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rom2mars
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rom2mars
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4 novembre 2014
Bonjour,
Cela va faire bientôt deux ans que je suis freelance (EURL / IS) en mission (TJM 400 euros / jour).
J'aimerais bien d'ici quelque mois, si c'est possible, arrêter ma mission afin de chercher des clients chez qui je pourrais placer des salariés (ou des freelances).
Pour ce faire je rejoindrais un groupe de jeunes entrepreneurs que je connais déjà. Ces derniers seraient probablement d'accord pour que nous travaillions en étroite collaboration. Je garderais ma SARL et on partagerait les locaux. Étant donné qu'ils ont déjà quelques années d'expérience (dans le recrutement), ils me donneraient des conseils utiles pour commencer. Cela serait pour moi un cadre de travail ideal!
En arrêtant ma mission je n'aurais plus de rentrée d'argent et devrais vivre sur mes économies personnelles et/ou utiliser la trésorerie de ma société.
J'ai sur mon épargne personnelle des économies 45K qui devraient me permettre de vivre environ 1 an sans me verser de revenus.
Je viens de faire mon premier pré-bilan comptable (20 mois d'activité), et j'ai un résultat net de 52K. Si je décide de laisser l'argent dans la société tel que me le conseille mon EC, il faudrait soustraire l'IS (7800 euros) et la regularisation des charges sociales dont je ne me souviens plus exactement du montant mais je pense que c'est 9200 euros dont il s'agit. Donc la tresorerie restante serait de : 35k.
J'ai peu de visibilité pour l'instant mais j'ai indiqué à mon EC que j'aurais besoin d’atteindre l'objectif d'environ 5 salariés. En considérant que j'ai une marge de 80 euros sur chaque salarié, je pourrais avoir une marge totale de 5 * 80 * 210 = 84000 euros / an. Avec cette marge je pourrais donc me verser des revenus.
Mon EC estime que j'ai pas encore assez de trésorerie pour me lancer.
Quel est votre avis?
Merci d'avance pour vos conseils et votre aide.
Cela va faire bientôt deux ans que je suis freelance (EURL / IS) en mission (TJM 400 euros / jour).
J'aimerais bien d'ici quelque mois, si c'est possible, arrêter ma mission afin de chercher des clients chez qui je pourrais placer des salariés (ou des freelances).
Pour ce faire je rejoindrais un groupe de jeunes entrepreneurs que je connais déjà. Ces derniers seraient probablement d'accord pour que nous travaillions en étroite collaboration. Je garderais ma SARL et on partagerait les locaux. Étant donné qu'ils ont déjà quelques années d'expérience (dans le recrutement), ils me donneraient des conseils utiles pour commencer. Cela serait pour moi un cadre de travail ideal!
En arrêtant ma mission je n'aurais plus de rentrée d'argent et devrais vivre sur mes économies personnelles et/ou utiliser la trésorerie de ma société.
J'ai sur mon épargne personnelle des économies 45K qui devraient me permettre de vivre environ 1 an sans me verser de revenus.
Je viens de faire mon premier pré-bilan comptable (20 mois d'activité), et j'ai un résultat net de 52K. Si je décide de laisser l'argent dans la société tel que me le conseille mon EC, il faudrait soustraire l'IS (7800 euros) et la regularisation des charges sociales dont je ne me souviens plus exactement du montant mais je pense que c'est 9200 euros dont il s'agit. Donc la tresorerie restante serait de : 35k.
J'ai peu de visibilité pour l'instant mais j'ai indiqué à mon EC que j'aurais besoin d’atteindre l'objectif d'environ 5 salariés. En considérant que j'ai une marge de 80 euros sur chaque salarié, je pourrais avoir une marge totale de 5 * 80 * 210 = 84000 euros / an. Avec cette marge je pourrais donc me verser des revenus.
Mon EC estime que j'ai pas encore assez de trésorerie pour me lancer.
Quel est votre avis?
Merci d'avance pour vos conseils et votre aide.
-
CORDIA
Nombre de posts : 650Nombre de likes : 69Inscrit : 22 octobre 2006Et à la fin de la mission....ca se passe comment ?
Dans CDI, y a un I... -
vdaxeis
Nombre de posts : 579Nombre de likes : 24Inscrit : 23 février 2010N'y voyez pas rom2mars de notre part des propos gratuits pour dissuader toute personne motivé à entreprendre.
Je pense que ce qui nous choque tous provient du titre meme de votre post :
Votre demarche actuelle n'est pas de créer une SSII mais plutot des actions court terme opportunistes, plus ou moins etudiées, pour faire du business en parallele de votre activité d'independant (je dis en // car vous ne pourrez pas arreter de vous vendre avant d'avoir au minimum 5 consultants salaries a plein temps et perenne)
Creer une SSII est tout autre :
il vous faut reflechir à :
- votre identité (quelle expertise, quelle techno)
- votre communication : vous ne vendez pas Mr X mais vous vendez le conseil, les competences, les services de votre société
- les profils a recruter (junior, senior) et comment les trouver
- votre politique sociale et salariale qui est indispensable pour garantir la perennité de vos salariés
- la cible client a toucher
- votre reseau pour parvenir a toucher ces clients
- une projection financiere
etc etc
Sans vision globale de tout cela, il est preferable de se cantonner a exploiter toute opportunité court terme en evitant d'embaucher
enfin c'est mon avis
😉 -
rom2mars
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 1Inscrit : 4 novembre 2014hmg a écrit : Bonjour,
La règle dans les grandes SSII a longtemps été de considérer que le brut correspondait à 40% max de la facturation (en tenant compte d'aléas).
Si on applique à 55000, cela donne 55000 / .4 = 137500
137500 / 217 = 634 €.
Vous voyez que l'on s'approche du calcul empirique de vdaxeis. Par ailleurs, vous n'avez pas le même coût de structure qu'une grande SSII. Donc 600 pourrait passer.
Moins il y a d'aléas, plus une marge plus faible peut passer.
Or compte tenu de ce que vous indiquez (retards), il faut être certain qu'en étant à 5 minutes et pas une heure, cela peut s'arranger.
Et attention à la répartition du brut dans l'année, vous pouvez convenir de démarrer en dessous de 55k/12 et d'augmenter par la suite. Voire de prévoir un fixe et des primes claires.
Merci pour votre réponse très intéressante.
Le consultant sera toujours en retard...
il est comme ça et je ne pourrai pas le changer.
C’est vrai que ça serait une source de tension.
Merci pour cette règle intéressante utilisée par les grandes ssii.
Le client m’a remercié pour le cv et m’a indiqué qu’il ne recherchait pas d’expert pour l’instant.
Une autre ssii lui avait également envoyé le cv, mais puis que je l’avais envoyé avant il ferait appel à moi en cas de besoin. -
rom2mars
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 1Inscrit : 4 novembre 2014
J’ai probablement une vision biaisé des collaborations qu’il existe entre ssii et consultants.vdaxeis a écrit :
Complètement d’accord hmghmg a écrit :
Et attention à la répartition du brut dans l'année, vous pouvez convenir de démarrer en dessous de 55k/12 et d'augmenter par la suite. Voire de prévoir un fixe et des primes claires.
De votre côté rom2mars, votre intérêt est de vous sécuriser un peu plus au début.
Réfléchissez à lui faire un fixe en deçà de 55 mais établir une prime variable sur nombre de jours facturés pour arriver à un package annuel de 55.
Si votre collaboration se passe bien au bout de 6 mois, vous pouvez commencer a baisser la part variable et augmenter le fixe .
Du côté du consultant, c’est son problème mais se faire salarier chez vous uniquement par le fait que vous avez une mission à 5min de chez lui est toujours simplement n’importe quoi. Votre collaboration est voué à l’échec. Au bout d’1 mois, de 6 mois , de 2 ans.. c’est en fait votre client qui a les clés de votre force de collaboration.. projet dont on connaît l’issue si ni l’un ni l’autre n’apporte pas une vision un peu plus professionnelle
Pendant longtemps des ssii m’on bassiner avec leur discours de politique sociale, Rh, plan de carrière, etc
Et puis quand j’étais chez le client j’entends plus parler de ma ssii, je les voyais de temps en temps pour un restaurant ou pour faire un repas de Noël avec d’autre consultants places chez d’autres client que je n’avais jamais vu.
Quand les missions sont longues les ssii ont tendances à oublier leurs consultants chez les clients. Les consultants oublient qu’ils bossent avec la ssii et on le sentiment de bosser directement pour le client qui donnent des ordres.
C’est comme dans la plus part des cas de l’interim déguisée. Apporter un conseil, une véritable expertise n’est vrai que sur ses missions ponctuelles de quelques jours. Par exemple un expert ayant développer un logiciel de déplace chez le client pour apporter une assurance technique sans obligation de résultat....
La dernière ssii avec qui j’ai bossé ne m’a pas parlé de politique social ou rh, elle ne m’a pas vendu du rêve, ou n’a pas essayé. Et c’est ce qu’il m’a plu d’ailleurs. Car 99% des ssii ont de belles paroles qu’elles ne tiennent pas... et ça me gonfle. Je préfère que la ssii ne me dise rien mais qu’elle soit au petit soin avec moi car je lui rapporte de l’argent....
Être présent, c’est venir manger régulièrement avec ses collaborateurs pour s’intéresser à se qu’il se passe sur le terrain, chez le client. Apporter un suivi sans avoir la prétention de régler les problèmes. Mais au moins en prendre connaissance. Les ssii ne font même pas ça alors que c’est pour moi un minimum! -
rom2mars
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 1Inscrit : 4 novembre 2014
Effectivement je suis d’accord avec vous, merci pour votre réponse.vdaxeis a écrit : N'y voyez pas rom2mars de notre part des propos gratuits pour dissuader toute personne motivé à entreprendre.
Je pense que ce qui nous choque tous provient du titre meme de votre post :
Votre demarche actuelle n'est pas de créer une SSII mais plutot des actions court terme opportunistes, plus ou moins etudiées, pour faire du business en parallele de votre activité d'independant (je dis en // car vous ne pourrez pas arreter de vous vendre avant d'avoir au minimum 5 consultants salaries a plein temps et perenne)
Creer une SSII est tout autre :
il vous faut reflechir à :
- votre identité (quelle expertise, quelle techno)
- votre communication : vous ne vendez pas Mr X mais vous vendez le conseil, les competences, les services de votre société
- les profils a recruter (junior, senior) et comment les trouver
- votre politique sociale et salariale qui est indispensable pour garantir la perennité de vos salariés
- la cible client a toucher
- votre reseau pour parvenir a toucher ces clients
- une projection financiere
etc etc
Sans vision globale de tout cela, il est preferable de se cantonner a exploiter toute opportunité court terme en evitant d'embaucher
enfin c'est mon avis
😉 -
vdaxeis
Nombre de posts : 579Nombre de likes : 24Inscrit : 23 février 2010
Bonjour,rom2mars a écrit :
J’ai probablement une vision biaisé des collaborations qu’il existe entre ssii et consultants.
Pendant longtemps des ssii m’on bassiner avec leur discours de politique sociale, Rh, plan de carrière, etc
Et puis quand j’étais chez le client j’entends plus parler de ma ssii, je les voyais de temps en temps pour un restaurant ou pour faire un repas de Noël avec d’autre consultants places chez d’autres client que je n’avais jamais vu.
Quand les missions sont longues les ssii ont tendances à oublier leurs consultants chez les clients. Les consultants oublient qu’ils bossent avec la ssii et on le sentiment de bosser directement pour le client qui donnent des ordres.
C’est comme dans la plus part des cas de l’interim déguisée. Apporter un conseil, une véritable expertise n’est vrai que sur ses missions ponctuelles de quelques jours. Par exemple un expert ayant développer un logiciel de déplace chez le client pour apporter une assurance technique sans obligation de résultat....
La dernière ssii avec qui j’ai bossé ne m’a pas parlé de politique social ou rh, elle ne m’a pas vendu du rêve, ou n’a pas essayé. Et c’est ce qu’il m’a plu d’ailleurs. Car 99% des ssii ont de belles paroles qu’elles ne tiennent pas... et ça me gonfle. Je préfère que la ssii ne me dise rien mais qu’elle soit au petit soin avec moi car je lui rapporte de l’argent....
Être présent, c’est venir manger régulièrement avec ses collaborateurs pour s’intéresser à se qu’il se passe sur le terrain, chez le client. Apporter un suivi sans avoir la prétention de régler les problèmes. Mais au moins en prendre connaissance. Les ssii ne font même pas ça alors que c’est pour moi un minimum!
On peut partager votre avis sur le fonctionnement des SSII . je n'aime pas pour autant les generalites car il y a des SSII (souvent celles de petite et moyenne taille) qui ont une approche + humaine et sociale.
Il y a donc un turnover important des consultants, c'est un fait.
Mais la perspective que vous semblez donnez vous a ces consultants pour s'epanouir dans un mode meilleur semble bien pire :
- augmentation de leur remuneration actuelle ? non
- solidité financiere de votre structure ? sur une echelle de 0 a 10, plus pres de 0 que de 10
- force commerciale pour decrocher des missions interessantes ?
sur une echelle de 0 a 10, plus pres de 0 que de 10
- risque de licenciement court terme? sur une echelle de 0 a 10, plus pres de 10 que de 0
Bref, avec un tel projet, vous n'allez pas attirer dans vos filets les cadors du marché mais les boulets du marché -
lfabien
Nombre de posts : 320Nombre de likes : 6Inscrit : 13 avril 2009vdaxeis marque un point pour vos arguments de recrutement.
Mais vous avez 2 axes possibles:
- Prendre des consultants low-cost qui ont besoin d'un titre de séjour (beaucoup de SSII se reconnaitront).
- Prendre des freelances à qui vous proposerez des missions qui ne sont pas publiées à la terre entière. Cela exige que vous ayez des clients directs (si vous avez 1 ou 2 intermédiaires ça se passera très mal) -
rom2mars
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 1Inscrit : 4 novembre 2014
Après plusieurs mois de travail, les personnes à qui je propose des missions ont très envie de travailler avec moi.vdaxeis a écrit :
Bonjour,rom2mars a écrit :
J’ai probablement une vision biaisé des collaborations qu’il existe entre ssii et consultants.
Pendant longtemps des ssii m’on bassiner avec leur discours de politique sociale, Rh, plan de carrière, etc
Et puis quand j’étais chez le client j’entends plus parler de ma ssii, je les voyais de temps en temps pour un restaurant ou pour faire un repas de Noël avec d’autre consultants places chez d’autres client que je n’avais jamais vu.
Quand les missions sont longues les ssii ont tendances à oublier leurs consultants chez les clients. Les consultants oublient qu’ils bossent avec la ssii et on le sentiment de bosser directement pour le client qui donnent des ordres.
C’est comme dans la plus part des cas de l’interim déguisée. Apporter un conseil, une véritable expertise n’est vrai que sur ses missions ponctuelles de quelques jours. Par exemple un expert ayant développer un logiciel de déplace chez le client pour apporter une assurance technique sans obligation de résultat....
La dernière ssii avec qui j’ai bossé ne m’a pas parlé de politique social ou rh, elle ne m’a pas vendu du rêve, ou n’a pas essayé. Et c’est ce qu’il m’a plu d’ailleurs. Car 99% des ssii ont de belles paroles qu’elles ne tiennent pas... et ça me gonfle. Je préfère que la ssii ne me dise rien mais qu’elle soit au petit soin avec moi car je lui rapporte de l’argent....
Être présent, c’est venir manger régulièrement avec ses collaborateurs pour s’intéresser à se qu’il se passe sur le terrain, chez le client. Apporter un suivi sans avoir la prétention de régler les problèmes. Mais au moins en prendre connaissance. Les ssii ne font même pas ça alors que c’est pour moi un minimum!
On peut partager votre avis sur le fonctionnement des SSII . je n'aime pas pour autant les generalites car il y a des SSII (souvent celles de petite et moyenne taille) qui ont une approche + humaine et sociale.
Il y a donc un turnover important des consultants, c'est un fait.
Mais la perspective que vous semblez donnez vous a ces consultants pour s'epanouir dans un mode meilleur semble bien pire :
- augmentation de leur remuneration actuelle ? non
- solidité financiere de votre structure ? sur une echelle de 0 a 10, plus pres de 0 que de 10
- force commerciale pour decrocher des missions interessantes ?
sur une echelle de 0 a 10, plus pres de 0 que de 10
- risque de licenciement court terme? sur une echelle de 0 a 10, plus pres de 10 que de 0
Bref, avec un tel projet, vous n'allez pas attirer dans vos filets les cadors du marché mais les boulets du marché
Que ce soit des grands directeurs qui demandent 1000 euros jour et qui managent des projets avec minimum 80 personnes ou des petits techniciens sans aucune prétentions salariales. J'ai un excellent relationnel avec ces personnes et ma transparence fait la différence.
Mon expérience dans le domaine informatique me permet de mieux parler du client, d'expliquer en quoi le poste pourrait être épanouissant pour eux.
Des clients m'ont également féliciter pour mes services rendus de qualités et m'ont dit qu'au prochain besoin ils feront directement appel à moi.
Ils ont aimé ma façon de travaillé.
Le candidat que je leur ai proposé correspondait en tout point à ce qu'il recherché. -
lfabien
Nombre de posts : 320Nombre de likes : 6Inscrit : 13 avril 2009
Connaissance du marché, transparence, épanouissement du consultant, carnet d'adresse... Oui, ce sont des valeurs indispensables pour monter une ssii.rom2mars a écrit :
Après plusieurs mois de travail, les personnes à qui je propose des missions ont très envie de travailler avec moi.
Que ce soit des grands directeurs qui demandent 1000 euros jour et qui managent des projets avec minimum 80 personnes ou des petits techniciens sans aucune prétentions salariales. J'ai un excellent relationnel avec ces personnes et ma transparence fait la différence.
Mon expérience dans le domaine informatique me permet de mieux parler du client, d'expliquer en quoi le poste pourrait être épanouissant pour eux.
Des clients m'ont également féliciter pour mes services rendus de qualités et m'ont dit qu'au prochain besoin ils feront directement appel à moi.
Ils ont aimé ma façon de travaillé.
Le candidat que je leur ai proposé correspondait en tout point à ce qu'il recherché.
A en croire votre remarque sur les 1k/j, vous semblez rejoindre ce que je disais et travailler avec des freelances ? Le problème d'une petite structure est bien moindre avec des free-lances car ce qui importe c'est avant tout la mission et la facturation.
Après pour les "petits techniciens" "sans prétentions salariales", ils acceptent peut-être des postes en CDI et dans ce cas là vous pouvez marger moins et leur proposer mieux que la concurrence car vous avez pour le moment moins de lourdeur administrative. -
Tooltip
Nombre de posts : 4Nombre de likes : 0Inscrit : 30 décembre 2013
Je n'en connais pas personnellement, par contre des pseudo managers qui mettent la pression sur les postes techniques, on en trouve à la pelle ! Vous savez le genre de type payé des mille et des cents, pour brasser de l'air..lfabien a écrit : Après pour les "petits techniciens" "sans prétentions salariales" -
lfabien
Nombre de posts : 320Nombre de likes : 6Inscrit : 13 avril 2009
Pourquoi me citer sur les termes entre guillemets vous pourriez tout comme moi les mettre entre guillemets ? Ce sont justement les termes employés précédemment que je trouve péjoratifs.Tooltip a écrit :
Je n'en connais pas personnellement, par contre des pseudo managers qui mettent la pression sur les postes techniques, on en trouve à la pelle ! Vous savez le genre de type payé des mille et des cents, pour brasser de l'air..lfabien a écrit : Après pour les "petits techniciens" "sans prétentions salariales"
Est-ce une attaque ? Et si oui, contre qui ? Je n'ai pas l'impression que l'auteur soit un "pseudo managers"? Et si c'est moi que vous attaquez vous ne savez visiblement pas à qui vous parlez.
Vous souhaitez démarrer un troll ? Un autre sujet ? -
Tooltip
Nombre de posts : 4Nombre de likes : 0Inscrit : 30 décembre 2013
C'est pas une attaque, juste un constat ! Et non, l'auteur n'est pas visé, pas du tout, ni vous même, d'ailleurs !lfabien a écrit :
Pourquoi me citer sur les termes entre guillemets vous pourriez tout comme moi les mettre entre guillemets ? Ce sont justement les termes employés précédemment que je trouve péjoratifs.Tooltip a écrit :
Je n'en connais pas personnellement, par contre des pseudo managers qui mettent la pression sur les postes techniques, on en trouve à la pelle ! Vous savez le genre de type payé des mille et des cents, pour brasser de l'air..lfabien a écrit : Après pour les "petits techniciens" "sans prétentions salariales"
Est-ce une attaque ? Et si oui, contre qui ? Je n'ai pas l'impression que l'auteur soit un "pseudo managers"? Et si c'est moi que vous attaquez vous ne savez visiblement pas à qui vous parlez.
Vous souhaitez démarrer un troll ? Un autre sujet ?
Ce que je dis simplement c'est que tout le monde a des prétentions salariales, pas besoin d'être un super cador pour çà. La formule est mal choisie : on peut être une petite main et apporter beaucoup de valeur, du coup çà se paye. C'est tout. Faut pas être simpliste.