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Mon point étant : bien que vous ne soyez pas un dirgeant de Google, ou membre du commité compartimentant l'algorithme, rien ne vous empêche de plancher sur le sujet.
Le fait de ne pas être un super-dirigeant ou de ne pas être dans le secret des Dieux ne provoque en rien l'anéantissement des capacités d'analyse d'un individu. Au contraire, il est bon d'être curieux et attentifs à son environnement.
L'analogie étant, si vous préférez : le fait de ne pas connaitre le coeur de l'algorithme de Google n'induit pas forcément que "vous ne savez ABSOLUMENT rien de la réalité", car je cite Google "fonctionne à sa façon". Vous voyez ?
A moins que vous prétendiez être Expert d'un domaine auquel lequel vous ne savez absolument rien.
Enfin, la fiscalité internationale ne renseigne en rien ou peu, sur les intérêts d'Etat et la manière dont le fisc Français gère son sourcing de redressement.
Le cas de force majeure est invoqué dans la situation ou la société est impactée lourdement (financièrement) par la crise du Codvid-19.
Dans les actvités liées au tourisme (Travel, Hotelerie/Hospitality,Transportation, Lifestyle, Conciergerie, ..), par exemple, l'activité a baissé à un point tel que la survie des sociétés est en jeu.
Europcar - possédant une forte activité dans le digital - société Française, vient d'essuyer une perte sèche de plus de 200m€. Allez leur expliquer qu'ils doivent maintenir leurs indépendants car le télétravail est possible.
Le monde est en train de changer, en attendant :
- Stripe, via son programme Atlas accompagne les entrepreneurs pour 500$ dans le montage d'une structure au Delaware (8.7% de corporate taxes) avec Nominee directors, autrement dit des "prêtes noms" et un compte à la Sillicon Valley Bank (SVB); Personne ne dira rien : Stripe, c'est Stripe. Continuons à penser que les Shareholders de ces nouvelles boites ad-hoc iront vivre/travailler au Delaware.
- TransferWise permet l'ouverture d'un compte business avec IBANs locaux sous 4 heures. Continuons à penser que la petite agence située pignon sur rue est rattachée à une banque qui est blanche comme neige et est étrangère des paradis fiscaux.
- Neat Commerce propose le montage d'une structure à HK (sans se déplacer) avec compte business ad-hoc pour 500$. Ils viennent de lever 11M$ en série A le mois dernier.
- L'Estonie propose une e-residence pour attirer les capitaux de PME
etc..
Monsieur semble être un Nomade et aime se déplacer, bienvenue dans le nouveau monde.
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Réponse postée 5 juin 2020 16:24
Salut,
Il est normal d'aider en contribuant..
Je crois qu'il y a plusieurs "pain-points" qui sont soulevés :
- Cette place de n°1 de la taxation est-elle visionnairement juste, ou est-ce un modèle révolut, contre-productif, qui ne s'abat que sur ceux qui n'ont pas les moyens de s'offrir une mobilité fiscale (cf: la classe moyenne) ?
(1) Le fait que la France n'attire pas ou peu les investisseurs étrangers, s'explique.
(2) Le fait qu'elle pousse ses propres Entrepreneurs à aller voir ailleurs lorsqu'ils ont les c*** d'avoir des ambitions "globales" (j'entend par là, se fritter avec l'économie mondiale). Je vous invite à compter le nombre de "licornes" Françaises : les entrepreneurs Français à la tête de licornes sont maintenant aux US.
(3) La fuite des capitaux
(4) Les grandes corporates qui défiscalisent leurs bénéfices, ou bougent leur siège financier au lieu de payer un impôt plus "raisonnable"
(5) Les plus riches qui se permettent de jouer avec les règles de la fiscalité
- Le Français moyen a t-il un niveau de vie qui justifie cette place de n°1 ?
Satisfaisant certes, mais il suffit de voyager un peu pour voir que l'on parvient à offrir une qualité de vie et des infrastructures avec beaucoup moins de lourdeur fiscale.
- Financer l'assistanat à la hauteur qu'on le fait aujourd'hui : est-ce vraiment raisonnable ?..
En trame de fond, le sentiment que la politique fiscale doit être revue "from scratch" : on se trimbale un modèle qui n'a plus de sens dans une économie globale.
A mon sens :
- on devrait peu ou pas taxer les jeunes entreprises et en particulier celles bossant sur de l'innovation jusqu'à ce qu'elles soient rentables : les encourager et rallonger leur durée de vie
- revoir le modèle du financement de l'assistanat, qui ne fait qu'augmenter la frustration de ceux qui bossent
- revoir radicalement les niveaux de charges, d'impots sur le revenu et sur les sociétés : en encourageant la redistribution de la richesse par l'économie, l'Etat y trouvera son compte
- avoir une politique fiscale beaucoup moins agressive pour encourager les investissements étrangers : la bonne nouvelle, c'est qu'on a de la matière grise à revendre.
Il est normal d'aider en contribuant..
Je crois qu'il y a plusieurs "pain-points" qui sont soulevés :
- Cette place de n°1 de la taxation est-elle visionnairement juste, ou est-ce un modèle révolut, contre-productif, qui ne s'abat que sur ceux qui n'ont pas les moyens de s'offrir une mobilité fiscale (cf: la classe moyenne) ?
(1) Le fait que la France n'attire pas ou peu les investisseurs étrangers, s'explique.
(2) Le fait qu'elle pousse ses propres Entrepreneurs à aller voir ailleurs lorsqu'ils ont les c*** d'avoir des ambitions "globales" (j'entend par là, se fritter avec l'économie mondiale). Je vous invite à compter le nombre de "licornes" Françaises : les entrepreneurs Français à la tête de licornes sont maintenant aux US.
(3) La fuite des capitaux
(4) Les grandes corporates qui défiscalisent leurs bénéfices, ou bougent leur siège financier au lieu de payer un impôt plus "raisonnable"
(5) Les plus riches qui se permettent de jouer avec les règles de la fiscalité
- Le Français moyen a t-il un niveau de vie qui justifie cette place de n°1 ?
Satisfaisant certes, mais il suffit de voyager un peu pour voir que l'on parvient à offrir une qualité de vie et des infrastructures avec beaucoup moins de lourdeur fiscale.
- Financer l'assistanat à la hauteur qu'on le fait aujourd'hui : est-ce vraiment raisonnable ?..
En trame de fond, le sentiment que la politique fiscale doit être revue "from scratch" : on se trimbale un modèle qui n'a plus de sens dans une économie globale.
A mon sens :
- on devrait peu ou pas taxer les jeunes entreprises et en particulier celles bossant sur de l'innovation jusqu'à ce qu'elles soient rentables : les encourager et rallonger leur durée de vie
- revoir le modèle du financement de l'assistanat, qui ne fait qu'augmenter la frustration de ceux qui bossent
- revoir radicalement les niveaux de charges, d'impots sur le revenu et sur les sociétés : en encourageant la redistribution de la richesse par l'économie, l'Etat y trouvera son compte
- avoir une politique fiscale beaucoup moins agressive pour encourager les investissements étrangers : la bonne nouvelle, c'est qu'on a de la matière grise à revendre.
Réponse postée 4 juin 2020 14:06
Encore une fois, erreur de logique et de jugement.
Je vous cite:
Exemple qui devrait vous parler :
Vous êtes "Expert SEO" (d'après votre profile) : pourtant, vous ne disposez pas de la totlaité du savoir en référencement naturel ?
Je n'en déduis pas, pour autant, que vous "ne savez absolument rien de la réalité du SEO".
Je vous cite:
Le fait de ne pas disposer de la TOTALITE des données n'équivaut pas : ABSOLUMENT NE RIEN SAVOIR RIEN DE LA REALITE.Ensuite, on ne sait absolument rien de la réalité, ni vous, ni moi, lorsque l'on ne dispose pas de la totalité des données. Or nos décisions sont presque toujours basées sur des données incomplètes.
Exemple qui devrait vous parler :
Vous êtes "Expert SEO" (d'après votre profile) : pourtant, vous ne disposez pas de la totlaité du savoir en référencement naturel ?
Je n'en déduis pas, pour autant, que vous "ne savez absolument rien de la réalité du SEO".
Réponse postée 4 juin 2020 13:23
C'était plus ironique.SeoExpert a écrit :C'est raté pour l'analogie : les dirigeants de Google n'ont aucune idée de la façon dont les algorithmes fonctionnent. Google a eu l'intelligence de compartimentaliser ses algos et aucun intervenant sur un aspect donné n'a accès aux autres aspects qui constituent ce que l'on appelle le "SEO".Membre-189075 a écrit : Petite analogie :
A moins d'être un dirigeant de Google même, vous n'avez AUCUNE (mais AUCUNE) idée de la réalité du SEO.
Ensuite, si vous voulez me tester sur la fiscalité internationale, j'ai lu tellement de jurisprudences sur le sujet que je suis en mesure de vous affirmer que tôt ou tard, vous serez détecté si vous trichez, et cela est normal. Au passage, la France s'améliore de mois en mois sur le sujet.
J'ajoute que le premier des français ne connaît pas la fiscalité du pays aussi bien qu'un avocat fiscaliste digne de ce nom. Je ne vous comprends pas bien...
Quel est votre objectif dans cette discussion ?
Mon point étant : bien que vous ne soyez pas un dirgeant de Google, ou membre du commité compartimentant l'algorithme, rien ne vous empêche de plancher sur le sujet.
Le fait de ne pas être un super-dirigeant ou de ne pas être dans le secret des Dieux ne provoque en rien l'anéantissement des capacités d'analyse d'un individu. Au contraire, il est bon d'être curieux et attentifs à son environnement.
L'analogie étant, si vous préférez : le fait de ne pas connaitre le coeur de l'algorithme de Google n'induit pas forcément que "vous ne savez ABSOLUMENT rien de la réalité", car je cite Google "fonctionne à sa façon". Vous voyez ?
A moins que vous prétendiez être Expert d'un domaine auquel lequel vous ne savez absolument rien.
Enfin, la fiscalité internationale ne renseigne en rien ou peu, sur les intérêts d'Etat et la manière dont le fisc Français gère son sourcing de redressement.
Réponse postée 4 juin 2020 12:57
Petite analogie :
A moins d'être un dirigeant de Google même, vous n'avez AUCUNE (mais AUCUNE) idée de la réalité du SEO.
C'est bien connu ! 🤣
D'ailleurs à moins d'être E. Macron, nous n'avons aucune idée de la réalité de la fiscalité en France. Comment pouvons-nous nous permettre de réfléchir, voir pire, d'analyser ?
A moins d'être un dirigeant de Google même, vous n'avez AUCUNE (mais AUCUNE) idée de la réalité du SEO.
C'est bien connu ! 🤣
D'ailleurs à moins d'être E. Macron, nous n'avons aucune idée de la réalité de la fiscalité en France. Comment pouvons-nous nous permettre de réfléchir, voir pire, d'analyser ?
SeoExpert a écrit : A moins d'être l'un des dirigeants, vous n'avez aucune idée de la réalité.
Chaque société fonctionne à sa façon et si quelque chose cloche, je vous assure que cela sera détecté tôt ou tard.
Réponse postée 4 juin 2020 10:05
Toutes les solutions de factu' (nom propre, portage, ..) sont quasiment équivalentes en terme de rendement et elles n'offriront pas la liberté mentionné dans ton dernier point.
1) Pas vraiment de solution mircale si ce n'est de te verser moins de salaire et de switcher un peu plus de dépenses sur ta société.. voire, de passer tes courses, ton véhicule de fonction en notes de frais (!).
Et c'est là, en général que le fisc t'attendra au tournant ;)
Il n'attend pas tout le monde, certains ont la maîtrise du Monopoly plus que d'autres.
2) Tu dois arrêter de te plaindre et travailler (beaucoup) plus si tu veux que le gap se ressente sur ton niveau de vie. Quand tu joueras dans la cour de l'ISF, on pourra rediscuter de ton traitement... là c'est tendu, on est obligés de te plûmer, les riches veulent pas payer - ils menacent de se barrer - et y a plein de gens qui veulent pas bosser.
3) Quoi ? Tu pense trop payer ?...
Je te rappelle que nous avons l'un des système de santé des plus performants au Monde et plein de resssources : le Dr. Raoult est bien Français, non ?
Quoi ? il n'y a pas de masques ? Bah.... Auchan et Leclerc s'en sont chargés, on va pas faire les choses en double (la cellule anti-doublon nous aurait retoqués..).
4) Tu es d'une ingratitude déconcertante, estimes-toi heureux que tu ne paies pas (encore et à la source !) le nouvel impôt sur le COVID-19 de 19% sur la "valeur non ajoutée" : toute valeur qui n'a pas pu être ajoutée à cause du Corona doit être taxée, afin de re-remplir les caisses de manière rotative. Nous sommes en pleine reflexion avec les créatifs fiscaux sur la terminologie et les moyens d'adoucir cette crise que nous nous efforçons de gérer avec brio entre-temps, main dans la main, tous ensembles avec Dr. Raoult.
5) Nous sommes en guerre, ce qui veut dire que tu peux potentiellement mourir. Vas donc te protéger, te laver les mains au lieu de parler de chiffres.
Merci à toi. A+. Et vive la France.
1) Pas vraiment de solution mircale si ce n'est de te verser moins de salaire et de switcher un peu plus de dépenses sur ta société.. voire, de passer tes courses, ton véhicule de fonction en notes de frais (!).
Et c'est là, en général que le fisc t'attendra au tournant ;)
Il n'attend pas tout le monde, certains ont la maîtrise du Monopoly plus que d'autres.
2) Tu dois arrêter de te plaindre et travailler (beaucoup) plus si tu veux que le gap se ressente sur ton niveau de vie. Quand tu joueras dans la cour de l'ISF, on pourra rediscuter de ton traitement... là c'est tendu, on est obligés de te plûmer, les riches veulent pas payer - ils menacent de se barrer - et y a plein de gens qui veulent pas bosser.
3) Quoi ? Tu pense trop payer ?...
Je te rappelle que nous avons l'un des système de santé des plus performants au Monde et plein de resssources : le Dr. Raoult est bien Français, non ?
Quoi ? il n'y a pas de masques ? Bah.... Auchan et Leclerc s'en sont chargés, on va pas faire les choses en double (la cellule anti-doublon nous aurait retoqués..).
4) Tu es d'une ingratitude déconcertante, estimes-toi heureux que tu ne paies pas (encore et à la source !) le nouvel impôt sur le COVID-19 de 19% sur la "valeur non ajoutée" : toute valeur qui n'a pas pu être ajoutée à cause du Corona doit être taxée, afin de re-remplir les caisses de manière rotative. Nous sommes en pleine reflexion avec les créatifs fiscaux sur la terminologie et les moyens d'adoucir cette crise que nous nous efforçons de gérer avec brio entre-temps, main dans la main, tous ensembles avec Dr. Raoult.
5) Nous sommes en guerre, ce qui veut dire que tu peux potentiellement mourir. Vas donc te protéger, te laver les mains au lieu de parler de chiffres.
Merci à toi. A+. Et vive la France.
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Réponse postée 3 juin 2020 19:04
Merci pour ce retour tranché.
Je vous rejoins, les entrepreneurs sont ceux qui créent la richesse de demain et je pense en particulier à ceux qui s'investissent (et investissent) dans des aventures à risque et donc potentiellement créatrices de valeur.
Mon sentiment est que la fiscalité n'aide pas, d'une part à être compétitifs à l'international parce-qu'on se confronte à la compétitivité fiscale des autres :
. plus de taxes équivaut à moins de marges, des prix plus élevé ("oui, mais nous c'est made in France pourtant ?!").
. plus de capital brûlé équivaut à moins de cash pour générer de la croissance et donc à une perte de vitesse.
. plus de taxes, c'est aussi plus de risques.
Quand je regarde autour de moi, les entrepreneurs a succès - j'entends par là actionnaires d'une startup réalisant +50M€/an - ne sont plus en France.
Ils ont migrés dès lors que leur activité à pris son envol.
Les effets à long-terme de notre place du n°1 de la fiscalité sont à mon sens totalement suicidaires, en plus d'être hypocrites : il faut être aveugle pour ne pas voir la tendance de fond. Quant aux grands comptes pratiquant l'évasion fiscale comme partie intégrante de leur modèle économique, l'Etat fermera volontiers les yeux : ils créent de l'emploi.
Et effectivement, les disparaités fiscales en Europe devraient disparaitre : "s'il existe des paradis fiscaux, c'est qu'il y a des enfers fiscaux".
Je vous rejoins, les entrepreneurs sont ceux qui créent la richesse de demain et je pense en particulier à ceux qui s'investissent (et investissent) dans des aventures à risque et donc potentiellement créatrices de valeur.
Mon sentiment est que la fiscalité n'aide pas, d'une part à être compétitifs à l'international parce-qu'on se confronte à la compétitivité fiscale des autres :
. plus de taxes équivaut à moins de marges, des prix plus élevé ("oui, mais nous c'est made in France pourtant ?!").
. plus de capital brûlé équivaut à moins de cash pour générer de la croissance et donc à une perte de vitesse.
. plus de taxes, c'est aussi plus de risques.
Quand je regarde autour de moi, les entrepreneurs a succès - j'entends par là actionnaires d'une startup réalisant +50M€/an - ne sont plus en France.
Ils ont migrés dès lors que leur activité à pris son envol.
Les effets à long-terme de notre place du n°1 de la fiscalité sont à mon sens totalement suicidaires, en plus d'être hypocrites : il faut être aveugle pour ne pas voir la tendance de fond. Quant aux grands comptes pratiquant l'évasion fiscale comme partie intégrante de leur modèle économique, l'Etat fermera volontiers les yeux : ils créent de l'emploi.
Et effectivement, les disparaités fiscales en Europe devraient disparaitre : "s'il existe des paradis fiscaux, c'est qu'il y a des enfers fiscaux".
_lael a écrit : C'est l'éternel débat de la fiscalité en France.
En France on est les champions de la fiscalité, c'est un fait, on est n°1 mondial.
Les conséquences direct c'est l'évasion fiscale des plus riches et autres montages à l'étranger pour réduire l'imposition.
Ce qui creuse le déficit fiscal et donc réduit les recettes de l'Etat.
Mais en France, on cultive trop le syndrome du "Robin des Bois".
On pense qu'en prenant aux riches et donnant aux pauvres cela créera de la "justice sociale" et une "redistribution des richesses".
C'est en partie vrai, mais ce sont avant tout des arguments démagogiques, la vérité est bien plus complexe que ça.
Mais il faut avoir une vision d'ensemble et des bases en économie pour pouvoir correctement l'appréhender.
Et surtout ne pas avoir le regard tourné vers son nombril.
Déjà au niveau imposition il y a un seuil de tolérance.
Les gens veulent bien payer des impôts mais jusqu'à un certain point.
Et franchir ce seuil les amène à considérer la piste de l'optimisation fiscale qui peut consister à faire échapper, tout ou partie, de leurs revenus ou de leur patrimoine à l'imposition française que certains jugeront "confiscatoire" pour les hauts revenus ou certains types de revenus.
Donc augmenter les impôts peut facilement devenir contre productif.
Sur le papier ça augmente les recettes de l’État mais c'est dans compter les "riches" qui franchiront le pas de l'optimisation fiscale ce qui creusera à l'inverse le déficit fiscal.
Et ces "riches" ce sont les premiers à investir dans les startups, PME et autres entreprises françaises.
En particulier dans tout ce qui est considéré comme "risqué" et qui a trait à l’innovation.
Les faire fuir à l'étranger, ou faire fuir leurs capitaux à l'étranger, c'est perdre sur le long terme cette injection de capitaux dans l'économie et prendre des années de retard en terme d'innovation.
De mon point de vue donc, augmenter encore davantage la fiscalité c'est contre-productif et totalement démagogique.
Et il faut une réflexion et homogénéisation au niveau européen pour qu'on arrête ces conneries de paradis fiscaux à l'intérieur de l'Europe.
Une fois la fiscalité revue à l'intérieur de l'Europe, il y aura déjà moins d'évasion fiscale, cela permettra de récupérer une partie de ces capitaux qui échappaient jusque là à l'imposition.
Et au lieu d'augmenter encore les impôts on pourra peut-être même les réduire grâce à ça.
Réponse postée 3 juin 2020 09:19
Oui, dans le monde des bisounours, c'est effectivement le cas.Yandy a écrit : Je ne vois pas en quoi il s'agirait d'un cas de force majeure. La condition d'irresistibilité étant caduque si il y a possibilité de télétravail.
Le cas de force majeure est invoqué dans la situation ou la société est impactée lourdement (financièrement) par la crise du Codvid-19.
Dans les actvités liées au tourisme (Travel, Hotelerie/Hospitality,Transportation, Lifestyle, Conciergerie, ..), par exemple, l'activité a baissé à un point tel que la survie des sociétés est en jeu.
Europcar - possédant une forte activité dans le digital - société Française, vient d'essuyer une perte sèche de plus de 200m€. Allez leur expliquer qu'ils doivent maintenir leurs indépendants car le télétravail est possible.
Réponse postée 3 juin 2020 09:01
C'est vrai qu'en France, on a du mal avec l'Anglais et.. on a surtout tendance à penser que tout est aussi compliqué, fastidieux et coûteux qu'ici.hmg a écrit : Bonjour,
Ben oui, tant qu'à faire, autant jongler avec les législations de 3 pays avec 3 législations différentes, 3 langues différentes et a forciori pas les siennes.
Les gains risquent de partir dans les conseils chargés de gérer l'imbroglio.
Le monde est en train de changer, en attendant :
- Stripe, via son programme Atlas accompagne les entrepreneurs pour 500$ dans le montage d'une structure au Delaware (8.7% de corporate taxes) avec Nominee directors, autrement dit des "prêtes noms" et un compte à la Sillicon Valley Bank (SVB); Personne ne dira rien : Stripe, c'est Stripe. Continuons à penser que les Shareholders de ces nouvelles boites ad-hoc iront vivre/travailler au Delaware.
- TransferWise permet l'ouverture d'un compte business avec IBANs locaux sous 4 heures. Continuons à penser que la petite agence située pignon sur rue est rattachée à une banque qui est blanche comme neige et est étrangère des paradis fiscaux.
- Neat Commerce propose le montage d'une structure à HK (sans se déplacer) avec compte business ad-hoc pour 500$. Ils viennent de lever 11M$ en série A le mois dernier.
- L'Estonie propose une e-residence pour attirer les capitaux de PME
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Réponse postée 3 juin 2020 08:22
Hello la communauté.
Juste un constat dont on ne débat que rarement et sur lequel j'aimerai avoir le ressenti d'habitués de l'enteprenariat.
Bien que le fait d'être indépendant dans les filières de l'IT est difficilement comparable à de l'entreprenariat pur et dur, il y a une prise de risque indéniable et une forme de liberté financière dans l'optique d'un avenir meilleur.
Mon constat est :
- En 6 ans, trois de mes clients ont décolalisés la majorité de leurs équipes tech et/ou ops (pour l'un des deux, c'est les deux) pas très loin de la France, avec une resctructuration capitalistique remplaçant les actionnaires Français par une entité qui n'a à priori pas d'autre but que d'absorber les quelques bénéfices réalisés en fin d'années.
En somme, une partie des emplois et de la trésorerie s'en va là ou le poids des charges asphyxie moins la rentabilité d'une boite étant censé être compétitive sur le plan global (c'est le but du jeu, après tout, non ?).
- Certains me rétroqueront que les dirigeants des dites sociétés ne sont que des enflures en mal de billets verts. Je réponds que l'un d'eux opére dans l'e-commerce de niche et se confronte à Amazon sur le marché mondial. Pre-restrucuration, la boite creusait un déficit de +7 à 9M€ par an, post-restructuration, elle remonte la pente jusqu'à être profitable.
Mes questions sont :
- Comment peut-on être compétitifs sur un marché mondial avec une fiscalité infernale ?
- La relocalisation d'équipes est-elle une tendance de fonds pour survivre et se battre sur le marché ? Alors oui... il y a celles dont le métier par nature (le retail, par exemple) force la présence locale et les PME évidemment, mais les autres?
- La loi de la nature fait que les entreprises cherchent à optimiser leurs benefices et du coup, une partie des capitaux s'envole forcément vers ailleurs. N'a t-on pas plus à gagner en ayant une politique fiscale plus souple, permettant aux entreprises de se développer ?
- Pour les défenseurs du système tel qu'il est, je suis curieux de savoir ce qui, selon vous, justifie le poids fiscal qui nous est infligé.
Juste un constat dont on ne débat que rarement et sur lequel j'aimerai avoir le ressenti d'habitués de l'enteprenariat.
Bien que le fait d'être indépendant dans les filières de l'IT est difficilement comparable à de l'entreprenariat pur et dur, il y a une prise de risque indéniable et une forme de liberté financière dans l'optique d'un avenir meilleur.
Mon constat est :
- En 6 ans, trois de mes clients ont décolalisés la majorité de leurs équipes tech et/ou ops (pour l'un des deux, c'est les deux) pas très loin de la France, avec une resctructuration capitalistique remplaçant les actionnaires Français par une entité qui n'a à priori pas d'autre but que d'absorber les quelques bénéfices réalisés en fin d'années.
En somme, une partie des emplois et de la trésorerie s'en va là ou le poids des charges asphyxie moins la rentabilité d'une boite étant censé être compétitive sur le plan global (c'est le but du jeu, après tout, non ?).
- Certains me rétroqueront que les dirigeants des dites sociétés ne sont que des enflures en mal de billets verts. Je réponds que l'un d'eux opére dans l'e-commerce de niche et se confronte à Amazon sur le marché mondial. Pre-restrucuration, la boite creusait un déficit de +7 à 9M€ par an, post-restructuration, elle remonte la pente jusqu'à être profitable.
Mes questions sont :
- Comment peut-on être compétitifs sur un marché mondial avec une fiscalité infernale ?
- La relocalisation d'équipes est-elle une tendance de fonds pour survivre et se battre sur le marché ? Alors oui... il y a celles dont le métier par nature (le retail, par exemple) force la présence locale et les PME évidemment, mais les autres?
- La loi de la nature fait que les entreprises cherchent à optimiser leurs benefices et du coup, une partie des capitaux s'envole forcément vers ailleurs. N'a t-on pas plus à gagner en ayant une politique fiscale plus souple, permettant aux entreprises de se développer ?
- Pour les défenseurs du système tel qu'il est, je suis curieux de savoir ce qui, selon vous, justifie le poids fiscal qui nous est infligé.
Forum : Déclaration d’activité
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Cumul de prestations de services
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Réponse postée 2 juin 2020 19:30
J'ai vécu quelque-chose d'à peu près similaire il y a 3 ans.
Au vu de votre post, le cumul ne peut pas perdurer.
Option A) si aucune clause vous ne vous empêche d'avoir un sous-traitant à temps-partiel (de manière à ne pas "killer" votre marge) ou même à plein-temps, chez l'un de ces clients : déchargez-vous un maximum tout en gardant le contrôle. Les débuts risquent d'être douloureux entre le recrutement de la bonne personne, sa formation, la supervision pendant la phase de montée en compétence.. privilegiez un indépendant, pour ne pas prendre de risques inutiles.
Option B) Faites baisser le volume de JH/semaine de l'un, ou de l'autre, ou des deux, tout en promettant à votre/cos client(s) une productivité décente.
Option C) Sacrifiez-en un.
Au vu de votre post, le cumul ne peut pas perdurer.
Option A) si aucune clause vous ne vous empêche d'avoir un sous-traitant à temps-partiel (de manière à ne pas "killer" votre marge) ou même à plein-temps, chez l'un de ces clients : déchargez-vous un maximum tout en gardant le contrôle. Les débuts risquent d'être douloureux entre le recrutement de la bonne personne, sa formation, la supervision pendant la phase de montée en compétence.. privilegiez un indépendant, pour ne pas prendre de risques inutiles.
Option B) Faites baisser le volume de JH/semaine de l'un, ou de l'autre, ou des deux, tout en promettant à votre/cos client(s) une productivité décente.
Option C) Sacrifiez-en un.
Réponse postée 2 juin 2020 19:14
Bonjour,
Vous n'êtes pas obligés de créer une structure en Thaïlande.
Vous créez une structure ou vous le souhaitez (si votre client l'accepte) - Hong-kong, même si vous le souhaitez (voir "Thailand - Hong Kong Double Tax Treaty) et vous déclarez les revenus que vous versez dans le pays dans lequel vous avez votre résidence fiscale.
Sachant que tout C.A encaissé ne fait pas forcément office de revenu.
Vous n'êtes pas obligés de créer une structure en Thaïlande.
Vous créez une structure ou vous le souhaitez (si votre client l'accepte) - Hong-kong, même si vous le souhaitez (voir "Thailand - Hong Kong Double Tax Treaty) et vous déclarez les revenus que vous versez dans le pays dans lequel vous avez votre résidence fiscale.
Sachant que tout C.A encaissé ne fait pas forcément office de revenu.
Réponse postée 2 juin 2020 19:03
100% d'accord.
J'entendai également taux de conversion sur entretiens réels avec client final.
Prospecter reste un exercice intéressant (tant d'un point de vue professionnel que personnel), ne serait-ce que pour prendre conscience de l'effort de tâche des "sales people".
C'est une autre paire de manche : car vous n'avez (la plupart du temps) pas affaire à des hot leads, ayant besoin de vos compétences au moment ou vous les prospectez. A opposer avec la visibilité de votre profil auprès de ceux qui vont aller détecter les besoins..
Côté crise, je vous rejoins, le volume des opportunités risque d'en prendre en coup (et pour un petit moment..) avant, j'espère de reprendre progressivement.
J'entendai également taux de conversion sur entretiens réels avec client final.
Prospecter reste un exercice intéressant (tant d'un point de vue professionnel que personnel), ne serait-ce que pour prendre conscience de l'effort de tâche des "sales people".
C'est une autre paire de manche : car vous n'avez (la plupart du temps) pas affaire à des hot leads, ayant besoin de vos compétences au moment ou vous les prospectez. A opposer avec la visibilité de votre profil auprès de ceux qui vont aller détecter les besoins..
Côté crise, je vous rejoins, le volume des opportunités risque d'en prendre en coup (et pour un petit moment..) avant, j'espère de reprendre progressivement.
spiralis a écrit :Entendons nous bien sur ma définition du taux de conversion (qui est peut être erronée) qui prend en compte toutes les opportunités (et pas simplement celles où l'on obtient un entretien).Membre-189075 a écrit : Sujte intéressant.
Doit-on réellement "prospecter", ou plutôt se rendre visible ?
J'ai le sentiment que cela va dépendre du profil : s'il s'agit d'un profil demandé sur le marché, ex: Développeur JS ou Chef de project tech', il s'agirait plutôt d'être visible auprès de la cible.
Perso, j'ai toujours travaillé (uniquement) sur la visibilité de mon profil et cela inclut :
- Présence sur les bonnes plateformes (freelance-info en fait parti)
- Un CV bien structuré et régulièrement mis à jour
Sur des métiers à forte demande, un faible taux de conversion est synonyme et la nécéssité de prospecter activement cache quelque-chose... ce qui n'est pas valable pour une expertise plus niche.
je pense que pour beaucoup de freelances ce taux est mécaniquement bas simplement car 90% des annonces de missions sur freelance-info ou sur les plateformes sont bullshit (c'est un fait établi, je ne compte plus les coups de fil de commerciaux attrape-CV où on sent qu'il n'y a rien derrière du moins dans l'immédiat ou le nombre de missions "annulées" sur comet par exemple, LOL).
Je n'ai pas gardé les chiffres de conversion en entretien uniquement , car là je suis d'accord avec vous, si vous ne concluez pas souvent il faut se poser des questions.
Si vous avez un profil de dev sur des technos un peu hype ou chef de projet/scrum master, idéalement que vous êtes en île de france, que vous avez un CV ne serait ce que correct et que vous acceptez de laisser 20% de marge à un intermédiaire ESN ou plateforme et parfois de baisser votre TJM, je suis d'accord à vous, la visibilité seule suffit pour trouver des missions.
Enfin du moins suffisait avant la crise, je ne suis pas économiste et je ne sais pas quel sera l'état du marché dans 3/6/12/24 mois et je ne veux pas céder au catastrophisme, mais peut être que le concept du "dev rockstar" que l'on vient chercher est un peu révolu, peut être que certains dev seront aussi obligés d'apprendre à démarcher un peu maintenant ou du moins d'aller un peu plus vers les recruteurs.
Quand je parle de prospection, je pense surtout au marché "caché" (ça fait super mystérieux), celui que vous ne verrez JAMAIS sur les plateformes et encore moins sur freelance-info avec trop de ESN de niveau 2, pour lequel un CV ou un profil LinkedIn ne suffit plus, on est plus dans une approche "offre de services", missions de conseil/audit/archi , démarchage en direct, avec prospection à froid.
Et là, le taux de conversion chute pour plein de raisons et sans que vous soyez un tocard (client indécis, budget annulé cause réorganisation, startup qui pensait avoir un financement puis qui ne l'a plus, client qui a une vision négative des freelances, client qui rejette le télétravail si vous faites uniquement du full remote, client qui accepte votre offre puis dit qu'il a trouvé moins cher, client qui dès le départ veut le mouton à 5 pattes pour un TJM à 300 EUR, ....).
Je ne dis pas que les plateformes et les ESN c'est le mal (elles m'ont fait manger 90% du temps), mais jouer le rôle du commercial et trouver une mission en direct c'est très gratifiant aussi de temps en temps quand on y parvient :)
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Réponse postée 2 juin 2020 18:43
Aie...
- Pourquoi ne pas simplement considérer que sans cet intermédiaire, vous ne travailleriez pas pour ce client ?...
- Rien ne vous oblige à continuer à travailler pour le client final, si les modalités du contrat que vous avez pourtant validé ne vous conviennent pas.
- Avez-vous songé à l'effort de prospection de l'intermédiaire pour "ouvrir" le compte en question et le maintenir dans la durée ? L'ouverture d'un grand compte dans une industrie aussi compétitive que celle du consulting et du placement de ressources est un long parcours semé d'embûches, qui parfois s'étale sur plus d'un an.
- Ma suggestion, si l'idée de partager votre rémunération est problématique, ce que je peux comprendre, est - pour la prochaine fois - de tenter de trouver un client en direct, il y a des chances pour que vous vous rendiez compte que c'est un métier à part méritant salaire.
- Pourquoi ne pas simplement considérer que sans cet intermédiaire, vous ne travailleriez pas pour ce client ?...
- Rien ne vous oblige à continuer à travailler pour le client final, si les modalités du contrat que vous avez pourtant validé ne vous conviennent pas.
- Avez-vous songé à l'effort de prospection de l'intermédiaire pour "ouvrir" le compte en question et le maintenir dans la durée ? L'ouverture d'un grand compte dans une industrie aussi compétitive que celle du consulting et du placement de ressources est un long parcours semé d'embûches, qui parfois s'étale sur plus d'un an.
- Ma suggestion, si l'idée de partager votre rémunération est problématique, ce que je peux comprendre, est - pour la prochaine fois - de tenter de trouver un client en direct, il y a des chances pour que vous vous rendiez compte que c'est un métier à part méritant salaire.
Réponse postée 2 juin 2020 12:34
Sujte intéressant.
Doit-on réellement "prospecter", ou plutôt se rendre visible ?
J'ai le sentiment que cela va dépendre du profil : s'il s'agit d'un profil demandé sur le marché, ex: Développeur JS ou Chef de project tech', il s'agirait plutôt d'être visible auprès de la cible.
Perso, j'ai toujours travaillé (uniquement) sur la visibilité de mon profil et cela inclut :
- Présence sur les bonnes plateformes (freelance-info en fait parti)
- Un CV bien structuré et régulièrement mis à jour
Sur des métiers à forte demande, un faible taux de conversion est synonyme et la nécéssité de prospecter activement cache quelque-chose... ce qui n'est pas valable pour une expertise plus niche.
Doit-on réellement "prospecter", ou plutôt se rendre visible ?
J'ai le sentiment que cela va dépendre du profil : s'il s'agit d'un profil demandé sur le marché, ex: Développeur JS ou Chef de project tech', il s'agirait plutôt d'être visible auprès de la cible.
Perso, j'ai toujours travaillé (uniquement) sur la visibilité de mon profil et cela inclut :
- Présence sur les bonnes plateformes (freelance-info en fait parti)
- Un CV bien structuré et régulièrement mis à jour
Sur des métiers à forte demande, un faible taux de conversion est synonyme et la nécéssité de prospecter activement cache quelque-chose... ce qui n'est pas valable pour une expertise plus niche.
Réponse postée 2 juin 2020 12:26
Ne pas comparer à mon sens, le statut de salarié avec celui du freelance...
La notion de congés totalement est inexistante dans ce contexte.
Un indépendant - représenté par une société - fournit une prestation de service, dont les contours sont décrits par un contrat.
Tout dépend ce que le contrat dit, généralement ils prévoient la termination en cas de force majeure : la crise actuelle en est probablement une.
La notion de congés totalement est inexistante dans ce contexte.
Un indépendant - représenté par une société - fournit une prestation de service, dont les contours sont décrits par un contrat.
Tout dépend ce que le contrat dit, généralement ils prévoient la termination en cas de force majeure : la crise actuelle en est probablement une.