.
- pour les freelances IT intervenant en SSII ou dans les DSI (développeurs, chefs de projet, AMOA...), je pense que ce n'est pas le bon réseau.
Tu as la possibilité de participer une fois à des petits déjeuners BNI, afin de voir si ce réseau peut t'être utile, avant d'envisager une adhésion.
Mon avis concernant BNI :
- c'est un réseau plus approprié pour des commerçants de quartier (ex : chocolatier, poissonnier...), des professionnels du droit ou du chiffre (ex : avocat, expert-comptable...), des professionnels de l'immobilier (agent immobilier, décorateur d'intérieur...) ou des agences qui n'ont pas de commercial à temps plein et qui misent sur le bouche-à-oreille (ex : agences de com, webagencies, cabinets de coaching...). Sur le site de BNI, tu peux voir la composition des groupes locaux BNI : beaucoup de petits acteurs en B2C mais peu/pas de PME/PMI.
- si les professions présentes dans un groupe local sont tes prescripteurs (ie : pouvant t'orienter du business), ca peut être intéressant d'intégrer le groupe en question.
- le mode de fonctionnement peut paraître autoritaire et ne pas convenir à tout le monde : assiduité hebdomadaire, obligation de privilégier les membres du groupe pour router des affaires (même s'ils ne sont pas convaincants), obligation de déclarer publiquement à chaque matinée combien d'affaires on a apporté à chacun... Contrevenir à ce fonctionnement peut entraîner un blâme voire une exclusion.
- pour les freelances IT intervenant en SSII ou dans les DSI (développeurs, chefs de projet, AMOA...), je pense que ce n'est pas le bon réseau.
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Réponse postée 3 décembre 2020 14:42
Autre cas assez fréquent. Une SSII fait travailler aussi bien des collaborateurs CDD/CDI que des freelances. Si un freelance gagne moins que son camarade CDD/CDI au sein de la SSII, il peut être fondé à saisir les prud'hommes et demander une requalification de son contrat de prestation en contrat de travail CDI.
Si tu comptes ne placer que des freelances, ce cas de figure ne s'applique pas.
C'est pour ça que dans les cabinets de management de transition, tous les collaborateurs ont le même statut. Soit tout le monde est en CDD, soit tout le monde est en société unipersonnelle, soit tout le mond est en portage salarial. On ne prend aucun risque, d'autant plus que les sommes en jeu sont conséquentes.
Si tu comptes ne placer que des freelances, ce cas de figure ne s'applique pas.
C'est pour ça que dans les cabinets de management de transition, tous les collaborateurs ont le même statut. Soit tout le monde est en CDD, soit tout le monde est en société unipersonnelle, soit tout le mond est en portage salarial. On ne prend aucun risque, d'autant plus que les sommes en jeu sont conséquentes.
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Réponse postée 3 décembre 2020 14:37
Bonjour youcef91,
Le risque de requalification, avec les pénalités afférentes pour le donneur d'ordres (client final) et la société qui le place (SSII, cabinet de placement...), est majeur dans le cas où, à travail égal ou pour un même poste :
- le freelance est traité comme un collaborateur en CDI, avec les mêmes obligations. Un juge aux prud'hommes s'appuie sur un faisceau d'indices pour déterminer s'il y a un lien de subordination de fait, et ce indépendamment des contrats conclus entre le parties.
- le freelance gagne autant, voire moins que son collègue collaborateur en CDI.
- le freelance est resté trop longtemps en prestation sur sa mission. Le seuil est souvent 36 mois.
- au terme d'une mission, certains collègues freelances sont internalisés en CDI pour de meilleurs avantages salariaux, et pas Mr Untel qui a demandé son internalisation. A ce moment, Mr Untel est fondé à saisir les tribunaux et à demander la requalification de son contrat de prestation en CDI.
Quand tu confies une mission à un freelance, tu peux vérifier plusieurs points :
- gagne-t-il plus en freelance qu'en CDI ?
- apprécie-t-il ce mode de vie ?
- le plus important selon moi : est-il freelance depuis longtemps et/ou a-t-il d'autres clients ou sources de revenus que toi ? En effet, un freelance qui a plusieurs clients est de facto un "vrai" indépendant, et n'a aucune raison de t'embêter avec une requalification en CDI. Un juge lui donnerait tort. Par contre, un freelance qui a pour unique donneur d'ordres ta société peut avoir l'esprit retors, le jour où tu n'as plus de mission pour lui.
Ce sont quelques points de vigilance, si tu comptes créer une société de placement de freelances.
Le risque de requalification, avec les pénalités afférentes pour le donneur d'ordres (client final) et la société qui le place (SSII, cabinet de placement...), est majeur dans le cas où, à travail égal ou pour un même poste :
- le freelance est traité comme un collaborateur en CDI, avec les mêmes obligations. Un juge aux prud'hommes s'appuie sur un faisceau d'indices pour déterminer s'il y a un lien de subordination de fait, et ce indépendamment des contrats conclus entre le parties.
- le freelance gagne autant, voire moins que son collègue collaborateur en CDI.
- le freelance est resté trop longtemps en prestation sur sa mission. Le seuil est souvent 36 mois.
- au terme d'une mission, certains collègues freelances sont internalisés en CDI pour de meilleurs avantages salariaux, et pas Mr Untel qui a demandé son internalisation. A ce moment, Mr Untel est fondé à saisir les tribunaux et à demander la requalification de son contrat de prestation en CDI.
Quand tu confies une mission à un freelance, tu peux vérifier plusieurs points :
- gagne-t-il plus en freelance qu'en CDI ?
- apprécie-t-il ce mode de vie ?
- le plus important selon moi : est-il freelance depuis longtemps et/ou a-t-il d'autres clients ou sources de revenus que toi ? En effet, un freelance qui a plusieurs clients est de facto un "vrai" indépendant, et n'a aucune raison de t'embêter avec une requalification en CDI. Un juge lui donnerait tort. Par contre, un freelance qui a pour unique donneur d'ordres ta société peut avoir l'esprit retors, le jour où tu n'as plus de mission pour lui.
Ce sont quelques points de vigilance, si tu comptes créer une société de placement de freelances.
Réponse postée 3 décembre 2020 14:15
Bonjour youcef91,
Sans généraliser, car certains cabinets de conseil ou SSII sont ouverts tant qu'ils arrivent à positionner des professionnels disponibles et compétents, voilà quelques arguments qui reviennent souvent lors des conversations que j'ai, aussi bien avec les freelances qu'avec les commerciaux ou patrons de cabinets de conseil ou SSII.
- Les cabinets de conseil ou SSII réalisent plus de marge sur les profils en CDD/CDI, et moins sur sur les freelances. Le commercial touchant une commission qui dépend de son volume de ventes ou du markup réalisé sur chaque prestation vendue a plus intérêt à promouvoir le CDD/CDI que le freelancing.
- Entre midi et 14h, ou à l'happy hour, les collaborateurs d'un projet en CDD/CDI aiment déblatérer sur les cabinets de conseil ou SSII, et leurs pratiques. Les indépendants parviennent à inciter certains d'entre eux à devenir freelance, et donc à quitter leur société. Autant dire que les patrons de cabinets de conseil ou SSII n'apprécient pas...
- Le freelance est quelqu'un qui a franchi le pas. Certains commerciaux aimeraient le faire, par exemple en fondant leur propre cabinet, mais n'ont pas encore franchi le cap. Il y a un fond de jalousie chez ceux qui ont des velléités d'indépendance et qui ont face à eux des freelances.
Sans généraliser, car certains cabinets de conseil ou SSII sont ouverts tant qu'ils arrivent à positionner des professionnels disponibles et compétents, voilà quelques arguments qui reviennent souvent lors des conversations que j'ai, aussi bien avec les freelances qu'avec les commerciaux ou patrons de cabinets de conseil ou SSII.
- Les cabinets de conseil ou SSII réalisent plus de marge sur les profils en CDD/CDI, et moins sur sur les freelances. Le commercial touchant une commission qui dépend de son volume de ventes ou du markup réalisé sur chaque prestation vendue a plus intérêt à promouvoir le CDD/CDI que le freelancing.
- Entre midi et 14h, ou à l'happy hour, les collaborateurs d'un projet en CDD/CDI aiment déblatérer sur les cabinets de conseil ou SSII, et leurs pratiques. Les indépendants parviennent à inciter certains d'entre eux à devenir freelance, et donc à quitter leur société. Autant dire que les patrons de cabinets de conseil ou SSII n'apprécient pas...
- Le freelance est quelqu'un qui a franchi le pas. Certains commerciaux aimeraient le faire, par exemple en fondant leur propre cabinet, mais n'ont pas encore franchi le cap. Il y a un fond de jalousie chez ceux qui ont des velléités d'indépendance et qui ont face à eux des freelances.
Réponse postée 27 novembre 2020 13:41
Bonjour Tatsuya,
Dans les cas suivants, votre maîtrise du russe sera grandement appréciée :
- le client final (celui qui bénéficie de votre prestation) est une grande société russe (Severstal, Norilsk, Gazprom, etc.) et vous êtes en contact avec les usagers/clients (ex : en tant que chef de projet, business analyst, consultant AMOA...).
- vous travaillez pour une société faisant du développement offshore en Russie. Même si les spécifications sont écrites en anglais, les correspondances au téléphone, par email ou en visioconférence peuvent se faire en russe. Dans ce contexte, on apprécie d'avoir un chef de projet biculturel qui comprend la culture de travail des russes.
Dans les cas suivants, votre maîtrise du russe sera grandement appréciée :
- le client final (celui qui bénéficie de votre prestation) est une grande société russe (Severstal, Norilsk, Gazprom, etc.) et vous êtes en contact avec les usagers/clients (ex : en tant que chef de projet, business analyst, consultant AMOA...).
- vous travaillez pour une société faisant du développement offshore en Russie. Même si les spécifications sont écrites en anglais, les correspondances au téléphone, par email ou en visioconférence peuvent se faire en russe. Dans ce contexte, on apprécie d'avoir un chef de projet biculturel qui comprend la culture de travail des russes.
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Réponse postée 27 novembre 2020 13:27
Bonjour youcef91,
Avec l'accord écrit de votre client et de la SSII, vous pouvez toujours facturer forfaitairement vos frais (déplacement, repas...) en équivalent J*H, au lieu de leur refacturer vos frais en réel.
A vous d'évaluer vos frais mensuels. Par exemple, pour un TJM de 430€HT/jour et des frais mensuels forfaitaires estimés à 215€/mois, vous pouvez indiquer dans vos factures mensuelles : forfait frais de décembre 2020 - 0.5J*H
Par contre, dans votre comptabilité, votre remboursement de frais se fait bien au réel. Vous appliquerez le barème URSSAF pour le remboursement de vos frais de déplacement.
Avec l'accord écrit de votre client et de la SSII, vous pouvez toujours facturer forfaitairement vos frais (déplacement, repas...) en équivalent J*H, au lieu de leur refacturer vos frais en réel.
A vous d'évaluer vos frais mensuels. Par exemple, pour un TJM de 430€HT/jour et des frais mensuels forfaitaires estimés à 215€/mois, vous pouvez indiquer dans vos factures mensuelles : forfait frais de décembre 2020 - 0.5J*H
Par contre, dans votre comptabilité, votre remboursement de frais se fait bien au réel. Vous appliquerez le barème URSSAF pour le remboursement de vos frais de déplacement.
Réponse postée 25 novembre 2020 09:59
Bonjour,
Le fait d'augmenter le taux de gestion selon la solvabilité du client n'est pas délirant en soi. En effet, l'affacturage a un coût pour la société de portage et dépend de plusieurs facteurs : la notation du client, le volume des encours (le chiffre d'affaires en attente de règlement, qui est élevé quand le délai de paiement est long), l'historique des impayés entre la société d'affacturage et le client...
Par correction et transparence, la société de portage doit t'informer de cette augmentation de son taux de gestion, aussi bien dans ses documents contractuels que dans son offre commerciale.
Le fait d'augmenter le taux de gestion selon la solvabilité du client n'est pas délirant en soi. En effet, l'affacturage a un coût pour la société de portage et dépend de plusieurs facteurs : la notation du client, le volume des encours (le chiffre d'affaires en attente de règlement, qui est élevé quand le délai de paiement est long), l'historique des impayés entre la société d'affacturage et le client...
Par correction et transparence, la société de portage doit t'informer de cette augmentation de son taux de gestion, aussi bien dans ses documents contractuels que dans son offre commerciale.
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Réponse postée 25 novembre 2020 09:50
Bonjour Zzben,
Personnellement, je m'engage à interrompre ma prospection, et donc de donner la priorité à un client, qu'une fois que j'ai passé un entretien avec ce dernier. Sans réponse de sa part 2 jours après l'entretien, je poursuis ma prospection.
Tu peux répondre à la SSII en disant qu'en tant que freelance, tu as plusieurs clients (ce qui est normal) et que tu es prêt à t'engager (au sens où elle l'entend : ne pas prospecter ailleurs quand son process de recrutement est lancé) sous réserve que le client t'accorde un entretien et prenne sa décision dans les X jours (X à fixer par toi) qui suivent l'envoi de ton CV. Après les X jours, tu reprends ta prospection.
Personnellement, je m'engage à interrompre ma prospection, et donc de donner la priorité à un client, qu'une fois que j'ai passé un entretien avec ce dernier. Sans réponse de sa part 2 jours après l'entretien, je poursuis ma prospection.
Tu peux répondre à la SSII en disant qu'en tant que freelance, tu as plusieurs clients (ce qui est normal) et que tu es prêt à t'engager (au sens où elle l'entend : ne pas prospecter ailleurs quand son process de recrutement est lancé) sous réserve que le client t'accorde un entretien et prenne sa décision dans les X jours (X à fixer par toi) qui suivent l'envoi de ton CV. Après les X jours, tu reprends ta prospection.