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FreeWorker-777

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Réponse postée il y a un jour

Bonjour,

Dans le cadre d'un projet, faire attendre un client 3 mois peut être problématique.

D'accord avec Droopyann : 40% d'indemnités de non-concurrence + un client de cramé + conjoncture pourrie = Pas bon du tout pour l'ESN

Un deal à 3, pendant 3 mois, avant de libérer le Freelance me semblerait être une bonne base pour démarrer les discussions, tout le monde sauve les meubles (enfin, vu de ma position, je ne connais pas l'état de dégradation des relations entre les 3 parties).

Cela pourrait être une solution de sortie acceptable, non? Si aucune des 3 parties ne veut faire de concessions, ça se finira mal pour les 3: l'ESN sera black-listée et passera à la caisse, le Freelance perdra une mission et le projet du client aura du plomb das l'aile.

Bonsoir,

Avec ma petite expérience, je peux te donner deux exemples :

  1. Un pote était dans la même situation que toi. Le client voulait le reprendre en freelance, mais sans avoir à gérer son ESN. Évidemment, l’ESN a refusé. Il a donc annoncé sa démission au client, et les choses se sont vite débloquées. Au final, il est passé freelance, mais porté par son ancienne ESN. Le client a augmenté son TJM de 100-150 € pour "compenser" la perte de marge, et comme le client voulait absolument le garder, ça a permis de calmer tout le monde.

  2. De mon côté, j’avais fait passer un ancien collègue de mon équipe en freelance. Il a démissionné en sortant une excuse bidon, et l’ESN est venue me proposer un remplaçant. J’ai refusé en expliquant que ce n’était pas possible niveau budget. Il a ensuite demandé à faire sauter sa clause de non-concurrence, et sa boîte a fini par accepter. Quand ils ont su qu’il était revenu en tant qu’indépendant porté par une autre boite, ils ont demandé des explications, mais franchement, je n’avais rien à leur justifier.

Comme dit plus haut, la clause est quasiment jamais valable juridiquement, et l’ESN a rarement intérêt à la faire respecter. Après, il faut aussi que le client soit prêt à se mouiller si toi, de ton côté, tu ne gères pas ça avec ta boîte actuelle.

En vrai, ton problème, ce n’est pas tant la clause, mais plutôt la relation entre le client et ton ESN. Il y a aussi d’autres paramètres qui jouent : le contrat entre ton client et ton ESN, la présence d'un double portage, etc.

Sinon, tu peux aussi faire une pause de 3 mois et revenir en indépendant. Si tu fais ça, je ne vois pas trop de problématiques particulières, surtout si le client est prêt à t’attendre.

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Réponse postée 14 novembre 2024 15:21

Une des grandes différences, c'est le contrôle de ses missions, de sa carrière.

Ce n'est pas rien.

Tant que tout se passe bien chez le client, je suis d'accord avec vous, c'est vivable. Mais quand la mission s'arrête et qu'on vous demande de partir chez un autre client à 300 km (en cas de refus, c'est la porte), c'est moins fun.

Je vois pas la différence sur le quotidien, que tu sois interne ou externe (free ou cdi), dans les missions que j'ai pu faire, on était 1 seule équipe et pas de différence selon le statut mais uniquement selon le poste/séniorité. A moins de parler des missions freelance du style pour les starts-ups ou tu arrive et tu leur fait un devis pour x feature mais si on parle dans 90% des dev free en France, c'est sur le modèle du TJM et intégration avec les équipes

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Réponse postée 14 novembre 2024 15:18

Oui cela dépend bien sûr de beaucoup de choses.

Une ESN reste quand même une société très particulière, et passer de Freelance à salarié ESN est sans doute bien plus compliqué que de signer chez un client final.

Exemple: dans un contrat type ESN (à moins que le SYNTEC ait évolué dans le bon sens lors des 5 ou 6 dernières années, ce dont je doute), vous êtes bien souvent "de facto" mobile géographiquement sur toute la France. En 2024, refus d'une mission = abandon de poste = pas d'indemnité chômage. Ce n'est pas très vendeur.

Quand on vient du monde Freelance, cela peut vraiment être déstabilisant. Et le mot esclavage, ne serait-ce que par rapport à ma remarque précédente, n'est pas très éloignée du terme que j'aurais choisi.

SI je dois signer pour une ESN demain (pour manger), j'ai une idée précise de ce qui m'attends (au moins je ne tomberai pas des nues).

Que vaut un CDI dans une ESN ? Selon mon expérience, pas grand chose.

Bonjour,

Vous évoquez un CDI chez un client final ou en ESN?

Chez un client final, pourquoi pas, cela peut être intéressant...

Dans une ESN, après avoir exercé "x" années en indépendant, le choc risque d'être brutal.

Mais bon... d'une part il faut bien remplir le frigo, et d'autre part la situation ne va probablement pas s'arranger en 2025, pour certains (beaucoup?), il va falloir passer en mode "survie".

A titre perso, mon dernier CDI date de 2018, j'ai démissionné juste avant la fin de la période d'essai. C'était pour le compte d'une ESN (une vraie de vrai, dans toute sa splendeur).

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Réponse postée 14 novembre 2024 14:10

Bonjour,

Vous évoquez un CDI chez un client final ou en ESN?

Chez un client final, pourquoi pas, cela peut être intéressant...

Dans une ESN, après avoir exercé "x" années en indépendant, le choc risque d'être brutal.

Mais bon... d'une part il faut bien remplir le frigo, et d'autre part la situation ne va probablement pas s'arranger en 2025, pour certains (beaucoup?), il va falloir passer en mode "survie".

A titre perso, mon dernier CDI date de 2018, j'ai démissionné juste avant la fin de la période d'essai. C'était pour le compte d'une ESN (une vraie de vrai, dans toute sa splendeur).

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Réponse postée 14 novembre 2024 09:51

Bonjour,

Je termine une prestation dans quelques jours, et avant de signer un nouveau contrat, je me pose de sérieuses questions sur la solvabilité des entreprises (clientes comme ESN) en 2025.

Je n'ai pas eu de soucis en 2024, mes factures ont été réglées en temps et en heure, mais en sera t-il de même l'année prochaine?

Le climat économique est très préoccupant, et les effets "boules de neige" risquent de nous impacter fortement (prestataire = variable d'ajustement en bout de chaîne). Un nombre non négligeable d'ESN vont connaître probablement un premier semestre 2025 très compliqué. Même des clients de secteurs d'activité jusqu'à présent bien portants rencontrent aujourd'hui de très grosses difficultés (voir les plans de licenciements annoncés récemment par exemple par des groupes de Grande Distribution).

Bref, c'est un point aujourd'hui sur lequel je pense que les indépendants devront être encore plus vigilants qu'en temps "normal" (le retour au "normal" n'étant pas pour demain). Me concernant, je regarde de très près le secteur d'activité de mes futurs clients, et je vais éviter également désormais de travailler avec des ESN qui sont un peu trop exposées. Cela n'exclut pas le risque mais le limite.

Si vous avez des exemples d'éléments à intégrer dans le contrat de prestation (hormis les délais de paiement et la non dépendance au règlement du client final, 2 conditions très importantes), je suis preneur.

Bonne journée.

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Réponse postée 20 octobre 2024 14:22

Bonjour,

Merci pour le partage des liens vers ces musiques mythiques de Pink Floyd. A consommer sans modération.

J'ai découvert ce groupe au milieu des années 80 (j'avais 15 ans environ) lors de la sortie de "A momentary lapse of reason". Et j'ai enchaîné sur les autres albums, normal...

Et pour le plaisir, un "classique" (part 1 + 2), quand Pink Floyd et Alan Parker associaient leurs talents (que ceux qui ont plus de 50 ans et qui n'ont pas vu "The Wall" lèvent la main) :

https://www.youtube.com/watch?v=PDl6iuku_mw

Du haut niveau !!!

Bonne journée

"gardant que le concept et les mécaniques" juste changer l'emballage ("version numérique") et ajouter un joli ruban ("adapter/modifer certaines règles")... non, ce n'est aucunement du plagiat, c'est de la violation de propriété intellectuelle/industrielle

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Réponse postée 15 août 2024 10:54

Bonjour,

C'est lamentable, je vous souhaite de rebondir bien vite.

Lamentable mais... malheureusement j'ai bien peur que ce genre de pratiques ne continuent à se développer car c'est un tsunami économique qui nous attend à la rentrée et dans les mois à venir.

Quel que soit le gouvernement, il n'y a pas à court terme d'espoir de rebond. Tous les indicateurs sont mauvais.

J'ai la chance d'avoir trouvé une mission de 4 mois depuis début juillet. Jusqu'au jour du démarrage, je savais que l'annulation du contrat pouvait survenir. Et je sais à 90% que ma mission ne sera pas renouvelée car les budgets sont cramés, le client sera tres prudent, je commence à mettre de côté dès à présent pour passer l'hiver. La prudence financiere est ma priorité aujourd'hui.

Pour "blinder" son contrat, c'est compliqué car vous risquez de perde la mission, c'est à double tranchant. Et il est tres compliqué en face d'une ESN assez grosse de faire modifier des contrats standards., dans lesquels le client a beaucoup plus de droits que le prestataire.. C'est injuste, j'en conviens, mais vu la conjoncture, les freelances n'ont jamais été autant en position de faiblesse.

Bonne journée et bon courage à vous.

Hello la compagnie,

J'ai une belle pour vous de bon matin.
Début juin je passe un entretien (4 en réalité en tout) pour un client grand compte. Tout match, le tjm, la durée, le tt etc... Et ils ont besoins de mes compétences pour un renfort car ils sont complètement sous l'eau et qu'ils vont subir un audit volontaire en fin d'année donc il faut que l'infra soit "aux normes".

On m'envoie le contrat quelques jours plus tard pour un démarrage le 19 Aout.

J'essaie de joindre le commercial semaine dernière pour avoir des infos concernant l'heure d'arriver chez le client ce lundi, pas de réponse, je retente dans la semaine par mail + tel, également pas de réponse.

Ce matin 8h00 il m'appel en me laissant un message vocal indiquant que finalement le client annule le besoin et que par conséquent ils n'ont plus besoin de moi. J'ai tenté de le rappeler 5min chrono plus tard et pas de réponse, j'ai retenté 1h plus tard rien.

Comment vous dire dans quel état d'esprit je suis actuellement, je n'ai même pas de mots en fait

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Réponse postée 1 août 2024 11:13

Bonjour,

En plus des éléments apportés plus haut dans la discussion, n'est-ce pas une situation qui risque d'être assimilée à du salariat déguisé ?

Ce montage me paraît hasardeux. Je ne me lancerai pas dans ce qui pourrait se terminer en redressement.

Une remarque, merci pour vos avis : cumuler 2 missions distinctes, la première en AE et la seconde en EPS, sous le même code APE est très risqué au mieux, interdit au pire. Alors sur une seule mission... pioufff. Bonjour les emmerdes !

Je laisse les spécialistes en droit trancher, mais ça sent mauvais à 3 km.

Bonne journée !

Bonjour,

En tant que société de portage, je vais vous apporter la réponse sur la partie légale:

  • Vous avez le droit de cumuler SASU et Portage salarial uniquement si vous avez 2 activités différentes et bien distinctes.

  • Vous pouvez sinon basculer la totalité de votre activité en portage salarial

  • Vous ne devez pas dépasser le nombre d'heures légal: ""Le dépassement de la durée moyenne de 44 heures est possible, dans la limite de 46 heures sur une période de 12 semaines consécutives"

  • Il y a effectivement le salaire minimum légal à respecter et qui est en fonction de votre statut choisi en portage salarial

Ce système d'entreprise + portage salarial est plutôt adapté pour les micro entreprise:

"Le portage salarial peut être adapté à un auto entrepreneur qui a dépassé le plafond de la micro entreprise..."

  • sous entendu qui souhaite basculer la totalité de son activité en portage salarial

"...ou qui souhaite cumuler une activité pour bénéficier des avantages sociaux d'un statut de salarié"

  • l'auto entrepreneur a dans ce cas 2 activités différentes: l'une qu'il exerce par le biais de sa micro entreprise, l'autre qu'il exerce par le biais du portage salarial.

Donc dans votre cas, je rejoins les autres commentaires et ce n'est pas légal de procéder comme vous l'évoqué.

Bonne journée,

Benjamin

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Réponse postée 30 juillet 2024 17:06

Merci bien Droopyann !

Je vais voir cela de près. Pour le moment, mes besoins sont vraiment basiques, je devrais m'en sortir sans soucis.

Effectivement, j'ai échangé avec le conseiller de ma banque traditionnelle, il existe plusieurs plafonds de mouvements, il faut faire attention et estimer au plus juste son CA ( ce qui n'est pas évident vu la conjoncture actuelle) afin d'effectuer des sorties.

Pour ce qui est de la confiance en un banquier... Le dernier en date m'a proposé il y a quelques jours un devis pour une RC Pro. Pas de chance pour lui, la RC ne couvrait pas certaines activités d'exploitation (comme les interventions dans les salles machines). Sur ce coup, la confiance a pris une claque . Dès le départ, et malgré le code APE fourni elle s'est visiblement emmêlé les pinceaux. Bref, la conseillère allait me faire signer une RC qui n'était pas adaptée à mon activité.

Certaines banques traditionnelles (la mienne notamment) ne me paraissent pas optimisées par rapport à mes besoins. Autant se tourner vers celles qui connaissent parfaitement notre métier.

Bonjour,

Le service public regorge d'information :

Ca devrait déjà être pas mal 😜

Pour la facture, Shine et Qonto propose un outil de création de facture. Ca peut être suffisant.
Vous avez aussi plein d'outils en ligne, plus ou moins gratuit. Free-work en propose un par exemple.
Je vous conseille de voir globalement vos besoins et de chercher l'outillage adéquates ensuite.

En ce qui concerne le compte pro : Shine et Qonto sont très similaire à priori.
Elles fonctionnent bien et sont plutôt bien adaptées pour nos activités de freelance IT.
Vous pouvez payer plus cher dans des agences de banque "traditionnelles", mais rien ne garantit que vous aurez un bon service, et surtout un service adapté. Faites notamment attention à ce qu'on appelle les commissions de mouvements. Néanmoins, si vous avez un conseiller pro que vous connaissez et en qui vous avez confiance, c'est top, allez y.


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Réponse postée 30 juillet 2024 13:16

Bonjour,

Je vais établir le mois prochain ma première facture en tant qu'entrepreneur (j'étais jusqu'à présent en Portage Salarial).

Je suis en EI, régime micro, bénéficiaire de l'ACRE mais pas d'ARCE. Bref, rien de tricky.

Il n'y a pas de particularités concernant mon activité : TJM fixe, pas d'astreintes, pas de frais, etc... simplement une facture basique à éditer avec les mentions obligatoires (légales et celles imposées par le client, notamment le numéro de contrat de prestation).

Existe t-il une page internet ou un site indiquant les éléments qui doivent apparaître impérativement sur une facture ? Et idéalement télécharger une facture modèle?

Et puisque je suis motivé, je pose aussi une question pour mon compte Pro, j'hésite entre Shine et Qonto, les deux ont l'air corrects, si vous avez un avis, je suis preneur. Ou une autre banque, je suis ouvert, en sachant que je privilégie la qualité, je préfère payer 20 € / mois pour un service de qualité que 5 € pour payer une équipe de bras cassés 😁 (Idem pour la facturation).

PS : je ne dis pas que ce qui est gratuit est mauvais (j'anticipe d'éventuels commentaires), je veux juste éviter les emm*rdes.

Merci d'avance pour vos réponses.

Bonne journée.

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Réponse postée 1 juillet 2024 04:23

Bonjour,

Gardez à l'esprit que rien ne vaut l'avis d'un pro.

N'hésitez pas à faire confirmer ce que vous avez pu lire dans cette discussion par l'URSSAF, France Travail ou encore un avocat. Il vaut mieux dépenser 150 € pour un conseil avisé que de vous retrouver avec un redressement dans 1 an.

Bonne journée !

Merci à tous.

Le problème particulier qui se posait à moi, et je tiens à le signaler au forum dans le cas où d'autres personnes se trouveraient dans ma situation, c'était mon souhait de passer en direct chez le client sans passer par mon ESN, avec laquelle je suis en portage, d'où mon projet de rupture conventionnelle et de création d'entreprise.

En définitive, ce que m'a proposé mon ESN, qui me faisait mon portage, c'est de faire une rupture conventionnelle, de manière à passer du portage à la création de ma propre entreprise, mais tout en gardant un lien commercial avec elle : concrètement c'est elle qui continuent à recevoir le TJM de la part du client, qui prend un pourcentage et me reverse le reste une fois reçu la facture de la part de ma propre entreprise. Je suis indépendant avec un intermédiaire : leur contrat commercial avec le client ne change pas, et ce dernier n'a même pas besoin de savoir le schmilblick. Je ne peux pas faire autrement qu'accepter car c'est l'ESN qui a le contrat commercial.

En résumé, j'ignorais que la boite de portage pouvait me faire sans problème une rupture conventionnelle et me laisser créer mon entreprise, tout en gardant néanmoins le lien comm. avec le client pour rester dans son intérêt.

A part ce "détail", je vais suivre peu ou prou le processus que probe a décrit avec clarté ci-dessus .

Une question cependant : pendant la période de 6 mois au cours de laquelle je m'inscris à Pôle Emploi, je créé mon entreprise (EURL), je touche l'ACRE une fois puis une deuxième fois, ais-je le droit de me verser une rémunération dès le début ? Cela ne bloque par la réception de l'ACRE ? J'ai regardé sur le forum et sur le net sans trouver une réponse claire.

Car je sais que si j'opte pour une réception de l'ARE tous les mois, celle-ci s'arrêtera dès que je me verserai un salaire. Et de plus, j'ai peur que l'ARE ne soit pas suffisant pour me donne un salaire mensuel la première année équivalent à ce que je touchais en portage. Alors qu'avec l'ACRE + versement de salaire, je pourrais avoir la même chose qu'avant sinon plus, avec l'ACRE en supplément.

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Réponse postée 30 juin 2024 13:34

J'entends bien vos arguments.

Encore une fois, n'ayant pas de compétences en droit du travail, je ne vous contredirai pas.

Avez-vous connaissance récemment (par une décision de justice, par exemple) d'une entreprise et d'un prestataire qui ont condamnés dans ce contexte ?

Cela existe, je ne le nie pas, mais est-ce courant? Je serai intéressé de connaître sur une année entière le nombre de prestataires informatiques ayant été requalifiés en salariés. Et encore plus intéressé par ce même nombre sur décision "arbitraire" de l'URSSAF (sous entendu sans que le prestataire ne soit à l'origine de cette requête).

Je côtoie depuis 20 ans énormément de prestataires, ce jeu de chaises musicales entre clients finaux, ESN et prestataires est très fréquent. Je n'ai jamais, de près ou de loin, été en relation avec des personnes ou des clients condamnés pour salariat déguisé dans le contexte que nous évoquons.

Enfin, ce que vous écrivez finalement ne s'applique t-il pas à n'importe quel prestataire en mission chez un client depuis une durée jugée "trop longue" par l'URSSAF? Peu importe qu'il ait changé d'employeur ou de statut? Ce serait alors le statut même du prestataire qui devrait être revu de manière stricte, ce qui est évidemment très dangereux, compte-tenu par exemple des disparités entre les secteurs d'activité et / ou les bassins d'emplois (un prestataire ayant un client dans la Creuse peut-il être comparé à un prestataire ayant un client à Paris?).

Reconnaissez que nous sommes dans le domaine de l'arbitraire et de l'appréciation.

Concernant l'attribution des aides ou formations côté France Travail, je vous rejoins, cela va se durcir.

Bonne journée.

Merci à tous.

Le problème particulier qui se posait à moi, et je tiens à le signaler au forum dans le cas où d'autres personnes se trouveraient dans ma situation, c'était mon souhait de passer en direct chez le client sans passer par mon ESN, avec laquelle je suis en portage, d'où mon projet de rupture conventionnelle et de création d'entreprise.

En définitive, ce que m'a proposé mon ESN, qui me faisait mon portage, c'est de faire une rupture conventionnelle, de manière à passer du portage à la création de ma propre entreprise, mais tout en gardant un lien commercial avec elle : concrètement c'est elle qui continuent à recevoir le TJM de la part du client, qui prend un pourcentage et me reverse le reste une fois reçu la facture de la part de ma propre entreprise. Je suis indépendant avec un intermédiaire : leur contrat commercial avec le client ne change pas, et ce dernier n'a même pas besoin de savoir le schmilblick. Je ne peux pas faire autrement qu'accepter car c'est l'ESN qui a le contrat commercial.

En résumé, j'ignorais que la boite de portage pouvait me faire sans problème une rupture conventionnelle et me laisser créer mon entreprise, tout en gardant néanmoins le lien comm. avec le client pour rester dans son intérêt.

A part ce "détail", je vais suivre peu ou prou le processus que probe a décrit avec clarté ci-dessus .

Une question cependant : pendant la période de 6 mois au cours de laquelle je m'inscris à Pôle Emploi, je créé mon entreprise (EURL), je touche l'ACRE une fois puis une deuxième fois, ais-je le droit de me verser une rémunération dès le début ? Cela ne bloque par la réception de l'ACRE ? J'ai regardé sur le forum et sur le net sans trouver une réponse claire.

Car je sais que si j'opte pour une réception de l'ARE tous les mois, celle-ci s'arrêtera dès que je me verserai un salaire. Et de plus, j'ai peur que l'ARE ne soit pas suffisant pour me donne un salaire mensuel la première année équivalent à ce que je touchais en portage. Alors qu'avec l'ACRE + versement de salaire, je pourrais avoir la même chose qu'avant sinon plus, avec l'ACRE en supplément.

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Réponse postée 30 juin 2024 08:35

Bonjour @hmg,

Je me permets deux remarques.

D'abord la requalification en salarié. Je ne connais pas la loi "stricto sensu", je ne vais donc pas vous contredire, mais requalifier un créateur d'entreprise en salarié parce qu'il travaille avec le même client final me semble quand même assez peu crédible. Mais peut-être avez-vous été confronté à cette situation?

Pour le lien avec l'ESN, c'est peut-être effectivement plus litigieux.

Quant à l'EPS, une fois la rupture conventionnelle effective, elle disparaît du schéma de collaboration qui sera : Indépendant => ESN => Client final

Ensuite, le "challenge "selon France Travail (ou plutôt France Chômage), très intéressant comme concept, surtout quand on remet les choses dans le bon ordre : le challenge côté France Chômage serait de trouver un travail aux personnes inscrites. Aux dernières nouvelles, le résultat est un peu moyen. Leur rôle aujourd'hui se limite à faire sortir les demandeurs d'emplois de la catégorie "A" uniquement pour des raisons politiques. Ma conseillère France Chômage était ravie lorsque je lui ai dit que je souhaitais créer mon EI, croyez-moi elle ne s'est pas inquiétée de savoir qui étaient les ESN et clients finaux avec lesquels j'allais collaborer.

Je doute que France Chômage vienne chercher des poux à une personne qui va créer sa structure. Je vois mal un conseiller tenir le discours suivant : "nous n'acceptons pas de vous verser l'ARCE, en conséquence vous allez percevoir l'ARE pendant 18 mois, rester en catégorie A et ainsi contribuer à un maintien du taux de chômage, en contradiction totale avec les directives de ma hiérarchie"

Ceci dit, je ne leur en veux pas. Ils ont des consignes. Et chaque fois que j'échange avec eux, je me rends compte que ce n'est pas très drôle non plus de leur côté (ils passent leurs temps à essayer de comprendre les directives qui changent tous les deux jours). Et ils doivent aussi remplir le frigo...

Je m'excuse pour mes propos un peu cyniques, mais je ne pense pas être loin de la vérité...

Bonne journée.

Merci à tous.

Le problème particulier qui se posait à moi, et je tiens à le signaler au forum dans le cas où d'autres personnes se trouveraient dans ma situation, c'était mon souhait de passer en direct chez le client sans passer par mon ESN, avec laquelle je suis en portage, d'où mon projet de rupture conventionnelle et de création d'entreprise.

En définitive, ce que m'a proposé mon ESN, qui me faisait mon portage, c'est de faire une rupture conventionnelle, de manière à passer du portage à la création de ma propre entreprise, mais tout en gardant un lien commercial avec elle : concrètement c'est elle qui continuent à recevoir le TJM de la part du client, qui prend un pourcentage et me reverse le reste une fois reçu la facture de la part de ma propre entreprise. Je suis indépendant avec un intermédiaire : leur contrat commercial avec le client ne change pas, et ce dernier n'a même pas besoin de savoir le schmilblick. Je ne peux pas faire autrement qu'accepter car c'est l'ESN qui a le contrat commercial.

En résumé, j'ignorais que la boite de portage pouvait me faire sans problème une rupture conventionnelle et me laisser créer mon entreprise, tout en gardant néanmoins le lien comm. avec le client pour rester dans son intérêt.

A part ce "détail", je vais suivre peu ou prou le processus que probe a décrit avec clarté ci-dessus .

Une question cependant : pendant la période de 6 mois au cours de laquelle je m'inscris à Pôle Emploi, je créé mon entreprise (EURL), je touche l'ACRE une fois puis une deuxième fois, ais-je le droit de me verser une rémunération dès le début ? Cela ne bloque par la réception de l'ACRE ? J'ai regardé sur le forum et sur le net sans trouver une réponse claire.

Car je sais que si j'opte pour une réception de l'ARE tous les mois, celle-ci s'arrêtera dès que je me verserai un salaire. Et de plus, j'ai peur que l'ARE ne soit pas suffisant pour me donne un salaire mensuel la première année équivalent à ce que je touchais en portage. Alors qu'avec l'ACRE + versement de salaire, je pourrais avoir la même chose qu'avant sinon plus, avec l'ACRE en supplément.

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Réponse postée 30 juin 2024 07:46

Bonjour,

Par simple curiosité, de quelle école d'ingénieur "haut de gamme" êtes-vous diplômé ?

(une réponse sans insulte est souhaitable🙃)

Message de la modération : Merci de rester respectueux des autres utilisateurs.

L'équipe Free-Work

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Réponse postée 30 juin 2024 06:41

Bonjour,

J'ai relu cette discussion un peu confuse...

En résumé:

Vous êtes en portage salarial, c'est à dire : Vous êtes salarié d'une EPS (Entreprise de Portage Salarial) => Votre EPS facture une ESN (grâce au TJM que vous avez négocié avec l'ESN) => L'ESN facture le client chez lequel vous êtes en mission

Et vous souhaitez:

devenir indépendant, c'est à dire: Créer votre structure (EURL) => Signer un contrat de prestation avec la même ESN => Continuer, via cette ESN, à travailler chez le même client final

Est-ce correct ? (OUI | NON)

IF NON then GOTO FIN

IF OUI then

Votre situation est tout à fait classique et il suffit de faire ce qui a été décrit plus haut par @probe

Voici un autre post encore plus détaillé (merci à @probe, je m'en suis bien inspiré dans mes démarches personnelles), toutes les étapes y sont bien détaillées : https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/chevauchement-entre-demande-darce-creation-dentreprise-et-debuter-une-mission

Je pense, comme @Droppyann, que vous confondez l'ACRE et l'ARCE

ACRE = Aide qui consiste en un allégement des charges sociales pendant x trimestres, 3 trimestres me concernant (je viens de créer mon EI au mois de mai)

ARCE = Versement de vos ARE par Pôle Emploi sous une forme de capital

Quant aux prévisions de ce que seront les conditions d'accès aux ARE / ARCE en janvier 2025, à moins de lire dans le marc de café, je ne vois pas qui va vous aider sur cette question. Partez de la situation actuelle en gardant en tête que ces règles peuvent évoluer.

Si votre EPS refuse de signer une RC ? Je n'y crois pas. Leur avez-vous posé la question, au lieu de partir dans des suppositions qui pour moi n'ont pas de sens ? Une EPS ne doit pas vous refuser une RC, ou alors vous êtes tombé sur la mauvaise...

Première chose à faire : Assurez-vous que votre EPS va bien initier votre demande de RC ! C'est la première étape. Ensuite, vous déroulez les étapes décrites ci-dessus.

IMPORTANT : L'ordre des différentes étapes doit être respecté (ainsi que les délais entre ces mêmes étapes), sans quoi.... vous pouvez perdre toutes les aides.

goto FIN

:FIN

Bonne journée à tous !

Merci à tous.

Le problème particulier qui se posait à moi, et je tiens à le signaler au forum dans le cas où d'autres personnes se trouveraient dans ma situation, c'était mon souhait de passer en direct chez le client sans passer par mon ESN, avec laquelle je suis en portage, d'où mon projet de rupture conventionnelle et de création d'entreprise.

En définitive, ce que m'a proposé mon ESN, qui me faisait mon portage, c'est de faire une rupture conventionnelle, de manière à passer du portage à la création de ma propre entreprise, mais tout en gardant un lien commercial avec elle : concrètement c'est elle qui continuent à recevoir le TJM de la part du client, qui prend un pourcentage et me reverse le reste une fois reçu la facture de la part de ma propre entreprise. Je suis indépendant avec un intermédiaire : leur contrat commercial avec le client ne change pas, et ce dernier n'a même pas besoin de savoir le schmilblick. Je ne peux pas faire autrement qu'accepter car c'est l'ESN qui a le contrat commercial.

En résumé, j'ignorais que la boite de portage pouvait me faire sans problème une rupture conventionnelle et me laisser créer mon entreprise, tout en gardant néanmoins le lien comm. avec le client pour rester dans son intérêt.

A part ce "détail", je vais suivre peu ou prou le processus que probe a décrit avec clarté ci-dessus .

Une question cependant : pendant la période de 6 mois au cours de laquelle je m'inscris à Pôle Emploi, je créé mon entreprise (EURL), je touche l'ACRE une fois puis une deuxième fois, ais-je le droit de me verser une rémunération dès le début ? Cela ne bloque par la réception de l'ACRE ? J'ai regardé sur le forum et sur le net sans trouver une réponse claire.

Car je sais que si j'opte pour une réception de l'ARE tous les mois, celle-ci s'arrêtera dès que je me verserai un salaire. Et de plus, j'ai peur que l'ARE ne soit pas suffisant pour me donne un salaire mensuel la première année équivalent à ce que je touchais en portage. Alors qu'avec l'ACRE + versement de salaire, je pourrais avoir la même chose qu'avant sinon plus, avec l'ACRE en supplément.

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Réponse postée 30 juin 2024 05:17

Bonjour,

"tu n’as pas réussi à créer un lien avec lui"

J'en ai entendu des arguments bidons, celui-ci est dans le top 3. Du grand n'importe quoi !

La prochaine fois, pensez à lui proposer d'aller ensemble vous enfiler une ou deux mousses au PMU du coin, cela aidera peut-être à créer ce fameux "lien". Avec 1,5 grammes dans chaque poche, ça peut aider 🙂.

Effectivement, je partage votre avis, la situation est grave.

Quant à l'expérience vécue par @Full-Task, on est dans le même registre, des recruteurs sans foi ni loi.

Ne pas perdre de vue que NOUS sommes les experts techniques dans nos domaines respectifs, et seul un client final peut juger si nous pouvons répondre ou pas à son besoin.

Passer le premier filtre de l'ESN est à mon sens la phase la plus difficile, celle où je ne maîtrise rien. Ensuite, face à un client final, dans 90% des cas, l'entretien est cordial et respectueux, quelle que soit la décision finale, elle est en général bien mieux étayée. Et même si je ne suis pas retenu, je suis en général satisfait d'avoir librement échangé avec une personne qui parle le même langage que moi.

Ne pas perdre de vue également que si l'ESN a pour objectif de signer un contrat (objectif financier), le client final a surtout peur de se tromper dans son choix et de recruter une personne qui ne répondra pas au besoin (objectif opérationnel). Ce sont deux approches bien distinctes.

Bon courage et bonne journée !

J’ai un retour d’expérience à partager avec vous. Vous allez rigoler mais j’ai vécu une expérience pour le poste de PM en CDI : il y a quelques semaines j’ai passé 4 entretiens : Un rdv téléphonique de 45min avec RH après un entretien sur place avec RH (1h) , entretien avec lead PM avec étude de cas ( 1h) sur place suite à cet entretien et le retour positif de la lead Pm, le RH m’envoie le prochain entretien avec le CTO ancien tech lead dans cette start up aussi il m’a envoie une étude cas Business case pour le 5ème entretien et le dernier et même l’entretien pour la proposition.

Le CTO se présente pendant plus que 15min en parlant de lui et aucun challenge technique ou questions concernant mon parcours suite à ma présentation op on passe à l’étude de cas ( purement Business et non pas produit ). J’ai réussi le test à temps et il a exprimé que j’étais rapide et réussi le test à temps !

le RH m’appelle le lendemain désolée on ne peut pas continuer même si tu as réussi le test mais le CTO a exprimé un point “ tu n’as pas réussi à créer un lien avec lui et il a peur que tu ne vas pas réussir à le faire avec nos clients aussi tu ne l’as pas challengé sur son parcours !“ La blague ! Un mois entre aller retour et arrêter le process de recrutement en se basant sur une personne égocentrique qui tout simplement peu être n’a pas aimé ma tête!

C’est grave ce qui se passe dans le marché en ce moment!

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Réponse postée 28 juin 2024 01:54

"En théorie de comptoir"...

Quand on doit lever 300 milliard sur les marchés pour boucler son budget, avec un endettement abyssal et des taux d'intérêts qui vont sans doute exploser compte-tenu du risque financier énorme que représente aujourd'hui une OTF, ce n'est plus une théorie de comptoir. C'est juste la réalité.

Et les gueguerres sur les plateaux de télévision pour savoir qui, à compter du 08 juillet, sera le prochain clown, ne laissent rien présager de bon.

Entre la situation économique désastreuse et le climat sociétal abject, on n'a pas le cul sorti des ronces.

Alors la reprise en 2025 ? LOOOL !!!

Réveillez-vous !!!

J'ai ressenti un frétillement début juin, au point où j'ai eu plusieurs positionnements ce qui est beaucoup plus qu'avril ou mai : deux sont mêmes allés jusqu'à des entretiens, dont l'un d'eux s'était validé et j'étais censé commencer cette semaine, avant que le client ne se rétracte. L'autre, le client est en standby car il y a des changements politiques forts et peut-être un revirement de la gouvernance des projets.

En théorie de comptoir, je pense que les législatives précipitées ont fortement ralenti cet élan de juin, alors que certaines équipes voulaient certainement staffer avant les Jeux Olympiques. On est bon pour attendre septembre en espérant que le marché re-frétille. Encore une fois, sensation que j'ai eue, un ou deux appels par jour, des CV envoyés au client, et même des entretiens.

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Réponse postée 25 juin 2024 13:54

Merci pour ce retour.

Il me semblait que la publication pour Androïd était d'environ 25 € (paiement unique), et pour Apple 99 € (paiement tous les ans).

Sinon pour mon appli, effectivement si je choisis Bubble, j'ai intérêt à trouver beaucoup de clients rapidement. Or, comme je serai dans une phase "pilote", ce ne sera pas le cas.

Je vais regarder les fonctionnalités de FlutterFlow plus en détail.

Aucune expérience sur Bubble.io mais si tu dois payer à chaque chargement dans ton application ça peut aller très vite donc tu as interêt à rapidement dégager des revenus pour qu'elle soit viable.

Personnellement j'ai développé une application sur Flutterflow car il y avait la possibilité de récupérer le code Flutter mais je ne l'ai pas encore publié car il faut débourser 70€ par mois pour les publier sur Android ou iOS

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Réponse postée 25 juin 2024 10:00

Bonjour,

Après avoir comparé les différents outils permettant d'effectuer un développement pour une application mobile "no-code", je me suis lancé sur https://bubble.io.

Mon développement avance bien, il y a beaucoup de tutoriels et l'outil répond à mes besoins techniques et fonctionnels.

Une fois l'application v1.0 terminée, je vais pour la tester (via une publication sur les stores android et apple) devoir souscrire à un abonnement.

Bubble a modifié récemment sa politique (https://www.youtube.com/watch?v=Skm6qP_4cJw&t=190s) : ils facturent désormais en fonction des Workload Unit (WU) consommés. Un WU peut être:

  • Une requête BDD

  • Un appel API

  • Un chargement de page

  • Un lancement de workflow (lancement d'une chaîne d'opérations)

  • etc...

L'abonnement se base sur un nombre maximal de WU (exemple : pour 20 $, je bénéficie de 175 000 WU / mois).

Il me paraît compliqué de définir combien de WU mensuels me seront nécessaires. Mon application repose sur plusieurs fonctionnalités, dont un real-time chat (avec gestion de conversations de groupe), partage d'événements ou encore partage de fichiers multimédias (images, vidéos, etc...).

Il y a d'autres outils intéressants (comme Bravo ou FlutterFlow), je n'ai évidemment pas pu tout tester.

Cette manière de facturer chez Bubble est certes innovante mais il est difficile du coup d'évaluer sa consommation mensuelle.

Quelqu'un a t-il déjà expérimenté bubble.io avec ces nouveaux plans de souscription ? Je serais intéressé de savoir si la consommation peut monter en flèche (et faire exploser la facture) si des utilisateurs se mettent à balancer tout et n'importe quoi dans l'application, ou si ce mode de facturation est rentable.

Je vais de mon côté regarder s'il y a des options dans l'application permettant d'évaluer le nombre de WU en fonction de son architecture, du nombre d'utilisateurs et de la volumétrie des échanges.

Merci d'avance à celles et ceux qui ont testé ce produit pour votre retour d'expérience sur cette question financière.

Bonne journée.

Forum : Vos projets
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Réponse postée 21 juin 2024 01:56

Bonjour,

Bienvenue dans le monde Freelance.... ou ce qu'il en reste !

400 € pour un poste de chef de projet, effectivement c'est bas.

Vous n'aurez pas de difficultés à trouver sur ce forum des discussions sur les 12 derniers mois faisant état d'un marché particulièrement morose. D'où ce TJM proposé. Il y a peu de domaines qui ne sont pas impactés. Aujourd'hui, les offres se font tellement rares que les ESN ne prennent même plus la peine d'enfiler des gants pour proposer des missions d'expertise payées au lance-pierres. Mais bon, par les temps qui courent, il faut quand même assurer ses arrières et remplir le frigo.

Pour ce qui est des frais:

"il faut faire passer 1000/1500€ de frais par mois"

La tournure de cette phrase est surprenante. Depuis quand "FAUT-Il" passer des frais ? Le principe des frais, c'est de se faire rembourser les déplacements, l'hôtel, les frais de bouche, etc.. tout ce qui est en relation directe avec votre activité. Et non pas définir un montant en début de mois qu'il faut atteindre. Si vous avez avancé ces dépenses (ou si vous pouvez en bénéficier de manière forfaitaire, par exemple lors des grands déplacements et de l'application du barème URSSAF), alors vous pouvez les transmettre à votre EPS pour intégration dans le calcul de votre fiche de paie.

Si vous cherchez à facturer des frais qui n'existent pas (visiblement sur les conseils de votre EPS), vous risquez un redressement en cas de contrôle.

Vous allez en EPS générer un CA mensuel. Admettons 10 000 € / mois. Si vous avez des frais, alors le pourcentage de restitution de votre CA sera plus élevé. Sans aucun frais, vous allez percevoir environ 50 % de votre CA, soit environ 5 000 € avant IR. Avec des frais, limités à 20% ou 30% (selon votre situation, à vérifier) de votre salaire brut (je dis bien salaire brut, pas le CA !), vous pouvez espérer percevoir 57-58% de votre CA, soit 5 700 - 5 800 €. Cela fait baisser votre salaire, donc moins intéressant pour le calcul des indemnités chômage, mais en contre-partie vous paierez moins d'impôts et moins de charge. C'est à vous de trouver l'équilibre dans l'optimisation de votre salaire.

Je ne parle que de mon expérience personnelle avec une unique EPS pendant 4 ans. Chaque EPS a ses propres règles,dans les limites de ce que prévoit la loi of course.

Bonne journée.

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Réponse postée 10 juin 2024 13:58

Bonjour,

Il y a plusieurs sujets dans votre message. Tous importants.

  1. Remplir le frigo: vous avez une famille, vu le contexte que nous traversons (personne ne peut prétendre à ce jour que 2025 sera meilleur que 2024), il y a des priorités qu'il faut mettre au dessus des autres. Faire le dos rond pour permettre à sa famille de ne pas se coucher la boule au ventre en se demandant ce qui va se passer demain ne me paraît pas être une idée délirante.

  2. Votre rythme de travail: n'est-ce pas le moment de redéfinir vos priorités? "Profiter" de cette période pénible pour vous sécuriser avec un CDI n'est pas la chose la plus bête à faire, elle vous apportera la sérénité, plus de congés (autant de jours passés avec votre famille à vous reposer), moins bien payé certes mais si vous avez mis pas mal de trésorerie de côté ces 3 dernières années, en plus de votre matelas de sécurité, vous pouvez vous octroyer des plaisirs. Bref, profiter des fruits de votre travail de ces dernières années.

  3. Signer un CDI ne vous empêche pas de repartir vers une profession indépendante dans 1 an ou 2. Vous n'êtes pas marié avec votre employeur. Et pendant ce temps, vous êtes en activité et vous subvenez aux besoins de votre famille.

Ce n'est qu'un avis bien sûr, je ne connais pas votre situation ni votre état d'esprit, aucun jugement de ma part.

Bien garder en tête que votre accomplissement ne se fera pas qu'au bureau, c'est un équilibre à trouver entre vos activités professionnelles, vos projets personnels, votre qualité de vie et en premier lieu votre famille.

Bonne journée.

Forum : Votre activité
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Réponse postée 6 juin 2024 12:31

Bonjour,

Cela fait un an que la situation est très compliquée (il y a de nombreuses discussions dans ce forum sur le sujet).

Donc effectivement, si vous avez un travail (CDI ou autre, peu importe), il n'est pas idiot de le conserver vu le contexte.

Cela fait deux mois que vous envoyez des candidatures qui restent sans réponses. Sur ce site, il y a de nombreux indépendants qui galèrent depuis beaucoup plus longtemps que cela.

Après si vous avez une belle proposition en indépendant, pensez à bien "verrouiller" votre contrat (par exemple la clause de rupture anticipée du contrat par le client).

Bonne journée.

Donc selon vous , être en cdi c’est beaucoup plus simple et assuré par rapport à un free-lance vu cette crise !

Réponse postée 1 juin 2024 04:48

"les ESN qui vont mourir (j'ai vu des posts qui en parle)"

Soyez en certain, il y en a un paquet qui ne fêteront pas la nouvelle année. Le grand ménage est en cours...

Le "quoi qu'il en coûte" et le QE (Quantitative Easing) ont sauvé beaucoup de boîtes zombies qui auraient déjà dû disparaître il y a 3 ou 4 ans.

La fête est finie. Et c'est très bien ainsi, les parasites vont dégager !

Hier, j'ai envoyé baladé un gars, car j'étais en cours de réponse à un AO (Appel d'Offre)

Le gars me propose d'échanger sur les pleins de missions qu'il a en stock, rapidement, 30mn ce matin tôt; je lui dis OK pour 9H, il me répond plutôt 11h30, je suis commercial, je me lève tard...

J'ai simplement dit de m'envoyer sa fiche de poste par mail, pour avoir une base de dialogue pour une visio, que je faisais des choses importantes, et que je le remerciais pour son appel, et j'ai raccroché

Sérieux, les ESN qui vont mourir (j'ai vu des posts qui en parle), devrait essayé de former ses intercontrats, plutôt que de chercher des consultants payés au SMIC, pour survivre.

Quand je voie les AO, je suis vert; entre les clients qui n'ont pas fait de conduite de projets ou de changements, avant un move to cloud; leurs SI sont en vrac, il faut reprendre le schéma directeur en orientation métier, et passer par DEV/PREPROD/PROD, et faire une bout de SECOPS, et FINOPS.

Automatiser l'archi infra, c'est bien, mais il faut éviter que cela coûte une blinde au client.

Autrement dit notre valeur ajouté est de lui faire économiser de l'argent, comme cela on se valorise, et on est mieux payé !

Je suis pas GOUROU, mais voir dans le même AO : SCRUM MASTER, ARCHI INFRA, PILOTE, CYBER Réseaux, SDM ITSM, scribe des docs/mop/roadmap/runbook, gestion ITIL GED,....

Ya des loupés, alors ajouter de l'IA dans ce joyeux bordel, cela n'arrange pas les SI métiers 😇

Réponse postée 1 juin 2024 04:31

Bonjour,

@probe : lol, j'aurais aimé voir la tête du gars en face de vous...

Tout à fait d'accord avec Vince, beaucoup de clients aiment des employés (internes ou externes) doux comme des agneaux, et des prestataires (ou des gueux, au choix) qui exécuteront des tâches sans se poser de questions, même si elles n'ont aucun sens, même si elles sont absurdes. Le simple fait d'émettre une critique "positive" sur une application, une architecture ou tout autre analyse étayée ayant pour but d'améliorer la qualité du produit vendu par le client peut être très mal perçu, un peu comme un crime de lèse-majesté.

Une idée qui vient d'en bas est souvent mauvaise, celle qui vient d'en haut est forcément meilleure. C'est un critère, me concernant, qui me permet d'évaluer rapidement si ma collaboration avec un client peut être pérenne ou non.

Quant aux ESN, avant de se lancer dans des tests techniques auxquels il ne comprennent rien (et qui n'ont donc aucun intérêt) ils feraient mieux de corriger les fautes d'orthographes qu'on peut retrouver dans les annonces qu'ils publient. C'est bien le copier / coller, c'est pas mal aussi de se relire. Quand vous voyez les mêmes fautes sur 3 sites différents, vous savez que vous avez affaire à un champion...

D'une manière générale, quand une ESN me fait l'affront de me taquiner sur la technique, j'utilise volontairement du vocabulaire qu'il ne peut pas comprendre (il veut parler technique? OK, parlons technique ! ) et j'observe sa réaction.

Je sais qu'il ne comprends rien, je sais qu'il sait qu'il ne comprends rien, il sait que je sais qu'il ne comprends rien.... et pourtant ils continue...

Bonne journée.

Mon record en entretien c'est 2mn

quand le gars m'a demandé d'expliquer les champs d'un datagramme IP, j'ai répondu que je n'avais pas taillé mon stylo, je me suis levé, je suis parti, sans aurevoir, sans fermé la porte du bureau qu'il sous-louait à une boîte en faillite, en faisant gaffe de ne pas me prendre les pieds dans la moquette pourrie 🥶

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Réponse postée 31 mai 2024 10:13

Bonjour,

Dans mon domaine d'activité (Production):

  • Monter en compétences (expertise si possible) sur le "Machine Learning" dans des environnements hétérogènes (Caas, IaaS, Conteneurisation) sur des outils comme Splunk, Dynatrace ou ELK (bref, tout ce qui touche à la prédictivité, voir modèle SRE). Domaine intéressant, mais outils (comme Splunk ou Dynatrace) particulièrement pointus, plusieurs mois à temps plein avant de réussir à bien les prendre en main

  • Je ne parle pas de l'IA, ce n'est pas ma tasse de thé.

  • DevOps et CI/CD -> trop de candidats sur ces technos, 1 offre pour 100 candidats.

Difficile aujourd'hui de se projeter, nous vivons une période de glorieuse incertitude...

Salut,

ce thème a été abordé x fois ces derniers mois (voire dernières années)

perso j'ai eu des appels de plusieurs ESN me proposant de devenir porteur d'affaire, en clair les aider à caser leurs intercontrats avec lesquels ils sont collés par des CDI.

En clair : non seulement t'es en compétition avec les CDI des ESN, mais en plus ces mêmes ESN comptent sur toi pour les aider à éradiquer les indéps qui survivent encore. Le Jugement Dernier arrive :)

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Réponse postée 31 mai 2024 09:39

Effectivement, le RNE pour les professions libérales se substitue au Kbis.

Vous pouvez aller sur https://data.inpi.fr/ pour générer le RNE, équivalent du Kbis.

Je n'ai pas de Kbis. De ce que je comprends uniquement pour les sociétés commerciales, n'est ce pas ?

Je suis dev informatique freelance donc classé libéral.

Mais la création est validée sur le guichet unique INPI et j'ai mon siren/siret.

Le "document de synthèse" final dit que mes informations ont été mises a disposition des administrations sociales URSSAF ou MSA selon activité.

A priori URSSAF pour moi...

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Réponse postée 31 mai 2024 09:07

Bonjour,

Il ne s'agit pas d'un bug, il y a un délai de quelques jours entre la création de votre EI et l'affiliation à la Sécurité Sociale. Vous allez recevoir la notification par courrier dans quelques jours.

Je viens de créer mon EI fin avril 2024, j'ai eu le même problème (numéro de SS non reconnu).

De mémoire, j'ai attendu de recevoir la notification pour faire ma demande d'ACRE. C'est rapide : j'ai créé mon EI le 26 avril, j'ai reçu ma notification par voie postale le 06 mai. J'ai créé alors mon espace personnel URSSAF, et effectué ma demande d'ACRE le 07, acceptée le jour même.

En tout cas, pas de panique, le refus de votre numéro de sécu est "normal".

N'hésitez pas à contacter votre URSSAF pour vous assurer que votre dossier est "in progress",. Peut-être existe t-il un moyen de faire votre demande d'ACRE avant la création de votre espace URSSAF, je ne saurai pas répondre sur ce point.

Bonne journée.

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Réponse postée 29 mai 2024 08:13

Bonjour,

J'imagine le geek de 21 ans qui tombe par hasard sur ce fil. Il va se mettre à croire aux fantômes.... c'est sûr ! 😁

"Papa, y a des monsieurs tout frippés qui disent qu'avant on faisait des trous dans des cartes pour sauvegarder des données..."

"Papa, c'est quoi un mange-disques?"

Plus sérieusement, un "vrai" musée de l'informatique en mettrait quelques uns en PLS, voire en arrêt cardiaque.

Bonne journée.

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Réponse postée 28 mai 2024 06:50

Bonjour,

Chaque situation semble bien différente.

Jusqu'en 2023, j'ai collaboré avec une EPS qui fixait à 20% maximum du salaire brut mensuel les frais professionnels.

Etant en "Grand Déplacement" durant cette période, le taux maximum passait de 20% à 30%.

Et étant en mission à Paris (et donc avec des frais plus importants pouvant être pris en charge, le barème URSSAF en atteste), mon EPS m'autorisait jusqu'à 40% de mon salaire brut mensuel (Elle avait échangé avec l'URSSAF qui avait validé ce point. 1 A/R en train par semaine, plus 4 nuits d'hôtel à Paris, plus les repas, la note était salée... l'URSSAF a considéré cette "dérogation" comme justifiée).

Et je n'évoque ici qu'un paramètre : le Grand Déplacement. Il y en a d'autres.

Est-ce que la règle des 20% ou 30% est écrite quelque part dans les textes officiels? Je ne sais pas. Ce que je peux affirmer, c'est que j'ai bénéficié de ce taux de frais de 40% sur mon salaire brut pendant 5 ans (sur plusieurs missions). En réalité, je m'étais fixé 35% maximum (et dans les faits j'étais autour de 30% en général), taux raisonnable pour la prise en charge de mes frais.

Autre point: quand on prévoit un achat assez onéreux (comme un ordinateur), il peut être intéressant de piocher dans sa réserve afin d'augmenter son salaire brut et donc d'augmenter le montant de ses frais de manière ponctuelle. Et en amont donc ne pas hésiter à alimenter sa cagnotte quand on le peut. Cela peut aider.

Je ne relate ici que mon expérience personnelle. Se rapprocher de son EPS me paraît être la première des choses à faire.

@FL Freework : tout à fait exact que les cotisations baissent fortement si les frais sont élevés. Vous avez omis de citer un autre poste de dépense qui baisse également : les impôts ! 😋. C'est un calcul à faire, essayer de trouver le juste milieu.

Bonne journée.

Bonjour,

Pour répondre à votre question initiale, un achat supérieur à 500 €HT doit être immobilisé. Il s’agit d’une règle comptable.

La facture doit être au nom de la société de portage salarial, puisque celle-ci va amortir votre matériel.

En l’occurrence pendant 3 ans pour du matériel informatique.

 

Suivant votre exemple :

Vous achetez un PC d’une valeur de 3 000 € TTC, soit 2500 €HT

Vous bénéficiez d’un remboursement intégral sur votre compte personnel. + 3000 €

La société de portage déduira 3 000 € de votre compte d’activité et procédera à la rétrocession de la TVA de 500 €.

 

Si vous quittez la société de portage avant la fin de la période d’immobilisation, la valeur proratisée non amortie est alors considérée comme un avantage en nature.

Vous ne pourrez pas bénéficier de l’exonération de cotisations et d’impôts.

La valeur non amortie sera alors déduite de votre compte d’activité ou de votre solde de tout compte.

Certaines sociétés de portage ne souhaitent pas gérer ce type de process, l’URSSAF autorise alors un remboursement à hauteur de 50 % du montant sans immobilisation.

 

En ce qui concerne le plafond de dépense, de manière générale, il est de 30% du chiffre d’affaires facturé sur une année civile.

Je resta à votre disposition pour tout complément d'information,

Bien cordialement,

Benjamin de l'équipe WAT PORTAGE

Labellisée Zéro Frais Cachés et co-fondateur du syndicat du GAPSE

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Réponse postée 27 mai 2024 05:34

Bonjour Yanolezard,

Merci pour ce post et ce voyage dans le temps 😀 . P*tain, j'ai rajeuni 🤣🤣🤣 !

Un joli rappel pour ceux qui méprisent des langages soit-disant obsolètes et qui pourtant ont révolutionné le monde de la science, pas seulement l'informatique mais toutes les applications qui en découlent. Et qui rythment aujourd'hui le quotidien de milliards de gens qui ignorent l'existence même de cette technologie (comme d'autres d'ailleurs comme le Cobol, ou encore le premier Shell Unix BSD, en 1971 si ma mémoire est bonne).

Que de souvenirs, je revois mon premier ordinateur, j'étais ado (12 ou 13 ans) quand on m'a mis dans les mains mon premier ordinateur: Un "Oric-1", 64 Ko de mémoire, chargement via une cassette audio (avec le son qui allait avec quand le programme était en cours de chargement 🤣), 2 000 Francs à l'époque, je me souviens comme hier de la couverture du manuel pour apprendre le Basic. Le Basic étendu, je n'y ai pas touché, pas compatible avec mon Oric-1, il fallait minimum un TO-7 ou un Amstrad CPC 464, c'était pour les riches !!! Je n'évoque même pas le 6128 avec son lecteur de disquette 5"1/4, le Graal !!! C'est seulement en Fac dans les années 90 que j'ai bossé sur le Pascal (livré avec son Turbo) et le Fortran.

Des sacrés "loustics", ces bonhommes ! (comme on dit chez moi dans le pays léonard).

C'est marrant, Bill Gates déjà avait déjà compris ce qui allait rapporter le maximum d'argent : la licence !

Votre texte pourrait être publié pour des étudiants, non seulement pour son intérêt technique et historique, mais aussi pour leur montrer ce que pouvait être dans les années 70-80 le métier... d'entrepreneur. Une poignée de génies qui se lance dans des aventures rocambolesques et improbables, plus encore que celles de la famille Ewing depuis leur ranch de Southfork (*).

Je viens de constater que malheureusement le musée de l'Informatique à Paris est fermé depuis près de 15 ans. C'est malheureux, cela serait particulièrement intéressant de proposer à la génération "Z" (et les autres également, je ne stigmatise pas, c'est juste que cette génération n'a connu que les smartphones) ce fabuleux voyage dans les temps, d'où nous sommes partis et ce par quoi nous sommes passés pour pouvoir en 2024 accéder aux technologies que personnes n'auraient imaginées il y a 50 ans. Et de rendre à César, ou aux "Césars", ce qui leur appartient...

Encore merci à vous et bonne journée !

(*) : pour les plus jeunes, les frères Ewing --> Voir Dallas, J.R, Bobby, Pamela et.. Sue-Elen, dite "La sobre")

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