Normalement j'ai déjà pris en compte des jours de congés, même pour ma première année, donc je ne devrai pas rencontrer ce cas, mais je ne doute pas du fait que j'en rencontrerai d'autres :)
Je pense qu'il y a toujours des cas que l'on ne peut pas prévoir, mais c'est vrai que je ne savais pas qu'un client peut nous "forcer" à prendre des congés. Ca arrive régulièrement ? Ca ne représente pas un cas de subordination ?
Merci à tous pour vos réponses !
Je suis parti sur deux CA différents, l'un dans le cadre d'une mission longue (1 an ou plus, sans inter-contrat) et un avec inter-contrat. Ca me donne une idée beaucoup plus claire sur le CA que je peux envisager en tout cas, c'est cool :D
Je suis partie plus ou moins sur les chiffres que vous m'avez donné, 25 jours de congés, 10 jours de maladie et 30 jours d'inter-contrat. (Si ça peux en aider d'autres qui se posent la même question)
J'ai eu mon premier rendez-vous hier, et j'en ai un deuxième demain. Rendez-vous à la rentrée pour savoir ce qu'il en sortira
je vais bientôt avoir des rdv avec des cabinets comptable pour réaliser les prévisionnels avant de lancer ma société de développement web freelance.
Toutefois je me pose quelques questions sur l'établissement de mon CA prévisionnel. Je ne sais pas trop comment l'établir, sur combien de jours travaillés par mois, facturés par mois, nombre de jours non facturables en moyenne...
Est-ce que je pourrai profiter un peu de vos lumières à ce sujet ? Sachant que je suis déjà en position pour une mission de 24 mois dès le lancement de ma société.
Comment est-ce que vous fonctionnez de votre côté ? Est-ce que vous comptez toujours du temps libre par semaine, ou par mois ? Combien de temps vous vous gardez pour du relationnel, de l'administratif, la compta etc. ?
Question bête mais est-ce que ça rentre réellement dans le cadre de l'irrécouvrabilité ?
Il semblerait que tes messages arrivent, ton client décide juste de faire la sourde oreille....
j'ai une petite question sur ce cas, le salariat déguisé n'est-il pas prit aussi en compte sur la part de CA réalisé avec l'ancien employeur ? Si vous n'intervenez que quelques mois dans l'année, et que votre ex-employeur ne représente que 30% de votre CA annuel (exemple), est-ce qu'il y a un risque quand même ?
Laura.p63 a écrit : Merci pour ce retour très complet et intéressant .
Pour avoir "visiter" les plateformes de développement web, j'ai finalement l'impression qu'il y a aussi de l'avenir dans le low-code/no-code ou plus précisément dans les CMS. J'y ai vu un nombre innombrables d'offres et missions pour des refontes, mises à jour, paramétrage de site.
Les niveaux varient de la modification d'un menu à la sécurisation d'un site.
La demande la plus insolite que j'ai eu était de créer un site sous Wix car le client n'arrivait pas à le faire tourner sur son ordinateur.
Bon ça reste de la mission courte, payée au lance pierre mais visiblement pas mal de dév arrivent à vivre de ce type de demandes.
Après je rejoins complétement l'ajout du rôle de conseil,voire de conseiller en communication. Surtout après le batage médatiques sur les avantages de la digitilisation durant les périodes de confinement.
Bah, pour moi, les deux paradigmes sont plutôt complémentaires qu'autre chose. Je n'ai jamais essayé mais on pourrait même penser à un système hybride, pour permettre de personnaliser au maximum ?
Je pense que l'évolution sera probablement plus mesurable sur la complexité des projets qui seront à réaliser. Pour un commerçant ou une TPE qui voudra simplement se mettre en avant ou mettre en place du e-commerce "classique", il est clair que du low-code/no-code peut-être alléchant, pour les raisons évoqués plus haut (moins de bottlenecks au niveau des compétences, semble plus simple à reprendre, pas de boite noire maitrisée par des IT, etc.).
Par contre, dans le cas où les applications développées vont déborder de ce cadre, pour atteindre des cas plus spécifique, moins courant, je ne suis pas sûr que cela soit intéressant, et c'est la où le métier de développeur tire toute sa force.
Je rejoins aussi un constat, où l'aspect "métier" devient trop absent du domaine de compétence d'un développeur. Un bon développeur ne sera pas quelqu'un capable d'écrire des milliers de lignes de code par jour, mais quelqu'un qui sera capable de comprendre le besoin de son interlocuteur/utilisateur, et qui sera capable de le modéliser. Malheureusement, aujourd'hui nous sommes effectivement dans un rythme angoissant de mise à niveau constante de nos compétences, de nouvelles technologies sortent pratiquement tous les jours (j'exagère un peu), et tout devient rapidement une course contre la montre.
Pour moi, l'évolution naturelle du développeur web sera effectivement plutôt à trouver du côté du conseil et de l'accompagnement (toujours couplé à de la réalisation) mais pas forcément dans un virage aussi serré vers le low-code/no-code
Ah oui là ça vaudrait le coup de se renseigner auprès d'un comptable, mais tous les comptables ne seront pas capable de répondre à des questions sur la TVA intracommunautaire... C'est un sujet très complexe, qui bouge et évolue très souvent.
Petit point d'attention par rapport au document que je vous ai donné, il semblerait que la réglementation va évoluer cet été ou l'été prochain. Les seuils de TVA devraient disparaitre, pour que l'on puisse facturer la TVA à destination depuis le départ.
Bonjour code38, merci pour l'accueil :)
J'ai effectivement commencé à parcourir les sujets du forum, c'est assez pointu et ça donne des informations intéressantes
Bonjour à tous, je me présente, j'ai 31 ans, je travaille maintenant depuis quelques années dans le monde merveilleux du développement. Voila les banalités sont passées, maintenant entrons dans le vif du sujet !
Durant ces fameuses années, qui m'ont permis d'écumer un peu la Côte-d'Or et la Saône et Loire, je suis passé dans différents "formats" de société, de l'ESN familiale, à la Start-up, en passant par les GIP, groupes bancaires, santé etc.
Franchement, de bonnes années, avec des hauts et des bas, qui m'ont permis de voir de nombreux projets, langages, management... Mais voilà, fin d'année 2018, je décide de m'associer à des porteurs de projets pour construire une société. Mois idylliques où tout est à faire, tout est à construire. Je fais mes premiers pas dans le monde de la création de société. Et au bout de quelques mois, la rencontre avec la dure réalité, la société ferme ses portes après une agonie courte mais douloureuse.
J'entre ensuite dans une société en tant que CTO pour refondre complètement leur plateforme/ERP. Et maintenant, après 1 an 1/2, les tensions entre le dirigeant m'ont usées, et je me dis, pourquoi ne pas concrétiser ce projet, et me lancer dans le monde des freelance ? Ca me trotte dans la tête depuis un certain temps, donc here I am !
J'espère que mes questions ne vous procureront pas de trop forts maux de tête, et que ma longue introduction ne vous aura pas découragé 🙂
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