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Free-Worker-262938

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Inscrit depuis le : 27 mai 2021

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Réponse postée 25 janvier 2023 13:59

Bonjour,

Il y a toutes les formations proposées par le CNAM qui sont réputées être de très bonne qualité avec des conditions d'accès ou d'éligibilté plus ou moins restrictives. Il y a des centres de formations et d'examen un peu partout en France avec de la formation à distance pour certains cursus diplômants ou certifiants.

Il y a des certifs coursera qui semblent côtées sur le marché du travail (en tout cas dans certains domaines).

cdlt,

Réponse postée 23 janvier 2023 14:42

Bonjour,

Je n'y connais pas grand chose mais financer les besoins décris par votre EURL pourrait s'apparenter à de l'abus de bien social. Des personnes plus expertes pourront surement vous informer.

cdlt,

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Réponse postée 12 janvier 2023 11:09

Bonjour,

Juste une remarque au sujet du salaire.

En fonction de votre age et expérience, le salaire 48K peut être considéré comme un "salaire pourri" qui ne sauvera pas votre retraite...si vous avez plus de 40-45 ans ça devient la loose. Désolée pour le terme!

Cdlt,

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Réponse postée 6 janvier 2023 13:36

Bonjour,

IL n'existe pas de trame standard : le recueil de besoin est plus ou moins formalisé. Parfois, il prend la forme de Use Cases ou User stories.

Je recommande le livre Expression de besoins pour le système d'information de Yves Constandinitis

Bon courage

Réponse postée 6 janvier 2023 10:28

Bonjour,

Merci pour cette vision éclairée. Je retiens le mot légimité.

Le management est plutôt une fonction / un rôle. Dans mon entendement limité  management =

-          Encadrement / gestion d’équipe

-          Gestion de budget

-          Développement commercial dans certains cas

-          Définition et mise en œuvre d’une stratégie locale (échelle de la BU /Département/ Service) pour ceux qui ont pris pas mal de galons

Dans la réalité cela se traduit par beaucoup de réunions et de tâches administratives résultant pour les personnes propulsées trop tôt dans le rôle par une perte de chance de développer de vraies compétences (techniques ou métiers) aboutissant parfois à du mis-management caractérisé ou du micro management symptomatique. Ce n’est toujours le cas mais cela se produit souvent malgré tout.

 

Pour être bon dans ce rôle, il faut :

-          De la légimité très forte expérience métier / technique…

ET

-          De la volonté et de l’ambition pour incarner et assumer le rôle et les responsabilités qui vont avec

Sans l’un OU l’autre c’est quick !

Je ramène ma fraise sur le sujet parce qu’on m’en parle quelques fois.

IL vaut mieux un bon expert ou un bon opérationnel qu’un mauvais manager.

Salut @yanolezard,

Pas vraiment d'accord avec les descriptions que tu fais ou avec le ressenti que tu as. Mais, allons-y, discutons-en.

Les notions de petits chefs, etc... je n'y adhère pas du tout. Il n'y a que des personnels qui ont ou pas :

  • la légitimité

  • le leadership

Ces deux notions sont difficilement atteintes lorsque les personnels sont montés à l'ancienne et qu'il n'ont pas de technicité managériale. Ils n'ont eux mêmes pas été accompagnés et ils sont eux même en difficulté. La même personne placée dans un environnement favorable n'aurait pas de difficulté. C'est souvent une question d'environnement, de moment dans la carrière, d'équipe, de sponsoring, etc....

Nous avons les mêmes références apocalyptiques et ça me fait plaisir que tu cites l'apôtre Jean.

Les notions de chien dans un jeu de quille, pour les managers de transition, etc... je n'y adhère pas non plus.

Je n'ai que des expériences où j'ai eu une valeur ajoutée que les internes ne pouvaient pas avoir. J'ai restructuré, j'ai mis en évidence des choses qui étaient devant les yeux de tous, mais qu'ils n'avaient pas les moyens intellectuels de conceptualiser. J'ai fait grandir mes équipes, j'ai été l'interlocuteur du COMEX, du CODIR, de toutes les directions individuellement et de toutes les équipe individuellement, etc....

Verbatim de mon avant-dernier DG : "On t'a mis au milieu du jeu et on a été très surpris par ta capacité d'action. Tu es plug-and-play".

Verbatim de mon dernier n+1 : "Tu étais attendu comme le messie. On pensais que tu mettrais 2 mois à prendre le poste, et tu l'as fais en 2 semaines. Maintenant, c'est toi qui drive le service.".

Ben, pas vraiment chien dans un jeu de quille, plutôt ressenti comme faciliteur et fédérateur.

Qu'en penses-tu ?

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Réponse postée 5 janvier 2023 15:03

Bonjour,

Dans ma perception le "conseil" correspond à différentes réalités qui se télescopent souvent: le conseil en IT, le conseil en management, le conseil en stratégie. Entre les consultants qui fournissent :

  • des conseils en terme d'urbanisation du SI (rédaction de schémas directeurs, éventuellement d'appels d'offre),

  • des conseils en matière de choix applicatifs / d'offre d'infra (rédaction des questionnaires, schémas d'infra...),

  • de l'aide à gestion de projet (sauve qui peut pour moi) et à la conduite du changement (je ne sais pas vraiment à quoi cela correspond),

  • la prise en charge du volet AMOA dans certains projets (avec des équipes mixtes incluant des consultants externes),

  • la prise en charge d’une partie de la conception et/ou réalisation technique (intégration de solution, conception de traitements et autres API).

 

Le mode de contractualisation => forfait ou régie. Mon cas ce sera plutôt en mode régie avec une obligation de moyen. Il existe aussi des contrats de sous-traitance avec certains éditeurs qui comportent malgré tout un peu plus de risques et peu de backup.

Le mode de rémunération dépend du contrat.

Le timing : ça dépend de quelques semaines à plusieurs mois ou années.

La rétribution du "conseilleur" => Aucune idée sur ce dernier point.

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Réponse postée 4 janvier 2023 14:56

Bonjour,

J'ai l'impression parfois qu'il y a des psycho-rigides du télétravail 😀c'est juste pour rire. S'affranchir du lien de subordination ne signifie pas être affranchi(e) de toute règle. Il faut être capable d'accepter un peu de présentiel si la mission/projet ou le client l'impose.

Le diva-system peut être nuire au freelancing en général. Le "laissez moi télétravailler en liberté" : même en robe lamée ça peut ne pas passer dans certains cas et dans d'autres c'est juste impossible...(la robe lamée en particulier).

Tant mieux pour ceux dont les jobs/métiers ou missions permettent le full remote.

Bonne année!

Les gars vous vous ne rendez peut etre pas compte mais vous abordez un sujet très interssant et vraiment a l'actualité ...

Pour ma contribution a ce sujet je dirais que je partage catégoriquement votre avis et c'est tres bien résumé " les entreprises sont a l'aopposé des aspirations des actifs " .et se plaignent de la pénieurie de talents alors qu'ils en sont a l'origine meme

L'illustration de cette mentalité obsolete est la volonté des entreprises de toujours calquer le freelance sur leur salarié alors que les deux statuts sont totalement differents ...l'obliger par exemple a venir sur site comme les salariés

La terrible invention du "metier" de " RH " a détruit la preception "humaine" de l'actif qui est devenu jsute un outil , d'ailleurs le nom l'indique bien :R H .. l'homme est considéré comme une ressource alors que a la base l'humain n'est pas et n'a jamais été une ressource ..c'est dailleurs tres dégradant de le considerer ainsi.. (enfin c'est un autre sujet ça )

Je rajoute aussi que ce probleme est egalement culturel et due a la mentalité française qui manifeste une sorte d'aversion au changement , et cela dans tous les domaines ( sociaux , econom, politiques...).

Il ya aussi une forme d'hypocrisie flagrante : Les entreprises veullent des freelances avec leurs avantages ( flexibilité , cout réduit , éjectable facilement, competences ) et en meme temps les faire rentrer dans la case "salarié" sans les elements/obligations que cela va avec ( charges patronales , contriubtion de santé... ) et veulent par dessus tout les ramener au bureau comme les salariés qui eux , j'insiste sur cela , on un rapport de SUBORDINATION avec leur employeurs ...

Conclusition : Avant de changer les process , aspects administratifs , les cadres juridiques .... il faut d'abord changer de M E N T A L I T E et s'ouvrir , car le changement ne veux pas forcement dire la régression , bien au contraire ....

Réponse postée 22 décembre 2022 10:44

Ah oui, j'ai oublié

IL y a aussi les chambres régionales de commerces et de l'industrie qui proposent pas mal de formations sur plusieurs jours => CCI

Bonjour,

IL y a la fédération nationale des autoentrepreneurs qui propose des formations (FNAE) et je crois qu'ils proposent aussi des services d'accompagnement.

Il y a aussi le portail de l'autoentrepreneur qui propose des solutions d'accompagnement juridique / administratif (sous forme d'abonnement) => je ne peux pas en parler j'ai juste consulté leur site

cdlt,

Réponse postée 22 décembre 2022 10:41

Bonjour,

IL y a la fédération nationale des autoentrepreneurs qui propose des formations (FNAE) et je crois qu'ils proposent aussi des services d'accompagnement.

Il y a aussi le portail de l'autoentrepreneur qui propose des solutions d'accompagnement juridique / administratif (sous forme d'abonnement) => je ne peux pas en parler j'ai juste consulté leur site

cdlt,

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Réponse postée 20 décembre 2022 10:52

Alleluia!

La notion de purgatoire est une hérésie...de cathos peut-être mais une hérésie quand même (jamais évoquée par JC himself). En revanche, la notion de répentance est universellement admise pronée par le fameux JC. Il s'agit d'un travail personnel sur ces propres errances professionnelles ou personnelles mais dès lors que nous détruisons personne dans nos oeuvres tous les rêves sont permis.

le cheminement décrit dans le 2eme bullet aurait pu presque me parler : la différence c'est que je n'ai pas une formation technique et les rôles finaux ne me parlent pas vraiment : pourquoi rependre pied (ou commencer) avec de la programmation si c'est pour finir par passer son temps à brasser de l'air dans des réunions de PM ou de Directeur de projet (éolienne par les temps qui courent, ça pourrait dépanner).

  • "Je suis diplômé en informatique, je suis codeur, mais mes premiers postes ont directement étés en AMOA. Donc, j'ai perdu la main sur le DEV pur, mais je suis super fort en process d'entreprise. Il n'est pas idiot de prétendre à un poste de Head of QA (Quality Automation). Cela permettra initialement de revenir au codage. Cela permettra ensuite d'accéder à des postes de Product Owner, voire de Directeur de projets."

Les rôles cachent souvent une misère professionnelle qui éloigne de la notion de métier.

Sauve qui peut et joyeuses fêtes.

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Réponse postée 20 décembre 2022 10:20

Bonjour,

Pour faire simple : le mode de travail ultra dégradé que vous décrivez correspond à une situation où votre travail et/ou vous même n'êtes pas pris au sérieux.

Manque de considération, manque d'intéraction avec les autre membres de l'équipe : même quand on n'a pas à interagir ou communiquer en permanence on a besoin d'un minimum de coordination / communication / échange => cela permet de donner du sens à son propre travail comme à celui des autres. Si vous étiez salarié : je vous dirais que vous êtes dans un placard pourri à quitter de ce pas pour préserver votre santé mentale.

Vous avez une bonne xp : perdez pas votre temps, terminez votre travail et allez voir ailleurs!

cdlt

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Réponse postée 16 décembre 2022 14:56

Alright!

Merci pour le point de vue

Free-Worker-262938  il y a quelques secondes

Bonjour,

J'ai un peu les mêmes questions personnellement.

Pour penser employabilité (capacité à trouver des missions dans un domaine dans lequel on débute) il faut penser état et exigences du marché et crédit (personnel). Dans votre cas si la startup qui vous propose la mission a pignon sur rue : vous pouvez considérer l'offre comme une chance de démarrer.

Je suis peut-être un peu relou sur le sujet mais le full remote pose des questions en terme de crédibilité quand on commence dans un domaine et que de but en blanc on est "relégué" à l'assignation à domicile se contentant de quelques visios on se prive d'une réelle chance de monter en compétences sur le sujet. Un grand éditeur M.... a constaté une vraie perte de compétences de son staff du fait du full remote qui a perduré pendant la pandémie.

D'autre part dans certains cas (pas tous les cas) les gens qui proposent le full remote ne sont pas très sérieux. Dans mon cas, J'aurai même peur de me retrouver avec un psycho qui fait mumuse avec son argent en se faisant passer pour un client, ou alors soustraiter les tâches qu'il ne souhaite pas effectuer. ça existe malheursement.

Le télétravail c'est très bien quand on travaille pour des clients sérieux qui ont vraiment pignon sur rue. Le freelancing n'est pas l'abri du monde de l'arnaque dans lequel nous vivons.

Evaluez bien votre client et passez quelques temps avec leurs équipes c'est encore mieux!

cdlt,

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Réponse postée 15 décembre 2022 14:42

IL ne s'agit de contester l'efficacité du remote dans le cas du télétravail partiel mais du full remote dans certains cas (et dans des cas précis c'est même impossible de télétravailler full time). Effectivement cela dépend des missions, jobs...IL ne s'agit pas de mettre en cause la correction ou l'engagement des gens qui télétravaillent à temps plein : il s'agit d'une question d'efficacité au regard de certains sujets et/ou organisation.

Il y a plein d'articles sur le sujet dont celui ci:

https://www.primeum.com/fr/blog/faut-il-mettre-un-terme-au-teletravail

Dont voici un extrait qui pèse le pour et le contre

"Les entreprises qui sont au cœur de l’innovation peuvent légitimement émettre des réserves quant au télétravail. Il semble en effet difficile d’innover sans se rencontrer ni travailler dans le même lieu. Un mode de travail à minima hybride semble ainsi indispensable pour l’efficacité des équipes.

En revanche, des sociétés appartenant à des secteurs plus traditionnels et dont la croissance ne repose pas pleinement sur l'innovation permanente ont moins de raisons de redouter le télétravail."

Free-Worker-262938  il y a quelques secondes

Bonjour,

J'ai un peu les mêmes questions personnellement.

Pour penser employabilité (capacité à trouver des missions dans un domaine dans lequel on débute) il faut penser état et exigences du marché et crédit (personnel). Dans votre cas si la startup qui vous propose la mission a pignon sur rue : vous pouvez considérer l'offre comme une chance de démarrer.

Je suis peut-être un peu relou sur le sujet mais le full remote pose des questions en terme de crédibilité quand on commence dans un domaine et que de but en blanc on est "relégué" à l'assignation à domicile se contentant de quelques visios on se prive d'une réelle chance de monter en compétences sur le sujet. Un grand éditeur M.... a constaté une vraie perte de compétences de son staff du fait du full remote qui a perduré pendant la pandémie.

D'autre part dans certains cas (pas tous les cas) les gens qui proposent le full remote ne sont pas très sérieux. Dans mon cas, J'aurai même peur de me retrouver avec un psycho qui fait mumuse avec son argent en se faisant passer pour un client, ou alors soustraiter les tâches qu'il ne souhaite pas effectuer. ça existe malheursement.

Le télétravail c'est très bien quand on travaille pour des clients sérieux qui ont vraiment pignon sur rue. Le freelancing n'est pas l'abri du monde de l'arnaque dans lequel nous vivons.

Evaluez bien votre client et passez quelques temps avec leurs équipes c'est encore mieux!

cdlt,

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Réponse postée 15 décembre 2022 11:50

Free-Worker-262938  il y a quelques secondes

Bonjour,

J'ai un peu les mêmes questions personnellement.

Pour penser employabilité (capacité à trouver des missions dans un domaine dans lequel on débute) il faut penser état et exigences du marché et crédit (personnel). Dans votre cas si la startup qui vous propose la mission a pignon sur rue : vous pouvez considérer l'offre comme une chance de démarrer.

Je suis peut-être un peu relou sur le sujet mais le full remote pose des questions en terme de crédibilité quand on commence dans un domaine et que de but en blanc on est "relégué" à l'assignation à domicile se contentant de quelques visios on se prive d'une réelle chance de monter en compétences sur le sujet. Un grand éditeur M.... a constaté une vraie perte de compétences de son staff du fait du full remote qui a perduré pendant la pandémie.

D'autre part dans certains cas (pas tous les cas) les gens qui proposent le full remote ne sont pas très sérieux. Dans mon cas, J'aurai même peur de me retrouver avec un psycho qui fait mumuse avec son argent en se faisant passer pour un client, ou alors soustraiter les tâches qu'il ne souhaite pas effectuer. ça existe malheursement.

Le télétravail c'est très bien quand on travaille pour des clients sérieux qui ont vraiment pignon sur rue. Le freelancing n'est pas l'abri du monde de l'arnaque dans lequel nous vivons.

Evaluez bien votre client et passez quelques temps avec leurs équipes c'est encore mieux!

cdlt,

Forum : Votre activité
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Réponse postée 8 décembre 2022 15:27

Je ne voulais pas supprimer ma réponse. Mauvaise manip de ma part.

Je comprends que des gens soient désabusés par le revirement des entreprises post covid sur la question du télétravail. Mais le fait est que la grande partie des gens qui ont du faire du télétravail intégral pendant le Covid, étaient des salariés ou freelancers connus des organisations dans lesquelles ou pour lesquelles ils travaillaient : le télétravail est plus naturellement mis en place quand les parties/ collègues se connaissent...

Je continue à penser que pour un freelancer qui débute dans ce mode de travail (comme moi): c'est plus difficile d'acquérir un vrai crédit si on n'est pas exposé directement au client (au moins quelques temps en début de mission : le temps d'établir une relation de confiance). Beaucoup de déperdition en terme d'information quand on télétravaille intégralement et dès le début de mission.

Autre sujet =>la sécurité : dans certains cas il vaut mieux travailler sur les réseaux du client qui contrôle votre activité et éviter les piratages inopportuns quand on travaille de chez soi. Moi je me fais régulièrement pirater. Je ne vois pas utiliser un ordi professionnel de chez moi sauf à trouver des solutions pour sécuriser le schmilblick (installer un parefeu physique, un VPN suffirait-il, se connecter sur un réseau mobile sécurisé???)

Autant de questions sur la pertinence du full remote.

Je note vos expériences positives et après tout pourquoi pas?

Forum : Votre activité
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Réponse postée 8 décembre 2022 14:10

Il y a toptal : je ne sais pas ce que ça vaut (je ne connais que de nom).

cdlt,

Réponse postée 1 décembre 2022 15:42

Bonjour,

Mon point de vue perso c’est qu’il y a Test et Test. Le "test" ne résume pas à une série de clicks sur une UI.

- La recette métier (recette fonctionnelle et test d’acceptance) généralement effectuée par l’AMOA métier (avec des profils plus ou moins techniques nécessitant une bonne connaissance du métier)

- L’homologation logicielle / assurance qualité qui est une branche du développement logiciel réalisée en collaboration avec des équipes de dev incluant l’aide aux tests unitaires, des phases techniques (ex : tests d’intégration, volumes, interfaces….)

Des connaissances techniques précises peuvent être requises (capacité à débugger, à automatiser…)

A mon sens une reconversion peut avoir du sens si elle est en lien avec une expérience passée (par exemple une bonne maîtrise utilisateur d’un système de gestion commerciale ou CRM) et compléter avec une vraie certification pro. Est-ce que cela peut suffire? des personnes plus expertes pourront vous donner leur point de vue.

(A titre personnel : je n’aime pas trop cette activité (pour en avoir déjà fait un peu) mais à petite dose ça peut aller.)

Cdlt

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Réponse postée 20 juin 2022 10:29

1. 100% profit = 100% pas gratuit…modèle éco incompréhensible (proche de la traite humaine abolie il y a quelques siècles)
2. Un tribunal de l’inquisition se chargera de crucifier sur place publique les membres qui dérangent
3. Donner dodo donner…Dieu vous le rendra.
En réalité, j’ai pas compris grand-chose à ce projet…problème de wording
Un mélange entre le bagne et la secte pour freelancers.
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Réponse postée 14 juin 2022 08:26

Effectivement, j'ai découvert ce principe après avoir fait le constat de ce "principe" in vivo. C'est presque une loi. Mais pour une jeune personne le salariat (quelque soit le type d'organisation ou d'entreprise) reste le meilleur moyen de construire une expérience valide.
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Réponse postée 13 juin 2022 15:21

Bonjour Jafty,

Je comprends votre questionnement : je le partage quelque part sachant que je suis plus âgée. Certains rôles dans certaines organisations / types d’organisation correspondent à un enfermement dans lequel le niveau de subordination va cresdendo avec le niveau de responsabilité et la « montée en incompétence » (point de vue personnel).

Mon point de vue c’est qu’à 26 ans on est encore jeune et « rouler sa bosse » dans une organisation (vieille ou pas, classique ou pas) en salarié n’est pas si grave : ça se soigne très bien et cela vous laisse le temps de mûrir votre projet d’entreprise.
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Réponse postée 25 février 2022 15:13

Merci pour les quelques retours.
Je vais éplucher la convention fiscale.
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Réponse postée 24 février 2022 16:46

Bonjour,

J'ai un peu les mêmes questions (désolée si les questions ont déjà été soumises)
1- A quelles conditions peut-on conserver une domiciliation fiscale en France : au-delà de la règle des 183 jours, comment cela se passe t-il si on obtient une mission à l’étranger qui dure plus de 6 moins.
2- La domiciliation fiscale inclut-elle aussi le volet social : les cotisations sociales doivent-elles être aussi payées au système du pays où l’on s’installe. Autrement dit est-ce qu’un freelancer installé à l’étranger peut continuer à cotiser aux systèmes français (retraite et sécurité sociale) ?

Merci pour toute info utile
Simplette
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Réponse postée 29 décembre 2021 11:21

Bonjour Leos,

Je ne suis pas experte mais j'avais la même question : je pense que la mutuelle "classique" dont les barêmes sont adossés à ceux de la sécu. ne couvre que les prestations de soin réalisées en France. Pour ce qui concerne les soins effectués à l'étranger, il faut, je pense, avoir une mutuelle "expat" dont les tarifs (du moins pour celles que j'ai vues) sont assez élevés (3 fois la cotisation payée pour les prestations en France) et dépendent du pays ou vous vous établissez.

cdlt,

Réponse postée 8 septembre 2021 13:18

Je suis ou plutôt j'étais un peu dans le même domaine. Je pense qu'une formation UML et/ou quelques briques techniques valent mieux que des formations strictement méthodo (à voir en fonction des projets sur lesquels vous intervenez plutôt métiers, réglementaires ou systèmes...)
Cdlt

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