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Je viens de regarder tous mes bilans en détail et je pense comprendre.
Quand je faisais les calculs pour voir si la micro valait le coup, j'additionais tous mes frais et dépenses style ordinateur, voyages, etc. Or je vois que les dépenses / frais à déduire du CA au réel comprennent également les charges sociales et impôts. Là tout prend sens.
Effectivement si j'inclus les cotisations et les impots, je suis perdante en micro. Je ne savais pas que c'était considéré comme des "dépenses" mais c'est plutôt logique... ..
ashasha
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Réponse postée 23 août 2020 06:46
Je l'ai fait (enfin, mon comptable l'a fait pour moi). Aucune nouvelle...
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Réponse postée 19 août 2020 12:33
Tu verras que si tu testes en sélectionnant le secteur "AUTRE", en fonction de ton siren ta demande sera refusée.prolib20 a écrit : Bonjour,
Je me permets de relancer ce sujet pour voir si l'aide est reconduite pour Juillet.
Sur mon espace DGFIP j'ai le formulaire pour la période Juillet avec le secteur d'activité "AUTRE" comme pour Juin.
Merci
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Réponse postée 19 août 2020 12:16
Bon... Là je me sens un peu con.hmg a écrit : Bonjour,
Je n'hésite pas à conseiller à mes clients de déclarer en micro si c’est avantageux pour eux.
Quel résultat avez vous eu en 2017, 2018 et 2019 ?
Quelle aurait été la base de calcul sur les mêmes années en prenant 66% du montant encaissé HT ?
Vous pouvez en regardant ces données savoir rapidement si micro est ou non intéressant.
NB : A mon sens, si on a peu de frais, le micro est peu intéressant pour les faibles CA en raison des frais fixes et plus intéressant si on se rapproche du plafond. Si on a beaucoup de frais, il faut en faible CA penser à une reconversion et au-delà de passer en réel.
Dans votre activité, il y a rarement des frais importants. Et s’il y en a, le choix de passer au réel se fait en libéral lors de la déclaration. Pas au début de l’exercice comme en bic. La seule mesure de sauvegarde est d’adhérer à une AGA au tarif micro.
Avez vous été voir l’UETI ?
Vous pouvez les trouver sur ueti.org.
C’est l’Union des Experts Traducteurs Indépendants.
Ils auront des réponses plus ciblées sur votre métier.
Je viens de regarder tous mes bilans en détail et je pense comprendre.
Quand je faisais les calculs pour voir si la micro valait le coup, j'additionais tous mes frais et dépenses style ordinateur, voyages, etc. Or je vois que les dépenses / frais à déduire du CA au réel comprennent également les charges sociales et impôts. Là tout prend sens.
Effectivement si j'inclus les cotisations et les impots, je suis perdante en micro. Je ne savais pas que c'était considéré comme des "dépenses" mais c'est plutôt logique... ..
Réponse postée 19 août 2020 12:08
Merci beaucoup !hmg a écrit : Bonjour,
Je tiens à lancer un appel important à toutes les entreprises libérales peu ou pas touchée par la COVID19.
L’urrsaf a décidé pour éviter de nombreux litiges de limiter les acomptes de cotisations 2020 à 50% des bases 2019.
Si cela n’a pas d’impact pour les BIC ou la plupart des sociétés à l’IS (vérifiez tout de même si comme gérant majoritaire les cotisations sont gérées en libéral sur les montants payés uniquement), cela aura un impact important sur les résultat BNC en diminuant fortement leurs charges et donc en augmentant les résultats.
Prenez le temps de voir si vous ne devez pas d’urgence modifier les bases urssaf pour payer plus de cotisations et ainsi baisser votre résultat libéral.
Ne vous y prenez pas à la dernière minute. L’urssaf aura beaucoup de dossiers à traiter.
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Réponse postée 19 août 2020 09:35
Ce troisième comptable était encore un qui me déconseillé vivement de ne pas me mettre en micro. Il parlait beaucoup des charges, déduire etc, et au final comme dans le calculs précédents, les économies (dans son calcul, celles que je pourrais faire en étant au réel) ne sont pas énormes. Toujours kiff kiff. Quand je lui ai dis ça, il m'a dit "mais admettons que un jour vous allez avoir une grosse dépense, pour investir dans votre activité". Sauf que je n'aurais jamais vraiment de grosses dépenses pour investir tous les ans, car que ce soit l'écriture ou la traduction, il s'agit de moi et de mon ordinateur (basique).
Il a dit "les frais de comptable, par exemple, c'est terminé, vous n'aurez plus de comptable".
Conclusion : jai bien compris que aucun comptable ne me conseillera de passer en micro.
Il m'a dit "la micro c'est seulement intéressant à 35 000 de CA et en dessous".
Il a dit "les frais de comptable, par exemple, c'est terminé, vous n'aurez plus de comptable".
Conclusion : jai bien compris que aucun comptable ne me conseillera de passer en micro.
Il m'a dit "la micro c'est seulement intéressant à 35 000 de CA et en dessous".
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Réponse postée 19 août 2020 09:24
C'est normal que vous ne comprenez pas, j'ai deconné. Je ne suis pas EIRL mais simplement prof libérale au régime réel. Justement le comptable que je viens de voir me conseille de me mettre en EIRL...hmg a écrit : Bonjour,
Je ne comprend pas.
Si vous êtes en EIRL à l’IRP avec un CA de moins de 70k au moins une année sur deux avec peu de frais, vous êtes déjà déclarée en micro non ?
A noter : La limite micro comprend le total des revenus indépendants. Si vous avez deux activités les CA seront à cumuler.
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Réponse postée 18 août 2020 09:18
Merci à tous de m'avoir répondu !
Et c'est vrai qu'effectivement un EC, ça rentre dans les dépenses ;)
En fin de compte pour moi l'objectif n'est pas vraiment d'optimiser la fiscalité plus que ca, mais de simplifier et avoir une meilleure flexibilité.
Aujourd'hui nous pouvons être amenés à avoir des carrières plus diversifiées, ce n'est plus comme la bonne vieille époque, quand tu devenais architecte et tu faisais que ca. Jusqu'a maintenant ce statut ne me gênait pas plus que ca parce que je ne faisais que ma traduction commerciale. Mais j'ai peur de ce qui pourrait arriver l'année prochaine. Je m'inquiète un peu de voir mon CA diminuer, parce que chez les traducteurs la technologie commence a vraiment prendre plus de place, et surtout après cette expérience du confinement, je suis inquiète de voir mes projets se réduire.
La nature du métier commence déjà a évoluer selon moi, avec beaucoup plus de travail a nettoyer après des logiciels, plutôt que de la traduction 'pure'. C'est pour ca que je songe a diversifier un peu - plus dans une direction artistique, mais pourquoi pas aussi retourner a la fac, faire autre chose a côté, prendre un emploi a mi-temps juste pour avoir un peu de variété. Je ne sais pas encore, mais vu que le réel se reconduit tacitement pour deux ans (il me semble ?), ca vaut le coup d'y réfléchir en avance.
En tout cas merci encore, demain matin je vais voir un troisieme (et dernier) comptable et puis je trancherai.
Actuellement, c'est vraiment kiff kiff. Oui, j'ai des frais, mais puisqu'on me répète qu'il faut 'trouver des dépenses' afin de vraiment bénéficier de ce statut, je ne fais pas attention actuellement niveau dépenses. Exemple, ma banque me coute chère (je trouve). Je laisse passer parce que 'ça me fait des charges'. Si j'étais en micro, je changerais de banque. Juste un exemple.mixomatose a écrit : Bonsoir,
si vous avez peu de frais déductibles (moins de 10-15% du CA), alors oui, vous avez raison, vous seriez mieux en régime micro, et vous auriez surtout une grande simplification administrative.
Pourquoi deux EC vous déconseillent de faire ce changement?
Peut-être qu'ils pensent que vous avez trop de frais pour que cela soit rentable.
Ou alors, n'oubliez pas qu'en micro, vous n'avez pas besoin d'un EC, c'est tellement simple à gérer...
Et c'est vrai qu'effectivement un EC, ça rentre dans les dépenses ;)
Ah bon ? Le régime auto ÉTAIT pour tester une activité, mais maintenant ? Pourquoi ont-ils augmenté les plafonds, si c'était toujours le cas ? Je ne suis pas forcément d'accord._lael a écrit : Je dirais aussi pour des questions d'abus de droit.
Le régime auto est fait pour "tester" une activité.
Ce n'est pas fait pour basculer d'une société rentable (EIRL) au régime micro afin d'optimiser sa fiscalité / charges sociales surtout quand on dégage un CA aussi important prouvant de la viabilité de l'activité.
Le risque de se faire contrôler et redresser est probablement très élevé.
Ça ne m'étonnerait pas que des EC le déconseillent pour cette raison.
En fin de compte pour moi l'objectif n'est pas vraiment d'optimiser la fiscalité plus que ca, mais de simplifier et avoir une meilleure flexibilité.
Aujourd'hui nous pouvons être amenés à avoir des carrières plus diversifiées, ce n'est plus comme la bonne vieille époque, quand tu devenais architecte et tu faisais que ca. Jusqu'a maintenant ce statut ne me gênait pas plus que ca parce que je ne faisais que ma traduction commerciale. Mais j'ai peur de ce qui pourrait arriver l'année prochaine. Je m'inquiète un peu de voir mon CA diminuer, parce que chez les traducteurs la technologie commence a vraiment prendre plus de place, et surtout après cette expérience du confinement, je suis inquiète de voir mes projets se réduire.
La nature du métier commence déjà a évoluer selon moi, avec beaucoup plus de travail a nettoyer après des logiciels, plutôt que de la traduction 'pure'. C'est pour ca que je songe a diversifier un peu - plus dans une direction artistique, mais pourquoi pas aussi retourner a la fac, faire autre chose a côté, prendre un emploi a mi-temps juste pour avoir un peu de variété. Je ne sais pas encore, mais vu que le réel se reconduit tacitement pour deux ans (il me semble ?), ca vaut le coup d'y réfléchir en avance.
Ca je ne savais pas ! Je pensais que justement, le statut micro te permettait plus de flexibilité pour cumuler deux activités et prendre un deuxième statut...Olivier_M a écrit : N'est-ce pas parce tout simplement parce que le statut d'auteur (AGESSA) est normalement incompatible avec le statut micro ? Si vous arrivez à cumuler les 2 pour des activités différentes, non seulement il vous faudra parfaitement cloisonner ces activités, mais vous risquez de devoir passer votre temps à vous expliquer avec des interlocuteurs différents qui chercheront à vous imposer sur la totalité de vos revenus, et non seulement sur ceux qui dépendent de leur régime. Bref, multiplication de la paperasse et des ennuis. Alors qu'en EIRL, vous pouvez cumuler les activités sous ce régime sans administratif supplémentaire.
En tout cas merci encore, demain matin je vais voir un troisieme (et dernier) comptable et puis je trancherai.
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Réponse postée 17 août 2020 15:25
🤣 🤣 🤣
Bonjour tout le monde, je suis nouvelle mais je viens souvent lire les posts car je trouve que beaucoup ici sont vraiment bien informés. Mes excuses d’abord : je ne suis pas française, veuillez excuser les éventuelles erreurs. 😉
Aujourd’hui j’ai besoin de votre aide en ce qui concerne mon statut, car je viens de parler avec un deuxième comptable qui ‘n’est pas chaud’ a l’idée que je passe en micro.
Voilà ma situation : traductrice-interprète depuis quatre ans, EIRL, régime réel. J’ai été basculé automatiquement au réel, puis quelque mois plus tard, ils ont augmenté les plafonds… 🙄
Ces quatre dernières années, j’ai fait des CA ‘acceptables’. 50k, 68k, 72k, cette année je pense environ 55k (merci covid). Jusqu'a maintenant je me suis concentrée que sur mon activité de traductrice commerciale. J’ai très peu de charges : mes cotisations, un % du loyer, quelques voyages, des assurances. Sinon, c’est juste moi et mon ordi, sans beaucoup de dépenses.
Mais voila ce qui va POTENTIELLEMENT changer pour moi en 2021 :
1) Cette année j’ai traduit un roman d’un écrivain français, il sera publié l’année prochaine et je commencerai a toucher des royalties (probablement pas grand-chose). J’ai également reçu le paiement pour ce travail cette année.
2) J’ai été signé par une agence anglaise pour mon propre roman (c’est comme ca que ca marche là-bas, tu ne prospectes pas les maisons d’édition toi-même, tu dois d’abord te faire signer par un agent qui s’occupe de vendre ton livre pour toi).
Ces deux choses relèvent du statut artiste-auteur il me semble.
3) En septembre prochain, je vais peut-être retourner a la fac. Peut-être.
Tout ca fait que je me dis : ce que j’aimerais faire, c’est prendre le statut artiste-auteur pour ma traduction littéraire et mes propres écrits (qui aboutiront potentiellement a rien, a voir), et cumuler avec le statut ME pour ma traduction commerciale car je reste quand même sous le plafond.
Je n’ai aucune idée de ce qui va se passer l’année prochaine pour moi, mais je me dis que si je commence a voir des résultats coté artistique, et si le covid resurgit pour impacter sur mon activité, et si j’ai moins de temps a consacrer a la traduction commerciale car je retourne a la fac, ce serait bien d’avoir le coté ‘moins de pression’ du statut ME, non ?
Mon comptable et un deuxième comptable que j’ai vu me disent que ‘c’est dommage’ de quitter le réel, que ‘il n’y a pas grand-chose a y gagner’.
Qu’est-ce que vous en pensez ? Je suis un peu désespérée, la. Je trouve que le réel me met une pression de sortir des sommes en cotisations/contributions, chose qui était gérable quand je ne faisais que ça, mais si je me réoriente légèrement l'année prochaine ce serait peut-être insoutenable. D’un autre côté, est-ce qu’ils ont raison ? Est-ce que c’est ‘dommage’ ?
Si je reste dans le réel, est-ce que je peux quand même cumuler avec le statut artiste-auteur ? Ou pas ?
Je ne sais pas quoi faire, je n’arrive pas a voir quels seraient les avantages et inconvénients du réel/micro dans mon cas. OK, je ne pourrais pas déduire de charges. Mais j’ai fait le calcul, et avec l’abattement de 34 %, j’économise 1 000 € par an. C’est pas grand-chose, mais c’est surtout la réduction de pression qui m’intéresse, pas les économies. Au même temps, je me dis que si deux comptables me conseillent de ne pas passer en mode micro, c’est qu’ils ont surement raison… ?
Que me conseillez-vous ? Et qu’est-ce que je suis sensée faire du paiement que j’ai reçu pour la traduction du livre ? Le déclarer avec mes traductions commerciales ?
Merci beaucoup de m’avoir lu 😊
Bonjour tout le monde, je suis nouvelle mais je viens souvent lire les posts car je trouve que beaucoup ici sont vraiment bien informés. Mes excuses d’abord : je ne suis pas française, veuillez excuser les éventuelles erreurs. 😉
Aujourd’hui j’ai besoin de votre aide en ce qui concerne mon statut, car je viens de parler avec un deuxième comptable qui ‘n’est pas chaud’ a l’idée que je passe en micro.
Voilà ma situation : traductrice-interprète depuis quatre ans, EIRL, régime réel. J’ai été basculé automatiquement au réel, puis quelque mois plus tard, ils ont augmenté les plafonds… 🙄
Ces quatre dernières années, j’ai fait des CA ‘acceptables’. 50k, 68k, 72k, cette année je pense environ 55k (merci covid). Jusqu'a maintenant je me suis concentrée que sur mon activité de traductrice commerciale. J’ai très peu de charges : mes cotisations, un % du loyer, quelques voyages, des assurances. Sinon, c’est juste moi et mon ordi, sans beaucoup de dépenses.
Mais voila ce qui va POTENTIELLEMENT changer pour moi en 2021 :
1) Cette année j’ai traduit un roman d’un écrivain français, il sera publié l’année prochaine et je commencerai a toucher des royalties (probablement pas grand-chose). J’ai également reçu le paiement pour ce travail cette année.
2) J’ai été signé par une agence anglaise pour mon propre roman (c’est comme ca que ca marche là-bas, tu ne prospectes pas les maisons d’édition toi-même, tu dois d’abord te faire signer par un agent qui s’occupe de vendre ton livre pour toi).
Ces deux choses relèvent du statut artiste-auteur il me semble.
3) En septembre prochain, je vais peut-être retourner a la fac. Peut-être.
Tout ca fait que je me dis : ce que j’aimerais faire, c’est prendre le statut artiste-auteur pour ma traduction littéraire et mes propres écrits (qui aboutiront potentiellement a rien, a voir), et cumuler avec le statut ME pour ma traduction commerciale car je reste quand même sous le plafond.
Je n’ai aucune idée de ce qui va se passer l’année prochaine pour moi, mais je me dis que si je commence a voir des résultats coté artistique, et si le covid resurgit pour impacter sur mon activité, et si j’ai moins de temps a consacrer a la traduction commerciale car je retourne a la fac, ce serait bien d’avoir le coté ‘moins de pression’ du statut ME, non ?
Mon comptable et un deuxième comptable que j’ai vu me disent que ‘c’est dommage’ de quitter le réel, que ‘il n’y a pas grand-chose a y gagner’.
Qu’est-ce que vous en pensez ? Je suis un peu désespérée, la. Je trouve que le réel me met une pression de sortir des sommes en cotisations/contributions, chose qui était gérable quand je ne faisais que ça, mais si je me réoriente légèrement l'année prochaine ce serait peut-être insoutenable. D’un autre côté, est-ce qu’ils ont raison ? Est-ce que c’est ‘dommage’ ?
Si je reste dans le réel, est-ce que je peux quand même cumuler avec le statut artiste-auteur ? Ou pas ?
Je ne sais pas quoi faire, je n’arrive pas a voir quels seraient les avantages et inconvénients du réel/micro dans mon cas. OK, je ne pourrais pas déduire de charges. Mais j’ai fait le calcul, et avec l’abattement de 34 %, j’économise 1 000 € par an. C’est pas grand-chose, mais c’est surtout la réduction de pression qui m’intéresse, pas les économies. Au même temps, je me dis que si deux comptables me conseillent de ne pas passer en mode micro, c’est qu’ils ont surement raison… ?
Que me conseillez-vous ? Et qu’est-ce que je suis sensée faire du paiement que j’ai reçu pour la traduction du livre ? Le déclarer avec mes traductions commerciales ?
Merci beaucoup de m’avoir lu 😊