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YFY

Nombre de posts : 17

Inscrit depuis le : 11 janvier 2009

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Réponse postée 28 janvier 2009 10:51

C'est effectivement un frein non négligeable...

Même un CDI en SSII plaira plus aux banquiers... surtout en cette sombre période...
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Réponse postée 27 janvier 2009 17:35

Merci calimero...

Donc si je te suis bien :

- étape 1 : enregistrement du domaine : http://www.gandi.net/ (12 euros HT et 14,35 eurosTTC)

- étape 2 : hebergement du site : http://www.one.com/fr/1,25-eur
(1.25 euros par mois)

Je suppose que le site http://www.one.com/ se rendra compte que l'enregistrement du domaine est déjà effectif et qu'il ne nous proposera que l'hébergement...

- étape 3 : utiliser un client FTP pour enfin pouvoir transférer les fichiers sur le net (logiciel filezilla)

c'est ça...

Quel bordel pour un simple site internet... 😉
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Réponse postée 27 janvier 2009 12:05

Je veux créer un site internet relatif à mon EURL.

1. Faut-il attendre d'avoir un numéro SIRET avant de pouvoir réserver un nom de domaine ?

2. Quels sont les meilleurs prestataires pour enregistrer et réserver son propre domaine?

3. Beaucoup de prestataires proposent des packs incluant la création du site... Or, moi, mon site est déjà finalisé (fichiers html, css, psd et dossier images associés), je veux simplement trouver un prestataire auquel j'enverrai ces fichiers et qu'il mette en ligne mon site... est-ce possible?

Merci
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Réponse postée 20 janvier 2009 11:29

Bonjour à tous!

Ce message émis en 2008 par fabrice m’a balancé une volée de bois vert dans les narines… 

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>
Quel intérêt à devenir indépendant pour un salarié travaillant en SSII ?
________________________________________
Publié le 28/04/08 par fabrice

Beaucoup d’informaticiens travaillent en SSII et peuvent avoir l’impression d’être les dindons de la farce. En gros, on les place chez le client, ils rapportent 500 €/jour, soit 10 000 €/mois et eux touchent 2500 € net mensuel.

Là on se dit, si les 500 € allaient dans ma poche, la vie serait plus belle !

Voici la réalité.

Premièrement, il est quasi impossible maintenant pour un informaticien indépendant de rentrer en direct chez un gros compte (banque, assurance…). Les directions des achats contrôlent tout et ne traitent plus qu’avec de grosses SSII référencées, afin de pouvoir négocier des gros contrats et des tarifs réduits.

Votre client sera en fait une SSII, qui vous apportera un contrat chez un grand compte et se rémunérera 15-20% sur le tarif final. Sur les 500 €/jour, il vous en reste donc 400 €.

La vie reste belle, sur 20 jours, ça fait 8000 € !

Pas tout à fait ! De votre chiffre d’affaire de 8000 €, vous allez déduire vos frais.

Super, je vais pouvoir m’acheter des costumes et les déduire ? Et bien non ! Les frais déductibles sont strictement encadrés et les costumes n’entrent pas dedans. Mais vous pourrez déduire une partie de votre loyer et charges afférentes, une partie de votre budget déplacement, informatique, formation, comptabilité, etc., sous réserve d’une justification professionnelle.

Parmi ces frais, il y a des frais que vous auriez eus de toute façon, même en étant salarié (et qui d’ailleurs peuvent être déduit en frais réel lors de votre déclaration d’impôts sur le revenu), mais il y en a aussi des nouveaux qui vont s’ajouter : logiciel de comptabilité, honoraire de l’expert-comptable, création de cartes de visite, d’un site Web, etc.

1000 € de frais par mois est réaliste. Votre bénéfice est donc de 7000 €. C’est ce chiffre qui va servir de base pour les cotisations sociales (URSSAF et co).

Comptez environ 30% de cotisation sociales, il vous reste donc 4900 €, ce qui demeure alléchant, j’en conviens !

Mais quid des vacances annuelles et des RTTs que vous auriez eus en étant salarié ? Et, si vous tombez malade ? Donc ces 4900 € mensuel, ça n’est pas pour 12 qu’il faut les multiplier, mais plutôt par 10, pour avoir votre rémunération annuelle : 49 000 €.

C’est plutôt bien, ça fait du 4083 € net mensuel, à comparer au 2500 € de base.

Où est le piège ?

Dans cette simulation, on suppose qu’il n’y aucune période d’inter contrat ou que si vous enchainez les contrats, il n’y a pas de vacances entre les deux.

Dans les faits, il est tout à fait possible, surtout ces temps-ci, d’avoir de la chance (ou de se la créer en prospectant activement) et tomber sur une régie d’un an. C’était moins vrai en 2002-2003 où pas mal d’indépendants et de SSII ont bu la tasse…

Ce qui m’amène à la conclusion suivante :

Etre indépendant, c’est plus rentable, tant que vous travaillez ! Mais la rémunération plus élevée se justifie essentiellement car vous acceptez un risque supplémentaire, qui normalement pèse sur la SSII.

A une différence près : pour une SSII, le risque d’inter contrat est mutualisé entre les différents « consultants », alors qu’en tant qu’indépendant, vous supportez seul ce risque…

Quelles sont les contraintes ?

Il faut prévoir une surcharge de travail lié aux obligations légales (comptabilité, déclaration d’imposition particulières à remplir, paiement de la TVA et des charges sociales, éditions et suivis des factures) et à la prospection de missions (même en passant par des SSII).

Vous serez payé à 30/60/90 voir 120 jours fin de mois : par exemple, vous travaillez en juillet, mais vous êtes payé fin août/septembre/octobre voir novembre ! C’est l’usage dans les relations entre professionnels, le paiement comptant est rare.

Mais surtout, attendez-vous à un changement de mentalité. Vous passez de l’autre côté. La vie tranquille du salarié qui rentre chez lui le soir et n’a rien d’autre à penser, c’est fini. Quelques semaines avant la fin de vos missions vous stresserez pour en trouver une autre, vous vous mettrai à lire des magazines économiques pour vous tenir au courant du marché, vous serez attentif à tout changement du cadre légal des entreprises, vous réfléchirez à comment placer votre excédent temporaire de trésorerie. Une partie de vous y pensera en permanence. C’est là que l’on appréhende le stress auquel doit faire face les petits patrons qui ont des salariés, des échéances…

Une difficulté qui est rarement abordée mais très pénalisante : vous aurez des difficultés à souscrire un crédit immobilier ou même à louer un logement. Les jeunes indépendants (moins de 3 ans d’activité) font peurs aux banques et aux propriétaires ou agences immobilières. Si vous envisagez d’acheter ou de déménager à court et moyen terme, surtout, restez salarié. A Paris, trouver un logement en tant que salarié est déjà difficile, pour un jeune indépendant c’est le parcours du combattant.

D’autres points pourraient être abordés mais feront l’objet de prochains billets.

Conclusion finale

Par le passé, les indépendants pouvaient travailler en direct sur de longues missions avec le client final et l’activité était vraiment rentable, au regard des contraintes. Aujourd’hui, la sous-traitance est de mise, les appels d’offres fréquents, et donc le ratio rémunération/incertitude est beaucoup moins élevé. Se mettre à son compte doit donc relever d’une démarche plus globale qu’une simple stratégie à caractère pécuniaire : être son propre patron, mettre un pied dans la comptabilité, l’optimisation fiscale, la prospection commerciale, les relations interentreprises, l’environnement juridique des entreprises, etc.

Fabrice
Spécialiste Lotus Notes/Domino

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En fait, le paragraphe relatif au changement de mentalité ne me fait pas peur… J’étais déjà au courant...

Par contre, le paragraphe relatif à l'obtention des crédits immobiliers m'emmerde beaucoup plus…

Certes, fabrice a monté une EI et non pas une EURL mais il est clair que cela peut être vraiment la merde pour trouver un crédit…

Est-ce la même chose avec une EURL?

Ne devrions-nous pas avoir plus de crédibilité avec une EURL auprès des banques (capital social, bilan, rémunération mensuelle régulière du gérant fixée lors de la création)?

Comment ont réagi vos banquiers lorsque vous avez tenté d'acheter qqs mois ou plutôt qqs années après avoir lancé votre activité de travailleur indépendant?

Certains d'entre vous ont-ils tenté de le faire?

Est ce vraiment si merd... que ça pour trouver des crédits immo même si notre compagne est salariée avec de bons revenus?

Merci d'avance pour vos réponses...

Cdt,

YFY
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Réponse postée 18 janvier 2009 22:12

Bonsoir à tous,

Je suis actuellement en train de créer une EI spécialisée en conception mécanique et gestion de projet.

J'attends d'avoir une mission avant de finaliser la création.

Je rencontre donc mardi matin une SSII qui m’a trouvé une mission chez un équipementier à 50 km de chez moi.

En gros, je serai en freelance dans la SSII mais le client ne le saura pas.
J’ai besoin de votre aide car si le client est « okay » pour me prendre, il va falloir que j’accélère les procédures de création de mon EI.

Pourriez-vous svp répondre à mes interrogations ci-dessous :

1. Lorsque l’on crée une EI, de quelle manière cotisons-nous pour le chômage ? quel organisme dois-je contacter ?

2. Lorsque l’on crée une EI, il faut s’assurer bien évidemment, quelle est l’intitulé de cette assurance et quel assureur me conseillez-vous (pour ma voiture, je suis à la MAIF) ?

3. Lorsque l’on crée une EI, bénéficions-nous de 5 semaines de CP ? Pouvons-nous les prendre lorsque nous sommes en mission (lorsque l’on est en freelance chez un client par exemple) ;)

4. Lorsque l’on crée une EI, je suppose que nous ne sommes pas aux 35h… 😉 Y a-t-il cependant une durée légale à ne pas dépasser lorsque l’on est en freelance chez un client ?

5. Lorsque l’on a créée une EI Comment cela se passe t-il au niveau de l’assurance maladie ? Je suppose que nous ne passons plus par la CPAM ? Quel organisme doit-on contacter ?

6. Lorsque l’on a créée une EI Comment cela se passe t-il au niveau des cotisations retraite ? Je suppose que nous ne passons plus par l’AGIRC ? Quel organisme doit-on contacter ?

7. Dans le contrat que je vais bientôt signer avec la SSII pour bosser cxhez un client à 50 bornes de chez moi :

a. Est-ce que les frais de déplacements sont pris en charge par la SSII ? de quelle manière les évaluez-vous ?

b. Dois-je bien négocier dans le contrat avec la SSII que des virements mensuels me soient faits à la fin du mois (car ils seront payés à la fin du mois par le client de toute façon)?

c. Si le client me veut pour une durée de 6 mois, est-ce que je dois obliger la SSII à l’indiquer dans le contrat ? Comment ça marche ? (si par exemple, le client me jette avant !)

d. Quels sont les autres éléments importants à bien noter dans le contrat passé avec la SSII pour éviter de se faire « entuber » (en bon novice que je suis) ?

8. Vous me conseillez bien entendu d'attendre de rencontrer le client et d'avoir son accord avant de lancer la création de l'EI?

9. Comment cela se passe lorsque l'on tombe malade et que l'on est en mission?

Voilà, il y a beaucoup de questions mais les choses s’enchainement un peu vite pour moi… et je compte sur vous pour tenter de m’éclairer un peu…

Merci d’avance à vous tous ! Vos conseils me seront très utiles.

Bonne soirée.

YFY
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Réponse postée 16 janvier 2009 10:05

Bonjour,

Certains d'entre vous, au moment se lancer en EI (avec IS ou IR), ont-ils sollicité cette aide (descriptif ci-dessous)?


Prêt à la création d’entreprise (PCE)

Principe et montant : le prêt à la création d’entreprise est une aide de l’Etat destinée à financer les frais liés au lancement de l’entreprise. Compris entre 2 000 et 7 000 euros, ce crédit accompagne obligatoirement un financement bancaire dont le montant est au minimum égal à deux fois celui du PCE.
Modalités : la durée du prêt est fixée à cinq ans, avec un différé de remboursement du capital et des intérêts de six mois. Contrairement à d’autres aides, le PCE est accordé sans garantie, ni caution personnelle. En effet, le PCE bénéficie de la garantie OSEO, l’établissement public français chargé, entre autres, de garantir les financements bancaires des nouvelles entreprises. Enfin, il est possible de cumuler le PCE avec l’avance remboursable EDEN.
Bénéficiaires : le PCE s’adresse aux entreprises (individuelles ou sociétés) en phase de création, ayant été créées ou reprises depuis moins de trois ans, avec au maximum dix salariés. Les entreprises agricoles, les intermédiaires financiers ou les entreprises de location immobilière n’y ont cependant pas accès. Tous les autres entrepreneurs, et c’est nouveau, peuvent désormais solliciter un PCE, quel que soit le montant de leur programme d’investissement.
Renseignements et contacts : renseignements auprès du guichet OSEO de votre département ou de votre région (www.oseo.fr), ou auprès d’un réseau d’aide et d’accompagnement de la création d’entreprise (chambres de commerce et d’industrie, chambres de métiers, France Initiative Réseau, Adie…) ou directement auprès de l’une des agences bancaires ayant signé une convention avec OSEO.
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Réponse postée 16 janvier 2009 09:56

20% de marge pour une SSII, ça voufrait presque dire que le portage salarial est plus intéressant? ;)


gui34 a écrit : Bonjour,

je pense que la majorité d'entre nous passe par une SS2I pour travailler chez le client. Donc les SS2I réticentes, je ne pense pas. D'un point de vue business, mieux vaut prendre 20% sur une mission que 0, donc, la SS2I préfèrera une embauche, c'est certain, mais ne sera pas réticente de marger sur un freelance. D'autant que le risque pour elle est nul. Pas de charges, pas de part de secrétariat, pas de congès à gérer, pas de maladie, pas d'inter contrat,...Donc 20% tranquille...
Pour ma part, lorsque je suis contacté par les SS2I, je les préviens de suite que je suis freelance, histoire de discuter d'égal à égal.
Coté tarifs, en général, c'est le client qui impose avec sa grille de tarifs suivants les compétences et le niveau d'expertise dans le domaine. La majorité des clients fonctionnent par référencement, c'est clair que quand tu arrives, il n'y a en général aucune négociation possible. Sur le tarif du client, la SS2I prendra sa marge, 20% je pense, négociable si la mission est "stratégique" pour elle.
Travailler en direct est devenu quasi impossible, notamment chez les grands comptes qui réfèrencent les SS2I. Mais bon, je ne dis pas que ça ne peut pas se trouver...
Bon courage.
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Réponse postée 16 janvier 2009 09:54

Bonjour Francois,

Effectivement, je pensais la même chose que vous...

Pour moi, freelancer en mécanique, il fallait se débrouiller pour travailler en direct chez le client...

cela semble appremment assez différent dans le domaine informatique et électro???

Vous pouvez nous confirmer ceci les freelancers info seniors? ;)

Merci à vous!




François1 a écrit : Bonjour Yannick,

Les sociétés comme ALTRAN, ALTEN ou ASSYSTEM recrutent beaucoup de consultants. Par contre, à ma connaissance, ils ne sous-traitent pas à des indépendants en mécanique/électronique/automatisme.

Ou alors mes informations ne sont plus à jour. Vous avez des retours là-dessus ?

Cordialement

--
François
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Réponse postée 16 janvier 2009 09:51

Merci pour ta réponse gui!

20% de marge pour la SSII, c'est assez énorme! non?

Cela veut donc dire que c'est la SSII qui négociera le contrat et le tarif avec le client?

Exemple concret :

Je décroche une mission de 6 mois chez un client ALPHA via une SSII BETA ; je demande 450 euros / JT à la SSII.

CA brut : 6 x 20 x 450 = 54000 euros

Rémunération nette (~45%) = 24300 euros

Marge SSII : 24300 x 20 / 100 = 4860

Rémunération nette finale pour freelancer = 19440 euros

C'est bien ça????


gui34 a écrit : Bonjour,

je pense que la majorité d'entre nous passe par une SS2I pour travailler chez le client. Donc les SS2I réticentes, je ne pense pas. D'un point de vue business, mieux vaut prendre 20% sur une mission que 0, donc, la SS2I préfèrera une embauche, c'est certain, mais ne sera pas réticente de marger sur un freelance. D'autant que le risque pour elle est nul. Pas de charges, pas de part de secrétariat, pas de congès à gérer, pas de maladie, pas d'inter contrat,...Donc 20% tranquille...
Pour ma part, lorsque je suis contacté par les SS2I, je les préviens de suite que je suis freelance, histoire de discuter d'égal à égal.
Coté tarifs, en général, c'est le client qui impose avec sa grille de tarifs suivants les compétences et le niveau d'expertise dans le domaine. La majorité des clients fonctionnent par référencement, c'est clair que quand tu arrives, il n'y a en général aucune négociation possible. Sur le tarif du client, la SS2I prendra sa marge, 20% je pense, négociable si la mission est "stratégique" pour elle.
Travailler en direct est devenu quasi impossible, notamment chez les grands comptes qui réfèrencent les SS2I. Mais bon, je ne dis pas que ça ne peut pas se trouver...
Bon courage.
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Réponse postée 16 janvier 2009 09:16

Si vous exercez une activité commerciale, industrielle ou artisanale sous forme individuelle, vous serez imposé dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Si vous exercez une activité libérale (masseur, traducteur, consultant...) sous forme individuelle, vous serez imposé dans la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC).
phil2375 a écrit : Bonjour,

je suis ingénieur en informatique et je compte créer une EI très prochainement.

Les activités que je compte exercer sont les suivantes:
* développement logiciel et/ou gestion de projet au forfait
* éventuellement, activité de conseil (ça ne sera pas l'activité principale)

Je pensais que ces activités relevaient des BNC et donc qu'il fallait déclarer l'entreprise au CFE de l'URSSAF.
Mais suite à un coup de téléphone à la CCI, j'ai cru comprendre que cette activité relevait du BIC, et par conséquent qu'il fallait s'enregistrer auprès du CFE de la CCI.

Qu'en pensez-vous ?
Quelles sont les conséquences principales de ce choix ?
D'un point de vue légal, y a-t-il des risques à se "tromper" de catégorie ?


Merci pour vos réponses

Philippe
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Réponse postée 16 janvier 2009 09:08

Actuellement en train de monter une EI afin de me lancer en freelance, je me pose une question :

- Je suis contacté par de nbeuses SSII ou sociétés de prestation qui me proposent des missions (ALTEN, ALTRAN, ASSYSTEM, ABMI...etc...) mais elles ne savent pas que je suis en cours de création d'EI.

=>> Est-ce que certains d'entre vous sont en freelance dans des SSII en mission chez un client?

Je suppose qu'elles doivent être réticentes à ce style de fonctionnement car elles se font moins de marge...

Si cela est possible, tout en sachant que je compte facturer 400/500 euros / JT, quel pourcentage revient aux SSII, cela doit se négocier dans le contrat avec elles?

Pour conclure, me conseilleriez-vous plutôt de tenter de travailler directement avec un client plutôt que de passer par une SSII?

Merci à vous.
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Réponse postée 15 janvier 2009 15:36

Merci pour toutes ces explications calimero!

Calimero a écrit :
YFY a écrit : Que l'on soit en SARL ou en EI, comment se font les paiements, c-a-d la rémunération?
Ca dépend de la forme. En EI, vu qu'il n'y a pas de personne distincte, l'argent est déjà à toi. Il faut évidemment conserver de quoi payer les charges sociales (fortement décalées au début) et les impôts le moment venu.
YFY a écrit : =>> en 2008, un consultant freelance travaille en moyenne 110 jours (travail effectif facturé, la réalité est 300 jours par an, mais temps de préparation, autoformation, démarches...). Il est à un taux de 400 euros par jour.

Les questions simples que je me pose en tant que novice :

1. La rémunération se fait-elle en fin de contrat uniquement ou mensuellement? 44000 euros (400 x 110) en fin de mission ou est-ce réparti au cours de la mission?
J'ai l'impression que tu confonds le paiement par le client et ta rémunération à toi.
Dans le cas d'une EI, il y a effectivement une éventuelle confusion possible.
Dans le cas d'une EURL, la rémunération de gérant est indépendante du cycle de facturation du client (dans la limite de la tréso de la société, of course).

Typiquement, tu émettras en fin de mois une facture pour les X jours du mois. Ton client te règlera (EI) ou règlera la société (EURL) 20, 30, 45 jours plus tard selon les conditions définies au contrat (et surtout les retards éventuels).

En EURL, tu pourras alors décider (en tant qu'associé unique) de te verser une rémunération de X (par exemple la moitié du HT payé) pour tes fonctions de gérant: tu fais un virement du compte de la société vers ton compte perso.
En EI, l'argent sera sur ton compte et sera directement utilisable pour faire les courses au Carrefour/Auchan du coin. Tu veilleras à ne pas dépenser l'équivalent des charges sociales, de l'IRPP/BNC, de la TVA collectés... qui seront à payer ultérieurement, plus ou moins rapidement.

Pour faciliter la gestion comptable et le suivi, il est quand même recommandé en EI d'avoir un deuxième compte courant avec des moyens de paiement distincts. Ca permettra de toucher les règlements clients et de payer les dépenses pro sur un compte distinct.
YFY a écrit : 2. l'ACCRE (valable uniquement pour les demandeurs d'emploi) consiste bien en une exonération des charges sociales pendant les deux premières années d'activité? On ne doit pas les rembourser à l'issue de ces deux années?
C'est une exonération de charges sur la part de rémunération (rémunération de gérant ou BNC) représentant moins de 120% du smic (soit de mémoire 18500E). C'est valable pour les 12 premiers mois.

Vu que c'est un exonération (et non un report), il n'y a pas à "rembourser". Il me semble qu'il existe une possibilité de demander à faire passer ton dossier en commission pour une prolongation jusqu'à 24 mois. Mais il y a évidemment des conditions (CA, revenu, j'imagine) que j'ignore.
YFY a écrit : 3. Les charges sociales correspondent à quel pourcentage du CA annuel?
Pour une EURL à l'IS, c'est la rémunération de gérant qui est "support" de calcul des cotisations TNS, après abattement de 10%.

Regarde la feuille de calcul d'Olivier, sur le forum, pour une simulation globale.

Pour un EI, c'est le bénéfice imposable (CA HT - frais/charges) qui sert d'assiette des cotisations TNS, sans abattement.

Tu as la calculette en ligne de mixomatose.
YFY a écrit : 4. Quelles sont d'ailleurs les charges prélevées au CA ainsi que leur pourcentage?
Sans objet en EI (t'as juste tes cotisations sociales et ton IRPP).

En EURL à l'IS, tu paies... l'IS (surprise !).

En gros:
CA HT - frais/charges de la société - rémunération du gérant - cotisations sociales de la rémunération du gérant = bénéfice imposable

Le bénéfice imposable est taxé à 15% jusqu'à 38kE (sous certaines conditions) puis 33.3% au-delà (ou sur tout, si les conditions du taux réduit ne sont pas respectées).
YFY a écrit : 5. On m'a conseillé de mettre 3-4 mois de salaire d'avance sur un compte et n'y toucher qu'en cas d'extrême nécessité avant d'attaquer sa première mission ; qu'en pensez vous? Est-ce suicidaire de se lancer en freelance avec peu de moyens au début?
Pour ma part, j'ai un client (intermédiaire...) qui paie très rapidement: 20 jours. Mes prestations de janvier seront donc réglées le 20 février.

C'est plutôt exceptionnel par rapport à ce que je lis/entends généralement. Tu peux n'être payé par ton client que plusieurs semaines ou plusieurs mois après la réalisation de la prestation.

Au début, il faudra donc vivre sans rentées. A toi d'estimer combien il te faut pour tenir un délai raisonnable.
YFY a écrit : 6. Un demandeur d'emploi qui se lance en freelance perd ses ASSEDIC, comment fait-il pour vivre avant de toucher ses premiers cachets?
Il me semble qu'il y a la possibilité de toucher les allocations que tu aurais pû toucher en deux fois (une fois au début, une fois 6 mois plus tard). Je ne connais pas du tout les conditions pour bénéficier de ce dispositifs. Mais d'autres lecteurs en ayant bénéficié, ils t'éclaireront sans doute.

Dans tous les cas, ne pas oublier également la Taxe Professionnelle. Et si j'ai bien compris (ce qui est pas garanti, vu la relative complexité de la TP), c'est moins avantageux pour une EI/BC qu'une EURL/IS.
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Réponse postée 15 janvier 2009 14:46

Que l'on soit en SARL ou en EI, comment se font les paiements, c-a-d la rémunération?

Je prends un exemple simple :

=>> en 2008, un consultant freelance travaille en moyenne 110 jours (travail effectif facturé, la réalité est 300 jours par an, mais temps de préparation, autoformation, démarches...). Il est à un taux de 400 euros par jour.

Les questions simples que je me pose en tant que novice :

1. La rémunération se fait-elle en fin de contrat uniquement ou mensuellement? 44000 euros (400 x 110) en fin de mission ou est-ce réparti au cours de la mission?

2. l'ACCRE (valable uniquement pour les demandeurs d'emploi) consiste bien en une exonération des charges sociales pendant les deux premières années d'activité? On ne doit pas les rembourser à l'issue de ces deux années?

3. Les charges sociales correspondent à quel pourcentage du CA annuel?

4. Quelles sont d'ailleurs les charges prélevées au CA ainsi que leur pourcentage?

5. On m'a conseillé de mettre 3-4 mois de salaire d'avance sur un compte et n'y toucher qu'en cas d'extrême nécessité avant d'attaquer sa première mission ; qu'en pensez vous? Est-ce suicidaire de se lancer en freelance avec peu de moyens au début?

6. Un demandeur d'emploi qui se lance en freelance perd ses ASSEDIC, comment fait-il pour vivre avant de toucher ses premiers cachets?

Merci pour vos réponses!

YFY
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Réponse postée 15 janvier 2009 11:04

Bonjour à tous,

Ingénieur Mécanique de formation, je désire me lancer en freelance et ai déjà commencé à prospecter...

J'hésite toujours sur le choix EI, EURL?

Voici un article que j'ai trouvé (cf. ci-dessus), qu'en pensez-vous? Êtes-vous d'accord avec ce qui est dit?

Je sais que ce sujet a déjà été abordé maintes fois sur ce site mais je suis sûr que cet article vous fera réagir...

Merci pour vos réponses tirées de vos expériences personnelles.

Cdt,

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Freelance entrepreneur : quel type de société choisir ? EI ou EURL ?
Vous êtes expert dans un domaine et avez décidé de vous lancer à votre propre compte ? Un effort louable. La première question à se poser est la forme de la société. Ce billet vous présentera les deux plus répandues pour les freelances.
Attention : Je ne suis en aucun cas un expert du droit, et que je ne parle ici que de mon expérience personnelle. En aucun cas ce billet, bien que le plus exact possible, ne pourra vous passer de la consultation d'un professionnel du droit.
Le type de société à créer est un choix crucial. En effet, de celui-ci va dépendre toute la suite de votre aventure entrepreneuriale. Nous supposerons, pour se baser sur mon expérience personnelle, que vous êtes seul associé. Ainsi, deux choix s'offrent à vous : l'Entreprise Individuelle (EI) ou l'Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL).
Entreprise individuelle (EI)
L'EI permet de simplifier un maximum toutes les démarches administratives en vous impliquant directement dans le monde des affaires : vous ne passez pas, contrairement à l'EURL, par l'intermédiaire d'une personne morale. Cette distinction permet un avantage significatif lors de la création : une simple inscription au Registre du Commerce et des Sociétés est requise.
Cette simplification administrative se retrouve aussi dans la gestion quotidienne de la société. En effet, les seuls obligations fiscales sont de tenir un tableau de bord des dépenses et recettes engagées, une déclaration fiscale simplifiée, et une exonération de la TVA.
Au niveau du patrimoine, comme l'entrepreneur et l'entreprise ne font qu'un, il est identique. De la sorte, il est possible d'utiliser directement l'argent récolté, sans devoir attendre le versement des dividendes (comme avec une SARL) ou sans avoir à se salarier. Cependant, le revers de la médaille est que vous êtes responsable entièrement sur votre patrimoine personnel. Ainsi, si votre société fait faillite, vos biens seront saisissables afin de rembourser les dettes contractées.
Fiscalement, ce type d'entreprise peut être intéressante si les revenus attendus sont modestes. En effet, l'entrepreneur individuel est soumis à l'impôt sur le revenu (IR), et non pas à l'impôt sur les sociétés (IS). Par conséquent, si l'entreprise atteint une situation financière des plus favorables, vous risquez d'y perdre comparativement à un autre type de société.
Enfin, au niveau social, l'entrepreneur individuel est sous le régime des travailleurs indépendants pour la maladie et sous celui des professions industrielles et commerciales pour la retraite. Ces régimes sont bien moins complets que le régime général de la sécurité sociale, d'où un autre inconvénient certain.
Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL)
L'autre forme de société possible en étant seul associé est l'EURL. Cette forme particulière de SARL (Société Anonyme à Responsabilité Limitée) nécessite cependant des démarches bien plus lourdes lors de la création, ainsi que des frais de création, inexistants pour la fondation d'une EI. A ce sujet, il est important de consulter le CFE de votre région (Centre de Formalités des Entreprises).
Le patrimoine de l'entrepreneur est séparé de celui de la société. Ainsi, l'entrepreneur n'est responsable qu'à hauteur de ses investissements en cas de faillite de l'entreprise. Bien entendu, cela n'est vrai que si aucune faute grave de gestion ou écarts à la loi n'a été effectué. Cela va de soi ceci dit.
Au niveau administratif, la gestion est lourde. Gestion de la TVA, tenue du livre des comptes, clôture, bilans, etc... Bref, pleins de choses qu'il est préférable de déléguer à un expert-comptable. Chose que j'ai bien évidemment faîte. Après tout, chacun sa spécialité. ;)
Fiscalement, cela peut être avantageux aussi, grâce à l'impôt sur les sociétés (IS). En effet, il est possible de déduire sa propre rémunération, et ainsi de jouer avec les différents taux en vigueur. Nous reparlerons de la différence IR/IS dans un prochain billet, le tout accompagné d'exemples.
Enfin, avantage majeur : il sera bien plus facile de vous développer par la suite. En effet, il est très aisée de passer d'une EURL à une SARL (après tout, la première n'est qu'une sous-branche de la seconde). Par conséquent, si vous prévoyez de vous associer à d'autres personnes, il vaut mieux oublier l'EI.
Conclusion
Je conseillerais donc personnellement l'EURL soumise à l'IS pour toute création de nouvelle entreprise en freelance. Facilité de se développer et avantages fiscaux sont en effet bien deux points non négligeables. Quant à la complexité administrative, cela est certes contraignant, mais permet une gestion meilleure de sa société. Faire appel à un expert-comptable vous fait bénéficier de conseils non négligeables pour mener à bien votre projet. Chose qui n'est pas forcément présente dans les EI.
N'hésitez pas à me faire part de votre propre expérience et à enrichir ce billet dans les commentaires. Des erreurs ou des suggestions, tout complément est appréciable. :)

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Réponse postée 13 janvier 2009 08:12

A partir du 1er janvier 2009, le nouveau régime de l’auto-entrepreneur va permettre à tous les Français qui le souhaitent de créer leur propre entreprise simplement et rapidement.

Ce nouveau régime, créé par la loi de modernisation de l’économie, lève les barrières à l’entrée de l’entrepreneuriat et offre une nouvelle chance à de nombreux salariés, étudiants, retraités et chômeurs, de compléter leurs revenus.

Ce statut offre de nombreux avantages sociaux, déclaratifs et fiscaux.

Désireux de me lancer en freelance, j'ai d'abord pensé à une EI ou une SARL...

Y a t-il ici des freelance ici qui souhaitent bénéficier de ce nouveau régime?

Si oui, je serai heureux de communiquer avec eux.

Merci pour vos réponses.

Nota : infos complémentaires :

Etre "auto-entrepreneur", cela consiste en quoi ?

Le régime de l’auto-entrepreneur mis en place par Hervé Novelli, c’est un passeport offert à tous les Français qui souhaitent transformer leur talent en argent et bénéficier de revenus supplémentaires. Cela répond à un vrai besoin, particulièrement en cette période de crise.

Il n’y a qu’une seule limite pour être auto-entrepreneur : il faut réaliser moins de 80 000 euros de chiffre d’affaires pour une activité commerciale ou moins de 32 000 euros pour les prestations de services et les activités libérales. Ces seuils évolueront chaque année comme le barème de l’impôt sur le revenu.
A qui s’adresse ce statut ?

A tous les Français : aux retraités qui veulent bénéficier d’un supplément de revenu, aux jeunes qui ont besoin d’un peu d’argent pour financer leurs études ou encore aux chômeurs, pour qui c’est une vraie chance de rebondir.

Y compris aux salariés qui auront le droit de devenir auto-entrepreneurs en dehors de leurs horaires de travail. A une seule condition : ne pas créer une activité qui conduit à démarcher les clients de son employeur sans son accord.
Comment bénéficier de ce statut ?

C’est la simplicité même :
- finie la tracasserie administrative : l’auto-entrepreneur n’aura pas besoin de s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ;
- une seule déclaration suffit : il doit s’inscrire sur le site en ligne www.lautoentrepreneur.fr pour pouvoir commencer son activité dès le lendemain ;
- ce qui est vrai lorsqu’on souhaite créer son activité est aussi vrai pour l’interrompre : l’auto-entrepreneur peut cesser son activité sans être soumis à des formalités ou à des obligations administratives complexes.
Quels sont ses avantages ?

Au quotidien, le système est très simple, les relations avec l’administration sont réduites à l’extrême :
- l’auto-entrepreneur devra s’acquitter d’un seul prélèvement équivalent à 13 % de son chiffre d’affaires mensuel ou trimestriel pour toute activité commerciale, 20,5 % pour une activité libérale ou à 23 % pour les activités de service ;
- il n’y a aucune autre taxe à acquitter : l’auto-entrepreneur n’est pas soumis à la TVA et il est exonéré de taxe professionnelle pendant trois ans à compter de la création de son entreprise ;
- s’il ne réalise aucun chiffre d’affaires, l’auto-entrepreneur ne paiera aucune charge. Lorsqu’il cesse son activité, cela ne coûte rien non plus ;
- techniquement, une seule chose est demandée : remplir "un livre chronologique des recettes" pour enregistrer les ventes effectuées, et pour les commerçants remplir un "livre des achats".

Ce statut est protecteur et offre des droits sociaux importants :
- l’auto-entrepreneur est affilié à la Sécurité sociale et valide des trimestres de retraite ;
- il s’acquitte forfaitairement de ses charges sociales et de ses impôts uniquement sur ce qu’il encaisse. S’il n’encaisse rien, il ne paie et ne déclare rien. Il bénéficiera de la couverture assurance maladie dès le premier euro de chiffre d’affaires.
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Réponse postée 11 janvier 2009 17:37

mixomatose a écrit :
YFY a écrit : - J'hésite aussi beaucoup entre EI ou SARL?
Si le marché est incertain mieux vaut l'EI (couts de création moins élevés, quasi nuls).
- Vaut-il aussi attendre d'avoir décrocher un contrat avant de lancer les démarches de la création?
Absolument. Pas la peine de se mettre de gros frais fixes à dos (cotisation sociales de première année) si on n'arrive pas à trouver une mission. Une EI se crée en 1 journée, une EURL en moins d'une semaine.
Merci pour votre réponse mixomatose.

Cependant, n'est-ce pas difficile lors de la prospection de clients d'avoir de la crédibilité auprès d'eux alors que l'EI n'est point encore créee?
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Réponse postée 11 janvier 2009 16:35

Bonjour à tous,

Ingénieur Mécanique (j'ai bossé 8 ans dans l'automobile et l'aéronautique) et j'envisage maintenant de me lancer freelance (en conception mécanique et en gestion de projet techniques).

J'ai bien noté sur le site les différentes étapes nécessaires pour passer en freelance.

Cependant, je me pose qqs questions:

- Le freelance est très peu développé dans le domaine mécanique et beaucoup plus en Informatique/électro/soft... Pensez-vous qu'il puisse y avoir suffisamment de clients pour se lancer?

- J'hésite aussi beaucoup entre EI ou SARL?

- Vaut-il aussi attendre d'avoir décrocher un contrat avant de lancer les démarches de la création?

Merci pour vos réponses.

YFY

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