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Feanor
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Feanor
Nombre de posts : 15
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9 janvier 2018
Bonjour,
j'aimerais savoir, en tant que freelance, comment vous représentez vous professionnellement auprès de la clientèle pour vous faire connaitre?
vous employez votre nom+prenom?
vous vous faites un logo?
vous vous représentez par une marque?
Voila, j’étais curieux à ce sujet. A bienôt 🙂
j'aimerais savoir, en tant que freelance, comment vous représentez vous professionnellement auprès de la clientèle pour vous faire connaitre?
vous employez votre nom+prenom?
vous vous faites un logo?
vous vous représentez par une marque?
Voila, j’étais curieux à ce sujet. A bienôt 🙂
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Pragmateek
Nombre de posts : 1246Nombre de likes : 8Inscrit : 10 décembre 2014Bonjour,
dans mon domaine sur Paris je ne connais aucun freelance qui a pris la peine de se créer une vitrine particulière.
Après dans d'autres domaines ce barbouillage (où notamment on s'appelle "nous" ;)) peut être plus pertinent, je pense notamment à ceux qui doivent enchaîner les missions courtes avec n clients.
Ma "vitrine" c'est avant tout mon background chez mon client actuel où j'ai acquis depuis presque 10 ans une bonne réputation technique et humaine.
Réputation qui a de fait essaimé au gré du turnover, notamment des prestas (freelances ou pas) que j'ai pu croiser et qui m'ont parfois proposé de rejoindre leur nouvelle équipe.
Pour les nouveaux contacts j'ai un profil LinkedIn qui fait office de CV.
Il est la source de 100aines de prises de contact plus ou moins sérieuses (essentiellement du commercial de SSII).
Enfin j'ai un blog, que je ne maintiens plus assidûment, mais qui contient des articles techniquement pointus qui peuvent même faire référence.
Mais l'essentiel se joue à l'entretien où on peut démontrer qu'on est viable pour la mission, car tous les managers que je connais jouent le jeu des AOs donc voient surtout des inconnus qui ont ainsi l'occasion de se faire connaitre dans l'équipe.
Souvent c'est un peu de la marque blanche au final, car il y a intermédiation et c'est la SSII intermédiaire qui va présenter un CV avec son identité (marque, logo, charte graphique...) ; quand elle ne va pas complètement mentir en présentant le freelance comme salarié, mais ça c'est une autre histoire. 🙂 -
michel95
Nombre de posts : 632Nombre de likes : 45Inscrit : 14 juillet 2010Bonjour,
Pour ma part je communique principalement avec un logo, une charte graphique et un nom de domaine. Je ne tiens pas à ce que le prospect s’aperçoive immédiatement qu’il a affaire à un indépendant mais je ne cache rien. Certains ne le détectent pas de suite et établissent le contact spontanément ce qui permet de dérouler son argumentaire ; c’est le but visé.
Par rapport aux questions posées il faut distinguer deux catégories selon les cibles que l’on vise :
- Le freelance qui travaille essentiellement en sous-traitance et pour lequel la manière de communiquer n’est pas fondamentale dans la mesure où l’acquisition de clients est à la charge d’un intermédiaire. C’est généralement le cas pour des missions de longue durée. Le CV peut être un élément qui a de l’importance.
Certains de mes collègues s’en contentent car cela leur convient, d’autres se trouvent dans cette situation car ils ont du mal à explorer d’autres pistes. Dans d’autres domaines, j’en connais aussi qui sont sur-qualifiés par rapport à ce qui leur est demandé mais qui ont du mal à se vendre.
- Le freelance qui travaille directement avec le client final et dans ce cas la communication est primordiale voire décisive. Généralement c’est ce qui va permettre de faire la différence sous réserve naturellement d’être capable d’assurer la prestation. Ici le CV est inutile, car en principe, on ne parle pas de soi mais on propose une solution à un problème.
C’est un sujet que je connais bien vu que je fonctionne ainsi depuis longtemps.
Ce mode de fonctionnement est bien adapté pour des prestations ponctuelles.
Je suis d’accord avec Pragmateek : il n’y a pas besoin de s’appeler « nous », j’ajouterais encore moins « je » ni même utiliser un qualificatif additionnel pompeux que l’on retrouve souvent et que je ne citerai pas ici.
Personnellement j’ai une communication très lisse mais je ne sais pas s’il s’agit d’une bonne solution faute d’avoir expérimenté autre chose.
Par contre j’ai des concurrents qui aiment bien montrer leurs gros muscles.
Dans ce cas, les « 100aines de prises de contact plus ou moins sérieuses (essentiellement du commercial de SSII) » dont fait état Pragmateek, en principe, n’existent pas, elles sont plus rares mais mieux qualifiées.
Pour conclure, tout dépend à quel type de client on veut vendre des prestations et quelle est l’étendue ainsi que la variété de notre offre.
Pour avoir beaucoup expérimenté en la matière, on constate que dès que l’on change de cible (et/ou de prestations) on récupère des clients dans le sens de la communication effectuée ce qui en démontre l’intérêt.