Philgood20
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Réponse postée il y a 2 heures
Bonjour,
Pourquoi n'en n'aurait il pas le droit ?
Et quelles sont les démarches ou actions que je peux entreprendre pour l'en empêcher ?
L'esclavage a été aboli en France depuis quelque temps déjà, et ce n'est pas votre salarié mais celui de la SASU.
Sinon le mieux puissiez espérer se trouve dans le contrat avec votre client, ce qui vous permettrait de négocier un stand by ou un accord transactionnel avec le client.
Mais si ça se passe mal avec le salarié il pourrait vous attaquer aux prud'hommes, à vous de voir...
Réponse postée 15 novembre 2024 17:53
Il faudrait quand même te documenter un peu, les statuts d'esclave et de salarié sont très différent.
L'esclave ne signe pas de contrat et n'a pas la possibilité de démissionner.
Il y en a beaucoup d'autres...
Perso je préfère être au RSA + un petit boulot libéral au black que d'être un ESCLAVE / Salarié ...
Pour moi la question est beaucoup plus philosophique et de principe .... Je supporterai très mal d'avoir un rapport de subordination et qu'on détermine a quelle heure dois je me lever et allouer un temps de vie limité qui ne reviendra jamais ... c'est une question de liberté voire de vie ou de mort ...
Nous somme nés du ventre de nos mamans des hommes libres alors pourquoi s'obstiner a se salarier (esclave ). Pour info le mot Salarié vient de l'anglais SALVERY qui découle directement de la racine SLAVE qui veut dire littéralement ESCLAVE !
Moralité : quand tu te salarie , tu es entrain de réaliser le rêve d'un autre et tuer le tien !
FUEZ LE SALARIAT A TOUT PRIX !
Réponse postée 13 novembre 2024 12:35
Bonjour,
Tu risques d'avoir peu de réponse sur ce sujet, je suis chez Epsor mais je n'en ai pas essayé d'autres. J'ai vu que SwissLife communiquait dernièrement sur ce marché, à explorer.
Philippe
Réponse postée 30 octobre 2024 16:13
IJ+IJSS => 80% du salaire Brut plafonné à T2
Réponse postée 25 octobre 2024 16:20
Bonjour,
C'est le fonctionnement normal quelque soit la solution de paie, les prélèvements sont effectués par les tiers à dates fixées par eux.
En revanche pas besoin d'attendre ces prélèvements pour vous verser le net à payer.
Réponse postée 24 octobre 2024 16:53
@AgentOrange
Merci mais je suis curieux de connaitre votre définition du "chef d'entreprise" sans être simpliste.
Salut à toutes et à tous,
Faut-il se réjouir des différentes augmentations d’impositions/taxations diverses à venir ? Non, ce n’est pas ce que je dis quand je dis "la PFU va passer de 30 à 33 % et alors ?".
Ce que je dis, et que beaucoup ne semblent pas vouloir comprendre ou voir, c’est que le problème actuel ne réside pas uniquement dans le niveau d’imposition/taxation. Certes, c’en est une composante importante, mais elle n’est ni la seule, ni la plus importante.
Pour moi (et c’est totalement discutable, je suis prêt à en discuter), le vrai problème n’est pas l’augmentation sérieuse de notre niveau d’imposition/taxation (et ça va continuer, ce n’est pas fini). Quand je parle d’augmentation, je ne fais pas seulement référence aux quelques pourcentages qui vont grimper, mais aussi à tout ce qui va diminuer en termes d’exonérations ou autres avantages, qui vont disparaître ou se réduire, et qui, par conséquent, deviennent des augmentations déguisées. Le véritable enjeu, selon moi, c’est l’utilisation des fonds collectés à travers ces impôts/taxes pour répondre aux besoins de notre fonctionnement "sociétal" en France (ou le modèle "social", si vous préférez).
En ce moment, il y a beaucoup de bien-pensants, fraîchement "élus", qui jouent les effarouchés : "Oh mon dieu !" Et la réponse des escrocs du système (dont beaucoup d’entre vous !) est : "Oh, qu’est-ce qui se passe ? C’est grave, docteur ?" (comme si personne ne savait… "Nous, on n’a rien fait"… bande d’hypocrites).
Continuons. Donc, les "bien-pensants" annoncent :
"Bon, il va falloir trouver 60 milliards d’euros, mais ne vous inquiétez pas, l’effort sera partagé entre :
- Pour environ 1/3 de (ré)imposition/(re)taxation sur les hauts revenus, les grandes entreprises et diverses choses (on ne vous dit pas tout pour ne pas vous faire peur, mais vous allez tous y avoir droit, même si vous vous cachez ailleurs) ;
- Pour 2/3 en réduisant les dépenses de la France (santé, social, éducation, investissements, fonctionnement, etc.)."
("Euh, pourquoi le fonctionnement est presque en dernier ?" Parce que c’est ce qui mettrait le plus de monde dans la rue, nos "chers fonctionnaires" (tous confondus)).
WAHOU !!! Quelle bonne blague…
À ce jour, concernant ces 60 milliards d’euros, où en est-on ? Le premier tiers est presque bouclé ! (Yes, on va tous passer à la caisse !) Pour les 2/3 restants, oui, un effort sera fait… plus tard. (Je parie que cet effort total se chiffrera à 4 ou 6 milliards, en tout cas moins de 10 milliards, sur plusieurs années. Faut pas rêver. Il s’agit juste d’éviter que ça nous explose à la figure avant 2027 (pensée d’un "bien-pensant élu".)
Pour revenir à ces 60 milliards d’euros, première chose, mesdames, messieurs, j’ai une très mauvaise nouvelle : ce n’est pas 60 milliards, mais plus de 100 milliards d’euros que la France doit trouver en réduction de dépenses annuelles à court et moyen terme ! (3 à 5 ans, court/moyen terme… Quoi, ça vous surprend de parler de court/moyen terme sur 3/5 ans ? Vous n’en avez pas l’habitude ?)
"HEIN !!! Plus de 100 milliards d’euros sur 3 à 5 ans ?! Mais ça veut dire qu’il va falloir sortir 20 à 30 milliards d’euros tous les ans ?! MAIS ÇA VA PAS NON ?!"
Ah ? Vous ne l’aviez pas compris ou ne le saviez pas ? Attendez, j’en ai une autre :
Ces 100 milliards d’euros, ou les 20 à 30 milliards par an pendant 3 à 5 ans, que la France (vous, moi et les autres) doit retirer de la facture globale annuelle, et ne jamais les y remettre !
Allez, comme je vous aime bien (contrairement à ce que beaucoup pensent 😁), cerise sur le gâteau, tout cela, c'est sans compter les chantiers qui nous attendent (écologie, climat, social, investissements futurs, etc.).
Donc, quand je dis "3 % de plus sur la PFU, et alors ?", ce n’est pas pour me moquer de tout le monde, c’est parce que cette augmentation de 3 % ce n’est rien comparé au problème posé sur la table. (Relisez la partie sur les 100 milliards d’euros.)
D’où le second point : et vous, qu’êtes-vous prêts à perdre ? Parce que de toute façon, vous, moi, et les autres, il va falloir renoncer à certaines choses.
Bien à toutes et à tous.
(j'allais mettre un PS, mais ça allait encore beugler comme des ânes, alors je ne le mets pas (sauf sur demande😁))
Réponse postée 24 octobre 2024 13:26
@Cat13: Il y a des salariés à 50% du SMIC et d'autres à 20 K euros, ils n'ont probablement pas le même "niveau" comme tu dis, pour autant ils sont tous salariés et relèvent du code du travail et vont aux Prud'hommes en cas de conflit avec leur employeur.
Salut à toutes et à tous,
Faut-il se réjouir des différentes augmentations d’impositions/taxations diverses à venir ? Non, ce n’est pas ce que je dis quand je dis "la PFU va passer de 30 à 33 % et alors ?".
Ce que je dis, et que beaucoup ne semblent pas vouloir comprendre ou voir, c’est que le problème actuel ne réside pas uniquement dans le niveau d’imposition/taxation. Certes, c’en est une composante importante, mais elle n’est ni la seule, ni la plus importante.
Pour moi (et c’est totalement discutable, je suis prêt à en discuter), le vrai problème n’est pas l’augmentation sérieuse de notre niveau d’imposition/taxation (et ça va continuer, ce n’est pas fini). Quand je parle d’augmentation, je ne fais pas seulement référence aux quelques pourcentages qui vont grimper, mais aussi à tout ce qui va diminuer en termes d’exonérations ou autres avantages, qui vont disparaître ou se réduire, et qui, par conséquent, deviennent des augmentations déguisées. Le véritable enjeu, selon moi, c’est l’utilisation des fonds collectés à travers ces impôts/taxes pour répondre aux besoins de notre fonctionnement "sociétal" en France (ou le modèle "social", si vous préférez).
En ce moment, il y a beaucoup de bien-pensants, fraîchement "élus", qui jouent les effarouchés : "Oh mon dieu !" Et la réponse des escrocs du système (dont beaucoup d’entre vous !) est : "Oh, qu’est-ce qui se passe ? C’est grave, docteur ?" (comme si personne ne savait… "Nous, on n’a rien fait"… bande d’hypocrites).
Continuons. Donc, les "bien-pensants" annoncent :
"Bon, il va falloir trouver 60 milliards d’euros, mais ne vous inquiétez pas, l’effort sera partagé entre :
- Pour environ 1/3 de (ré)imposition/(re)taxation sur les hauts revenus, les grandes entreprises et diverses choses (on ne vous dit pas tout pour ne pas vous faire peur, mais vous allez tous y avoir droit, même si vous vous cachez ailleurs) ;
- Pour 2/3 en réduisant les dépenses de la France (santé, social, éducation, investissements, fonctionnement, etc.)."
("Euh, pourquoi le fonctionnement est presque en dernier ?" Parce que c’est ce qui mettrait le plus de monde dans la rue, nos "chers fonctionnaires" (tous confondus)).
WAHOU !!! Quelle bonne blague…
À ce jour, concernant ces 60 milliards d’euros, où en est-on ? Le premier tiers est presque bouclé ! (Yes, on va tous passer à la caisse !) Pour les 2/3 restants, oui, un effort sera fait… plus tard. (Je parie que cet effort total se chiffrera à 4 ou 6 milliards, en tout cas moins de 10 milliards, sur plusieurs années. Faut pas rêver. Il s’agit juste d’éviter que ça nous explose à la figure avant 2027 (pensée d’un "bien-pensant élu".)
Pour revenir à ces 60 milliards d’euros, première chose, mesdames, messieurs, j’ai une très mauvaise nouvelle : ce n’est pas 60 milliards, mais plus de 100 milliards d’euros que la France doit trouver en réduction de dépenses annuelles à court et moyen terme ! (3 à 5 ans, court/moyen terme… Quoi, ça vous surprend de parler de court/moyen terme sur 3/5 ans ? Vous n’en avez pas l’habitude ?)
"HEIN !!! Plus de 100 milliards d’euros sur 3 à 5 ans ?! Mais ça veut dire qu’il va falloir sortir 20 à 30 milliards d’euros tous les ans ?! MAIS ÇA VA PAS NON ?!"
Ah ? Vous ne l’aviez pas compris ou ne le saviez pas ? Attendez, j’en ai une autre :
Ces 100 milliards d’euros, ou les 20 à 30 milliards par an pendant 3 à 5 ans, que la France (vous, moi et les autres) doit retirer de la facture globale annuelle, et ne jamais les y remettre !
Allez, comme je vous aime bien (contrairement à ce que beaucoup pensent 😁), cerise sur le gâteau, tout cela, c'est sans compter les chantiers qui nous attendent (écologie, climat, social, investissements futurs, etc.).
Donc, quand je dis "3 % de plus sur la PFU, et alors ?", ce n’est pas pour me moquer de tout le monde, c’est parce que cette augmentation de 3 % ce n’est rien comparé au problème posé sur la table. (Relisez la partie sur les 100 milliards d’euros.)
D’où le second point : et vous, qu’êtes-vous prêts à perdre ? Parce que de toute façon, vous, moi, et les autres, il va falloir renoncer à certaines choses.
Bien à toutes et à tous.
(j'allais mettre un PS, mais ça allait encore beugler comme des ânes, alors je ne le mets pas (sauf sur demande😁))
Réponse postée 24 octobre 2024 12:05
@RedPulp,
Ce n’est pas parce que, dans certains cas, vous vous êtes mis en "entreprise/société" que cela fait de vous des entrepreneurs ou des "chefs d’entreprise"
C'est quoi un chef d'entreprise?
Fondamental en désaccord, puisque le terme désigne le responsable légal de la personne morale ayant une activité commerciale, sans considération pour le nombre de salariés, le capital social ou le CA. Donc qu'il exerce en EURL ou en SASU, le free est bien à la tête d'une entreprise.
Non, pour la plupart d’entre vous, vous n’êtes que des indépendants !
(Limite méprisant...) C'est quoi un indépendant au juste ? C'est une personne rattachée à la protection sociale des indépendants.
Par conséquent le gérant majoritaire est bien chef d'entreprise et indépendant.
@Yohan
c'est qu'on nous a trop inculqué que la seule épargne était dans la pierre
Pas d'accord, personne n'inculque cela en France, cependant il y a dans la mémoire collective des évènements marquants (les emprunts russes, 1929, le sucre, Suez, Panama, les privatisations des années 80 et j'en passe qui ont rincés les générations précédentes).
Salut à toutes et à tous,
Faut-il se réjouir des différentes augmentations d’impositions/taxations diverses à venir ? Non, ce n’est pas ce que je dis quand je dis "la PFU va passer de 30 à 33 % et alors ?".
Ce que je dis, et que beaucoup ne semblent pas vouloir comprendre ou voir, c’est que le problème actuel ne réside pas uniquement dans le niveau d’imposition/taxation. Certes, c’en est une composante importante, mais elle n’est ni la seule, ni la plus importante.
Pour moi (et c’est totalement discutable, je suis prêt à en discuter), le vrai problème n’est pas l’augmentation sérieuse de notre niveau d’imposition/taxation (et ça va continuer, ce n’est pas fini). Quand je parle d’augmentation, je ne fais pas seulement référence aux quelques pourcentages qui vont grimper, mais aussi à tout ce qui va diminuer en termes d’exonérations ou autres avantages, qui vont disparaître ou se réduire, et qui, par conséquent, deviennent des augmentations déguisées. Le véritable enjeu, selon moi, c’est l’utilisation des fonds collectés à travers ces impôts/taxes pour répondre aux besoins de notre fonctionnement "sociétal" en France (ou le modèle "social", si vous préférez).
En ce moment, il y a beaucoup de bien-pensants, fraîchement "élus", qui jouent les effarouchés : "Oh mon dieu !" Et la réponse des escrocs du système (dont beaucoup d’entre vous !) est : "Oh, qu’est-ce qui se passe ? C’est grave, docteur ?" (comme si personne ne savait… "Nous, on n’a rien fait"… bande d’hypocrites).
Continuons. Donc, les "bien-pensants" annoncent :
"Bon, il va falloir trouver 60 milliards d’euros, mais ne vous inquiétez pas, l’effort sera partagé entre :
- Pour environ 1/3 de (ré)imposition/(re)taxation sur les hauts revenus, les grandes entreprises et diverses choses (on ne vous dit pas tout pour ne pas vous faire peur, mais vous allez tous y avoir droit, même si vous vous cachez ailleurs) ;
- Pour 2/3 en réduisant les dépenses de la France (santé, social, éducation, investissements, fonctionnement, etc.)."
("Euh, pourquoi le fonctionnement est presque en dernier ?" Parce que c’est ce qui mettrait le plus de monde dans la rue, nos "chers fonctionnaires" (tous confondus)).
WAHOU !!! Quelle bonne blague…
À ce jour, concernant ces 60 milliards d’euros, où en est-on ? Le premier tiers est presque bouclé ! (Yes, on va tous passer à la caisse !) Pour les 2/3 restants, oui, un effort sera fait… plus tard. (Je parie que cet effort total se chiffrera à 4 ou 6 milliards, en tout cas moins de 10 milliards, sur plusieurs années. Faut pas rêver. Il s’agit juste d’éviter que ça nous explose à la figure avant 2027 (pensée d’un "bien-pensant élu".)
Pour revenir à ces 60 milliards d’euros, première chose, mesdames, messieurs, j’ai une très mauvaise nouvelle : ce n’est pas 60 milliards, mais plus de 100 milliards d’euros que la France doit trouver en réduction de dépenses annuelles à court et moyen terme ! (3 à 5 ans, court/moyen terme… Quoi, ça vous surprend de parler de court/moyen terme sur 3/5 ans ? Vous n’en avez pas l’habitude ?)
"HEIN !!! Plus de 100 milliards d’euros sur 3 à 5 ans ?! Mais ça veut dire qu’il va falloir sortir 20 à 30 milliards d’euros tous les ans ?! MAIS ÇA VA PAS NON ?!"
Ah ? Vous ne l’aviez pas compris ou ne le saviez pas ? Attendez, j’en ai une autre :
Ces 100 milliards d’euros, ou les 20 à 30 milliards par an pendant 3 à 5 ans, que la France (vous, moi et les autres) doit retirer de la facture globale annuelle, et ne jamais les y remettre !
Allez, comme je vous aime bien (contrairement à ce que beaucoup pensent 😁), cerise sur le gâteau, tout cela, c'est sans compter les chantiers qui nous attendent (écologie, climat, social, investissements futurs, etc.).
Donc, quand je dis "3 % de plus sur la PFU, et alors ?", ce n’est pas pour me moquer de tout le monde, c’est parce que cette augmentation de 3 % ce n’est rien comparé au problème posé sur la table. (Relisez la partie sur les 100 milliards d’euros.)
D’où le second point : et vous, qu’êtes-vous prêts à perdre ? Parce que de toute façon, vous, moi, et les autres, il va falloir renoncer à certaines choses.
Bien à toutes et à tous.
(j'allais mettre un PS, mais ça allait encore beugler comme des ânes, alors je ne le mets pas (sauf sur demande😁))
Réponse postée 23 octobre 2024 18:20
Le problème c'est que les français est un peuple inapte à la démocratie, les principes économiques de base ne sont pas maitrisés, y compris chez les jeunes diplomés. Quand on sait que l'on a un système de retraite par répartition, que le seul régime général est responsable de la moitié du déficit des comptes publics, et que pour autant le "peuple" se révolte quand on lui demande de travailler un peu plus longtemps, et qu'en plus il ne veut plus faire d'enfants.... Ca ne peut pas fonctionner, un élève de primaire pourrait le comprendre.
Salut à toutes et à tous,
Faut-il se réjouir des différentes augmentations d’impositions/taxations diverses à venir ? Non, ce n’est pas ce que je dis quand je dis "la PFU va passer de 30 à 33 % et alors ?".
Ce que je dis, et que beaucoup ne semblent pas vouloir comprendre ou voir, c’est que le problème actuel ne réside pas uniquement dans le niveau d’imposition/taxation. Certes, c’en est une composante importante, mais elle n’est ni la seule, ni la plus importante.
Pour moi (et c’est totalement discutable, je suis prêt à en discuter), le vrai problème n’est pas l’augmentation sérieuse de notre niveau d’imposition/taxation (et ça va continuer, ce n’est pas fini). Quand je parle d’augmentation, je ne fais pas seulement référence aux quelques pourcentages qui vont grimper, mais aussi à tout ce qui va diminuer en termes d’exonérations ou autres avantages, qui vont disparaître ou se réduire, et qui, par conséquent, deviennent des augmentations déguisées. Le véritable enjeu, selon moi, c’est l’utilisation des fonds collectés à travers ces impôts/taxes pour répondre aux besoins de notre fonctionnement "sociétal" en France (ou le modèle "social", si vous préférez).
En ce moment, il y a beaucoup de bien-pensants, fraîchement "élus", qui jouent les effarouchés : "Oh mon dieu !" Et la réponse des escrocs du système (dont beaucoup d’entre vous !) est : "Oh, qu’est-ce qui se passe ? C’est grave, docteur ?" (comme si personne ne savait… "Nous, on n’a rien fait"… bande d’hypocrites).
Continuons. Donc, les "bien-pensants" annoncent :
"Bon, il va falloir trouver 60 milliards d’euros, mais ne vous inquiétez pas, l’effort sera partagé entre :
- Pour environ 1/3 de (ré)imposition/(re)taxation sur les hauts revenus, les grandes entreprises et diverses choses (on ne vous dit pas tout pour ne pas vous faire peur, mais vous allez tous y avoir droit, même si vous vous cachez ailleurs) ;
- Pour 2/3 en réduisant les dépenses de la France (santé, social, éducation, investissements, fonctionnement, etc.)."
("Euh, pourquoi le fonctionnement est presque en dernier ?" Parce que c’est ce qui mettrait le plus de monde dans la rue, nos "chers fonctionnaires" (tous confondus)).
WAHOU !!! Quelle bonne blague…
À ce jour, concernant ces 60 milliards d’euros, où en est-on ? Le premier tiers est presque bouclé ! (Yes, on va tous passer à la caisse !) Pour les 2/3 restants, oui, un effort sera fait… plus tard. (Je parie que cet effort total se chiffrera à 4 ou 6 milliards, en tout cas moins de 10 milliards, sur plusieurs années. Faut pas rêver. Il s’agit juste d’éviter que ça nous explose à la figure avant 2027 (pensée d’un "bien-pensant élu".)
Pour revenir à ces 60 milliards d’euros, première chose, mesdames, messieurs, j’ai une très mauvaise nouvelle : ce n’est pas 60 milliards, mais plus de 100 milliards d’euros que la France doit trouver en réduction de dépenses annuelles à court et moyen terme ! (3 à 5 ans, court/moyen terme… Quoi, ça vous surprend de parler de court/moyen terme sur 3/5 ans ? Vous n’en avez pas l’habitude ?)
"HEIN !!! Plus de 100 milliards d’euros sur 3 à 5 ans ?! Mais ça veut dire qu’il va falloir sortir 20 à 30 milliards d’euros tous les ans ?! MAIS ÇA VA PAS NON ?!"
Ah ? Vous ne l’aviez pas compris ou ne le saviez pas ? Attendez, j’en ai une autre :
Ces 100 milliards d’euros, ou les 20 à 30 milliards par an pendant 3 à 5 ans, que la France (vous, moi et les autres) doit retirer de la facture globale annuelle, et ne jamais les y remettre !
Allez, comme je vous aime bien (contrairement à ce que beaucoup pensent 😁), cerise sur le gâteau, tout cela, c'est sans compter les chantiers qui nous attendent (écologie, climat, social, investissements futurs, etc.).
Donc, quand je dis "3 % de plus sur la PFU, et alors ?", ce n’est pas pour me moquer de tout le monde, c’est parce que cette augmentation de 3 % ce n’est rien comparé au problème posé sur la table. (Relisez la partie sur les 100 milliards d’euros.)
D’où le second point : et vous, qu’êtes-vous prêts à perdre ? Parce que de toute façon, vous, moi, et les autres, il va falloir renoncer à certaines choses.
Bien à toutes et à tous.
(j'allais mettre un PS, mais ça allait encore beugler comme des ânes, alors je ne le mets pas (sauf sur demande😁))
Réponse postée 15 octobre 2024 16:11
Moi
Quel intérêt de se former ? C'est toujours intéressant en soi.
Le service que l'on paie c'est autre chose ou alors il y a malentendu.
Et en plus il y a une réduction d'impôt à la clef que l'on peut gratter sans diminuer son CA puisque on peut la suivre en dehors des horaires "de travail".
qqun a pris la formation / credit d’impot? il n’y a que dougs pour proposer cela? quel interet de se former pour un service qu’on paie…???
Réponse postée 15 octobre 2024 14:09
Bonjour,
Là où j'ai le plus gros doute, c'est qu'on m'a indiqué qu'un salaire brut de 15000€ permettrait de maximiser l'intéressement à 34KE. Or, j'ai lu sur internet que y avait deux plafonds pour l'intéressement (à la différence de la participation) : celui à 75% du PASS ET celui de 20% de la masse salariale brute total
Attention ces deux plafonds ne s'appliquent pas sur les mêmes sommes!
La prime individuelle est plafonnée à 75% du PASS.
L'intéressement global (tous bénéficiaires) est plafonné à 20% de la masse salariale.
Réponse postée 3 octobre 2024 16:46
Bonjour,
étant donné qu'il y a une séparation juridique entre la société et les associés ?
En tant qu'associé vous seriez protégé effectivement, mais vous être aussi dirigeant, autrement dit représentant légal de la société, à ce titre vous engagez votre responsabilité à respecter le contrat.
Réponse postée 2 octobre 2024 16:46
Bonjour,
Ce qui est raisonnable est propre à chaque situation, c'est étrange que ton employeur te "suggère" la RC, qu'il te fasse une proposition si il veut vraiment rompre la relation. Maintenant tout dépend de ta volonté d'y mettre fin également, c'est bien à toi d'estimer quel indemnité est acceptable pour toi.
Pour les règles de calcul, un cadre en ESN depuis 4 ans devrait pouvoir trouver ça tout seul: https://www.urssaf.fr/accueil/employeur/embaucher-gerer-salaries/gerer-fin-relation-travail/rupture-conventionnelle.html#:~:text=La%20part%20de%20l'indemnit%C3%A9%20de%20rupture%20conventionnelle%20individuelle%20non,de%20personnel%20(CTP)%20719.
Les montants sont toujours exprimés en brut, et les cotisations patronales sont payées par le patron, le reste c'est pour toi.
Réponse postée 1 octobre 2024 17:28
On peut cumuler l'ASS et une rémunération de dirigeant effectivement, et elle n'est versée que trois mois au dirigeant de SASU.
@philgood20
Voici ma question :
Peut-on l'accumuler avec d'autres aides ou rémunérations ?
Réponse postée 1 octobre 2024 14:07
La rémunération de l'activité professionnelle n'est pas une aide, relisez votre question.
J'étais dans le même cas que toi
Tu es censé recevoir ça dans ton espace un ou deux mois avant la fin de tes allocations
Réponse postée 1 octobre 2024 13:47
BonjourAlainnDehz,
Il n'y a pas de "en même temps" avec l'ASS, mais après tu pourras demander le RSA ou la prime d'activité.
J'étais dans le même cas que toi
Tu es censé recevoir ça dans ton espace un ou deux mois avant la fin de tes allocations
Réponse postée 24 septembre 2024 16:36
La démonstration par le youtubeur, il faut oser 😀.
Les banques et les assurances ne sont pas la majorité des entreprises mais elles ont une large part de marché en ce qui concerne la prestation IT.
Le marché des Freelances web, ce n'est définitivement pas le marché IT.
Wouahou mon avis est diamétralement opposé, ça en est presque trollesque.
Pour info, des banques, assurances et éditeurs français utilisent du java pour leurs backend, et ne représentent pas certainement pas 10% du marché
Go est très utilisé dans les nouveaux outils autour du cloud, de la virtualisation et des micro-services : les outils hashicorp, docker, kubernetes ...
Alors vu la tendance actuelle pour bouger massivement dans le cloud, je ne vois pas go disparaitre de si tôt. De même pour java qui a maintenant presque 30 ans d'âge et qui reste encore largement d'actualité.
Je suis d'accord avec l'initiateur du post, pour le front on utilise massivement du JS et le back un autre langage au choix, alors que reste t il au PHP à part d'être de plus en plus marginalisé, tout comme d'autres technos comme le Ruby on rails.
Réponse postée 22 septembre 2024 13:19
Tu veux mettre 10 K en capital social ? A priori cela n'a aucun intérêt.
J'essaie de m'auto-répondre :
10 k€ x 6 = 60 000 €
donc pour une EURL avec un ratio de 1,45 voir 1,5 si j'ajoute une mutuelle, une compta, .... = 40 000 €
donc sur 12 mois, je peux percevoir 3 335 € Net / mois.
Le raisonnement est il correct ?
Donc en terme de capital, je pense partir sur 10 k€ pour assurer 3 mois de disette.
Qu'en pensez vous ?
Réponse postée 22 septembre 2024 13:02
C'est assez simple, en EURL si tu compte sur 6 mois assuré, tu devrais facturer 60 K.
On déduit les frais (EC, banque, RC PRO, CFE) disons 4 K
56 K / 1,45 / 12 = 3 218 de rémunération nette mensuelle sur 12 mois. (on évite le terme salaire)
Beaucoup de questions, je vais essayer de ne pas en oublier :
Concernant les cotisations sociales, pour quelles raisons tu indiques qu'elles sont plus importantes en SASU ?
Parcequ'elles sont globalement plus importantes (voir réponse de Philgood20, confirmé sur le lien bpifrance que j'avais fourni)
Enfin s'il y a pas de salaires, pas de cotisations pour une SASU alors que pour une EURL, il y a des cotisations sociales minimales mais une cotisation qui va servir pour la retraite.
Effectivement, si vous ne vous rémunérez pas, ça ne change pas grand chose. Voir l'EURL coûtera plus cher.
Par contre, faites bien attention à plusieurs choses :
Les droits sociaux sont fonctions de vos rémunérations. Pas de rémunérations = droits sociaux minimaux. Par exemple, en cas de maladie, les IJ se basent sur la rémunération, donc sur rien si pas de salaire.
Pour toucher des dividendes, il faut passer auparavant par l'IS, donc diminution de ce que vous touchez
Pas de cotisations = pas de retraites. Je vous renvois à 2 articles que j'ai écrit pour bien comprendre la retraite :
https://www.free-work.com/fr/tech-it/blog/actualites-informatiques/et-la-retraite-on-en-parle-le-regime-general
https://www.free-work.com/fr/tech-it/blog/free-workers-life/le-regime-complementaire
La gestion est plus lourde pour EURL car les cotisations sociales sont calculées sur la base des revenus de l'année précédente.
Oui et non. Quand vous vous rémunérez 1000, vous savez que vous devez payer 450. Donc soit vous mettez de côté en attendant l'année suivante, soit vous estimez en amont ce que vous allez payer et vous payez des acomptes et vous faites une régulation l'année suivantes.
Une fois passé la première année, les acomptes seront estimé en fonction de votre rémunération de l'année précédente, mais pareil, il est toujours possible de moduler.
Ca peut être une petite gymnastique si vous faites le yoyo dans votre rémunération, mais ce n'est pas si complexe.
Pour le reste, il faut tenir une compta, il y a la TVA, le bilan ... C'est un peu pareil à mon sens.
Et pour la SASU, il faut faire des fiches de paie si vous sortez une rémunération, et là, c'est complexe (et coûteux).
Pour quelles raisons as-tu choisi le statut EURL ? et pour quelles raisons IS et non pas IR ?
Je dépassais les seuils de la micro, je ne voulais pas changer au bout de 2 ans, les intermédiaires préfèrent une société qu'un microentrepreneur, les dividendes de la SASU ne m'intéressent pas (voir explications plus haut) et ils représentent pour moi une aberration politique.
Pour l'IS, c'est que c'est plus souple dans ce qu'on peut faire (laisser de l'argent dans l'entreprise ou non, même si je n'ai pas trop utilisé cette souplesse jusqu'à présent, et ça évite un effet de yoyo sur l'IR
Enfin comment gères tu les inter-contrats ? comment gères tu la compta ?
En fait, j'ai une réflexion à l'année. J'ai un objectif de chiffre d'affaires qui me permet de m'attribuer une rémunération que je me suis fixé.
J'intègre dans mes objectifs le fait qu'il y aura une partie de l'année où je ne travaille pas.
Si je suis en mission toute l'année, je prends beaucoup de vacances.
Si j'ai de l'intercontrat, je vais réduire mes vacances une fois que je reprends les missions. Voir je vais bosser le mercredi (ce que j'essaye d'éviter).
En complément, quand je fais plus que mon chiffre d'affaire initial, je mets de l'argent de côté. Dans la mesure du possible, j'essaye de mettre l'équivalent de 1 à 2 mois de rémunération de côté par an. Si vraiment je traverse une période très difficile, je peux me servir dedans.
En 5 ans, j'ai mis l'équivalent de 9 mois de côté environ. C'est une sorte d'assurance chômage 😅
Pour la compta, j'ai eu 2 EC de ce qu'on appelle les "low cost". Ca m'a coûter beaucoup de temps, d'énergies, et de grosses erreurs.
J'ai approcher des comptable pas low cost, et franchement, je n'ai clairement pas été convaincu. Soit j'ai vu des cabinets un peu important, et au final, c'est la même problématique que les low costs, avec encore plus de manuel fait par des personnes qui ne sont pas des experts comptables, et souvent des outils moins bons ou similaires (Tiime 🤮) à ceux des low cost. Soit j'ai vu des petits EC locaux, et franchement, il y a un gros retard technologique, et aucune garantie d'un meilleur conseil.
Depuis le début d'année, je teste la solution Indy. J'en suis très content jusqu'à présent. Je n'ai pas de conseils mais par contre, je n'ai pas de doutes sur ce que je fais. La solution accompagne bien. J'attends début d'année prochaine pour me prononcer définitivement lorsque j'aurais fait mon bilan.
Attention tout de même, il faut un peu de notion comptable pour comprendre ce qu'on fait, un peu d'organisation aussi. Et il ne faut pas vouloir faire des trucs trop exotiques, ça ne rentre pas dans les cases.
Je n'ai pas compris concernant les cotisations, si j'ai un TJM de 500 € HT/j sur 20 jours (1 mois) = 10 000 €.
Cela veut dire quoi pour les cotisations EURL à 45 % du net et 82% du net pour la SASU ?
Alors, attention, je crois qu'il y a une très grosse erreur de compréhension. Le TJM n'est pas la rémunération.
Vous allez créer une structure (EURL ou SASU). Le TJM est le prix du service que vous vendez. C'est une recette. L'ensemble des recettes va constituer votre chiffre d'affaire.
Ensuite, vous allez déduire du chiffre d'affaire des charges. PAr exemple les frais administratif, les impôts, les taxes ...
Il y a une charge particulière qui est la rémunération. Et en fonction de cette rémunération, vous allez avoir une charge associée qui correspond aux cotisations sociales.
Vous allez déduire l'ensemble de ces charges de votre CA. Il faut éviter d'être en négatif. S'il reste quelquechose, c'est le bénéfice.
Je le fait très grosse maille, mais c'est pour bien comprendre le principe. Quand vous facturez 500 € sur une journée, c'est très loin de faire 500 euros dans votre poche perso. S'il vous reste 250 à la fin, c'est déjà bien.
Le site de bpifrance création peut vous donner beaucoup de clés sur la création d'entreprise : https://bpifrance-creation.fr/
Les sites suivants vous permettent de faire des simulations de rémunérations par statut :
https://mon-entreprise.urssaf.fr/
https://decodage-fiscal.fr/
Réponse postée 22 septembre 2024 10:28
Si tu prends tout en rémunération en EURL ca fait net avant IR: 10000/1,45 = 6896, et en SASU 5494.
J'ai choisi de démarrer en SASU avec l'ARE, puis de la transformer en EURL.
Bonjour Philgood20,
Merci pour ton retour.
Je n'ai pas compris concernant les cotisations, si j'ai un TJM de 500 € HT/j sur 20 jours (1 mois) = 10 000 €.
Cela veut dire quoi pour les cotisations EURL à 45 % du net et 82% du net pour la SASU ?
Quel statut juridique as tu choisi et pour quelles raisons ?
Merci !
Réponse postée 22 septembre 2024 09:06
Bonjour Momo78,
La SASU plus souple dans la gestion? c'est une question de point de vue.
Le président doit établir un bulletin de paie, donc attendre la fin du mois pour se verser de l'argent, quant aux dividendes il faut être patient, car il faut une organiser une AG suite à l'établissement du bilan comptable.
Le gérant majoritaire peut se verser de l'argent quand la trésorerie de l'entreprise le permet, sans bulletin de paie. Il lui suffit d'estimer correctement les cotisations à régler et il peut placer cette argent en attendant.
Erreur sur les cotisations, l'EURL c'est 45% du net, la SASU c'est 82% du net.
Pour le régime fiscal l'imposition à l'IR n'est intéressante qu'avec un faible CA ou un nombre de parts à l'IR assez important (et encore).
Quelques éléments de réponses vite fait, pour vous :
Votre statut diffère (gérant ou président assimilé salarié)
Les cotisations sociales ne sont pas les mêmes (conséquence du statut) : Plus importante en SASU, générant un tout petit peu plus de droits
Les dividendes que vous pourriez prendre ne sont pas "taxés" de la même façon (PFU/Flat tax en SASU, donc cotisations sociales plus faible mais générant moins droits aussi, cotisations équivalente à celles de la rémunération pour le gérant d'EURL)
Beaucoup plus de détails ici : https://bpifrance-creation.fr/encyclopedie/structures-juridiques/entreprendre-seul/comparaison-eurlsasu-entreprise-unipersonnelle
Réponse postée 17 septembre 2024 17:10
Bonjour Anth06ny,
En principe c'est un remboursement des frais réels, une note de frais si tu préfère, et si le client peut prendre en charge la réservation de l'hotel c'est encore mieux (certains ont des accords en local).
Parce que tu n'es pas censé marger sur ces frais et les tarifs de transports et d'hébergement ne sont pas fixes, ils varient du jour au lendemain.
Réponse postée 17 septembre 2024 04:53
On apprend de ses erreurs...
Que tu ai un problème de fond ne devrait pas te conduire à ajouter un problème de forme.
Quand tu as un problème perso majeur tu dois d'abord contacter ton ESN, c'est lui ton client, celui avec lequel tu contractualise, et il fera son possible pour défendre son intérêt.
Là tu t'es mis à dos le client et l'ESN, chacun a le sentiment de se faire b... et donc ils ne vont pas te faire de cadeau.
Tout le monde peut avoir un problème perso, y compris ton commercial et ton client, pour autant il y a des étapes intermédiaires avant de quitter le navire.
Réponse postée 16 septembre 2024 06:33
Bonjour Alain,
Oui bien sur, le formulaire de demande devrait être accessible sur votre espace FT 30 jours avant la fin de vos droits:
Réponse postée 10 septembre 2024 11:52
Par définition le télétravail c'est un travail à distance d'un établissement de l'entreprise, mettre à disposition de l'entreprise un lieu pour y établir un établissement cela relève bien de la location vide ou meublée.
Je suis OK avec l'interprétation de votre comptable personnellement. En tant que président de SASU, c'est marqué noir sur blanc que vous avez le droit de vous faire rembourser une quote part de votre loyer correspondant à la surface occupée + les fluides, taxe foncière, assurance, etc...
https://boss.gouv.fr/portail/accueil/autres-elements-de-remuneration/frais-professionnels.html#titre-chapitre-7---frais-lies-au-telet
Donc pas de convention de sous-location, c'est déductible de l'IS mais aucun impôt ou cotisations à payer en perso, et pas de soucis d'urbanisme, etc...
J'ai jamais compris pourquoi la majorité des EC font faire des conventions de sous-locations avec déclaration de revenus fonciers... Si quelqu'un à la réponse, ça m'interesse.
Par rapport au fait que vous soyez parfois en déplacement, pour moi ça ne change rien à l'affectation d'une quote part de votre appartement, dès lors que celle-ci est effectivement respectée, c'est plus par rapport aux fluides qu'il y aura un impact.
Réponse postée 10 septembre 2024 08:45
Bonjour leo-fisca,
Le lien précise les frais de télétravail dans le cadre d’un contrat de travail, le domicile du télétravailleur n'est pas un établissement de l'entreprise.
Le cas de Leco34 est différent, le siège social de son entreprise est établi à son domicile.
Je suis OK avec l'interprétation de votre comptable personnellement. En tant que président de SASU, c'est marqué noir sur blanc que vous avez le droit de vous faire rembourser une quote part de votre loyer correspondant à la surface occupée + les fluides, taxe foncière, assurance, etc...
https://boss.gouv.fr/portail/accueil/autres-elements-de-remuneration/frais-professionnels.html#titre-chapitre-7---frais-lies-au-telet
Donc pas de convention de sous-location, c'est déductible de l'IS mais aucun impôt ou cotisations à payer en perso, et pas de soucis d'urbanisme, etc...
J'ai jamais compris pourquoi la majorité des EC font faire des conventions de sous-locations avec déclaration de revenus fonciers... Si quelqu'un à la réponse, ça m'interesse.
Par rapport au fait que vous soyez parfois en déplacement, pour moi ça ne change rien à l'affectation d'une quote part de votre appartement, dès lors que celle-ci est effectivement respectée, c'est plus par rapport aux fluides qu'il y aura un impact.
Réponse postée 8 septembre 2024 06:56
Facile à demontrer? cela reste à voir...
Lorsque Mr X souscrit son PER en 2024 il n'y a pas de certitude que la fin de ses droits ARE surviendra N mois plus tard, en effet il croit toujours en une évolution favorable de sa situation.
Bien qu'il ait lancé son activité comme travailleur indépendant, son désir premier, comme la majorité de la population, est de retrouver un emploi sous la protection du code du travail et correctement rémunéré.
Le chômeur reste considéré comme une victime, et si il a atteint la fin de ses droits, c'est que l'administration en charge du contrôle, FT, s'est bien entendu assuré qu'il en respectait les règles.
Il me semble qu'il y a déjà eu la question recemment.
Apparamment c'est possible, mais ça ressemble quand même à la douille du siècle car les sommes débloquées correspondant aux versements sont exonérées totalement d'impôt sur le revenu. Je ne saurais dire si l'abus de droit est manifeste ni évaluer le risque (probablement faible vu le plafond de la déduction des versements PER en Micro-Entreprise).
Juste gardez en tête que ce n'est pas le but de ce cas de déblocage et qu'en plus, vous êtes en situation de "fin de droit", mais pas en situation de précarité...
Réponse postée 7 septembre 2024 17:18
Possible, ça reviendrait quand même à laisser les chômeurs ouvrir des comptes épargne quelques mois juste pour gruger le fisc en fin de compte.
Désolé mais le terme gruger n'est pas approprié.
La défiscalisation via le PER avantage les TMI les plus élevés, pour mémo c'est une réduction de la base imposable et non une réduction d'impôt.
Le chômeur est rarement soumis à un TMI de 45%, d'autant moins depuis la dégressivité des ARE.
Le fisc fait la promotion de la défiscalisation via le PER en communiquant à chaque contribuable sur son avis d'imposition le plafond de défiscalisation possible l'année suivante, et y compris au chômeur indemnisé.
A moyen terme il y aura des cadres supérieurs qui auront défiscalisé sur leur PER des dizaines d'années et se retrouveront au chômage passé la cinquantaine, ils pourront clôturer leur plan sans fiscaliser des centaines de millier d'euro.
Si le législateur a validé cette loi favorable aux plus aisés il y aura adjoint une clause favorable aux victimes sociales pour plus de justice.
Il me semble qu'il y a déjà eu la question recemment.
Apparamment c'est possible, mais ça ressemble quand même à la douille du siècle car les sommes débloquées correspondant aux versements sont exonérées totalement d'impôt sur le revenu. Je ne saurais dire si l'abus de droit est manifeste ni évaluer le risque (probablement faible vu le plafond de la déduction des versements PER en Micro-Entreprise).
Juste gardez en tête que ce n'est pas le but de ce cas de déblocage et qu'en plus, vous êtes en situation de "fin de droit", mais pas en situation de précarité...
Réponse postée 6 septembre 2024 05:51
En tout cas, j'espère que c'est clair pour vous, vous n'avez pas besoin de modifier vos status pour rémunérer XXXX, simplement organiser une AGE et établir un PV.
Il y a un mois
Réponse postée 5 septembre 2024 20:30
Mais la SASU a été créée quand ?
Bonjour.
Il faut donc que je modifie mes status pour pouvoir le faire.
Je suis perplexe... En principe c'est totalement faux (ou alors j'ai peur de la façon dont les statuts ont été rédigés !).
Je voudrais aussi en profiter modifier la date de bilan. Elle est actuellement au 31 mars, je voudrais la passer au 31 décembre?
Là par contre modif statutaire en effet. De mémoire, hors honoraires de rédacteur, vous n'avez à payer que les frais de greffe. Je fais souvent en sus un enregistrement par sécurité (125 €).
Aussi comment puis-je m'assurer que je bénéficie bien de l'ACRE?
Elle a été accordée automatiquement...