Lovau
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Réponse postée 12 juillet 2024 13:53
Merci pour la remarque judicieuse.
Je précise ma pensée: je ne voulais pas dire que j'allais nécessairement démarcher activement pour trouver une mission freelance et quitter mon CDI le plus vite possible.
Si tout se passe bien et que le job me plait, il est même possible que j'y reste de nombreuses années.
Mais c'est toujours sain d'envisager une porte de sortie le cas échéant.
J'ai d'ailleurs eu la même remarque que la vôtre au cours de plusieurs entretiens: "Vous êtes freelance et vous dites vous même être très attaché à votre liberté. Pourquoi prendrions-nous le risque de vous embaucher et d'investir sur vous ?".
J'ai toujours la même réponse: si le job me plait, que ce soit freelance ou CDI, je vais y rester longtemps. Mon CV parle pour moi : un CDI de 6 ans et un client en freelance pendant 6 ans. Je préfère le côté freelance, mais tout n'est pas blanc ou noir et si un poste me plait, je ne vois pas de raison de changer.
Et puis, même si ce n'est pas le cas de tout le monde, j'ai suffisamment de morale et d'éthique pour respecter mon client et ma mission - à partir du moment où c'est réciproque.
Bonjour,
Et enfin, accepter le CDI ne signifie pas forcément de s'ajouter un boulet au pied et jeter la clé au loin définitivement ... rien ne m'empêche d'ici 6 mois/1 an, si je sens le vent tourner ou si le job est moins sympa que prévu, d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte.
Vous avez pris un sage décision et en effet on peut toujours quitter le CDI si une belle opportunité en freelance s'annonce.
Cela dit, je trouve que faire des aller-retour entre CDI et freelance c'est aussi une bonne stratégie. Le marché fluctue donc on s'adapte !
Je pense vous avez eu de la chance de trouver un poste en CDI, probablement car vous étiez sur une mission longue de 6ans. Mais la plupart des entreprises ne souhaitent pas/plus prendre d'ancien freelances en CDI car cela signifie pour eux qu'à la moindre mission disponible, vous repartirez en freelance. En général lorsqu'une entreprise cherche un CDI c'est pour plutôt du long terme, si au bout de 3mois vous partez ça ne lui aura servit à rien.
Toutes les discussions au-dessus montre cet état d'esprit de basculer entre CDI / freelance. En gros dès qu'il y a moins de missions on accepte un CDI et dès qu'on en trouve une, on repart en freelance. Si j'étais un recruteur pour un CDI, je ne prendrais probablement pas un ancien freelance pour ses raisons...
A la fin, le risque étant de ne plus trouver de mission, ni de poste en CDI accepté pour d'ancien freelance.
Réponse postée 12 juillet 2024 11:50
@FreelanceDram
Oui, j'ai eu beaucoup de chance. C'était ma 1ère mission post-salariat, intéressante, bien payée, avec une grosse montée en compétences et en responsabilités au cours de la mission, en très longue durée et avec énormément de télétravail. Toutes les cases étaient cochées, le top du top :=)
D'où la difficulté de retourner à la réalité ...!
Réponse postée 12 juillet 2024 11:30
Bon, après réflexion, j'ai accepté le CDI.
Déjà, parce qu'effectivement, la période semble un peu compliqué pour trouver une mission freelance.
Ensuite, nous sommes en juillet : il va y avoir au moins 2 mois de creux. Soit au bas mot 3 mois au mieux pour retrouver une mission freelance.
Et enfin, accepter le CDI ne signifie pas forcément de s'ajouter un boulet au pied et jeter la clé au loin définitivement ... rien ne m'empêche d'ici 6 mois/1 an, si je sens le vent tourner ou si le job est moins sympa que prévu, d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte.
En tout cas, ça va faire bizarre de repasser en salarié ...
Réponse postée 11 juillet 2024 17:04
Bonjour,
Je suis un project manager IT avec +10 ans d'expérience et je suis sorti en mars d'une mission longue de 6ans, qui était très bien payé (682€ TJM).
J'ai actuellement une proposition de CDI à 76K€. Le poste est intéressant, mais ça fait un sacré gap de rémunération avec mes 6 dernières années...
Cependant, vu le marché tendu actuel et la difficulté à (re)trouver une mission, j'hésite à accepter quand même.
Qu'en pensez-vous ?
Réponse postée 30 juillet 2020 11:17
Réponse postée 28 juillet 2020 12:43
J'ai continué mes recherches en parallèle et je suis tombé sur:
https://www.impots.gouv.fr/portail/particulier/questions/jai-achete-un-logement-que-je-loue-non-meuble-puis-je-deduire-les-interets
Il semblerait donc que les intérêts d'emprunts sont bien déductibles en tant que charge.
A moins qu'il existe un cas particulier pour la location d'une partie de la résidence principale ?
Si vous avez plus d'infos / sources sur pourquoi l'option 3) ne serait pas possible, je suis preneur :)
J'en profite pour corriger une erreur sur le calcul de l'impôt, que je faisais initialement sans les charges sociales, alors qu'il faut les inclure. Cela dit, ça ne change pas la conclusion qui donne option 3) > option 2) > option 1).
Réponse postée 28 juillet 2020 08:50
Préambule: je suis en EURL à l'IS et propri de mon appartement.
Etant en télétravail une bonne partie du temps (même avant covid), je veux louer à mon entreprise les 9m² nécessaires à mon bureau pro.
J'ai effectué les calculs suivants pour déterminer la rentabilité, mais je ne suis pas sûr de moi.
De base, sans déclarer aucun loyer, j'ai ceci:
Si je déclare mon loyer pro en microfoncier, je diminue d'autant ma rémunération et sur mon impôts, retire 30% des loyers dans la déclaration. Ca semble assez avantageux:
Et si je vais encore plus loin et que je déclare les loyers en régime réel, je peux retirer des charges intéressantes, notamment les intérêts d'emprunts de mon crédit:
Voici le détail des calculs:
Qu'en pensez-vous ?
Les calculs vous semblent-ils corrects ?
Réponse postée 12 décembre 2018 13:20
Pour info, ça a été validé :=)Donc si je modifie mes statuts avec date de dépôt le 01/12/2018 pour une date de début d'activité le 01/01/2019, et que j'envoie le tout le 1er décembre en recommandé ... ça devrait passer non ?
Modification des status (date de rédaction/signature au 1er décembre) + modification du formulaire M0 (date début d'activité au 1er janvier).
Réponse postée 22 novembre 2018 12:01
Je pense à une autre solution : j'ai 15 jours pour répondre, et j'ai reçu le 1er mail d'infogreffe le 19/11.
Donc si je modifie mes statuts avec date de dépôt le 01/12/2018 pour une date de début d'activité le 01/01/2019, et que j'envoie le tout le 1er décembre en recommandé ... ça devrait passer non ?
Au pire, ça ne passe pas et je devrais re-faire la demande de création et re-payer les frais de publications and co. Ce qui me pend au nez si je ne tente rien.
Réponse postée 19 novembre 2018 14:20
Justement, si, la lettre d'infogreffe précise bien :_lael a écrit : rien ne vous empêche de déclarer le début d'activité au 1er janvier.
==> ce qui donne un début d'activité au plus tard au 16 décembre 2018.L'entreprise ne peut déclarer exercer une activité que dans le mois suivant la date du dépôt de la demande d'immatriculation.
Mais si je me déclare sans activité, je ne pensais pas devoir re-payer pour démarrer réellement l'EURL.
La question serait donc : payer la CFE ou payer infogreffe+publication des status ?
Réponse postée 19 novembre 2018 14:02
J'ai effectué ma demande de création d'EURL (via infogreffe).
J'avais précisé dans les statuts que mon début d'activité était en février 2019.
Or ma demande a été refusée, avec la réponse suivante :
Ce qui m'amène à la question :L'entreprise ne peut déclarer exercer une activité que dans le mois suivant la date du dépôt de la
demande d'immatriculation. En conséquence, veuillez nous retourner le formulaire ci-joint, en
modifiant la date de début d'activité ou en déclarant la société sans activité (la formalité de prise
d'activité devra alors être déposée dans le mois de la date de début d'activité).
Si je déclare ma société "sans activité", cette période sans activité est-elle comptabilisée pour la CFE ?
Si oui, quel est l'intérêt de se déclarer sans activité ? Dans ce cas, j'imagine que je l'ai dans l'os pour la CFE ?
J'ai aussi l'option de ne pas répondre dans les 15 jours à ce courrier, auquel cas, ma demande de création d'EURL sera annulée. Mais je suppose que je perdrai aussi les coûts de création / parution dans un journal...