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charly7
Nombre de posts : 14
Inscrit depuis le : 3 janvier 2014
Réponse postée 24 mars 2014 15:30
question dans la question :
Existe t'il une notion d'acceptation tacite du contrat en cas de non signature mais de présence/ travail chez le client final?
Existe t'il une notion d'acceptation tacite du contrat en cas de non signature mais de présence/ travail chez le client final?
Réponse postée 21 février 2014 16:00
Vous êtes plutôt le type qui regarde de loin, qui a trop "d'amour propre" pour faire quoi que ce soit et qui rentre chez lui tout seul en méprisant la plèbe..
Un peu comme dans vos recherches de mission en somme..
Un peu comme dans vos recherches de mission en somme..
Réponse postée 20 janvier 2014 12:42
Je me suis fais avoir une fois = perte du contrat, perte du client etc... Du coup depuis je fais attention et oui c'est assez fréquent, même si c'est une pratique très minoritaire.
Réponse postée 20 janvier 2014 11:30
Il m'arrive fréquemment de recevoir des CV mensongés. Si j'ai déjà travaillé avec la personne, je vérifie de façon quasi systématique le précédent CV reçu. En cas de différence c'est black list immédiatement.
Réponse postée 14 janvier 2014 18:54
Merci pour vos réponses.
C'est bien mon problème en effet! 😕
C'est bien mon problème en effet! 😕
Réponse postée 14 janvier 2014 18:02
Cela reste pour moi un peu flou notamment pour un consultant freelance, présent physiquement moins de 183 jours sur le sol Français mais dont l'entierté de ses revenus est générée par une mission réalisée en France.
Le bon sens me dit qu'il devrait payer ses impôts en France mais je ne trouve d'exemple expliquant cette situation.
Qu'en pensez vous?
Le bon sens me dit qu'il devrait payer ses impôts en France mais je ne trouve d'exemple expliquant cette situation.
Qu'en pensez vous?
Réponse postée 14 janvier 2014 17:46
Merci Kzg je regarde ça!
Réponse postée 14 janvier 2014 17:41
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il des infos sur les rêgles en france concernant l'activité des freelances "non francais" exercant en France pour une longue durée? (regle des 183 jours).
Je suis notament curieux sur le coté travail pour un client Français vs présence physique dans le pays.
Plus je consulte google plus je suis perdu.
D'avance merci
Quelqu'un aurait-il des infos sur les rêgles en france concernant l'activité des freelances "non francais" exercant en France pour une longue durée? (regle des 183 jours).
Je suis notament curieux sur le coté travail pour un client Français vs présence physique dans le pays.
Plus je consulte google plus je suis perdu.
D'avance merci
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Réponse postée 9 janvier 2014 18:00
Bonjour,
Petit avis de recruteur : Le nombre d'entretien que vous avez décroché est tout à fait honorable, sachant que le mois de Décembre est en général assez calme en plus d'être court.
Les réponses que l'on vous a donné sont ce que l'on appel des smoke screens dans notre jargon anglicisé . C'est à dire des réponses toutes faites.
Si le "problème" ne se situe pas dans votre profil, CV, c'est surement au moment de l'entretien que votre candidature est plus fragile.
Avez vous penser à vous entrainer avant un entretien? Comme le dit Olivier_M, il vous faut prévoir une réponse à l'avance sur toutes ces questions "pièges" récurentes. Tenter d'analyser vos précédents entretiens, quels sont les questions qui vous ont été poser à de multiples reprises? N'hésitez pas à effectuer un entretien fictif avant le moment T, avec quelqu'un qui sera franc. On ne s'entend que rarement parlé et l'on dit parfois des enormités sans même sans rendre compte.
Petit avis de recruteur : Le nombre d'entretien que vous avez décroché est tout à fait honorable, sachant que le mois de Décembre est en général assez calme en plus d'être court.
Les réponses que l'on vous a donné sont ce que l'on appel des smoke screens dans notre jargon anglicisé . C'est à dire des réponses toutes faites.
Si le "problème" ne se situe pas dans votre profil, CV, c'est surement au moment de l'entretien que votre candidature est plus fragile.
Avez vous penser à vous entrainer avant un entretien? Comme le dit Olivier_M, il vous faut prévoir une réponse à l'avance sur toutes ces questions "pièges" récurentes. Tenter d'analyser vos précédents entretiens, quels sont les questions qui vous ont été poser à de multiples reprises? N'hésitez pas à effectuer un entretien fictif avant le moment T, avec quelqu'un qui sera franc. On ne s'entend que rarement parlé et l'on dit parfois des enormités sans même sans rendre compte.
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Réponse postée 8 janvier 2014 09:50
1° Le bénéficiaire des rémunérations séjourne dans l’autre Etat contractant pendant une ou des périodes n’excédant pas au total 183 jours durant toute période de 12 mois commençant ou se terminant durant l’année fiscale considérée. Pour déterminer si le séjour excède 183 jours, il faut prendre en considération le nombre de jours de présence physique sur le territoire. Sont inclus dans le calcul le jour d’arrivée, le jour de départ, les samedis, dimanches et jours fériés passés dans l’Etat d’exercice et tous autres jours de vacances passés dans l’Etat d’exercice pour d’autres raisons (maladie, hospitalisation, formation, interruption due à des grèves ou des délais de livraison).
Ce n'est pas uniquement les jours travaillés. Ca devrait passer si vous vivez en France.
Ce n'est pas uniquement les jours travaillés. Ca devrait passer si vous vivez en France.
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Réponse postée 8 janvier 2014 09:37
Bonjour,
Si vous travaillez effectivement 3 jours par semaine en Belgique, vous depasserez rapidement la rêgle des 183 jours qui impose de payer ses impôts dans le pays ou l'on travaille en majorité.
Si vous travaillez effectivement 3 jours par semaine en Belgique, vous depasserez rapidement la rêgle des 183 jours qui impose de payer ses impôts dans le pays ou l'on travaille en majorité.
Réponse postée 6 janvier 2014 11:00
Désolé pour les fautes! 😲
Réponse postée 6 janvier 2014 10:51
Premièrement, merci pour ces réponses. Je pense également qu’à default de travailler en binôme, les intérêts des freelances et des rec sont la plus part du tant concourants. Avant de faire un retour sur ces points, qui sont tous intéressants et avec lesquels je suis d’accord pour la plupart, je vais répondre à Retraite2030. Ces points ne s’adressent bien sur pas à tous, plutôt des tendances que j’observe chez certains consultants :
- Savoir dire non je ne sais pas faire, je n’ai jamais fais. C’est évident et même une force pour certain (c’est selon moi un signe de compétence). Certain n’y arrive juste pas et préfère s’enliser dans des justifications. C’est dommage car cela entache leurs réelles compétences. Je ne parle même pas des « charmeurs de serpent » du consulting », je crois que l’on en connait tous.
- Eviter le dédain, même si c’est dur avec certains recruteurs. Même chez nous les brokers, tout le monde ne se vaut pas. Certain sont des envoyeurs de CV à la chaine, d’autres de vrai spécialistes du recrutement sur une technologie donnée.
- Ne voir que la marge que « je » prends et pas le service que je donne. Non, mon rôle n’est pas uniquement de recevoir une AO par email (c’est rarement le cas) et d’envoyer des CVs. (FYI : Mon mark up est d’environ 20%, il m’est arrivé de pratiquer 25% en de rares occasions.) Par contre je me charge de tout, localisation de l’opportunité, détection des meilleurs candidats, multiples entretiens, gestion des entretiens, préparation intensive aux entretiens, feedback et retour à tous les stades de la négo avec le client. Je trouve personnellement plus choquant les entreprises qui prennent 15% pour un envoi de CV.
- Les références : Assez d’accord avec le discours général ici qui dit de ne pas en donner aux recruteurs à tort et à travers. A l’inverse, si j’obtiens un entretien pour un consultant, je préfèrerai l’enlever du process que de le faire passer en entretien sans prise de référence. Pourquoi ? Quoi de pire pour un recruteur que de placer un consultant – trop différent du manager, mauvais, pas adéquate, feignant etc etc…- car la résultante, c’est la perte du client 90% du temps.
- On ne renégocie un pas un tarif après un entretien, sauf omission de facteurs importants de la part du recruteur. (volontaire ou non..)
- Donner quelques infos à un bon broker peut être fructueux. J’ai un réseau de consultants avec qui je travaille depuis plusieurs années et qui me donne régulièrement des infos, postes ouverts, contact de client qui recrute etc.. Toutes les infos dont je ne peux rien faire leurs sont retourné. Plusieurs d’entre eux ont ainsi obtenu des missions à des très bon taux, des CDI.. Gagnant gagnant.
- De répondre « Quel est le taux ? » à mon mail de 30 lignes.. 
- Help me to help you. Ne pas hésiter à écrire un petit descriptif, quelques lignes, expliquant en quoi vous et particulièrement vous seriez la meilleure personne pour ce poste. En générale, je m’approprie ces quelques lignes techniques pour les mettre en parallèles avec le besoin client ( + la touche du commercial). Je connais bien la technologie sur laquelle je travaille, mais certainement pas aussi bien que vous. Je rédige tout le temps un descriptif en première page du CV. Le but, faire en sorte que le client est envie de passer plus de 5 secondes dessus et se dise, ah, c’est ce que je recherche je vais le lire attentivement. C’est d’autant plus pertinent comme démarche si le client a sur sa boite 30 CVs et pas un n’est préparé.
Voilà quelques exemples, probablement évident pour la plupart d'entre vous, que je peux vous donner.
- Savoir dire non je ne sais pas faire, je n’ai jamais fais. C’est évident et même une force pour certain (c’est selon moi un signe de compétence). Certain n’y arrive juste pas et préfère s’enliser dans des justifications. C’est dommage car cela entache leurs réelles compétences. Je ne parle même pas des « charmeurs de serpent » du consulting », je crois que l’on en connait tous.
- Eviter le dédain, même si c’est dur avec certains recruteurs. Même chez nous les brokers, tout le monde ne se vaut pas. Certain sont des envoyeurs de CV à la chaine, d’autres de vrai spécialistes du recrutement sur une technologie donnée.
- Ne voir que la marge que « je » prends et pas le service que je donne. Non, mon rôle n’est pas uniquement de recevoir une AO par email (c’est rarement le cas) et d’envoyer des CVs. (FYI : Mon mark up est d’environ 20%, il m’est arrivé de pratiquer 25% en de rares occasions.) Par contre je me charge de tout, localisation de l’opportunité, détection des meilleurs candidats, multiples entretiens, gestion des entretiens, préparation intensive aux entretiens, feedback et retour à tous les stades de la négo avec le client. Je trouve personnellement plus choquant les entreprises qui prennent 15% pour un envoi de CV.
- Les références : Assez d’accord avec le discours général ici qui dit de ne pas en donner aux recruteurs à tort et à travers. A l’inverse, si j’obtiens un entretien pour un consultant, je préfèrerai l’enlever du process que de le faire passer en entretien sans prise de référence. Pourquoi ? Quoi de pire pour un recruteur que de placer un consultant – trop différent du manager, mauvais, pas adéquate, feignant etc etc…- car la résultante, c’est la perte du client 90% du temps.
- On ne renégocie un pas un tarif après un entretien, sauf omission de facteurs importants de la part du recruteur. (volontaire ou non..)
- Donner quelques infos à un bon broker peut être fructueux. J’ai un réseau de consultants avec qui je travaille depuis plusieurs années et qui me donne régulièrement des infos, postes ouverts, contact de client qui recrute etc.. Toutes les infos dont je ne peux rien faire leurs sont retourné. Plusieurs d’entre eux ont ainsi obtenu des missions à des très bon taux, des CDI.. Gagnant gagnant.
- De répondre « Quel est le taux ? » à mon mail de 30 lignes.. 
- Help me to help you. Ne pas hésiter à écrire un petit descriptif, quelques lignes, expliquant en quoi vous et particulièrement vous seriez la meilleure personne pour ce poste. En générale, je m’approprie ces quelques lignes techniques pour les mettre en parallèles avec le besoin client ( + la touche du commercial). Je connais bien la technologie sur laquelle je travaille, mais certainement pas aussi bien que vous. Je rédige tout le temps un descriptif en première page du CV. Le but, faire en sorte que le client est envie de passer plus de 5 secondes dessus et se dise, ah, c’est ce que je recherche je vais le lire attentivement. C’est d’autant plus pertinent comme démarche si le client a sur sa boite 30 CVs et pas un n’est préparé.
Voilà quelques exemples, probablement évident pour la plupart d'entre vous, que je peux vous donner.
Réponse postée 3 janvier 2014 14:22
Bonjour à tous,
J’utilise tout comme vous ce site depuis plusieurs années, mais du coté annonceur!
Je voulais juste poser une question assez large, comment améliorer la relation recruteur –freelance ?
Avez-vous des axes d’amélioration à proposer à un « broker » ? Des conseils peut-être?
Etant également un fervent lecteur du forum, je sais bien que ma profession n’est pas dans les petits papiers de beaucoup de freelance. Mais qui sait, cela pourrait être constructif !
Bonne journée!
J’utilise tout comme vous ce site depuis plusieurs années, mais du coté annonceur!
Je voulais juste poser une question assez large, comment améliorer la relation recruteur –freelance ?
Avez-vous des axes d’amélioration à proposer à un « broker » ? Des conseils peut-être?
Etant également un fervent lecteur du forum, je sais bien que ma profession n’est pas dans les petits papiers de beaucoup de freelance. Mais qui sait, cela pourrait être constructif !
Bonne journée!