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Freelance avec statut d’auto-entrepreneur????
YFY
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YFY
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11 janvier 2009
A partir du 1er janvier 2009, le nouveau régime de l’auto-entrepreneur va permettre à tous les Français qui le souhaitent de créer leur propre entreprise simplement et rapidement.
Ce nouveau régime, créé par la loi de modernisation de l’économie, lève les barrières à l’entrée de l’entrepreneuriat et offre une nouvelle chance à de nombreux salariés, étudiants, retraités et chômeurs, de compléter leurs revenus.
Ce statut offre de nombreux avantages sociaux, déclaratifs et fiscaux.
Désireux de me lancer en freelance, j'ai d'abord pensé à une EI ou une SARL...
Y a t-il ici des freelance ici qui souhaitent bénéficier de ce nouveau régime?
Si oui, je serai heureux de communiquer avec eux.
Merci pour vos réponses.
Nota : infos complémentaires :
Etre "auto-entrepreneur", cela consiste en quoi ?
Le régime de l’auto-entrepreneur mis en place par Hervé Novelli, c’est un passeport offert à tous les Français qui souhaitent transformer leur talent en argent et bénéficier de revenus supplémentaires. Cela répond à un vrai besoin, particulièrement en cette période de crise.
Il n’y a qu’une seule limite pour être auto-entrepreneur : il faut réaliser moins de 80 000 euros de chiffre d’affaires pour une activité commerciale ou moins de 32 000 euros pour les prestations de services et les activités libérales. Ces seuils évolueront chaque année comme le barème de l’impôt sur le revenu.
A qui s’adresse ce statut ?
A tous les Français : aux retraités qui veulent bénéficier d’un supplément de revenu, aux jeunes qui ont besoin d’un peu d’argent pour financer leurs études ou encore aux chômeurs, pour qui c’est une vraie chance de rebondir.
Y compris aux salariés qui auront le droit de devenir auto-entrepreneurs en dehors de leurs horaires de travail. A une seule condition : ne pas créer une activité qui conduit à démarcher les clients de son employeur sans son accord.
Comment bénéficier de ce statut ?
C’est la simplicité même :
- finie la tracasserie administrative : l’auto-entrepreneur n’aura pas besoin de s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ;
- une seule déclaration suffit : il doit s’inscrire sur le site en ligne www.lautoentrepreneur.fr pour pouvoir commencer son activité dès le lendemain ;
- ce qui est vrai lorsqu’on souhaite créer son activité est aussi vrai pour l’interrompre : l’auto-entrepreneur peut cesser son activité sans être soumis à des formalités ou à des obligations administratives complexes.
Quels sont ses avantages ?
Au quotidien, le système est très simple, les relations avec l’administration sont réduites à l’extrême :
- l’auto-entrepreneur devra s’acquitter d’un seul prélèvement équivalent à 13 % de son chiffre d’affaires mensuel ou trimestriel pour toute activité commerciale, 20,5 % pour une activité libérale ou à 23 % pour les activités de service ;
- il n’y a aucune autre taxe à acquitter : l’auto-entrepreneur n’est pas soumis à la TVA et il est exonéré de taxe professionnelle pendant trois ans à compter de la création de son entreprise ;
- s’il ne réalise aucun chiffre d’affaires, l’auto-entrepreneur ne paiera aucune charge. Lorsqu’il cesse son activité, cela ne coûte rien non plus ;
- techniquement, une seule chose est demandée : remplir "un livre chronologique des recettes" pour enregistrer les ventes effectuées, et pour les commerçants remplir un "livre des achats".
Ce statut est protecteur et offre des droits sociaux importants :
- l’auto-entrepreneur est affilié à la Sécurité sociale et valide des trimestres de retraite ;
- il s’acquitte forfaitairement de ses charges sociales et de ses impôts uniquement sur ce qu’il encaisse. S’il n’encaisse rien, il ne paie et ne déclare rien. Il bénéficiera de la couverture assurance maladie dès le premier euro de chiffre d’affaires.
Ce nouveau régime, créé par la loi de modernisation de l’économie, lève les barrières à l’entrée de l’entrepreneuriat et offre une nouvelle chance à de nombreux salariés, étudiants, retraités et chômeurs, de compléter leurs revenus.
Ce statut offre de nombreux avantages sociaux, déclaratifs et fiscaux.
Désireux de me lancer en freelance, j'ai d'abord pensé à une EI ou une SARL...
Y a t-il ici des freelance ici qui souhaitent bénéficier de ce nouveau régime?
Si oui, je serai heureux de communiquer avec eux.
Merci pour vos réponses.
Nota : infos complémentaires :
Etre "auto-entrepreneur", cela consiste en quoi ?
Le régime de l’auto-entrepreneur mis en place par Hervé Novelli, c’est un passeport offert à tous les Français qui souhaitent transformer leur talent en argent et bénéficier de revenus supplémentaires. Cela répond à un vrai besoin, particulièrement en cette période de crise.
Il n’y a qu’une seule limite pour être auto-entrepreneur : il faut réaliser moins de 80 000 euros de chiffre d’affaires pour une activité commerciale ou moins de 32 000 euros pour les prestations de services et les activités libérales. Ces seuils évolueront chaque année comme le barème de l’impôt sur le revenu.
A qui s’adresse ce statut ?
A tous les Français : aux retraités qui veulent bénéficier d’un supplément de revenu, aux jeunes qui ont besoin d’un peu d’argent pour financer leurs études ou encore aux chômeurs, pour qui c’est une vraie chance de rebondir.
Y compris aux salariés qui auront le droit de devenir auto-entrepreneurs en dehors de leurs horaires de travail. A une seule condition : ne pas créer une activité qui conduit à démarcher les clients de son employeur sans son accord.
Comment bénéficier de ce statut ?
C’est la simplicité même :
- finie la tracasserie administrative : l’auto-entrepreneur n’aura pas besoin de s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ;
- une seule déclaration suffit : il doit s’inscrire sur le site en ligne www.lautoentrepreneur.fr pour pouvoir commencer son activité dès le lendemain ;
- ce qui est vrai lorsqu’on souhaite créer son activité est aussi vrai pour l’interrompre : l’auto-entrepreneur peut cesser son activité sans être soumis à des formalités ou à des obligations administratives complexes.
Quels sont ses avantages ?
Au quotidien, le système est très simple, les relations avec l’administration sont réduites à l’extrême :
- l’auto-entrepreneur devra s’acquitter d’un seul prélèvement équivalent à 13 % de son chiffre d’affaires mensuel ou trimestriel pour toute activité commerciale, 20,5 % pour une activité libérale ou à 23 % pour les activités de service ;
- il n’y a aucune autre taxe à acquitter : l’auto-entrepreneur n’est pas soumis à la TVA et il est exonéré de taxe professionnelle pendant trois ans à compter de la création de son entreprise ;
- s’il ne réalise aucun chiffre d’affaires, l’auto-entrepreneur ne paiera aucune charge. Lorsqu’il cesse son activité, cela ne coûte rien non plus ;
- techniquement, une seule chose est demandée : remplir "un livre chronologique des recettes" pour enregistrer les ventes effectuées, et pour les commerçants remplir un "livre des achats".
Ce statut est protecteur et offre des droits sociaux importants :
- l’auto-entrepreneur est affilié à la Sécurité sociale et valide des trimestres de retraite ;
- il s’acquitte forfaitairement de ses charges sociales et de ses impôts uniquement sur ce qu’il encaisse. S’il n’encaisse rien, il ne paie et ne déclare rien. Il bénéficiera de la couverture assurance maladie dès le premier euro de chiffre d’affaires.
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François1
Nombre de posts : 2527Nombre de likes : 10Inscrit : 4 avril 2008Bonjour,
Comme vous le dites en préambule à cette publicité officielle sur le statut d'auto-entrepreneur, ce nouveau régime permet de COMPLÉTER des revenus.
Mais pour une activité à temps complet, cela fait un revenu plutôt modeste avec de maigres cotisations retraite. C'est sans doute une bonne solution pour tester une activité sur 6 mois puis choisir entre le retour vers le monde des salariés ou la création d'une entreprise profitable.
Par contre il faut saluer le côté très pratique du système. On s'inscrit, on obtient un numéro de SIRET et tous les 3 mois on déclare (par Internet !) son CA sur lequel on paye des cotisations très simples (12 ou 21,3% suivant les cas). Franchement, il y a 6 mois je ne pensais pas que ce tour de force serait possible au 1/01/2009. Si ça marche c'est quand même une sacrée révolution.
Un bémol quand même: pour l'instant les activités libérales ne sont pas concernées.
Bonne chance dans votre projet.
--
FrançoisFrançois -
hmg
Nombre de posts : 26942Nombre de likes : 438Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
Compte tenu que les BIC ont un régime social unifié, cela ne me semble pas un tour de force. Juste l'arrivée d'outils moderne pour les déclarations périodiques.
Le tour de force serait réellement de pousser les caisses libérales à s'unifier avec les caisses maladie et l'urssaf. Précision : La CIPAV n'est qu'une des caisses concernées (il y en a plusieurs par profession notamment médicales).Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas.