Dans la continuité de mon message d'il y a quelques jours, où je relatais que la CIPAV me réclamait, par lettre récente, quelques milliers d'Euros assaisonnés de 400 € de pénalités, à régler à réception ;
je les ai appelés et mon interlocuteur m'a dit immédiatement qu'il s'agissait d'une erreur, et que je n'étais nullement tenu de régler quoi que ce soit actuellement.
Il m'a précisé que la cotisation annuelle doit être payée au plus tard le 15 octobre, mais que rien n'empêche de faire des règlements anticipés si on le souhaite, à tout moment.
...
Cela signifie-t-il que l'on peut tout régler d'un coup lorsqu'on le souhaite sans dépasser le 15/10 et sans pénalité ?
Je me méfie de la CIPAV :D
Vous faites bien de vous méfier !
Je fais partie de ceux qui avaient reçu un courrier en mai, indiquant que les cotisations étaient à payer en une seule fois, avant le 15 octobre 2019.
Et je reçois aujourd'hui un courrier me réclamant immédiatement environ la moitié de la somme, dont plus de 400 € de pénalités de retard !
Et le comble du risible, c'est le slogan de la CIPAV, en tête de leur courrier : "La CIPAV, l'avenir en toute confiance" !!!
Le prélèvement automatique est un système détestable qui est la marque de la défiance vis à vis de son client (j'ai peur qu'il ne me règle pas / pas assez vite, donc je vais me servir moi-même sur son compte), et d'un rapport de force déséquilibré en faveur du prestataire.
Une gestion plus automatique de l'établissement des factures et de la gestion des relances serait sans doute une meilleure solution, non ?
Mais si vous mettez effectivement ce système en place, il sera intéressant que vous nous fassiez part du pourcentage de vos clients ayant accepté le prélèvement. D'ailleurs, vos clients sont-ils des particuliers ou des entreprises ?
SalahBarkati a écrit : Malgré l'existence du mot prélèvement, le paiement se fait selon les memes modalités que le téléreglement, à savoir: Ordre de paiement initié à chaque échéance par le payeur, avec comme aujourd'hui, possibilité de modifier le montant.
Merci beaucoup pour ce lien, cette information est primordiale.
Pour ma part, la présence du mot prélèvement a été dissuasive, et j'ai révoqué l'autorisation qui était liée au télérèglement, ce qui se fait très simplement sur le site de l'Urssaf, une fois qu'on a réussi à trouver la bonne rubrique.
Je payerai désormais par virement.
Vous êtes probablement nombreux à avoir reçu récemment de la part de l'URSSAF (et peut-être aussi du RSI) un formulaire d'autorisation de prélèvement automatique, accompagné d'un courrier prétendant que le règlement des cotisations doit désormais s'effectuer obligatoirement par prélèvement.
Or il n'en est rien, l'obligation consistant simplement à dématérialiser le règlement, ce qui laisse ouvertes d'autres solutions techniques.
D'ailleurs, l'URSSAF le reconnaît immédiatement dès qu'on le lui demande, et voici la réponse que j'ai reçue à cet égard :
"En réponse à votre courriel du 27/03/2015 concernant la dématérialisation de vos
paiements, je vous informe que vous pouvez opter pour le télérèglement [chéquier
électronique] ou pour les virements.
A cet effet, veuillez trouver ci-jointes nos coordonnées bancaires ainsi qu'une
notice d'utilisation du site pour le télérèglement."
Compte tenu des erreurs fréquentes, aux conséquences désastreuses parfois, dont nous avons tous entendu parler, je vous invite donc à ne surtout pas accorder à l'URSSAF une autorisation de prélèvement, et à opter pour les moyens alternatifs qu'ils proposent.
Y a-t-il justement une liste officielle des justifications recevables ?
L'appellation de double résidence n'implique-t-elle pas une certaine continuité du séjour professionnel ?
Pour ma part, j'effectue des missions ponctuelles (de 2 à 5 jours consécutifs en général). Je passe donc une centaine de nuits d'hôtel à Paris, réparties sur toute l'année, en pointillés.
Merci pour cet avis qui rejoint mes propres suppositions.
Quelqu'un sait-il si la statut fait quelque chose à l'affaire ?
Par exemple, si à l'occasion de mon déménagement, je passe en EURL avec option pour l'impôt sur les sociétés, ces frais de transport et d'hôtel peuvent-ils de la même manière être retoqués ?
Je suis consultant indépendant, assimilé profession libérale et soumis à l'impôt sur le revenu (je ne suis pas en EURL ni rien de la sorte).
J'habite dans le sud de la France, mais mon activité (brèves missions d'expertise et de formation) a lieu à 80 % à Paris.
Jusque là, j'ai toujours déduit mes dépenses de train et d'hôtel comme frais professionnels, sans la moindre objection de mon AGA ni des impôts.
Je veux changer de région, mais hors de question de m'installer à Paris.
Y a-t-il un risque que le service des impôts refuse la déduction de mes frais, au motif que je ne m'installe pas au plus proche de mon lieu d'activité le plus fréquent ?
Des références de textes seront bienvenues !
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