J'ai aussi travaillé sur un projet où il fallait associé un identifiant unique et international aux clients de la base (les codes SIRET/SIREN, TVA... ne sont pas internationaux) et le code DUNS répondait à cela. A l'époque, la société citée était le leader en France (entre autres)
Ce dont je me souviens par contre, c'est que toutes les sociétés (pour certaines assez grandes) n'avaient pas nécessairement de code DUNS donc ça ne m'étonnerait pas que tu n'en ai pas et qu'il faille en faire la demande.
Il y a du vrai dans tout ce qui est dit mais chaque situation à sa solution à elle. Si on revient au sujet du post et qu'on remet les choses dans leur contexte, elle est dans le Nord, débutante, n'a pas travaillé depuis au moins 6 mois (j'imagine donc que la trésorerie doit être assez limitée) et veut rester freelance.
Personnellement, je refuse toujours les propositions "discount" (déjà fait plusieurs fois) : s'ils veulent une compétence, soit ils paient la valeur de cette compétence soit ils vont chercher ailleurs. Mais dans son cas à elle, si c'est pour refuser et se payer 6 autres mois ou plus de galère, y'a pas à réfléchir. Perso, j'accepterais mais continuerais de voir ce qui se fait ailleurs jusqu'à trouver mieux (soit en renégociant, soit en changeant de mission)
Je suis fonctionnel SAP et je confirme que ce taux est vraiment bas.
Néanmoins, comme beaucoup l'ont déjà dit, il faut mettre les choses dans leur contexte. Les SSII profitent toujours des profils débutants que ce soit en indép. ou en CDI. Donc si le projet de freelance est celui voulu malgré seulement 2 années d'expérience alors je pense qu'il faut y aller, ne serait-ce que pour gagner de l'expérience (je rappelle que le simple accès à un système SAP de production à sa valeur)
Ensuite, il est toujours possible de voir en parallèle ce qu'il se fait sur le marché et de renégocier le contrat à l'issue des 6 mois (l'idéal étant d'avoir fait du bon boulot au préalable, ça aidera à justifier la demande).
Il faudrait plutôt parler de rémunération et non de salaire.
Oui, il est possible de se verser une rémunération chaque fin de mois dont le montant peut varier d'un mois à l'autre (à condition que la trésorerie du compte le permette évidemment). Il faut voir cela comme un acompte sur la rémunération car la véritable rémunération ne sera connue qu'à la fin de l'année.
Pour ce qui est des charges, personnellement, je laisse chaque mois environ la moitié de ce qui rentre.
Je ne suis pas graphiste mais il est possible d'avoir une idée globale des tarifs sur ce site en cliquant sur "Base tarifs" en haut à droite de l'écran (sous la zone de recherche par mot clés)
Quoi qu'il en soit, 90€/j me parait excessivement bas : autant être embauché au SMIC...
C'est un petit calcul qui peut être utile dans des arbitrages.
Je préfère par exemple mettre des sous sur mon PEI que me les verser en Dividende, c'est moins taxé, mais il est sympa de noter que via les dividendes, on peut avoir du quasi "taxe free".
En incluant la CSG déductible, je pense que le montant de dividende à prendre a verser doit être monté à 7 000 €
On aura donc :
- Relèvement sociaux = 945 € (13,5% de 7k€)
- In the pocket = 6 055 € (7k€ - 945€)
- Montant imposé à l'IRPP = 232 € (6055 - 2422(le 40%) - 3050 (la part de la mariée) - 351 (5,8% de CDG non déductible)
Donc sur une base de tx marginal à 33%, on va payer 77€ d'IR pour 6055€ de rem ... 1,3%
Calimero, c'est mieux comme ça ?
Thais
qui va s'inscrire à des chiffres et des lettres 😉
Tu refais la même erreur que dans ton premier calcul : les 40% d'abattement se font sur les 7000, et non sur les 6055.
Ayant cessé l'activité de mon EI au 31/12 et étant passé en société depuis le 02/01 (même activité), je souhaiterais savoir qui devait payer les appels des charges sociales reçus en 2012 :
- l'EI avec ce que j'ai provisionné en étant en créance-dette ?
- l'EURL puisqu'il y a continuité de mon activité chez les organismes sociaux et afin de ne pas repartir sur des forfaits de démarrage et éviter les lourdes régul. à venir ?
Pour bénéficier de l'ARCE, il faut avoir fait (et obtenu) la demande d'ACCRE.
Concernant l'ARCE, il y a deux choix possibles :
1er cas - Le versement de capital en deux fois : en gros, c'est le quart du total des indémnités chomage qui sont versés deux fois : le premier mois suite à la création ou la reprise de l'entreprise pour le premier versement et au bout de six mois pour le second en apportant la preuve que l'activité existe toujours. Dans ce cas, le Pole Emploi de demande aucun remboursement
2e cas - Le maintien de ses indémintés chomage pendant 15 mois. Dans ca cas, c'est condtionné aux revenus perçus et le Pole Emploi peut demander le remboursement d'un trop perçu, en fonction de leurs petits calculs.
je suis dans le même cas de figure.
J'ai commencé en septembre et je fais a peu près
800 km /mois.
Pour me verser mes IK de Sept/Oct/Nov
je dois prendre la formule - 5000 km/an ?
Si tu penses que tu ne dépasseras pas les 5000 km durant ton exercice (ce qui semble être ton cas) , alors tu peux prendre le barême -5000km.
Si tu penses passer la barre des 5000km mais rester sous les 20000km alors tu prends la formule 5000-20000.
Celui qui commence l'année et qui ne sait pas du tout ce qu'il compte faire prend la formule à plus de 200001km et ajuste à la fin de l'année en fonction du nombre de km pro.
CILEX a écrit : Je parle de provision "charge à payer" dans les comptes de la société.
Dans ce cas, la société peut payer les charges sociales du gérant aussi.
Le gérant ne déclare que sa rémunération sur son IR.
Concernant ces "charges à payer", mon EC me dit que si c'est la société qui les paie pour le gérant, alors ce dernier doit mentionner sur son IR cette somme d'argent dans ses revenus. A-t-il tort ?
Il est parfaitement possible de provisionner les charges à payer en fonction de votre rémunération de la 1ere année.
Pour cela, il faut que votre calcul soit assez précis et que vous gardiez la même méthode les années suivantes.
Quand vous dites "provisionner", est-ce par "abus de language" pour désigner le fait que c'est la société qui paie les charges sociales du gérant ou bien parlez-vous vraiment de provisions ? Parce je pensais que le deuxième cas n'était pas possible...
Parce que si c'est la société qui paie pour le gérant, ce dernier se retrouve avec sa rémunération + ses charges payées à déclarer dans son IR alors que dans le cas des provisions ce n'est pas ainsi ? Ai-je raté quelquechose ?
Sans parler des aspects pratiques d'un changement de TJ quand on reste chez un même client X, quelles sont selon vous les approches les plus efficaces pour réussir son changement de TJ (à la hausse bien sûr 🙂 ) ?
Dans mon cas je passe par une SSII dont le commercial ne veut pas spécialement rénogocier le TJ au bout d'un an car il souhaite placer ces salariés chez le client. C'est donc à moi d'en causer avec le client X final...
Que le commercial veuille placer ses salariés soit une chose mais a t-il à sa dispo des profils comme le tiens ? C'est une question à se poser.
Plus ton profil est rare et mieux c'est. Si en plus tu justifies d'une connaissance particulière acquise chez le client alors mets-le en avant pour justifier ta demande : le client n'a pas forcément envie de perdre du temps à former quelqu'un d'autre...
Si au contraire ton profil est basic et facilement trouvable et que tu n'a pas capitalisé grand chose depuis un an chez le client (tu es donc facilement remplaçable), alors peut-être que c'est mieux de te contenter de ce que tu as : en parallèle, tu postules ailleurs et si tu as quelquechose, soit tu pars, soit tu mets la pression s'ils veulent te garder.
C'est vrai que l'année 2012 s'annonce difficile mais il ne faut pas mettre toutes les compétences et tous les secteurs à la même enseigne : certains seront clairement plus touchés que d'autres.
Pour garder une note positive, je dirais que les indépendants restent encore nécessaires voire incontournables (entendu de la bouche même d'un gros intégrateur). La roue tourne : desfois c'est super, desfois c'est difficile, ça fait partie des risques du métier et tout bon freelance doit le prendre en compte avant de se lancer. En tout cas, si ce n'est déjà fait, il faut penser à faire un peu de tréso car c'est pas le moment de dépenser n'importe comment.
Pour ce qui est du CDI, je demanderais à ce que sa proposition soit contractualisée. En d'autres termes, écrire dans ton contrat que si au bout de 4 mois tels résultats sont atteints, alors passage en CDI. De ton coté, avant de signer, vérifies si ce qu'il demande est réalisable ou non.
Par ailleurs, la paperasse n'est pas forcément compliquée si tu passes par un statut d'auto-entrepreneur voire par du portage salarial.
Enfin, en tant que freelance créatrice d'entreprise, je sais que tu as le droit de continuer à toucher tout ou partie des ASS/RSA, sous certaines conditions.
Oui, comme précisé, si l'activité de l'entreprise doit cesser pour une quelconque raison, il est possible de pouvoir prétendre au reliquat des allocations chômage tant que l'on reste dans un délai de 3 ans et en apportant la preuve de la radiation de l'entreprise.
Pour ce qui est de ma question sur le maintien des allocations, mon soucis est que, comme d'habitude malheureusement, j'ai eu droit a des réponses totalement contradictoires de pôle emploi...
Si j'ai bénéficié de l'ACCRE et de l'ARCE (versement en 2 fois) en 2010 dans le cadre de la création de mon entreprise et que je cesse l'activité de cette dernière fin 2011, je sais que j'aurai toujours la possibilité de revenir au pôle emploi afin de bénéficier des 12 mois d’indemnités chômage me restant.
Mais si je souhaite de nouveau créer une autre entreprise, mais sans me verser la moindre rémunération, quelqu'un saurait-il si j'ai droit au maintien de tout ou partie de mes indemnités chômage restantes ?
J'ajouterais qu'il est toujours possible de commencer une mission, en précisant sur vos documents "en cours d'immatriculation" si le numéro de TVA et autres ne sont pas encore connus.
Je ne suis pas contrôleur mais je trouve tes arguments vraiment peu convaincants...
Le client va se focaliser sur le contenu de tes slides et de ton oral plus que sur le ton du bleu ou du rouge. D'ailleurs, de nombreux gros clients chez qui j'ai pû travailler se contentent de bien moins que ce que tu recherches alors qu'ils en ont largement les moyens.
Ca sent plutôt l'envie d'installer son petit cinéma à la maison plus qu'autre chose 8) .
Cela dit, si tu travailles dans la CAO ou le rendu 3D qui demandent vraiment une qualité d'image élevée pour pouvoir cerner certains détails alors pourquoi pas.
Olap_2011 a écrit : Dans le courrier de mon AGA , voila ce qui est marqué : crédit d'impot formation : les libéreaux qui supportes les déponses de formation peuvent sous certaines conditions bénéficier d'un crédit d'impot égale au nombre d'heures (plafonné à 40H/an) multiplié par le taux horaire du smic (9€ en 2011).
Il est effectivement possible de bénéficier d'un crédit d'impôt en fonction du nombre d'heures de formation et non du montant de la formation.
En d'autres termes, si tu fais une formation de 20h qui coûte 1000 euros HT, alors tu auras un crédit d'impôt de 20h x 9€ = 180€ (et non de 1000€) sachant que c'est plafonné à 40h (soit 360€)
juliancasaplenti a écrit : 2) mon premier problème est que mon bénéfice est gonflé cette année car je n'ai quasiment pas payé de charges sociales. J'ai payé un forfait cette année (<2k). Est-ce le cas pour tous les freelance et peut-on payer ces charges en avance ?
J'ai été dans un cas assez proche ma première année. En fait, et je crains que ça ne soit trop tard pour cette année (mais pas l'année prochaine), il est possible d'opter pour l'option "créance-dette" qui permet de provisionner les charges à payer : cette provision est donc retirée du montant imposable ce qui réduit considérablement l'IR. L'année suivante, cette provision est utilisée pour le paiement des charges lors de la régul.
Cette option est surtout intéressante les 2 premières années car une fois le rythme de croisière atteint, mieux vaut revenir en recette-dépense car plus simple. Cette option est d'ailleurs aussi obligatoire lors de la cloture de l'EI.
A priori, il y a une assurance qui t'assure de retrouver ton argent même si ta banque fait faillite, à condition que ta trésorerie ne dépasse pas un certain plafond (je ne sais plus si c'est 70k ou 100k). Tu peux retrouver les chiffres en cherchant sur le net.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle certains spécialistes recommandent de diversifier les comptes lorsque les sommes sont importantes.
XP
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