Oui, j'ai commencé par là.
Mon compte perso est également chez HSBC (agence classique, pas l'agence Business Direct).
Quand j'ai posé la question à mon conseiller perso, il m'a répondu en une ligne d'email qu'il ne pouvait pas me venir en aide (note au passage : je n'aurai aucun état d'âme le jour où il faudra le quitter).
Sinon, pour info : je suis passé à la Banque de France aujourd'hui.
Je n'apparais sur aucune liste mais la dame m'a dit que c'était sans doute à cause de la domiciliation commerciale du siège que la Banque Postale avait refusé. De plus, et surtout, on m'a refusé le droit au compte bancaire dans la mesure où je ne suis pas encore complètement à la rue côté HSBC (préavis non terminé). C'est donc lorsque je serai à la rue et que j'aurai essuyé un refus d'une autre banque qu'ils me désigneront une banque contrainte de m'accepter.
En conclusion : il serait préférable que je trouve une banque qui m'accepte spontanément d'ici fin juin ! 🙄
Etant gérant majoritaire de mon EURL créée en 2010, celle-ci a son compte bancaire domicilié depuis le début chez HSBC Business Direct.
Comme peut-être certains d'entre vous également clients de cette banque, j'ai reçu il y a 2 semaines un courrier d'HSBC m'indiquant que leur offre n'avait plus cours et que j'avais 60 jours pour trouver une autre banque.
Après vérifications, tout est légal et normal là-dedans, si ce n'est pas très courtois...
Je vais au plus court et prends rendez-vous à La Banque Postale où je me dis qu'une petite TPE comme moi, ça devrait passer comme une lettre à la poste.
Le RDV se passe bien avec la conseillère, très sympa, qui me remplit le formulaire et me liste les pièces à joindre, notamment : extrait de KBis, statuts de la société, le tout certifié conforme par le greffe.
Je pose ma demie journée, passe au greffe faire ma commande à 40€ puis retourne le dossier à la conseillère BP. Une semaine après, réponse du service financier de la BP qui refuse sans motif ma demande (ça aussi ils ont le droit).
Là, je commence à me faire du souci : si même la Banque Postale me refuse, alors où aller ?!
Je me demande alors si je ne suis pas listé sur un fichier d'interdit bancaire ou autre que les banques peuvent consulter et qui bloque (seulement je n'en vois vraiment pas la raison).
J'ai fini par apprendre qu'en passant par la Banque de France, celle-ci désigne une Banque qui sera alors obligée de m'accepter (un peu comme un avocat commis d'office) mais j'aimerais être accueilli comme un client désirable et non comme un boulet.
Avez-vous de bonnes relations avec votre banque ? Quelle banque conseilleriez-vous pour ouvrir un compte pro? Avez-vous des offres de parrainage toujours inutilisées?
Je précise que mon EURL marche du tonnerre, n'a demandé aucun crédit ni n'a été une seule fois à découvert.
Merci par avance de votre retour d'expérience.
Robin
Merci!!
Donc c'est bien cela, je me fais massacrer à l'IR sur cette 1ère année réussie, qui plus est en étant bien dans la tranche supérieure.
Et inversement, je récupérerai un crédit d'impôt le jour où je cesse mon activité ou que mes revenus baissent de façon drastique.
Merci de votre contribution.
Je vais essayer d'être le plus clair possible.
Tout d'abord, pour employer des termes exacts, je ne parle pas de "charges" mais de "cotisations sociales" personnelles.
Je me place de plus dans l'hypothèse où la société n'a aucun lien avec le paiement ou la déclaration de cotisations sociales personnelles. Ça n'est que le problème du gérant (moi, en tant que personne physique).
Pour être peut-être plus clair, voici ma situation:
J'ai démarré mon activité en 2010 et tout a commencé très doucement puis à décollé en 2012.
Résultat: en 2012, les organismes sociaux ne me demandent que 700€ (au titre des exercices précédents). Or de mon côté, je me rémunère en 2012 93k€ bruts. Sur ma déclaration de revenus personnels 2012 (et je fais abstraction de l'abattement des 10% et de la prise en compte de la CSG/CRDS que j'ai bien compris), dois-je indiquer 93000-700 = 92300€ ?
Vous suggérez donc que lorsque c'est le gérant qui paie, ce sont les montants réellement appelés et calculés sur l'année n-1 ou n-2 (je ne sais plus mais peu importe).
Et lorsque c'est la société qui paie pour le gérant,
elle paie une avance sur cotisation, estimée sur la rémunération de l'année en cours?
Je fais référence à vos 2 premières phrases (je veux dire par là que la suite de votre réponse correspond à un point qui est déjà clair pour moi).
Personne n'aurait une réponse à apporter?
Sur la déclaration des revenus de 2012, déduit-on de la rémunération:
- les cotisations personnelles réellement appelées et payées en 2012?
- ou bien une estimation des cotisations personnelles calculées sur la base de cette rémunération 2012?
Par "charges" vous signifiez "cotisations personnelles obligatoires".
Ça n'est pas tout a fait la même chose puisque le paiement par la société des cotisations ne vaut pas déduction du résultat, n'est-ce pas? Mais je m'égare, il s'agit d'un autre sujet et c'est un point de vue personnel que de considérer qu'il ne faut pas mélanger ce qui relève du personnel et du sociétaire (à la base, l'EURL est une SARL, sauf pour l'administration fiscale).
Si je vous suis bien, on déduit donc de la rémunération brute 2012 :
- les cotisations personnelles obligatoires réellement appelées et payées en 2012 (sur la base d'exercices antérieurs)
- 10% du montant obtenu précédemment (et non de la rémunération brute)
Excusez-moi mais j'ai le sentiment d'être le seul à tiquer sur un point:
Thais781 a dit: "Case XG = 50000€ - 10% = 45000€"
Pour moi il y manque la déduction des cotisations sociales obligatoires.
En effet, la notice de la DSI stipule bien: "Reportez dans la rubrique XG le montant net des rémunérations, c'est-à-dire après déduction des cotisations sociales personnelles obligatoires et des [...] 10%".
D'où ma question fondamentale:
Parlent-ils des cotisations qui ont été réellement payées en 2012 (et qui correspondent donc à une base de rémunération antérieure) ? Ou bien font-ils allusion à ce que je devrais payer sur la base de ladite rémunération versée en 2012 ? Auquel cas je n'en sais rien puisque j'attends qu'ils me donnent ce montant (ce qu'ils ne seront d'ailleurs capables de faire que lorsque je leur aurai communiqué ma rémunération brute). Bref, s'il s'agissait du 2ème cas ce serait alors le serpent qui se mord la queue, ce qui invalide l'hypothèse. Qu'en pensez-vous?
Moi, je ne me lancerais pas dans une embauche uniquement pour "arranger un coup". Ca me paraît risqué, compliqué et, si effectivement il y a des aides à la 1ère embauche (à vérifier), tu grilles tes cartouches pour la suite de ton entreprenariat. Je pense que je proposerais à ton collègue de s'inscrire comme auto-entrepreneur pour 2013 afin qu'il te facture. Je crois qu'il peut dépasser le plafond de 32000€ sur une année (ce qui l'obligerait ensuite à changer de statut sauf s'il décide de cesser son activité).
Oui, vous avez le droit d'établir un contrat.
Vous pouvez y faire figurer une clause de non concurrence mais elle ne doit pas être abusive en cas de contestation devant un tribunal. Par exemple, proportionnée à la durée du contrat en question. En général, figure dans les contrats que les SSII m'adressent, une clause de 6/9/12 mois prenant effet à la fin du présent contrat. La clause est repoussée d'autant si le contrat est renouvelé.
EURLalala a écrit : Je sens que je vais finalement installer ma licence Parallels même si j'avais temporisé depuis l'achat de Office pour Mac
Ca vaut le coup. A moins que le code VBA soit simplissime ou ne contienne que des instructions "pur VB", il y a peu de chances qu'une macro conçue sous Windows tourne sur Mac sans aucune adaptation.
Cela dépend de votre version d'Office : disparu sur Office 2008, VBA est ré-apparu sur 2011.
Ceci dit, même sur une version Office supportant les macros, l'exécution sur un Mac d'une macro faite sur Windows pose généralement beaucoup de problèmes et demande des adaptations.
J'ai fait l'erreur ultime de faire figurer sur l'objet social, à la fois "prestation, conseil, etc." et "commercialisation" (pour exactement les mêmes raisons que toi).
Bilan: affilié simultanément auprès de l'URSAFF et du RSI commerçant (malgré le code NAF 6209Z).
-> Conséquences par la suite : taxation d'office, 8000€ à payer même si 0 de CA, huissiers aux fesses depuis 2 ans et maintenant en procès devant le TASS (situation au demeurant humiliante).
Bref: si tu ne veux pas vivre un véritable calvaire, ne fais pas figurer "commerçant" ou "vente" (ou autre chose ressemblant) sur ton objet social sans y être raisonnablement contraint et forcé (couteau sous la gorge par exemple...).
Les graphiques représentent, en fonction de la rémunération versée, le % prélevé sur le montant [Chiffre d'affaires - Charges] qui n'ira pas dans notre poche.
Tout à gauche = rémunération nulle et dividendes maxi
Tout à droite = l'inverse
CS = cotisations sociales
IS = impôt sur les sociétés
IR = impôt sur les revenus
La courbe rouge indique donc ce qui reste en net après avoir tout payé. En 2012, à 50k€ de rémunération, le taux global prélevé est minimal (41,8%).
NB: je n'ai pas tenu compte d'une éventuelle augmentation des taux de cotisations sociales (j'ai cependant reçu un courrier de la RAM PL qui indiquait que les modalités de calcul des cotisations allaient "changer" en 2013).
Les dividendes restent intéressants pour ceux qui les reçoivent à titre gracieux, notamment les actionnaires de grosses SA et qui, de toute façon, ne toucheraient pas d'autres revenus même s'il n'y avait pas distribution de ces dividendes. La petit récompense, même taxée, reste attirante.
De notre point de vue "d'actionnaire unique", cela ne tient plus.
D'après mes calculs ci-dessus, on se prend environ 6% de prélèvements supplémentaires entre les 2 situations optimisées de 2012 et 2013 (ie: rémunération à 50% puis 100%).
Auparavant, il y avait une optimisation possible en jouant sur le niveau de rémunération (aux environs de 50% pour un CA de 100k€). Le pire cas étant de se verser 100% sous forme de rémunération.
Aujourd'hui, aucune optimisation n'est possible et le meilleur cas devient donc le pire cas d'auparavant, à savoir tout se verser en rémunération.
Je suis gérant majoritaire en EURL.
Ayant reçu très peu d'informations claires et avérées, j'ai décidé de rester sur le même mode de rémunération qu'en 2011/2012 (exercice/versement), à savoir que je me verse à peu près 50% en rémunération et 50% en dividendes.
Quelqu'un saurait-il m'expliquer, sur la base d'un cas très simple, l'écart chiffré sur la taxation des dividendes en 2013 comparé à 2012?
Par exemple, sur 40k€ que je me serais versés en dividendes en 2012 (exercice 2011), j'ai payé 13,5% de charges. Puis j'ai ôté 1325€ et abattu 40% avant d'ajouter le montant à mon "net imposable".
En 2013, que va-t-il se passer sur ces 40k€? D'après ce que j'ai compris:
- on prélève non plus 13,5% mais 15,5% (???)
- on supprime l'abattement de 1325€
- on conserve l'abattement de 40% avant ajout au "net imposable"
- on paie en plus des cotisations au RSI? sur la base de 40k€? 40k€ - 15,5%? à quel taux approximativement? ~30%?
PS: Je ne comprends pas non plus qu'il n'y ait pas eu plus de protestations. Que ce serait-il passé si c'était une augmentation des charges salariales qui avait été votée? Certainement beaucoup plus de monde dans la rue...
Je pense que donc que je vais tenir compte de ces frais et prendre la responsabilité d'avoir éventuellement à les justifier en cas de contrôle.
D'habitude, j'historise mes facturettes chaque fin de semaine mais la lourdeur de cette tâche (cumulée aux autres) et les activités estivales n'aidant pas, j'ai un peu relaché le process, je l'avoue.
Encore merci de votre aide.
Bien cordialement,
R.P.
Je me suis fait voler jeudi dernier mon portefeuille dans le métro. Celui-ci contenait, outre mes cartes bancaires, des facturettes correspondant à des frais de mission sur les 3 dernières semaines (repas au restaurant d'entreprise et rechargement de pass navigo).
J'ai déposé une plainte au commissariat, en prenant soin d'y faire figurer la disparition de ces preuves de paiement. Par ailleurs, je suis en mesure de prouver, via les relevés du compte bancaire, le montant quasi-exact de ces facturettes disparues.
Ai-je un recours quelconque ou un droit à faire valoir auprès des impôts pour la déduction des frais ou bien dois-je m'assoir dessus?
Je viens d'envoyer une facture à l'un de mes clients et celui-ci me signale que l'adresse de facturation n'est pas la bonne.
Après réflexion, je me dis qu'une adresse erronée implique un client non identifié, donc une facture nulle et non avenue (???).
Je vais lui demander confirmation mais, s'il s'avère qu'il n'a pas du tout passé cette facture dans son système de compta, est-il alors possible de lui demander purement et simplement de ne pas en tenir compte et de la détruire? Je précise que je travaille pour le moment sur Excel, donc ne suis pas soumis à un système de numérotation irréversible, etc.
Merci beaucoup par avance!
R. P.
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