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https://drkeithmcnulty.com/2020/03/13/what-does-it-take-to-be-a-qualified-data-scientist/
Un cabinet de recrutement m'avait fait une demande incongrue de vidéo de présentation du même genre, avec en plus un questionnaire écrit pourvu de questions aussi étranges et hors de propos les unes que les autres. Quand je leur ai dit que je ne voulais pas rentrer dans leur jeu ils m'ont que je n'étais pas « bienveillant » vidant de sa substance ce mot avec leur processus soi disant cool.
N'empêche que ton message me fait réfléchir : effectivement j'ai eu un certain nombre d'offres 100% télétravail qui venait principalement de l'étranger, mais je les ai refusé pour la raison que j'ai exposé au dessus.
Peut-être que la solution pour moi est le 100% télétravail mais dans des espaces de co-working ? Mais il n'y a pas les échanges à la machine à café, ni d'échanges informel : visio=travail, en dehors de la visio aucun échange humain autre que les chats et emails.
Ça correspond à ce que j'ai entendu dans certaines ESN ? : « Nous, on intègre les indépendants, on les invite pour les formations, les réunions ».
En fait j'ignorais que ça voulait dire, à te lire, pour certaines, « on va te tordre le bras pour que tu ais aucune autonomie, que tu sois obligé de venir [à ces trucs inutiles] et que tu sois dans le moule ».
Je vais prendre ce conseil pour moi aussi. 🙂
Il faut que tu fasses la part des choses entre les besoins des clients finaux qui veulent que tu sois un minimum spécialisé et certaines ESN qui veulent des gens à tout faire, une fois plombier, une autre fois électricien, une autre fois chef de projet, une autre consultant.
Donc il faut choisir à un moment entre BI et R + Python.
Reste dans ce domaine, c'est davantage novateur et ça a davantage le vent en poupe. Sinon selon le bon vouloir d'un commercial il va te trouver une mission en BI de 3 ans et tu peux dire adieu aux missions R et Python puisque ça sera marqué sur ton front (ou l'inverse si tu n'aime pas R et Python) . Tu ne peux pas courir autant de lièvres à la fois.
Je suis passé du développement Delphi au reporting BO à la conception d'univers BO, à la conception de data warehouse, aux ETL, puis à R Shiny et Python . Mais jamais tout en même temps. Il faut se spécialiser un minimum.
Ou alors ouvre ton champ de compétence pour savoir ce qui va te plaire, mais rapidement ne te laisse pas balader dans des technos trop différentes entre elles.
Mais du VBA et de l'Access je l'ai supprimé depuis 20 ans de mon CV sinon je ne progressais pas et on me proposait des projets bidouillés par des non informaticiens. En plus ce n'est pas non plus de la BI.
Power BI, anciennement SSIS et compagnie, ils se sont améliorés mais il n'allait pas à la cheville des ETL sauf la partie reporting mais moins puissant que Business Object. Qlikview c'est puissant mais c'est une sacré usine à gaz en dessous.
En gros je ne suis pas triste d'avoir abandonné les 3/4 de ta liste. Si je suis devenu data analyst c'est justement pour ne plus toucher à ces produits sauf pour dépanner. Et même si ces outils m'intéresserait encore, ça n'a pas de sens d'avoir un profil trop large sauf pour les ESN, en tout cas celles qui veulent que tu saches faire du php, du Java, du VBA, du C, de l'Excel, autrement dit un pot pourri au dépend de la cohérence de CV, et finalement être spécialiste de rien. Même si je force le trait car BI et data analyst ont quand même des liens, être consultant BI et data analyst c'est quand même faire le grand écart.
D'ailleurs même si ces bio informaticiens avaient les compétences pour faire de l'informatique ils, elles majoritairement en fait, étaient d'abord scientifiques : cela ne les gênaient pas d'utiliser des usines à gaz comme SAS mais ils rechignaient à faire du développement classique. Mais maintenant il me semble qu'ils apprennent davantage R et Python.
En revanche il me semble que pour ce qui est du leadership dans le domaine il provient de docteurs en sciences ou statistiques qui ont mis les mains dans le cambouis et qui ont fait avancer les outils de développement.
Mais dans le monde de tout les jours je pense comme toi qu'il y a de la place pour des informaticiens comme nous. Les recruteurs cherchent souvent un mouton à cinq pattes data scientist + data analyst mais quand on parcourt les profils sur LinkedIn il y a quand même un paquet de data analyst au sens informaticien du terme.
Un paquet dans le sens representatif rapport aux data scientist mais par contre pas si nombreux par rapport aux développeurs web classiques : ce qui veut dire que la légère tension est en notre faveur 🙂 D'ailleurs si on n'en croise pas c'est qu'il y en a peu : sur LinkedIn il y a peu de pages de spécialistes de ce domaine en tout cas en France.
Ce qui est bien c'est que R et Python sont des communautés presque jumelles très dynamiques avec plein de tutoriaux et projets ouverts très instructifs.
Ha ça me fait penser à une offre que j'ai reçue : un travail à distance dans les essais cliniques... pour faire du packaging et de l'administration à longueur de journée. Ils avaient bien ciblés que je n'avais pas le niveau scientifique mais que j'avais les compétences techniques. Mais de l'administration et du support à 80% du temps sans développement ou presque, non merci. :)) Déjà quand je fais du apt-get install pendant plus d'une semaine continue ça me saoule.
- J'ai déjà eut des contacts avec Steria en tant que freelance.
- Sinon ils font appel à des sous-ssii dédiées qui chalutent à mon avis à presque 100% pour une unique société. En tout cas c'était valable pour Steria et ça doit être valable pour pas mal de grosse Ssii. (Bon après j'essaye d'éviter au maximum la double sous-traitance)
phili_b
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Réponse postée 25 juin 2021 11:35
Avec un départ à 15h30 il faut s'attendre à des remarques du style "Tu prends ton après-midi ?" et surtout une forte opposition de l'ESN et du client surtout si le contrat le mentionne.
Si c'est à 17h00 ou un peu avant, ça irait mais 15h30 il faut absolument déminer le souci en amont.
Même si on d'accord que du moment que l'on fait ses heures, que le travail est effectué, et que ce n'est pas un travail nécessitant des horaires fixes, c'est ridicule ces horaires.
Si c'est à 17h00 ou un peu avant, ça irait mais 15h30 il faut absolument déminer le souci en amont.
Même si on d'accord que du moment que l'on fait ses heures, que le travail est effectué, et que ce n'est pas un travail nécessitant des horaires fixes, c'est ridicule ces horaires.
Réponse postée 20 juin 2021 18:22
Un article qui corrobore ce que tu dis Anthaus .Du coup, pour en revenir au sujet initial de Freelance_Data, ne pas hésiter à jeter un oeil aux offres "data scientist". La partie scientifique est parfois absente, mais les technos demandées sont souvent Python, R et/ou SQL.
https://drkeithmcnulty.com/2020/03/13/what-does-it-take-to-be-a-qualified-data-scientist/
Réponse postée 20 juin 2021 14:47
Repasser par l'ESN B est la solution la plus sage effectivement.
Par contre il faut être sûr que la libération de la clause de non concurrence soit actée noir sur blanc, sinon par défaut de retravailler avec l'ESN B ça remet les compteurs à zéro et relance la clause pour les 12 prochains mois après la fin de la mission.
Par contre il faut être sûr que la libération de la clause de non concurrence soit actée noir sur blanc, sinon par défaut de retravailler avec l'ESN B ça remet les compteurs à zéro et relance la clause pour les 12 prochains mois après la fin de la mission.
Forum : Café des Freelances
Sujet :
Fais-moi une lettre de motivation pour le client....Non mais je suis un freelance tu comprends !!!!
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Réponse postée 19 mai 2021 08:17
Excellent.Laura.p63 a écrit a écrit : Pour le reste c'est non . Le mieux qu'on m'ait demandé étant quand même une vidéo humoristique de présentation et de ma volonté à intégrer l'entreprise. J'avais donc répondu que je n'intégrais pas l'entreprise mais que j'étais curieuse de voir les réalisations de leur garagiste, boulanger, etc. Etrangément je n'ai pas eu la mission...
Un cabinet de recrutement m'avait fait une demande incongrue de vidéo de présentation du même genre, avec en plus un questionnaire écrit pourvu de questions aussi étranges et hors de propos les unes que les autres. Quand je leur ai dit que je ne voulais pas rentrer dans leur jeu ils m'ont que je n'étais pas « bienveillant » vidant de sa substance ce mot avec leur processus soi disant cool.
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Fais-moi une lettre de motivation pour le client....Non mais je suis un freelance tu comprends !!!!
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Réponse postée 19 mai 2021 08:01
Je n'ai pas écrit de lettre de motivation sur papier depuis des siècles en prestation. Cela est rendu d'autant plus inutile que l'email de présentation du CV joue maintenant ce rôle.
Et autant je peux comprendre pour un CDI chez un client final, autant en prestation cela n'a aucun sens.
Depuis que je travaille depuis des années, j'ai écrit dans le temps des lettres de motivation directement à mon éventuel employeur direct, mais jamais au client final via une ESN en CDI autant que je m'en souvienne. Ça me paraît d'autant plus incongru de le faire en tant qu'indépendant via une ESN.
Après on peut faire des exceptions à nos propres règles, ça ne mange pas de pain, c'est vraiment quand on sent que c'est nécessaire et que le commercial semble réglo, mais le plus souvent ce sont les commerciaux qui sont le plus engoncés dans des processus dépassés et inutiles où étonnement le processus ne va jamais très loin, contrairement aux autres où on discute davantage de la mission que de considérations à côté de la plaque.
Effectivement ça ne m'étonnerait pas non plus que les banques le fassent mais comme je ne souhaite plus travailler avec ces établissements bureaucratiques et dont le métier ne m'intéresse pas.
Et autant je peux comprendre pour un CDI chez un client final, autant en prestation cela n'a aucun sens.
Depuis que je travaille depuis des années, j'ai écrit dans le temps des lettres de motivation directement à mon éventuel employeur direct, mais jamais au client final via une ESN en CDI autant que je m'en souvienne. Ça me paraît d'autant plus incongru de le faire en tant qu'indépendant via une ESN.
Après on peut faire des exceptions à nos propres règles, ça ne mange pas de pain, c'est vraiment quand on sent que c'est nécessaire et que le commercial semble réglo, mais le plus souvent ce sont les commerciaux qui sont le plus engoncés dans des processus dépassés et inutiles où étonnement le processus ne va jamais très loin, contrairement aux autres où on discute davantage de la mission que de considérations à côté de la plaque.
Effectivement ça ne m'étonnerait pas non plus que les banques le fassent mais comme je ne souhaite plus travailler avec ces établissements bureaucratiques et dont le métier ne m'intéresse pas.
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Réponse postée 16 mai 2021 13:38
Je ne serais pas aussi affirmatif quant à l'inutilité de cette lettre mais c'est clair que le paragraphe sur l'expertise est foireux même s'il part d'une bonne intention mais ce paragraphe recèle potentiellement des pièges.
Et si cette lettre devait être envoyée, elle est beaucoup trop longue. Je m'y connais dans ce domaine, quand j'étais en ESN j'écrivais des tartines sur des accrochages avec des clients, mais dont les managers me disaient qu'ils ne lisaient que le début. Plus la lettre est longue, plus elle peut de façon involontaire révéler des failles, même inexistantes, car on se noie dans les explications.
Tout ces détails sur les arguments ne devront être apportés que lors d'un procès ou lors d'une conciliation. En attendant il faut être beaucoup plus concis...
Et si cette lettre devait être envoyée, elle est beaucoup trop longue. Je m'y connais dans ce domaine, quand j'étais en ESN j'écrivais des tartines sur des accrochages avec des clients, mais dont les managers me disaient qu'ils ne lisaient que le début. Plus la lettre est longue, plus elle peut de façon involontaire révéler des failles, même inexistantes, car on se noie dans les explications.
Tout ces détails sur les arguments ne devront être apportés que lors d'un procès ou lors d'une conciliation. En attendant il faut être beaucoup plus concis...
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Réponse postée 15 mai 2021 11:06
Il y a de grandes chances de perdre son temps mais je pense néanmoins que c'est une bonne chose d'envoyer cette lettre comme un au revoir pour repreciser les choses par écrit.
Mais sous réserve de faire attention de ne pas ouvrir des failles, par exemple :
- qui payera la société chargée de l'expertise ? Il ne faut pas laisser croire que c'est l'intervenant qui va la payer.
- si j'ai bien compris c'est un forfait donc obligation de résultat. Il faut bien reverifier que le résultat est la livraison et non la mise en prod (ce qui paraît curieux quand même)
Je ne comprends pas les 261 jours.
Mais sous réserve de faire attention de ne pas ouvrir des failles, par exemple :
- qui payera la société chargée de l'expertise ? Il ne faut pas laisser croire que c'est l'intervenant qui va la payer.
- si j'ai bien compris c'est un forfait donc obligation de résultat. Il faut bien reverifier que le résultat est la livraison et non la mise en prod (ce qui paraît curieux quand même)
Je ne comprends pas les 261 jours.
Réponse postée 3 mai 2021 19:49
Et les relations humaines ? J'ai vraiment du mal avec le 100% télétravail, surtout étant célibataire.zzben a écrit :C'est exactement mon cas, je suis perdu au milieu de la France et il n'y a pas photo : 75% de mes prospects étaient en full-remote à l'étranger. Du coup je travaille pour un client espagnol, ça se passe très bien. Je ne suis même pas sûr d'avoir envie de prospecter pour les entreprises de ma région, ils me gonflent avec leurs CDI 😛La France est un pays avec une vieille mentalité qui ne veut pas évoluer , et la ça devient tres grave car petit a petit les gens compétents maintenant préfèrent travailler avec des entreprises anglosaxonne , suisses .... car plus ouverts au remote
N'empêche que ton message me fait réfléchir : effectivement j'ai eu un certain nombre d'offres 100% télétravail qui venait principalement de l'étranger, mais je les ai refusé pour la raison que j'ai exposé au dessus.
Peut-être que la solution pour moi est le 100% télétravail mais dans des espaces de co-working ? Mais il n'y a pas les échanges à la machine à café, ni d'échanges informel : visio=travail, en dehors de la visio aucun échange humain autre que les chats et emails.
Réponse postée 9 avril 2021 21:15
oui effectivement.Droopyann a écrit :Bonjour phili_b, tu ne confondrais pas l'INPI et l'INSEE ?phili_b a écrit : En tout cas ça sera au moins une bonne nouvelle pour l'attribution des codes NAF/ APE puisque les CFE se trompaient souvent et il fallait ensuite contacter l'INPI pour corriger l'attribution.
Réponse postée 9 avril 2021 07:08
En tout cas ça sera au moins une bonne nouvelle pour l'attribution des codes NAF/ APE puisque les CFE se trompaient souvent et il fallait ensuite contacter l'INPI pour corriger l'attribution.
Réponse postée 29 mars 2021 07:13
Ah oui ? Je suis étonné (mais malheureusement pas tant que ça).itconsult a écrit : La plus grosse deception comme freelance c'est dans certains grosse entreprises , un freelance est considéré comme un salarié lambda jetable
(..)
par contre tout ce que j'aime pas dans le salariat il insistent beaucoup dessus (lien de subordinattion, tu dois aussi limite faire de la politique, enter dans le moule et faire 100% comme les autres salariés, suivre des formations marketing etc )
Ça correspond à ce que j'ai entendu dans certaines ESN ? : « Nous, on intègre les indépendants, on les invite pour les formations, les réunions ».
En fait j'ignorais que ça voulait dire, à te lire, pour certaines, « on va te tordre le bras pour que tu ais aucune autonomie, que tu sois obligé de venir [à ces trucs inutiles] et que tu sois dans le moule ».
Réponse postée 11 février 2021 11:52
Sans doute que cette entreprise pense qu'un CDI est une récompense et un gage de sécurité pour l'entreprise et l'intervenant.
Mais c'est clair que de vouloir passer de freelance à CDI 2 mois après pose question: c'était un moyen de trouver un boulot et pas vraiment une envie d'être indépendant.
Mais c'est clair que de vouloir passer de freelance à CDI 2 mois après pose question: c'était un moyen de trouver un boulot et pas vraiment une envie d'être indépendant.
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Réponse postée 9 février 2021 22:11
EURL IR, je suis aux BNC.
En fait mon EC était persuadé du contraire mais le CGA qu'il m'avait proposé avait repoussé mon adhésion arguant que je suis aux BNC c'est-à-dire gérable par une AGA.
Pour les EC ne connaissant pas la prestation informatique ils croient que tout les informaticiens développent des programmes sur étagère, des progiciels d'où le BIC.
Mais comme j'ai dit que je faisais de la prestation intellectuelle informatique et que j'étais à l'IR, le CGA et l'AGA n'ont pas hésité une seconde sur le fait que je suis aux BNC.
En fait mon EC était persuadé du contraire mais le CGA qu'il m'avait proposé avait repoussé mon adhésion arguant que je suis aux BNC c'est-à-dire gérable par une AGA.
Pour les EC ne connaissant pas la prestation informatique ils croient que tout les informaticiens développent des programmes sur étagère, des progiciels d'où le BIC.
Mais comme j'ai dit que je faisais de la prestation intellectuelle informatique et que j'étais à l'IR, le CGA et l'AGA n'ont pas hésité une seconde sur le fait que je suis aux BNC.
Réponse postée 9 février 2021 17:37
Ah oui tu as raison dans ce sens là aussi.Anthaus a écrit : Du coup, pour en revenir au sujet initial de Freelance_Data, ne pas hésiter à jeter un oeil aux offres "data scientist". La partie scientifique est parfois absente, mais les technos demandées sont souvent Python, R et/ou SQL.
Je vais prendre ce conseil pour moi aussi. 🙂
Réponse postée 8 février 2021 08:50
Pas forcément. Par frilosité les gens veulent que tu restes ad vitam aeternam dans ton domaine actuel ou alors ils veulent que tu étendes tes compétences dans celles sans valeur ajoutée pour toi, c'est-à-dire facilement vendable mais pas forcément intéressante.Mais du coup si tu as dû refuser durant 2 ans beaucoup d'offres BI ça veut dire qu'il y a beaucoup plus de besoin côté BI que côté Data Analytics sur le marché non ?
Il faut que tu fasses la part des choses entre les besoins des clients finaux qui veulent que tu sois un minimum spécialisé et certaines ESN qui veulent des gens à tout faire, une fois plombier, une autre fois électricien, une autre fois chef de projet, une autre consultant.
Donc il faut choisir à un moment entre BI et R + Python.
Réponse postée 8 février 2021 08:39
J'ai une expérience de 16 mois dans le domaine et les compétences que je maitrise sont l'extraction, le traitement, la mise en forme et la visualisation de données avec les langages Python, R et SQL
Reste dans ce domaine, c'est davantage novateur et ça a davantage le vent en poupe. Sinon selon le bon vouloir d'un commercial il va te trouver une mission en BI de 3 ans et tu peux dire adieu aux missions R et Python puisque ça sera marqué sur ton front (ou l'inverse si tu n'aime pas R et Python) . Tu ne peux pas courir autant de lièvres à la fois.
Je suis passé du développement Delphi au reporting BO à la conception d'univers BO, à la conception de data warehouse, aux ETL, puis à R Shiny et Python . Mais jamais tout en même temps. Il faut se spécialiser un minimum.
Ou alors ouvre ton champ de compétence pour savoir ce qui va te plaire, mais rapidement ne te laisse pas balader dans des technos trop différentes entre elles.
Réponse postée 8 février 2021 06:55
Ah. Pour moi on est consultant BI ou data analyst. Là sauf exception dans cette liste quand on parle de data analyst s'agit du point de vue d'une ESN qui veut que tu ailles partout.Power BI (j'ai commencé une formation dessus depuis quelques temps), Qlikview, Tableau, des compétences en marketing, Microsoft azure, Google Cloud Platform, Google Analytics, Excel, VBA, Access...
Mais du VBA et de l'Access je l'ai supprimé depuis 20 ans de mon CV sinon je ne progressais pas et on me proposait des projets bidouillés par des non informaticiens. En plus ce n'est pas non plus de la BI.
Power BI, anciennement SSIS et compagnie, ils se sont améliorés mais il n'allait pas à la cheville des ETL sauf la partie reporting mais moins puissant que Business Object. Qlikview c'est puissant mais c'est une sacré usine à gaz en dessous.
En gros je ne suis pas triste d'avoir abandonné les 3/4 de ta liste. Si je suis devenu data analyst c'est justement pour ne plus toucher à ces produits sauf pour dépanner. Et même si ces outils m'intéresserait encore, ça n'a pas de sens d'avoir un profil trop large sauf pour les ESN, en tout cas celles qui veulent que tu saches faire du php, du Java, du VBA, du C, de l'Excel, autrement dit un pot pourri au dépend de la cohérence de CV, et finalement être spécialiste de rien. Même si je force le trait car BI et data analyst ont quand même des liens, être consultant BI et data analyst c'est quand même faire le grand écart.
Réponse postée 7 février 2021 10:08
Peux tu donner des exemples des outils et technos qui te manquent dont tu parles ?Freelance_Data a écrit : demandent divers outils et technos que je ne connais pas ou bien dont je n'ai pas eu l'occasion de les pratiquer durant mes missions.
Réponse postée 7 février 2021 09:51
J'ai croisé il y a longtemps des bio informaticiens. En fait équivalent bio de ton amie pour les stats. Mais il y a tellement peu de gens qui ont cette spécialité que les recruteurs sont obligés de chercher parmi les informaticiens ou scientifiques. Pour moi ton amie est davantage data scientist, mais comme elle est dans les stats c'est moins évident de placer le mot scientist mais en fait elle l'est.Ozymandias a écrit : Et pourtant : je n'ai jamais croisé de collègue ou d'entreprise où les data analysts sont considérés comme des informaticiens. De mon expérience, c'est plutôt ça :
data analyst = business analyst + stats (dont R, SAS ou Python) + SQL
Par exemple, une amie qui travaillait à l'INSEE avait été engagée comme "chargée d'études statistiques". Et cet intitulé de poste a été changé en "data analyst" il y a quelques années pour donner une image plus moderne.
D'ailleurs même si ces bio informaticiens avaient les compétences pour faire de l'informatique ils, elles majoritairement en fait, étaient d'abord scientifiques : cela ne les gênaient pas d'utiliser des usines à gaz comme SAS mais ils rechignaient à faire du développement classique. Mais maintenant il me semble qu'ils apprennent davantage R et Python.
En revanche il me semble que pour ce qui est du leadership dans le domaine il provient de docteurs en sciences ou statistiques qui ont mis les mains dans le cambouis et qui ont fait avancer les outils de développement.
Mais dans le monde de tout les jours je pense comme toi qu'il y a de la place pour des informaticiens comme nous. Les recruteurs cherchent souvent un mouton à cinq pattes data scientist + data analyst mais quand on parcourt les profils sur LinkedIn il y a quand même un paquet de data analyst au sens informaticien du terme.
Un paquet dans le sens representatif rapport aux data scientist mais par contre pas si nombreux par rapport aux développeurs web classiques : ce qui veut dire que la légère tension est en notre faveur 🙂 D'ailleurs si on n'en croise pas c'est qu'il y en a peu : sur LinkedIn il y a peu de pages de spécialistes de ce domaine en tout cas en France.
Ce qui est bien c'est que R et Python sont des communautés presque jumelles très dynamiques avec plein de tutoriaux et projets ouverts très instructifs.
Ha ça me fait penser à une offre que j'ai reçue : un travail à distance dans les essais cliniques... pour faire du packaging et de l'administration à longueur de journée. Ils avaient bien ciblés que je n'avais pas le niveau scientifique mais que j'avais les compétences techniques. Mais de l'administration et du support à 80% du temps sans développement ou presque, non merci. :)) Déjà quand je fais du apt-get install pendant plus d'une semaine continue ça me saoule.
Réponse postée 6 février 2021 20:16
Pour les définitions Data Analyst et Data Scientist je ne vois pas comment on peut se tromper, à moins de vouloir une personne avec la double compétence, ou qui acquiert cette double compétence plus tard, ça reste quand à la base 2 postes de provenance différentes : un data analyst est un informaticien et data scientist est un scientifique, et à la croisé des chemins il y a le scientifique qui s'est mis au développement ou le développeur qui a un bon bagage scientifique.
Je viens du monde de la BI (>15 ans, et avant Delphi +SGBDR) , et en répondant il y a 3 ans à une annonce pour faire du Python et de l'Excel, j'ai en fait pu monter tout un écosystème en R Shiny Dplyr grâce au fait qu'il y avait une application initiale en R Shiny.
Par contre je vois que je suis à mes limites pour le côté scientifique, et pour le coup heureusement qu'il y a une scientifique pédagogue et qui a une appétence pour la programmation. En fait le point de rencontre des data scientist et data analyst c'est Jupyter : ce n'est pas au scientifique de mettre en œuvre l'architecture logicielle ni les développements annexes, mais c'est à lui de trouver l'algo scientifique pour que le data analyst puisse le mettre en œuvre et l'industrialiser.
En tout cas que ça soit pour les data analyst et data scientist il me semble que la période est très porteuse quand on voit les annonces et les actualités.
Mais la BI c'est différent, ça reste utile mais j'en ai fait le tour, je ne veux plus faire de décisionnel. Ce qui m'en a surtout éloigné ce sont les outils clique-boutons comme les ETL ou les BO/QlikView. En plus si la BI est adaptée à l'informatique de gestion, je n'en dirais pas autant pour les données scientifiques et industrielles. En plus la BI est beaucoup moins souple en terme de fonctionnalité qu'une application à façon R Shiny ou Python Flask.
Mais pour revenir à ta question sur le changement d'orientation technologique, Freelance_Data, j'ai du refuser pendant presque 2 ans des offres BI pour pouvoir refaire du développement, et m'autoformer, et maintenant que j'ai 3 ans d'expérience en R Shiny Dplyr (et un peu de Python Flask Panda) je peux maintenant mettre en avant mon expérience de Data Analyst, et faire oublier en quelque sorte mon passé de consultant BI même s'il y a une logique entre les 2 qui m'a permis de passer de l'un à l'autre : le traitement et l'analyse de données.
Je suis freelance depuis 4 ans.
Je viens du monde de la BI (>15 ans, et avant Delphi +SGBDR) , et en répondant il y a 3 ans à une annonce pour faire du Python et de l'Excel, j'ai en fait pu monter tout un écosystème en R Shiny Dplyr grâce au fait qu'il y avait une application initiale en R Shiny.
Par contre je vois que je suis à mes limites pour le côté scientifique, et pour le coup heureusement qu'il y a une scientifique pédagogue et qui a une appétence pour la programmation. En fait le point de rencontre des data scientist et data analyst c'est Jupyter : ce n'est pas au scientifique de mettre en œuvre l'architecture logicielle ni les développements annexes, mais c'est à lui de trouver l'algo scientifique pour que le data analyst puisse le mettre en œuvre et l'industrialiser.
En tout cas que ça soit pour les data analyst et data scientist il me semble que la période est très porteuse quand on voit les annonces et les actualités.
Mais la BI c'est différent, ça reste utile mais j'en ai fait le tour, je ne veux plus faire de décisionnel. Ce qui m'en a surtout éloigné ce sont les outils clique-boutons comme les ETL ou les BO/QlikView. En plus si la BI est adaptée à l'informatique de gestion, je n'en dirais pas autant pour les données scientifiques et industrielles. En plus la BI est beaucoup moins souple en terme de fonctionnalité qu'une application à façon R Shiny ou Python Flask.
Mais pour revenir à ta question sur le changement d'orientation technologique, Freelance_Data, j'ai du refuser pendant presque 2 ans des offres BI pour pouvoir refaire du développement, et m'autoformer, et maintenant que j'ai 3 ans d'expérience en R Shiny Dplyr (et un peu de Python Flask Panda) je peux maintenant mettre en avant mon expérience de Data Analyst, et faire oublier en quelque sorte mon passé de consultant BI même s'il y a une logique entre les 2 qui m'a permis de passer de l'un à l'autre : le traitement et l'analyse de données.
Je suis freelance depuis 4 ans.
Réponse postée 3 octobre 2020 14:05
C'est naze ces histoires de trous dans le CV 🙂 C'est encore une peur de l'hétérogénéité, de quelqu'un qui ne serait pas dans le moule.
À mon avis ces trous ne jouent que dans les 4 premières années de vie professionnelle : quelqu'un qui vient de sortir d'école et qui a peu confronté ses connaissances à la réalité professionnelle risque d'être davantage considéré comme un stagiaire que comme un professionnel s'il a trop de mois vides.
Au delà, à moins d'avoir peur de tomber sur quelqu'un qui va laisser tomber toute vie professionnelle et sociale, c'est une sorte de discrimination. Et en plus a priori le principe de faire appel à un indépendant c'est s'attendre à ne pas être marié professionnellement.
À mon avis ces trous ne jouent que dans les 4 premières années de vie professionnelle : quelqu'un qui vient de sortir d'école et qui a peu confronté ses connaissances à la réalité professionnelle risque d'être davantage considéré comme un stagiaire que comme un professionnel s'il a trop de mois vides.
Au delà, à moins d'avoir peur de tomber sur quelqu'un qui va laisser tomber toute vie professionnelle et sociale, c'est une sorte de discrimination. Et en plus a priori le principe de faire appel à un indépendant c'est s'attendre à ne pas être marié professionnellement.
Réponse postée 3 octobre 2020 13:44
Comme Olivier_M. Ce sont des marges arrières qui ne sont pas saines et à la limite de l'arnaque.
En plus effectivement ça montre la marge effective qui me paraît énorme.
Moi j'éviterai à tout prix de travailler avec ces gens là.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Marge_arri%C3%A8re
En plus effectivement ça montre la marge effective qui me paraît énorme.
Moi j'éviterai à tout prix de travailler avec ces gens là.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Marge_arri%C3%A8re
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Réponse postée 22 septembre 2020 18:01
Bonjour.
En préambule : c'est malheureusement de plus en plus rare que les annonceurs postent leur TJM alors que côté freelance c'est une information obligatoire sur les CV freelance-info.
Pour répondre : aucun intermédiaire ne donnera les TJM clients finaux, l'usage est que ce soit le TJM commission incluse.
En préambule : c'est malheureusement de plus en plus rare que les annonceurs postent leur TJM alors que côté freelance c'est une information obligatoire sur les CV freelance-info.
Pour répondre : aucun intermédiaire ne donnera les TJM clients finaux, l'usage est que ce soit le TJM commission incluse.
Réponse postée 18 septembre 2020 19:48
Idem.
Cette mise-à-jour est déplorable mais sur le long terme et jusqu'à maintenant ce forum et ce site sont une mine d'informations.
Il ne faut pas perdre de vue que ce forum pourrait être débranché ou être modéré très fortement dès qu'il porte atteinte un tant soit peu aux affaires du site, comme sur certains sites, ce qui n'est pas le cas ici.
Cette mise-à-jour est déplorable mais sur le long terme et jusqu'à maintenant ce forum et ce site sont une mine d'informations.
Il ne faut pas perdre de vue que ce forum pourrait être débranché ou être modéré très fortement dès qu'il porte atteinte un tant soit peu aux affaires du site, comme sur certains sites, ce qui n'est pas le cas ici.
Réponse postée 15 septembre 2020 19:37
Oui j'ai vu aussi qu'ils caviardent depuis peu les adresses e-mail des annonces.
J'ai l'impression a minima qu'il veulent éviter les rebonds mais surtout qu'ils veulent verrouiller la relation posteur-lecteur comme le font par exemple les sites immobiliers.
La prise en compte de ces expressions régulières semble plus important que les tests de non régression.
Tiens un autre bug. Les mises à jour des alertes e-mails “inventent" des régions qu'on n'a pas demandé. On dirait qu'il y a un décalage de 1 dans la liste dans certains cas au moment de la mise à jour.
J'ai l'impression a minima qu'il veulent éviter les rebonds mais surtout qu'ils veulent verrouiller la relation posteur-lecteur comme le font par exemple les sites immobiliers.
La prise en compte de ces expressions régulières semble plus important que les tests de non régression.
Tiens un autre bug. Les mises à jour des alertes e-mails “inventent" des régions qu'on n'a pas demandé. On dirait qu'il y a un décalage de 1 dans la liste dans certains cas au moment de la mise à jour.
Réponse postée 11 septembre 2020 19:21
R vaincra. Plus sérieusement : ils sont complémentaires et facilement interoperables.
https://blog.rstudio.com/2020/09/10/dispelling-r-and-python-myths-qanda/
https://blog.rstudio.com/2020/09/10/dispelling-r-and-python-myths-qanda/
Réponse postée 8 septembre 2020 17:14
En ce qui concerne le nombre d'intermédiaires je doute que cette transparence soit possible. Par contre une information indirecte : le fait de préciser que le client soit ou non un client final pourrait être intéressant. Ce que font d'ailleurs certaines annonces mais hyper minoritaires ici.
Une autre critique sur le nouveau site: la lutte contre les spams robots a l'air encore moins efficace qu'avant.
Une autre critique sur le nouveau site: la lutte contre les spams robots a l'air encore moins efficace qu'avant.
Réponse postée 5 septembre 2020 11:14
Je n'avais pas vu ce fil de discussion.
Mon EC vient de me prévenir de cela, et on vient de modifier la valeur des échéances.
Mon message permet de faire remonter ce fil important, merci Hmg.
Mon EC vient de me prévenir de cela, et on vient de modifier la valeur des échéances.
Mon message permet de faire remonter ce fil important, merci Hmg.
Réponse postée 5 septembre 2020 10:56
J'ai tendance à être mesuré en règle générale mais là je partage totalement le point de vue de Tooltoteam, michealsolean, et MINT-T entre autres, pas besoin de prendre de gants : l'ancien site avait l'excuse qu'il était très ancien et pas mis à jour depuis des siècles, tandis qu'on dirait que le nouveau est un condensé de tout ce qu'il ne faut pas faire dans la mise à jour d'un site internet. Avec le tour de force d'avoir une régression des fonctionnalités vu le niveau technologique de l'ancien site qui avait pourtant le mérite de fonctionner sans bugs majeurs.
Ce qui la fout mal pour un site pour les missions informatiques. En plus on dirait qu'il n'a pas été testé sur smartphone (notamment les menus de copier coller, sélection, intempestifs et inutiles, sans parler des bugs plus importants hors forum cités dans les précédents messages ).
Ce qui la fout mal pour un site pour les missions informatiques. En plus on dirait qu'il n'a pas été testé sur smartphone (notamment les menus de copier coller, sélection, intempestifs et inutiles, sans parler des bugs plus importants hors forum cités dans les précédents messages ).
Réponse postée 16 août 2020 22:54
Oui et non. Après je ne me souviens plus si c'est juste avant ou après la fusion avec Steria:fullstack_obliged a écrit : Les boîtes qui m'ont dit non en free, de mémoire, j'ai eu Sopra en SSII qui m'a fait bien fait comprendre que non impossible pour eux.
- J'ai déjà eut des contacts avec Steria en tant que freelance.
- Sinon ils font appel à des sous-ssii dédiées qui chalutent à mon avis à presque 100% pour une unique société. En tout cas c'était valable pour Steria et ça doit être valable pour pas mal de grosse Ssii. (Bon après j'essaye d'éviter au maximum la double sous-traitance)