Forum
Savoir vers quelle carrière s'orienter à quinze ans
lola34
Contacter en MP
lola34
Nombre de posts : 17
Nombre de likes : 0
Inscrit :
27 juin 2012
Bonjour,
J'ai mon gars de quinze ans qui est cette année en 3ème, et il a des notes pas vraiment brillantes, sans être non plus catastrophique, pas la grosse loose nan.
Bien sur ces résultats scolaires m'inquiètent déjà assez mais ce qui m'alarme avant tout c'est qu'il ne sait vraiment pas quoi faire une fois adulte. Que ce soit de math, sport, français, ou toutes autres matières il n'est pas capable de révéler spontanément ce qui le passionne. Et lui ne semble pas s'en soucier vraiment. Le monde adulte n'est pour lui qu'une chose lointaine, quelque chose d'inconcevable pour le moment.
Croyez-vous que tous les ados du même âge pensent cela ?
A cet âge il est encore tôt pour choisir un métier ?
Moi à son âge, même avant cela, j'avais déjà une pensée claire sur ce que je voulais faire plus tard.
Les temps changent sans doute ...
J'ai mon gars de quinze ans qui est cette année en 3ème, et il a des notes pas vraiment brillantes, sans être non plus catastrophique, pas la grosse loose nan.
Bien sur ces résultats scolaires m'inquiètent déjà assez mais ce qui m'alarme avant tout c'est qu'il ne sait vraiment pas quoi faire une fois adulte. Que ce soit de math, sport, français, ou toutes autres matières il n'est pas capable de révéler spontanément ce qui le passionne. Et lui ne semble pas s'en soucier vraiment. Le monde adulte n'est pour lui qu'une chose lointaine, quelque chose d'inconcevable pour le moment.
Croyez-vous que tous les ados du même âge pensent cela ?
A cet âge il est encore tôt pour choisir un métier ?
Moi à son âge, même avant cela, j'avais déjà une pensée claire sur ce que je voulais faire plus tard.
Les temps changent sans doute ...
Tout pour la création de votre site immobilier sur http://www.creation-site-immobilier.com et placez votre site en première page Google.
-
antoniop
Nombre de posts : 65Nombre de likes : 0Inscrit : 12 novembre 2012
Oui, ce qui était largement réalisable à l'époque. Mon père, arrivé fin des années 60 en france a eu une carte de séjour "à vie". Cela reflète bien l'ambiance de l'époque. Le travail ne manquait pas, c'était la main d'oeuvre qui manquait.hmg a écrit : Nos parents et grands parents devaient acquérir rapidement un métier pour pouvoir vivre et faire vivre leur famille.
Aujourd'hui, on sait qu'il y a plein de filières qui ne fonctionnent pas et quelques unes qui marchent.
Pas facile pour un jeune de s'orienter, surtout s'il n'a pas de passion particulière.
Les enfants sont peut-être plus gâtés qu'il y a 40 ans, d'un autre côté ils subissent un double stress de leurs parents, pour le futur emploi de leur enfant et pour leur propre emploi. Cela à cause de l'ambiance générale de récession.hmg a écrit :
Est-ce la même problématique qui se pose à nos enfants ?
Je pense qu'on trouve toujours que nos enfants ont une vie plus facile, pas à cause de la télé, des jeux vidéos, mais parce que globalement ils ont plus de liberté que nous, les parents actuels sont plus attentifs et moins sévères envers leurs enfants que ne l'étaient nos parents, etc. Globalement, je pense que c'est vrai en tout cas.tof a écrit : Qu'elles étaient nos motivations dans les années 85, nos parents trouvaient-ils qu'on avait une vie plus facile vu qu'on avait la télé couleur, les walkman, et j'en passe. -
hmg
Nombre de posts : 26862Nombre de likes : 416Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
tof, si ma manière objective de m'exprimer vous fait penser à de la théorie, soit.
Mais, en quoi est-il étonnant de partir du passé pour faire remarquer que la problématique du "choix" de carrière pour un ado de 15 ans n'est pas si ancienne que cela ? Et qu'elle n'est généralement importante que dans les pays dits développés.
Jusqu'au 19ème siècle, 99% des enfants soit faisaient la même chose que leur parent et ceci avant même d'avoir 15 ans (il faut attendre 1841 pour qu'il soit interdit de faire travailler les enfants de moins de 8 ans), soit s'engageaient dans l'armée ou encore rentraient au séminaire. Avec l'industrialisation, l'arrivée de nouveaux métiers et l'éducation (et notamment le versement des allocations familiales en fonction de l'assiduité en classe), les choses ont changées petit à petit.
Pour nos parents et grands parents, même si les choses avaient changées, il restait qu'ils étaient confrontés à des périodes difficiles (première, seconde guerre mondiale et tous les conflits qui ont conduits à l'indépendance des colonies françaises, période de reconstruction en France, besoin rapide de main d'oeuvre). Les jeunes allaient encore souvent rapidement sur le marché du travail.
La problématique du "choix" n'est donc l'apanage que des générations les plus récentes. Et le problème pour un parent d'y être confronté l'est aussi.Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas. -
tof77
Nombre de posts : 91Nombre de likes : 0Inscrit : 17 juillet 2014
Je pense que cette problématique de choix n'existe que depuis les années 80 où les gouvernants de l'époque ne voulait que des cerveaux et 100 % de bachelier.hmg a écrit : La problématique du "choix" n'est donc l'apanage que des générations les plus récentes. Et le problème pour un parent d'y être confronté l'est aussi.
Les filières pro étaient mal vu dans les années 80 et n'y allaient que les "cancres".
On s’aperçoit maintenant que nos voisins allemands, qui eux ont fait le choix de l'apprentissage, s'en sortent beaucoup mieux que nous.
Et oui dans les années 50-60 (sans remonter plus loin), il y avait quasiment du plein emploi, donc pourquoi choisir de continuer ses études alors qu'à 18 ans ont pouvait être "libre" et "indépendant" quelque soit la voie choisie.
C'est uniquement l’environnement économique qui fait qu’actuellement les parents s'inquiètent, un jeune de 15 ans (et nombreux sont les participants à l'avoir dit) à d'autres chats à fouetter que de s'occuper de ce qu'il fera dans 10 ans. -
antoniop
Nombre de posts : 65Nombre de likes : 0Inscrit : 12 novembre 2012
+1tof a écrit : Les filières pro étaient mal vu dans les années 80 et n'y allaient que les "cancres".
et cette mentalité a fait (et fait toujours) beaucoup de ravages. -
Tcharli
Nombre de posts : 2527Nombre de likes : 3Inscrit : 21 novembre 2008En Suisse, 75% des élèves de 15 ans passent avec fierté en apprentissage. Ils ont un accompagnement vers une profession partir de 12 ans. Y a pas photo. (J'ai lu).
Dans les années 70-80, on embauchait dans le tertiaire avec bac ou niveau bac. Pour le même emploi, aujourd'hui, c'est BTS ou plus haut. Et c'est payé pareil.
En ratant le bac, on pouvait faire employé de bureau. Ce métier, comme standardiste ou dactylo, a disparu. Tous les employés tapent leurs courriers (ou leurs mails).
L'industrie ? Idem.Ex-courtier en assurances néo-retraité, rangé des voitures. Opinions sur le forum à titre personnel et non professionnel. Protection sociale des Travailleurs Non Salariés et SASU. En MP, bons courtiers pour prévoyance, mutuelle, retraite, RC PRO -
BPSG
Nombre de posts : 102Nombre de likes : 0Inscrit : 30 août 2014
🤣 🤣 🤣 Que de bêtises écrites.hmg a écrit : Je pense qu'une grande part de l'indécision sur ce qu'ils veulent faire demain est liée au fait que leurs vies sont plus faciles aujourd'hui que pouvait l'être au même âge la vie de nos parents et grands parents.
...Si je puis me permettre, vous avez bien fait de vous orienter dans la compta à 15 ans. -
hmg
Nombre de posts : 26862Nombre de likes : 416Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
Et vous dans le trollage ?BPSG a écrit :
🤣 🤣 🤣 Que de bêtises écrites.hmg a écrit : Je pense qu'une grande part de l'indécision sur ce qu'ils veulent faire demain est liée au fait que leurs vies sont plus faciles aujourd'hui que pouvait l'être au même âge la vie de nos parents et grands parents.
...Si je puis me permettre, vous avez bien fait de vous orienter dans la compta à 15 ans.
En France aujourd'hui :
- les jeunes mangent à leur faim
- il n'y a pas de guerres
- le rythme scolaire a fortement changé
- il y a moins d'heures de cours
- il y a moins de devoirs à la maison
- il n'y a plus de châtiments corporels
- plus d'uniformes obligatoires
...Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas. -
BPSG
Nombre de posts : 102Nombre de likes : 0Inscrit : 30 août 2014
Comme si les choses étaient si simpliste et primaire....qui est le trolle ?hmg a écrit : Bonjour,
Et vous dans le trollage ?BPSG a écrit :
🤣 🤣 🤣 Que de bêtises écrites.hmg a écrit : Je pense qu'une grande part de l'indécision sur ce qu'ils veulent faire demain est liée au fait que leurs vies sont plus faciles aujourd'hui que pouvait l'être au même âge la vie de nos parents et grands parents.
...Si je puis me permettre, vous avez bien fait de vous orienter dans la compta à 15 ans.
En France aujourd'hui :
- les jeunes mangent à leur faim
- il n'y a pas de guerres
- le rythme scolaire a fortement changé
- il y a moins d'heures de cours
- il y a moins de devoirs à la maison
- il n'y a plus de châtiments corporels
- plus d'uniformes obligatoires
...
Je vous laisse avec vos brefs de comptoir, c'est ma tournée ! -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012
Oui, et on peut expliquer ce phénomène tout autant par la dévalorisation des diplômes que par le fait qu'il n'y a plus aujourd'hui beaucoup d'emploi pour les personnes réellement non qualifiées. Même les emplois qu'on classe aujourd'hui avec un peu de suffisance dans la catégorie non qualifiés le sont en réalité. Par exemple mine de rien pour être serveur, il faut avoir une "bonne présentation", du savoir être, une bonne condition physique, de la mémoire, parfois même parler plusieurs langues ... et ça tout le monde n'en est pas capable. Et le tout pour le Smic ou à peine plus.Tcharli a écrit : En Suisse, 75% des élèves de 15 ans passent avec fierté en apprentissage. Ils ont un accompagnement vers une profession partir de 12 ans. Y a pas photo. (J'ai lu).
Dans les années 70-80, on embauchait dans le tertiaire avec bac ou niveau bac. Pour le même emploi, aujourd'hui, c'est BTS ou plus haut. Et c'est payé pareil.
En ratant le bac, on pouvait faire employé de bureau. Ce métier, comme standardiste ou dactylo, a disparu. Tous les employés tapent leurs courriers (ou leurs mails).
L'industrie ? Idem.
Le chômage de masse vient aussi de là, nous ne savons plus donner un travail à tout le monde quelles que soient ses compétences. C'est devenu aujourd'hui un problème tout autant social qu'économique. -
François1
Nombre de posts : 2526Nombre de likes : 10Inscrit : 4 avril 2008Bonsoir,
C'est le cas depuis la fin des années 40.hmg a écrit : En France aujourd'hui :
- les jeunes mangent à leur faim
depuis 1962- il n'y a pas de guerres
Il s'est accéléré. 3 mois de vacances d'été dans les années 50, avec des études primaires où l'on apprenait par coeur les préfectures de départements et les conjonctions de coordinations. Aujourd'hui les jeunes analysent plus vite un tas d'informations et ingurgitent un plus grand nombre de connaissances.- le rythme scolaire a fortement changé
Vous êtes sûr ? Depuis quand ?- il y a moins d'heures de cours
Si c'est le cas tant mieux (mais si j'en crois le poids du cartable des gamins de 6ème d'aujourd'hui comparé à celui d'il y a 20 ans, je ne pense pas...).- il y a moins de devoirs à la maison
...- il n'y a plus de châtiments corporels
Exact. J'ai dû porter ma dernière blouse en 5ème en 1974.- plus d'uniformes obligatoires
...
Excusez-moi hmg mais je pense que vous vous trompez sur la jeunesse d'aujourd'hui vivant dans la "facilité" et l"'insouciance". Après les 30 années glorieuses, ce sont les 30 années piteuses qui ont bouleversé notre société et transformé le regard qu'un jeune de 15 ans pouvait avoir sur son avenir.
On ne peut pas comparer les époques.
--
FrançoisFrançois -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012A noter tout de même que si les vacances d'été ont été "inventées" en même temps que l'école publique obligatoire, ce n'est nullement pour que les parents puissent partir en vacances (le tourisme de masse n'existait pas encore), mais pour que les enfants puissent aider leurs parents à travailler dans les champs, à une époque où une bonne partie de la population était encore paysanne. -
hmg
Nombre de posts : 26862Nombre de likes : 416Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
Je n'ai pas parlé de facilité et d'insouciance. J'ai dit "plus facile" pour faire ressortir qu'ils ont moins l'urgence de trouver un travail rapidement et donc mettent plus de temps à choisir.
Je ne vais par ailleurs pas passer des heures sur une partie hors sujet dans le fil. Je dirais juste que vous devriez faire un peu plus de recherches sur les vacances scolaires (notamment le fait que les vacançes de la toussaint et du printemps ont remplacés les 15 jours dont les grandes vacances ont été amputées) et les horaires (suppression des cours le samedi après-midi).
Mais revenons au fil, nous avions avancé en centrant le débat sur la problématique du "choix". Choix qui est une nouveauté et qui n'existait pas en ces termes et de manière aussi importante avant les années 80.Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas. -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Oui, et c'est à cette époque que l'EN, douée d'une imagination sans limite pour répondre à cette problématique, a inventé le conseilleur d'éducation.
En gros dans mes souvenirs de troisième, c'était un monsieur un peu rondouillard, avec une barbe et un gros pull en laine, qui passait 2 ou 3h par trimestre maxi dans chaque classe, et qui s'attardait avant tout sur les plus cancres en leur demandant ce qu'on allait bien pouvoir faire d'eux (pour les autres c'était plus tranquille pour lui, il suffisait de leur dire d'aller au lycée). Comme si une personne qui avait "choisi" d'être conseiller d'orientation pouvait expliquer réellement un métier avec passion 🙄 . Et bien sûr sinon absolument rien sur les débouchés et le marché de l'emploi dans les différents secteurs d'activité, faudrait pas dégoûter les élèves d'aller dans les filières bouchées, ça ferait fermer des classes aux collègues ...
Bref l'orientation dans notre système scolaire est catastrophique, et elle ne fait que creuser les inégalités. -
antoniop
Nombre de posts : 65Nombre de likes : 0Inscrit : 12 novembre 2012
Désolé HMG, mais vous êtes à côté de la plaque.hmg a écrit :
Mais revenons au fil, nous avions avancé en centrant le débat sur la problématique du "choix". Choix qui est une nouveauté et qui n'existait pas en ces termes et de manière aussi importante avant les années 80.
Dans les années 80, choix signifiait le meilleur compromis entre un métier qui plait à l'enfant, ses possibilités et la rémunération qu'il pourra en tirer, sachant que le pire était de sortir de l'enseignement sans formation, ce qui le conduirait à un travail mal payé.
Aujourd'hui, c'est très différent. Le côté "plaire à l'enfant" est totalement dépassé, le choix de l'orientation est crucial car les débouchés sont rares, même mal payés, ce qui explique le stress de cette dame qui a lancé le fil.
Mon épouse dans son travail, prend des "apprentis", étudiants en alternance mais déjà en âge d'être parents, avec une liste de diplômes longue comme le bras, plusieurs langues parlées couramment, et qui ne trouvent que des CDD.
Quant à faire le même travail que papa, désolé mais même moi je n'ai pas connu cette époque. De tout façon le travail de papa n'existe plus aujourd'hui.
Non, je ne crois pas que cela soit plus facile pour les enfants aujourd'hui qu'il y a 30 ans, mais c'est certainement plus facile qu'après la 2ème guerre. Mais ça, je n'ai pas connu. -
hmg
Nombre de posts : 26862Nombre de likes : 416Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
???antoniop a écrit : Désolé HMG, mais vous êtes à côté de la plaque.
Je ne vois pas la raison de cette envolée lyrique. Même après avoir lu votre intervention.
Pour mémoire :
- J'ai parlé de nos parents et grands parents. Donc pas de nos générations (au sens large).
- Ce n'est pas moi qui ait abordé cette problématique du choix en premier.
Vous déniez le "plaire à l'enfant" et expliquez ensuite que parce qu'ils ont fait ce qui leur plait qu'ils ont des diplômes qui ne leur servent à rien.antoniop a écrit : Dans les années 80, choix signifiait le meilleur compromis entre un métier qui plait à l'enfant, ses possibilités et la rémunération qu'il pourra en tirer, sachant que le pire était de sortir de l'enseignement sans formation, ce qui le conduirait à un travail mal payé.
Aujourd'hui, c'est très différent. Le côté "plaire à l'enfant" est totalement dépassé, le choix de l'orientation est crucial car les débouchés sont rares, même mal payés, ce qui explique le stress de cette dame qui a lancé le fil.
Mon épouse dans son travail, prend des "apprentis", étudiants en alternance mais déjà en âge d'être parents, avec une liste de diplômes longue comme le bras, plusieurs langues parlées couramment, et qui ne trouvent que des CDD.
Le "plaire à l'enfant" reste bien une réalité. Ne vous trompez pas, c'est SON choix. Les parents peuvent l'orienter, l'aider à choisir. Mais à la fin, cela ne peut pas être LEUR choix.
La difficulté est que cette aide doit être apportée au moment où l'enfant devenu ado est le moins réceptif à ses parents.Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas. -
tof77
Nombre de posts : 91Nombre de likes : 0Inscrit : 17 juillet 2014
Je trouve étonnant que vous disiez cela car vu votre parcours :hmg a écrit : Le "plaire à l'enfant" reste bien une réalité. Ne vous trompez pas, c'est SON choix. Les parents peuvent l'orienter, l'aider à choisir. Mais à la fin, cela ne peut pas être LEUR choix.
on peut se demander qui au final a choisi, à moins que l'envie de faire de la comptabilité ne soit transmise génétiquement 🤣hmg a écrit : En 3ème, je savais que je voulais aller vers la comptabilité.......Ma famille m'a indiqué que je devais réfléchir avant de prendre une orientation définitive (ma mère étant secrétaire comptable et mon frère expert-comptable, ..... -
hmg
Nombre de posts : 26862Nombre de likes : 416Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
Je n'ai pas l'habitude de prendre mon cas pour une généralité, vous devriez méditer cela. 😛tof a écrit :
Je trouve étonnant que vous disiez cela car vu votre parcours :hmg a écrit : Le "plaire à l'enfant" reste bien une réalité. Ne vous trompez pas, c'est SON choix. Les parents peuvent l'orienter, l'aider à choisir. Mais à la fin, cela ne peut pas être LEUR choix.
on peut se demander qui au final a choisi, à moins que l'envie de faire de la comptabilité ne soit transmise génétiquement 🤣hmg a écrit : En 3ème, je savais que je voulais aller vers la comptabilité.......Ma famille m'a indiqué que je devais réfléchir avant de prendre une orientation définitive (ma mère étant secrétaire comptable et mon frère expert-comptable, .....
En quoi est-ce étonnant ? C'est bien mon choix puisqu'ils préféraient que je fasse autre chose. 8)
Maintenant, si vous souhaitez décortiquer chaque extrait de chacune de mes interventions, ne vous gênez pas, j'ai le dos large. 🙄Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas. -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012
Oui, les débouchés sont rares, et en même temps lorsqu'on cherche un bon artisan on n'en trouve pas. Triste paradoxe. Effectivement il n'y a plus aujourd'hui de rapport direct entre le niveau d'étude et la rémunération.antoniop a écrit :
Désolé HMG, mais vous êtes à côté de la plaque.hmg a écrit :
Mais revenons au fil, nous avions avancé en centrant le débat sur la problématique du "choix". Choix qui est une nouveauté et qui n'existait pas en ces termes et de manière aussi importante avant les années 80.
Dans les années 80, choix signifiait le meilleur compromis entre un métier qui plait à l'enfant, ses possibilités et la rémunération qu'il pourra en tirer, sachant que le pire était de sortir de l'enseignement sans formation, ce qui le conduirait à un travail mal payé.
Aujourd'hui, c'est très différent. Le côté "plaire à l'enfant" est totalement dépassé, le choix de l'orientation est crucial car les débouchés sont rares, même mal payés, ce qui explique le stress de cette dame qui a lancé le fil.
Mon épouse dans son travail, prend des "apprentis", étudiants en alternance mais déjà en âge d'être parents, avec une liste de diplômes longue comme le bras, plusieurs langues parlées couramment, et qui ne trouvent que des CDD.
Quant à faire le même travail que papa, désolé mais même moi je n'ai pas connu cette époque. De tout façon le travail de papa n'existe plus aujourd'hui.
Non, je ne crois pas que cela soit plus facile pour les enfants aujourd'hui qu'il y a 30 ans, mais c'est certainement plus facile qu'après la 2ème guerre. Mais ça, je n'ai pas connu. -
tof77
Nombre de posts : 91Nombre de likes : 0Inscrit : 17 juillet 2014hmg c'est plus pour faire un trait d'humour qu'autre chose, vos interventions sont intéressantes lorsqu'elles sont liées à votre activité, en dehors de celle-ci chacun ce fait son opinion. -
hmg
Nombre de posts : 26862Nombre de likes : 416Inscrit : 9 janvier 2005Bonjour,
Nous sommes dans le café. 🙂tof a écrit : hmg c'est plus pour faire un trait d'humour qu'autre chose, vos interventions sont intéressantes lorsqu'elles sont liées à votre activité, en dehors de celle-ci chacun ce fait son opinion.Cordialement, - HMG - hmg_71@yahoo.fr Expert comptable - Paris - www.hmgec.com Pensez à regarder le contexte et la date des réponses. Elles ne s'appliquent pas toujours à tous les cas. -
Gralou
Nombre de posts : 42Nombre de likes : 0Inscrit : 5 mars 2013
Il y a une autre théorie de l'origine des vacances d'été. C'est vrai qu'à l'époque les enfants des paysans ne fréquentaient pas des masses l'école.Paul92 a écrit : A noter tout de même que si les vacances d'été ont été "inventées" en même temps que l'école publique obligatoire, ce n'est nullement pour que les parents puissent partir en vacances (le tourisme de masse n'existait pas encore), mais pour que les enfants puissent aider leurs parents à travailler dans les champs, à une époque où une bonne partie de la population était encore paysanne.
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/261211/aux-origines-des-vacances-scolaires -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012
Intéressant, je ne pensais pas qu'il y a 200 ans des dates de chasse étaient déjà plus ou moins respectées.Gralou a écrit :
Il y a une autre théorie de l'origine des vacances d'été. C'est vrai qu'à l'époque les enfants des paysans ne fréquentaient pas des masses l'école.Paul92 a écrit : A noter tout de même que si les vacances d'été ont été "inventées" en même temps que l'école publique obligatoire, ce n'est nullement pour que les parents puissent partir en vacances (le tourisme de masse n'existait pas encore), mais pour que les enfants puissent aider leurs parents à travailler dans les champs, à une époque où une bonne partie de la population était encore paysanne.
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/261211/aux-origines-des-vacances-scolaires