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Peur d'être Freelance car...
Seiwaza
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Seiwaza
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24 décembre 2018
Bonjour à tous,
j'ai pour projet de bosser en freelance plus tard mais l'instabilité des revenus qui dépendent du nombres de missions effectués et que nous sommes pas toujours sûr d'avoir me fait un peu hésiter de me lancer.
Je serai probablement le seul revenu de la famille et je pense pas pouvoir me permettre d'avoir des revenus instables pour vivre.
Je m'adresse à ceux qui ont une certaine expérience dans le domaine : ma crainte est-elle justifiable ou pas besoin de s'inquiéter ?
On finit par trouver des clients régulièrement de sorte à avoir des revenus réguliers au bout d'un certain temps où décrocher une mission reste le parcours du combattant même en ayant de l'expérience ?
j'ai pour projet de bosser en freelance plus tard mais l'instabilité des revenus qui dépendent du nombres de missions effectués et que nous sommes pas toujours sûr d'avoir me fait un peu hésiter de me lancer.
Je serai probablement le seul revenu de la famille et je pense pas pouvoir me permettre d'avoir des revenus instables pour vivre.
Je m'adresse à ceux qui ont une certaine expérience dans le domaine : ma crainte est-elle justifiable ou pas besoin de s'inquiéter ?
On finit par trouver des clients régulièrement de sorte à avoir des revenus réguliers au bout d'un certain temps où décrocher une mission reste le parcours du combattant même en ayant de l'expérience ?
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François1
Nombre de posts : 2526Nombre de likes : 9Inscrit : 4 avril 2008Bonsoir,
Oui, c'est normal d'avoir peur quand on se lance. ;-)
Personne ne pourra vous rassurer sans connaître votre situation exacte: âge, expérience, profession, réseau, capacités,...
Vous imaginez bien que s'il n'y avait aucune inquiétude à se lancer en freelance tout le monde le ferait aujourd'hui !
Dites-nous en plus et certains pourront vous faire partager leur propre expérience, proche de la vôtre.
Cordialement
--
FrançoisFrançois -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
J'en suis conscient et c'est bien pour ça que je viens demander des conseils 😉François1 a écrit : Vous imaginez bien que s'il n'y avait aucune inquiétude à se lancer en freelance tout le monde le ferait aujourd'hui !
Pour ce qui est de mon profil, je ne suis encore qu'au Lycée, cependant les choses vont aller vite puisque je passe mon bac cette année et que je vais devoir formuler mes voeux pour mon orientation l'an prochain.
Ayant un excellent niveau d'Anglais j'avais pour but d'aller à l'Université étudier davantage la langue de Shakespeare pour ensuite travailler comme Traducteur Freelance directement donc sans expérience dans le salariat, projet qui me tiens à coeur mais qui me repousse un petit peu pour les raisons cité au-dessus.
En attendant vos réponses, merci 🙂 -
ExtazZ
Nombre de posts : 287Nombre de likes : 1Inscrit : 31 août 2015Bonjour,
Mon conseil serait quand même de passer par le salariat au moins 2, 3 ans.
Pourquoi ? Car vous êtes encore jeune et malheureusement l'étiquette du jeune instable va être automatiquement collée sur votre front par les éventuels clients.
Sans expérience certaine, il va être extrêmement difficile de trouver une mission concrète.
Pour l'anecdote, 4ans de salariat, je me suis lancé à 26ans, et ça n'a pas été simple de trouver ma 1ere mission. Les suivantes ont été plus simple, car plus d'expérience, plus de maturité, longues missions...
Que feriez-vous à la place d'un recruteur avec un jeune de 20-22ans en face de vous ? Pensez-vous que c'est un gros "risque" de faire confiance ou pas ? 🙂 -
rominou
Nombre de posts : 84Nombre de likes : 1Inscrit : 6 février 2018+1 pour ExtazZ
Je ne vais pas te conseiller de le faire, ou de ne pas le faire. Demandes-toi déjà pourquoi tu le fais ? Selon toi il ne serait pas judicieux de passer par le salariat pour voir déjà comment se comporte le domaine pro ? Et surtout, les risques décrits sont présent et en tant que gérant d'entreprise tu les auras toute ta vie (ou du moins, toute ta vie de gérant d'entreprise) ils ne disparaîtront jamais, donc toi et seulement toi pourra dire si tu prends le risque, ou non.
Concernant l'âge, j'ai 8 ans d'expérience en SSII, je me suis mis gérant en Juin 2018 et du haut de mes 26 ans ( 🤣 ) on arrive encore à me dire que "le client va me trouver jeune, il risque d'en jouer, blablabla" donc imagine, toi, une vingtaine d'année, sans expérience... sachant que pour ma part, je suis dans des missions d'architecture système, j'ai très largement les compétences requises pour les postes sur lesquels je postule, j'ai déjà fait mes preuves dans des grandes multinationales et je suis même certifié (donc j'ai passé des exams qui certifie que j'ai les aptitudes nécessaire pour réaliser tel et tel actions) et malgré tous ces éléments, ils restent focus sur mon âge (et mon anglais, qui reste correcte mais qui n'est pas du niveau C1, d'ailleurs si tu donnes des cours ... :p)
Une idée serait d'être en salariat pour une structure mais en parallèle te mettre AE (si ton employeur l'autorise, vérifie avant d'accepter le poste) puis le - soir / week-end / jours fériés / temps libre - tu vas sur les sites de traductions et tu proposes tes services + un blog / linkedin, etc... pour bien te reféréncer tranquillement. Comme ça tu as les 2, un emploi stable te garantissant des revenus (au début c'est très important, un autre motif pour lequel je ne pourrais pas te conseiller de le faire, c'est que vu que tu es encore étudiant, je suppose que tu n'as pas de revenu de côté, qu'est-ce qu'il se passe si ton client tarde à te payer ? 😉 )
Bon courage en tout cas ! Et tu es jeune, dis-toi que tu n'as pas besoin de te presser, se lancer à 22/23 ans reste encore en dessous de la majorité donc dis-toi que tu as vraiment ton temps devant toi... -
ExtazZ
Nombre de posts : 287Nombre de likes : 1Inscrit : 31 août 2015
Du haut de mes presque 29ans maintenant, j'ai encore le problème du "jeune instable" aux yeux de certains clients...rominou a écrit : +1 pour ExtazZ
Je ne vais pas te conseiller de le faire, ou de ne pas le faire. Demandes-toi déjà pourquoi tu le fais ? Selon toi il ne serait pas judicieux de passer par le salariat pour voir déjà comment se comporte le domaine pro ? Et surtout, les risques décrits sont présent et en tant que gérant d'entreprise tu les auras toute ta vie (ou du moins, toute ta vie de gérant d'entreprise) ils ne disparaîtront jamais, donc toi et seulement toi pourra dire si tu prends le risque, ou non.
Concernant l'âge, j'ai 8 ans d'expérience en SSII, je me suis mis gérant en Juin 2018 et du haut de mes 26 ans ( 🤣 ) on arrive encore à me dire que "le client va me trouver jeune, il risque d'en jouer, blablabla" donc imagine, toi, une vingtaine d'année, sans expérience... sachant que pour ma part, je suis dans des missions d'architecture système, j'ai très largement les compétences requises pour les postes sur lesquels je postule, j'ai déjà fait mes preuves dans des grandes multinationales et je suis même certifié (donc j'ai passé des exams qui certifie que j'ai les aptitudes nécessaire pour réaliser tel et tel actions) et malgré tous ces éléments, ils restent focus sur mon âge (et mon anglais, qui reste correcte mais qui n'est pas du niveau C1, d'ailleurs si tu donnes des cours ... :p)
Une idée serait d'être en salariat pour une structure mais en parallèle te mettre AE (si ton employeur l'autorise, vérifie avant d'accepter le poste) puis le - soir / week-end / jours fériés / temps libre - tu vas sur les sites de traductions et tu proposes tes services + un blog / linkedin, etc... pour bien te reféréncer tranquillement. Comme ça tu as les 2, un emploi stable te garantissant des revenus (au début c'est très important, un autre motif pour lequel je ne pourrais pas te conseiller de le faire, c'est que vu que tu es encore étudiant, je suppose que tu n'as pas de revenu de côté, qu'est-ce qu'il se passe si ton client tarde à te payer ? 😉 )
Bon courage en tout cas ! Et tu es jeune, dis-toi que tu n'as pas besoin de te presser, se lancer à 22/23 ans reste encore en dessous de la majorité donc dis-toi que tu as vraiment ton temps devant toi...
Moins, certes. Mais ça m'est déjà arrivé plusieurs fois que l'on me dise non pour une mission du fait que j'étais jeune... 🙄
Et c'est pas mes missions, les durées, ni les recommandations que j'ai sur LinkeDin qui ont changés grand chose -
mixomatose
Nombre de posts : 7214Nombre de likes : 13Inscrit : 12 février 2008La fourchette d'employabilité optimum est étroite en France :
- moins de 30 ans : trop jeune
- plus de 40 ans : trop agé 🤣calculette de charges sociales TNS indépendant en ligne, comparateur simulateur Autoentrepreneur EI EURL http://www.entrepriseindividuelle.info/Calc_CharSoc.php -
ExtazZ
Nombre de posts : 287Nombre de likes : 1Inscrit : 31 août 2015
C'est clair, et d'ailleurs le TJM est aussi au rabais quand on est jeune. 🙄mixomatose a écrit : La fourchette d'employabilité optimum est étroite en France :
- moins de 30 ans : trop jeune
- plus de 40 ans : trop agé 🤣 -
niouzz
Nombre de posts : 363Nombre de likes : 27Inscrit : 23 octobre 2017Je me suis lancé l'année dernière à 28 ans, après un peu plus de 3 ans de SSII.
J'ai senti (et je sens encore) que l'âge était clairement un obstacle pour les mêmes raisons qu'évoquées ci-dessus.
A posteriori, je pense que j'ai bien fait de ne pas me lancer directement à ma sortie d'études.
Je pense que cette expérience du salariat est douloureuse, mais nécessaire avant de se lancer en indép ! -
Livz75
Nombre de posts : 84Nombre de likes : 5Inscrit : 17 janvier 2017
En effet, à 44 ans, même si je ne suis pas encore totalement considéré comme un vieux, j'avoue que ça mord moins vite qu'avant...mixomatose a écrit : La fourchette d'employabilité optimum est étroite en France :
- moins de 30 ans : trop jeune
- plus de 40 ans : trop agé 🤣 -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Tu peux me tutoyer tu sais, on est sur un forum après tout 🙂ExtazZ a écrit : Bonjour,
Mon conseil serait quand même de passer par le salariat au moins 2, 3 ans.
Pourquoi ? Car vous êtes encore jeune et malheureusement l'étiquette du jeune instable va être automatiquement collée sur votre front par les éventuels clients.
Sans expérience certaine, il va être extrêmement difficile de trouver une mission concrète.
Pour l'anecdote, 4ans de salariat, je me suis lancé à 26ans, et ça n'a pas été simple de trouver ma 1ere mission. Les suivantes ont été plus simple, car plus d'expérience, plus de maturité, longues missions...
Que feriez-vous à la place d'un recruteur avec un jeune de 20-22ans en face de vous ? Pensez-vous que c'est un gros "risque" de faire confiance ou pas ? :)
Pour ce qui est de la case salariat avant de passer en freelance pour l'expérience, tu as parfaitement raison, seulement les salaires des traducteurs salariés sont.........ridicules ! Vous qui êtes plutôt dans l'informatique sur ce forum, les salaires sont déjà mieux je pense donc être salarié est déjà plus ''supportable''.
Aujourd'hui tu t'en sors bien en Freelance? Tu as des missions régulièrement? -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Bien sûr que c'est judicieux d'être salarié avant comme tu dis ! Même si je pense que l'approche du monde du travail est très différente dans le monde de l'entreprise par rapport à la Freelance, l'expérience fera toujours un gros plus, je suis d'ailleurs très étonné concernant le fait qu'on peine à te faire confiance en raison de ton âge (à croire que c'est un critère rédhibitoire et signe d'un manque de sérieux au vu de ton savoir faire qui plus est 🙄 ?)rominou a écrit : +1 pour ExtazZ
Je ne vais pas te conseiller de le faire, ou de ne pas le faire. Demandes-toi déjà pourquoi tu le fais ? Selon toi il ne serait pas judicieux de passer par le salariat pour voir déjà comment se comporte le domaine pro ? Et surtout, les risques décrits sont présent et en tant que gérant d'entreprise tu les auras toute ta vie (ou du moins, toute ta vie de gérant d'entreprise) ils ne disparaîtront jamais, donc toi et seulement toi pourra dire si tu prends le risque, ou non.
Concernant l'âge, j'ai 8 ans d'expérience en SSII, je me suis mis gérant en Juin 2018 et du haut de mes 26 ans ( 🤣 ) on arrive encore à me dire que "le client va me trouver jeune, il risque d'en jouer, blablabla" donc imagine, toi, une vingtaine d'année, sans expérience... sachant que pour ma part, je suis dans des missions d'architecture système, j'ai très largement les compétences requises pour les postes sur lesquels je postule, j'ai déjà fait mes preuves dans des grandes multinationales et je suis même certifié (donc j'ai passé des exams qui certifie que j'ai les aptitudes nécessaire pour réaliser tel et tel actions) et malgré tous ces éléments, ils restent focus sur mon âge (et mon anglais, qui reste correcte mais qui n'est pas du niveau C1, d'ailleurs si tu donnes des cours ... :p)
Une idée serait d'être en salariat pour une structure mais en parallèle te mettre AE (si ton employeur l'autorise, vérifie avant d'accepter le poste) puis le - soir / week-end / jours fériés / temps libre - tu vas sur les sites de traductions et tu proposes tes services + un blog / linkedin, etc... pour bien te reféréncer tranquillement. Comme ça tu as les 2, un emploi stable te garantissant des revenus (au début c'est très important, un autre motif pour lequel je ne pourrais pas te conseiller de le faire, c'est que vu que tu es encore étudiant, je suppose que tu n'as pas de revenu de côté, qu'est-ce qu'il se passe si ton client tarde à te payer ? 😉 )
Bon courage en tout cas ! Et tu es jeune, dis-toi que tu n'as pas besoin de te presser, se lancer à 22/23 ans reste encore en dessous de la majorité donc dis-toi que tu as vraiment ton temps devant toi...
''te mettre AE'' AE = freelance ?
Si c'est cela, j'ai besoin de l'accord de mon employeur pour bosser en freelance en parallèle à mon travail en entreprise ? Je ne pense pas avoir bien compris ce que tu as voulu dire.
Merci pour tes encouragements 😉 -
rominou
Nombre de posts : 84Nombre de likes : 1Inscrit : 6 février 2018
C'est surtout une belle excuse pour me payer moins cher car avec mon nombre de certifications et mon expérience, je suis bien en dessous du prix que je devrais être payé, mais j'accepte car nous sommes en France et c'est le pays qui veut ça, donc il faut s'y faire ou mettre son gilet jaune ! 🤣 Encore quelques années et je pourrais prendre ma revanche sur ces personnes, hâte de pouvoir dire à un recruteur " désolé mais la société de votre client est trop jeune pour mon profil 8) " (oui, je rêve beaucoup)Seiwaza a écrit :
Bien sûr que c'est judicieux d'être salarié avant comme tu dis ! Même si je pense que l'approche du monde du travail est très différente dans le monde de l'entreprise par rapport à la Freelance, l'expérience fera toujours un gros plus, je suis d'ailleurs très étonné concernant le fait qu'on peine à te faire confiance en raison de ton âge (à croire que c'est un critère rédhibitoire et signe d'un manque de sérieux au vu de ton savoir faire qui plus est 🙄 ?)rominou a écrit : +1 pour ExtazZ
Je ne vais pas te conseiller de le faire, ou de ne pas le faire. Demandes-toi déjà pourquoi tu le fais ? Selon toi il ne serait pas judicieux de passer par le salariat pour voir déjà comment se comporte le domaine pro ? Et surtout, les risques décrits sont présent et en tant que gérant d'entreprise tu les auras toute ta vie (ou du moins, toute ta vie de gérant d'entreprise) ils ne disparaîtront jamais, donc toi et seulement toi pourra dire si tu prends le risque, ou non.
Concernant l'âge, j'ai 8 ans d'expérience en SSII, je me suis mis gérant en Juin 2018 et du haut de mes 26 ans ( 🤣 ) on arrive encore à me dire que "le client va me trouver jeune, il risque d'en jouer, blablabla" donc imagine, toi, une vingtaine d'année, sans expérience... sachant que pour ma part, je suis dans des missions d'architecture système, j'ai très largement les compétences requises pour les postes sur lesquels je postule, j'ai déjà fait mes preuves dans des grandes multinationales et je suis même certifié (donc j'ai passé des exams qui certifie que j'ai les aptitudes nécessaire pour réaliser tel et tel actions) et malgré tous ces éléments, ils restent focus sur mon âge (et mon anglais, qui reste correcte mais qui n'est pas du niveau C1, d'ailleurs si tu donnes des cours ... :p)
Une idée serait d'être en salariat pour une structure mais en parallèle te mettre AE (si ton employeur l'autorise, vérifie avant d'accepter le poste) puis le - soir / week-end / jours fériés / temps libre - tu vas sur les sites de traductions et tu proposes tes services + un blog / linkedin, etc... pour bien te reféréncer tranquillement. Comme ça tu as les 2, un emploi stable te garantissant des revenus (au début c'est très important, un autre motif pour lequel je ne pourrais pas te conseiller de le faire, c'est que vu que tu es encore étudiant, je suppose que tu n'as pas de revenu de côté, qu'est-ce qu'il se passe si ton client tarde à te payer ? 😉 )
Bon courage en tout cas ! Et tu es jeune, dis-toi que tu n'as pas besoin de te presser, se lancer à 22/23 ans reste encore en dessous de la majorité donc dis-toi que tu as vraiment ton temps devant toi...
''te mettre AE'' AE = freelance ?
Si c'est cela, j'ai besoin de l'accord de mon employeur pour bosser en freelance en parallèle à mon travail en entreprise ? Je ne pense pas avoir bien compris ce que tu as voulu dire.
Merci pour tes encouragements 😉
AE = Auto-Entepreneur, donc oui il s'agit d'un statut de freelanceur mais qui peut-être pratique dans ton cas pour débuter, ça évitera d'ouvrir une trop grande structure et avoir trop de paperasse pour rien. Et oui, tu as besoin de l'accord de ton employeur si tu as une clause dans ton contrat (clause exclusivité il me semble) -
ExtazZ
Nombre de posts : 287Nombre de likes : 1Inscrit : 31 août 2015Seiwaza a écrit :
Tu peux me tutoyer tu sais, on est sur un forum après tout 🙂ExtazZ a écrit : Bonjour,
Mon conseil serait quand même de passer par le salariat au moins 2, 3 ans.
Pourquoi ? Car vous êtes encore jeune et malheureusement l'étiquette du jeune instable va être automatiquement collée sur votre front par les éventuels clients.
Sans expérience certaine, il va être extrêmement difficile de trouver une mission concrète.
Pour l'anecdote, 4ans de salariat, je me suis lancé à 26ans, et ça n'a pas été simple de trouver ma 1ere mission. Les suivantes ont été plus simple, car plus d'expérience, plus de maturité, longues missions...
Que feriez-vous à la place d'un recruteur avec un jeune de 20-22ans en face de vous ? Pensez-vous que c'est un gros "risque" de faire confiance ou pas ? :)
Pour ce qui est de la case salariat avant de passer en freelance pour l'expérience, tu as parfaitement raison, seulement les salaires des traducteurs salariés sont.........ridicules ! Vous qui êtes plutôt dans l'informatique sur ce forum, les salaires sont déjà mieux je pense donc être salarié est déjà plus ''supportable''.
Aujourd'hui tu t'en sors bien en Freelance? Tu as des missions régulièrement?
Oui c'est vrai, l'habitude de vouvoyer dans le secteur du luxe. :)
Malheureusement ca peut être brut de décoffrage mais au début il faut accepter d'être parmis les plus bas.
Moi à la sortie de l'école j'étais payé 20K pour du helpdesk N1, j'ai bougé 1an après pour du 26K ensuite en N1/N2 dans la banque, puis 4ans après j'ai monté ma boite, mon premier TJM (assez bas en RP) était de 300. Puis 330.
Suis passé ensuite au bout de 1an et 10mois en changeant de mission à 360 pendant 5 mois puis maintenant à 400 dans une autre mission. Toujours dans du support N2 secteur luxe.
L'évolution se fait au fil du temps, c'est normal de vouloir gagner vite et bien, malheureusement le système et la mentalité à la Française ne le permettent pas (Notamment du au fait que "il est jeune, on peux marger comme un porc")
Trouver une mission régulièrement, dans mon secteur, je dirai que non car c'est généralement des missions longues. En revanche quand mes missions se terminent je reçois pas mal d'offres mais 85% du temps elles sont soit sous-payées, soit je tombe sur des SSII qui ne donnent pas confiance dès le départ et auxquelles je ne donne pas suite. -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Aha tu prends le temps d'aller vite on pourrait dire 😛 (ce qui est une bonne chose en soi)rominou a écrit : C'est surtout une belle excuse pour me payer moins cher car avec mon nombre de certifications et mon expérience, je suis bien en dessous du prix que je devrais être payé, mais j'accepte car nous sommes en France et c'est le pays qui veut ça, donc il faut s'y faire ou mettre son gilet jaune ! 🤣 Encore quelques années et je pourrais prendre ma revanche sur ces personnes, hâte de pouvoir dire à un recruteur " désolé mais la société de votre client est trop jeune pour mon profil 8) " (oui, je rêve beaucoup)
AE = Auto-Entepreneur, donc oui il s'agit d'un statut de freelanceur mais qui peut-être pratique dans ton cas pour débuter, ça évitera d'ouvrir une trop grande structure et avoir trop de paperasse pour rien. Et oui, tu as besoin de l'accord de ton employeur si tu as une clause dans ton contrat (clause exclusivité il me semble)
Merci pour les informations, et en ce qui concerne tes travaux en freelance j'ai une question pour toi en espérant que ça ne soit pas trop personnel : Le freelance constitue ton seul revenu aujourd'hui ou te sert de complètement de revenu ?
Car si il y a un bien une chose qui me préoccupe c'est est-ce qu'après quelques années en entreprise, on peut prévoir de se mettre freelance sans tracas en ce qui concerne ses futurs revenus ou bien le mot ''freelance'' rimera toujours avec ''instabilité d'argent''.
C'est vraiment ce que je cherche à savoir mais les parcours et expériences de chacun sont tellement différents que ça doit être quasi impossible de répondre à la question 😕 -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Pour être honnête avec toi, je n'ai pas tout compris à ton message, m'y connaissant pas grand chose à l'informatique (je pensais à tort en m'inscrivant que le forum était dédié à tout les domaines) tu m'as perdu 🤣ExtazZ a écrit : Oui c'est vrai, l'habitude de vouvoyer dans le secteur du luxe. :)
Malheureusement ca peut être brut de décoffrage mais au début il faut accepter d'être parmis les plus bas.
Moi à la sortie de l'école j'étais payé 20K pour du helpdesk N1, j'ai bougé 1an après pour du 26K ensuite en N1/N2 dans la banque, puis 4ans après j'ai monté ma boite, mon premier TJM (assez bas en RP) était de 300. Puis 330.
Suis passé ensuite au bout de 1an et 10mois en changeant de mission à 360 pendant 5 mois puis maintenant à 400 dans une autre mission. Toujours dans du support N2 secteur luxe.
L'évolution se fait au fil du temps, c'est normal de vouloir gagner vite et bien, malheureusement le système et la mentalité à la Française ne le permettent pas (Notamment du au fait que "il est jeune, on peux marger comme un porc")
Trouver une mission régulièrement, dans mon secteur, je dirai que non car c'est généralement des missions longues. En revanche quand mes missions se terminent je reçois pas mal d'offres mais 85% du temps elles sont soit sous-payées, soit je tombe sur des SSII qui ne donnent pas confiance dès le départ et auxquelles je ne donne pas suite.
Mais ce que je dois retenir c'est bien ton évolution au fil des ans, quand tu dis que tu as monté ta boite, tu veux dire que tu es passé en freelance ?
Pour ce qui est des missions, je te pose la même question que j'ai posé à ExtazZ au dessus, si elle n'est pas trop perso. merci. -
mixomatose
Nombre de posts : 7214Nombre de likes : 13Inscrit : 12 février 2008
Le monde de l'informatique est plus rémunérateur que la traduction, et surtout, il y a un marché beaucoup plus vaste (il y a de nombreux intermédiaires qui "fluidifient" le marché -même si ils se servent un max au passage), ce qui veut dire que pour un jeune informaticien,Seiwaza a écrit : Le freelance constitue ton seul revenu aujourd'hui ou te sert de complètement de revenu ?
Car si il y a un bien une chose qui me préoccupe c'est est-ce qu'après quelques années en entreprise, on peut prévoir de se mettre freelance sans tracas en ce qui concerne ses futurs revenus ou bien le mot ''freelance'' rimera toujours avec ''instabilité d'argent''.
- même sans expérience, il est toujours possible de trouver du travail en freelance (pas forcément très bien payé, il faut se batir de l'expérience et savoir se vendre pour monter en tarif)
- on trouve (pratiquement toujours) une opportunité
- on peut trouver des missions longues (6 mois à plusieurs années).
Dans 95% des cas, les missions sont comme des périodes de salariat, le freelance étant incorporé dans des équipes de développement internes des clients.
Donc, dans ce domaine, freelance n'est pas synonyme de revenus instables.
Par contre, dans la traduction, il me semble que les indépendants travaillent plutot "à la tache". Pour avoir du travail régulier, il faut être connu et avoir un bon carnet d'adresse. Il y a bien sur des places de marché mais je pense que c'est très dur d'arriver à vivre grace à elles.calculette de charges sociales TNS indépendant en ligne, comparateur simulateur Autoentrepreneur EI EURL http://www.entrepriseindividuelle.info/Calc_CharSoc.php -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Je n'en doute pas que l'informatique est plus demandé, c'est une filière d'avenir selon ce que j'entends...mixomatose a écrit : Le monde de l'informatique est plus rémunérateur que la traduction, et surtout, il y a un marché beaucoup plus vaste (il y a de nombreux intermédiaires qui "fluidifient" le marché -même si ils se servent un max au passage), ce qui veut dire que pour un jeune informaticien,
- même sans expérience, il est toujours possible de trouver du travail en freelance (pas forcément très bien payé, il faut se batir de l'expérience et savoir se vendre pour monter en tarif)
- on trouve (pratiquement toujours) une opportunité
- on peut trouver des missions longues (6 mois à plusieurs années).
Dans 95% des cas, les missions sont comme des périodes de salariat, le freelance étant incorporé dans des équipes de développement internes des clients.
Donc, dans ce domaine, freelance n'est pas synonyme de revenus instables.
Par contre, dans la traduction, il me semble que les indépendants travaillent plutot "à la tache". Pour avoir du travail régulier, il faut être connu et avoir un bon carnet d'adresse. Il y a bien sur des places de marché mais je pense que c'est très dur d'arriver à vivre grace à elles.
Dans les missions où on travaille en équipe, est-ce que on a un boss ? Car une des raisons pour lesquelles j'aimerai me lancer freelance est l'inexistence de toute hiérarchie, faut t-il prévoir également des déplacements ou tout se fait depuis chez soi?
Connais-tu d'autre domaines en dehors de l'informatique où y a bcp de boulot en freelance ? Faut-il de bonne capacité en mathématique/science pour être dans l'informatique ?
Désolé de toutes ces questions mais je cherche vraiment ma voie et je veux pas mettre de côté le Freelance aussi facilement, j'ai vraiment besoin d'être rassuré mais je dois faire face à la réalité, merci infiniment de ta réponse. -
OscillationForcée
Nombre de posts : 252Nombre de likes : 82Inscrit : 23 novembre 2016Peut-être prendre le problème autrement, établir une démarche de ce type :- Quels sont les secteurs (jurique ? édition ? bancaire ?) employant des traducteurs ?
Quelles sont les entreprises ou institutions employant des traducteurs ?
Chercher si une étude sectorielle existe déjà (études INSEE ou via les codes NAF pour estimer le nombre de traducteurs agissant sous un code NAF précis et correspondant au métier de traducteur)
Enquête sur les 2 points précédents puis identification des profils types, confirmation des possibilités du statut d'indépendant dans tel ou tel profil type. Aller sur le terrain si besoin, questionner des RH ou services commerciaux.
Pourquoi vous focalisez-vous sur le statut d'indépendant plutôt que sur le métier lui-même ? L'immense majorité ici est freelance mais a été salariée, j'en connais qui ont alterné les statuts 4-5 fois voire plus, et pourtant ils continuent à faire le même métier (ou presque) qu'ils aiment. C'est quand même important de faire ce qu'on aime quand il s'agit de le faire pendant plus de 40 ans, et le statut là-dedans n'est qu'une composante du parcours.
A-t-on une hiérarchie ? Evidemment nous autres informaticiens sommes presque tous en clientèle (les éditeurs de logiciel ont souvent d'autres problématiques peu ou pas mentionnées ici). Qui dit client dit donneur d'ordre et tout ce qui va avec (besoins mal exprimés, contradictoires, changeant sans arrêt..)
Peut-on travailler chez soi ? Parfois, ça dépend du client. Pour la traduction, il faut passer par les étapes que j'ai mentionnées. Merci aux autres intervenants de compléter la démarche si elle est bancale sur certains points. - Quels sont les secteurs (jurique ? édition ? bancaire ?) employant des traducteurs ?
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François1
Nombre de posts : 2526Nombre de likes : 9Inscrit : 4 avril 2008Bonjour,
Comme expliqué par les différents interlocuteurs ici, tu sembles prendre le problème un peu à l'envers.
La question n'est pas de savoir si tu peux devenir freelance, mais si tu peux vivre de l'activité que tu as choisi d'exercer. D'après ce que tu nous expliques, tu es encore au lycée et souhaite devenir traducteur après ton Bac. Il te faut être un peu patient et commencer par exercer en tant que salarié avant d'envisager d'être à ton propre compte. C'est une question d'expérience et de crédibilité.
A ce sujet, je reprend l'une de tes questions:
Il y a des millions de gens qui travaillent en tant que freelance en France, mais le terme n'est pas approprié, il vaut mieux parler de travailleur indépendant: cela va de l'infirmière au commerçant, en passant par l'artisan, l'expert, le conseiller, la secrétaire, le journaliste et... les traducteurs. Certains deviennent chefs d'entreprises et emploient plusieurs salariés, d'autres travaillent en solo. C'est une question de nature d'activité, d'envie de développement et d'opportunité.Seiwaza a écrit : Connais-tu d'autre domaines en dehors de l'informatique où y a bcp de boulot en freelance ?
Certains le font en sortant de l'école mais c'est extrêmement rare. Je ne connais personnellement pas de plombier qui se soit mis à son compte en sortant de son Bac Pro, et il y a encore moins d'experts judiciaires qui ont moins de 30 ans. Bref, pour l'essentiel des activités que l'on veut pratiquer comme indépendant (à part les artistes, les youtubers, les gamers et d'autres professions que j'oublie sans doute), il faut un minimum d'expérience. Le reste viendra quand tu te sentiras prêt; et si tu as la fibre commerciale et entrepreneurial, ça peut venir vite.
Bonne chance !
--
FrançoisFrançois -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Les agences de traductions ainsi que tout types d'entreprises, un traducteur, bien qu'il puisse spécialiser dans la traduction d'un domaine en particulier, à des travaux variés et peut traduire toute sorte de documents, aujourd'hui ça peut être un mode d'emploi pour une ampoule, demain un article de presse...OscillationForcée a écrit : Peut-être prendre le problème autrement, établir une démarche de ce type :- Quels sont les secteurs (jurique ? édition ? bancaire ?) employant des traducteurs ?
Quelles sont les entreprises ou institutions employant des traducteurs ?
Chercher si une étude sectorielle existe déjà (études INSEE ou via les codes NAF pour estimer le nombre de traducteurs agissant sous un code NAF précis et correspondant au métier de traducteur)
Enquête sur les 2 points précédents puis identification des profils types, confirmation des possibilités du statut d'indépendant dans tel ou tel profil type. Aller sur le terrain si besoin, questionner des RH ou services commerciaux.
Pourquoi vous focalisez-vous sur le statut d'indépendant plutôt que sur le métier lui-même ? L'immense majorité ici est freelance mais a été salariée, j'en connais qui ont alterné les statuts 4-5 fois voire plus, et pourtant ils continuent à faire le même métier (ou presque) qu'ils aiment. C'est quand même important de faire ce qu'on aime quand il s'agit de le faire pendant plus de 40 ans, et le statut là-dedans n'est qu'une composante du parcours.
A-t-on une hiérarchie ? Evidemment nous autres informaticiens sommes presque tous en clientèle (les éditeurs de logiciel ont souvent d'autres problématiques peu ou pas mentionnées ici). Qui dit client dit donneur d'ordre et tout ce qui va avec (besoins mal exprimés, contradictoires, changeant sans arrêt..)
Peut-on travailler chez soi ? Parfois, ça dépend du client. Pour la traduction, il faut passer par les étapes que j'ai mentionnées. Merci aux autres intervenants de compléter la démarche si elle est bancale sur certains points.
Pourquoi j'insiste sur le statut d'indépendant plutôt que sur le métier ? Car je ne souhaite pas travailler pour un patron toute ma vie, j'ai compris que la case salariat est quasiment obligée mais je refuse d'être salarié toute ma carrière, j'insiste donc sur le statut d'indépendant car je cherche à être maître de mon emploi du temps et à pouvoir m'organiser comme je l'entends dans mon travail, sans avoir un supérieur derrière moi, et ce le plus vite possible (après expérience en salariat bien sûr).
L'idéal pour moi serait d'acquérir l'expérience nécessaire dans le salariat pour me lancer en freelance et garder le statut d'indépendant pour toute ma vie, je sais pas si ça semble réaliste comme projet, l'important est d'être mon propre boss.
Pour ce qui est de la hiérarchie, je ne parlais pas des clients, mais des hiérarchies au sein du travail, à savoir responsable/chef. - Quels sont les secteurs (jurique ? édition ? bancaire ?) employant des traducteurs ?
-
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Je suis tout à fait d'accord avec tout les points que tu as mentionnés et cela rejoint les messages des autres forumeurs.François1 a écrit : Bonjour,
Comme expliqué par les différents interlocuteurs ici, tu sembles prendre le problème un peu à l'envers.
La question n'est pas de savoir si tu peux devenir freelance, mais si tu peux vivre de l'activité que tu as choisi d'exercer. D'après ce que tu nous expliques, tu es encore au lycée et souhaite devenir traducteur après ton Bac. Il te faut être un peu patient et commencer par exercer en tant que salarié avant d'envisager d'être à ton propre compte. C'est une question d'expérience et de crédibilité.
A ce sujet, je reprend l'une de tes questions:
Il y a des millions de gens qui travaillent en tant que freelance en France, mais le terme n'est pas approprié, il vaut mieux parler de travailleur indépendant: cela va de l'infirmière au commerçant, en passant par l'artisan, l'expert, le conseiller, la secrétaire, le journaliste et... les traducteurs. Certains deviennent chefs d'entreprises et emploient plusieurs salariés, d'autres travaillent en solo. C'est une question de nature d'activité, d'envie de développement et d'opportunité.Seiwaza a écrit : Connais-tu d'autre domaines en dehors de l'informatique où y a bcp de boulot en freelance ?
Certains le font en sortant de l'école mais c'est extrêmement rare. Je ne connais personnellement pas de plombier qui se soit mis à son compte en sortant de son Bac Pro, et il y a encore moins d'experts judiciaires qui ont moins de 30 ans. Bref, pour l'essentiel des activités que l'on veut pratiquer comme indépendant (à part les artistes, les youtubers, les gamers et d'autres professions que j'oublie sans doute), il faut un minimum d'expérience. Le reste viendra quand tu te sentiras prêt; et si tu as la fibre commerciale et entrepreneurial, ça peut venir vite.
Bonne chance !
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François
Tu penses qu'il faut combien d'année d'expérience minimum dans le salariat avant de se lancer freelance ? -
François1
Nombre de posts : 2526Nombre de likes : 9Inscrit : 4 avril 2008
Personne ne peut répondre à cette question !Seiwaza a écrit : Tu penses qu'il faut combien d'année d'expérience minimum dans le salariat avant de se lancer freelance ?
Cela dépend du temps passé pour constituer un réseau de clients potentiels, du lieu où on s'installe, de la motivation, des opportunités,...
Patience, patience. Plus tu affineras ton projet, plus tu auras de chance de vivre de ton activité d'indépendant.
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FrançoisFrançois -
Free-Worker-244310
Nombre de posts : 156Nombre de likes : 6Inscrit : 7 janvier 2021Pour te lancer, sache que euroscript Luxembourg S.à.r.l (traductions, gestion de contenu et documentaire, 85 personnes) emploie énormément de traducteurs freelance, et les référence grâce à sa base de données. Les freelances peuvent être juniors, seniors, spécialisés dans un domaine ou pas, faisant de la version, du thème ou de la version, etc
C'est un démarrage pour te lancer en leur envoyant ton CV. -
niouzz
Nombre de posts : 363Nombre de likes : 27Inscrit : 23 octobre 2017
Attention...Seiwaza a écrit : Pourquoi j'insiste sur le statut d'indépendant plutôt que sur le métier ? Car je ne souhaite pas travailler pour un patron toute ma vie,
[...]
j'insiste donc sur le statut d'indépendant car je cherche à être maître de mon emploi du temps et à pouvoir m'organiser comme je l'entends dans mon travail, sans avoir un supérieur derrière moi.
[...]
l'important est d'être mon propre boss.
[...]
Pour ce qui est de la hiérarchie, je ne parlais pas des clients, mais des hiérarchies au sein du travail, à savoir responsable/chef.
Ce n'est pas parce que tu es indépendant que tu n'as pas de "responsable"/"chef". Ni que tu n'as pas de contraintes d'emplois du temps ou autre.
Une majorité des personnes de ce forum intervient en régie, chez un client.
Nous n'avons certes pas de lien hiérarchique au sens strict du terme, mais c'est tout comme : nos "boss", ce sont nos clients !
Je force un peu le trait, mais il est important d'en avoir conscience. -
OscillationForcée
Nombre de posts : 252Nombre de likes : 82Inscrit : 23 novembre 2016Tout à fait d'accord avec les commentaires de niouzz et François1.
On peut prendre l'exemple de l'indépendant dans le domaine du bien-être ou du culturel. Se lancer là-dedans sans "étude de marché" est aller au casse-pipe, et y développer une clientèle prend des années. Il faut s'armer de patience et développer un arsenal de compétences (pour filer la métaphore).
Dans un cas extrême, il vaut peut-être même mieux avoir un "boss" qui te pourrit la vie mais te défend convenablement face à un client ingérable (soit parce qu'il est en train de se prendre un corner sur un projet, ou qu'il est en faillite, ou carrément parce qu'il est à moitié taré et ça existe) que de se prendre le client frontalement et ne pas savoir gérer. Gérer s'apprend, certes, mais il faut alors vouloir aussi se confronter à ça. -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018Merci pour ces précisions François1 / a.CMS
Qu'est-ce que tu veux dire par là ? Un indépendant est supposé travailler seul ou en employant des salariés sauf si j'ai loupé quelque chose ?niouzz a écrit : Attention...
Ce n'est pas parce que tu es indépendant que tu n'as pas de "responsable"/"chef".
Ah d'accord, mais si tu insistes autant c'est que certains clients font pression sur les freelances ? Je veux dire, même si c'est le cas, on est quand même loin du patron qui surveille ton travail et te donne des ordres...enfin j'espère 🙄niouzz a écrit : Nous n'avons certes pas de lien hiérarchique au sens strict du terme, mais c'est tout comme : nos "boss", ce sont nos clients !
Je force un peu le trait, mais il est important d'en avoir conscience. -
mixomatose
Nombre de posts : 7214Nombre de likes : 13Inscrit : 12 février 2008
En réalité, ça peut être pire que ça. Certains clients considèrent que comme ils te payent, tu es leur esclave...Seiwaza a écrit : Je veux dire, même si c'est le cas, on est quand même loin du patron qui surveille ton travail et te donne des ordres...enfin j'espère 🙄calculette de charges sociales TNS indépendant en ligne, comparateur simulateur Autoentrepreneur EI EURL http://www.entrepriseindividuelle.info/Calc_CharSoc.php -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Très bien merci de ton intervention je prend note, j'ai aussi une autre question : dans un pays étranger où la monnaie n'est pas l'euro, c'est possible de travailler pour des clients en Europe et les faire payer en Euro? (ma question est mal formulé mais c'est dur à expliquer, si je reçois l'argent en euro sur paypal par exemple, en sachant que là où je vis c'est en dollar par exemple, ça se passe comment?)OscillationForcée a écrit : Tout à fait d'accord avec les commentaires de niouzz et François1.
On peut prendre l'exemple de l'indépendant dans le domaine du bien-être ou du culturel. Se lancer là-dedans sans "étude de marché" est aller au casse-pipe, et y développer une clientèle prend des années. Il faut s'armer de patience et développer un arsenal de compétences (pour filer la métaphore).
Dans un cas extrême, il vaut peut-être même mieux avoir un "boss" qui te pourrit la vie mais te défend convenablement face à un client ingérable (soit parce qu'il est en train de se prendre un corner sur un projet, ou qu'il est en faillite, ou carrément parce qu'il est à moitié taré et ça existe) que de se prendre le client frontalement et ne pas savoir gérer. Gérer s'apprend, certes, mais il faut alors vouloir aussi se confronter à ça.
Je sais absolument si quelqu'un a une réponse à ça mais je devais la poser quelque part... 🤣 -
Seiwaza
Nombre de posts : 37Nombre de likes : 0Inscrit : 24 décembre 2018
Ah oui... 😲mixomatose a écrit :
En réalité, ça peut être pire que ça. Certains clients considèrent que comme ils te payent, tu es leur esclave...Seiwaza a écrit : Je veux dire, même si c'est le cas, on est quand même loin du patron qui surveille ton travail et te donne des ordres...enfin j'espère 🙄
Et c'est régulier de croiser de tels caractériels 🙄 ? -
OscillationForcée
Nombre de posts : 252Nombre de likes : 82Inscrit : 23 novembre 2016Si tu n'as pas d'expérience professionnelle tu ne peux pas savoir si effectivement on a un patron dans le dos qui surveille ou pas. Je n'ai jamais eu aucun patron dans mon dos (en 20 ans). Des clients oui, plusieurs en même temps, lors de situations difficiles (en domaine bancaire) avec des types que tu ne peux pas embrouiller car ils ont une cylindrée bien plus puissante (polytechnique , centrale etc) ; ou encore des situations avec rapport toutes les heures pendant une semaine avec tous les quart d'heures "bon t'en es où ?".
Le patron n'est pas content (de toi ou de son chiffre d'affaire) ? il te vire. Le client n'est pas content ? Il va peut-être te virer mais d'abord tchitchi et tu vas débloquer la situation impossible. D'autant plus si tu es indépendant et que tu as envie de continuer à facturer le dit client, tu vas nécessairement amener l'affaire à son terme et avec le sourire.