Acathla
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Réponse postée 14 septembre 2025 17:50
Voyez le côté positif : vous n’avez pas de redressement sur les années 1 et 2. Essayez de négocier un échéancier afin d’étaler vos dettes dans le temps et d’alléger l’impact de la note.
Sasu ir freelance en informatique et on me demande les 17.2 pour les dernières 3 années d'activité.voila tout simplement j'ai 5 ans de sasu ir
Réponse postée 23 août 2025 08:39
Ne peut fonctionner que si les agendas sont fixes. Or, selon les typologies de projets ou d’équipes, c’est rarement le cas. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai dû revenir au bureau un vendredi pour des réunions, car c’était le seul créneau disponible avec les collègues…
Réponse postée 14 août 2025 13:33
Pourquoi ne pas continuer jusqu'en master ? Je ne connais aucun dev professionnel avec uniquement un Bac+2. La concurrence est énorme, le tri sur diplôme se fait automatiquement (en France).
En recherche depuis septembre 2024, quand j'ai eu mon bac+2 de dev web et web mobile (une fraude ce diplôme)
Je n'ai jamais rien eu après plus de 700 candidatures, CDI, CDD, Freelance et Stage même résultat, parfois un appel, un petit message, puis plus rien, silence radio.
je suis en L3 d'informatique, je vais probablement laisser tomber car je sais que finalement je ferait un mauvais dev, je vais rester au RSA à vie car je ne vaux littéralement RIEN.
Réponse postée 29 juillet 2025 15:13
De mon côté, je prend tout en perso (donc sans facture au nom de l'entreprise), et je me fais rembourser une quote-part en note de frais. C'est tout a fait suffisant pour mon usage perso et pro.
Réponse postée 6 juillet 2025 09:21
Bonjour,
3/ Faut-il en conclure que votre cabinet actuel est physique ? Avez-vous essayé de vous déplacer sur place pour vérifier si il est encore ouvert ? Avez-vous appeler de standard du cabinet pour demander si votre EC est bien encore en activité ? (accident, décès, maladie...)
4/ Avez-vous payé votre EC ?
Réponse postée 24 juin 2025 21:56
si besoin genre négocier le TT
Bonsoir,
Tous les articles que je lis en ce moment parlent d’entreprises (grands comptes) qui reviennent sur les accords de télétravail. Il semble qu’on s’oriente progressivement vers un jour de télétravail, voire deux jours maximum. Prenez ce paramètre en compte avant de finaliser votre déménagement.
Je vous souhaite de retrouver une nouvelle mission dans l'endroit de vos rêves, dans le sud de la France ou ailleurs.
Réponse postée 21 juin 2025 16:51
Le réseau !
Se faire coopter est, d’après mon expérience, la solution qui fonctionne le mieux.
À l’époque où j’étais freelance actif, je n’ai jamais répondu à un appel d’offre ni à une annonce. Ce sont les copains que j’avais connus lorsque j’étais salarié (pendant 4 ans) qui ont suggéré à leurs nouveaux clients de me faire travailler avec eux.
C’est à la fois un vrai luxe… et sûrement aussi beaucoup de chance.
Donc, faites le tour de tous vos anciens collègues qui ont changé de boîte, de vos anciens camarades de promo, de vos anciens maîtres de stage, pour leur dire que vous êtes disponible sur le marché !
Réponse postée 20 juin 2025 19:23
Vous êtes en sous-traitance. C’est l’ESN qui assume le risque d’impayé ou de retard de paiement, et c’est précisément pour cela qu’elle perçoit une commission. Elle doit donc vous régler pour le travail effectué, dès lors que vous disposez d’un CRA signé par le client final, attestant de la réalisation de la mission.
Conclusion : si l’ESN tarde excessivement à vous payer, une mise en demeure s’impose.
Parallèlement, essayez de prendre contact avec le client final afin de comprendre pourquoi l’ESN n’a pas été réglée. Il peut s’agir d’une simple erreur administrative (centre de coûts incorrect, numéro de TVA manquant, etc.).
Réponse postée 14 juin 2025 12:40
Bonjour,
Le "no-code" est en grande partie un fantasme. Il faut des bases techniques solides — donc être développeur — pour réellement maîtriser ces solutions et, surtout, la logique nécessaire au fonctionnement des outils.
En tant qu'UX, j’utilise régulièrement des outils no(low)-code pour créer des interfaces front-end. Cependant, je me retrouve vite limité et je dois faire appel à un développeur pour que le produit fonctionne correctement (exploitation d'une API, gestion de workflows, etc.). Un profil technique reste donc indispensable pour tirer pleinement parti de ces technologies.
Réponse postée 14 juin 2025 12:27
Bonjour,
Mon comptable est très strict sur ces sujets de TVA dans les ventes de prestations internationales. La règle qu'il m'impose : si le client n'a pas de numéro de TVA intracommunautaire, alors j'applique les 20% de TVA.
Réponse postée 14 mai 2025 22:11
Bonsoir,
Vous avez dépensé l'intégralité de votre rémunération 2024 sans épargner ni anticiper la régularisation de votre impôt sur le revenu (IRPP) en 2025, ni la hausse des acomptes d'IRPP pour 2025-2026 liée à cette augmentation de rémunération ? Ce "piège" est effectivement similaire à celui du calcul des cotisations sociales (URSSAF, par exemple).
Voici quelques pistes à envisager, par ordre de priorité :
Négocier un échéancier avec l'administration fiscale pour étaler le paiement de votre dette.
Si vous avez de la trésorerie, envisagez de vous verser une rémunération anticipée pour régler la dette. Cela impliquera toutefois une baisse de rémunération sur les mois suivants.
Réduire vos coûts fixes personnels : abonnements, sorties, restaurants, vacances, etc.
Faire un prêt personnel (crédit à la consommation) pour étaler le remboursement sur 12 à 24 mois.
Renégocier votre TJM à la hausse avec votre client actuel.
Trouver un job complémentaire, par exemple le week-end.
Changer de mission pour obtenir un meilleur TJM.
Je place le changement de mission en dernier, car c’est à mon sens l’option la plus risquée (nouvel environnement, nouveaux collègues, incertitudes sur le projet...). Pour plus de facilité, j’opterais plutôt pour emprunter auprès de proches ou via un organisme de crédit ou une banque.
Réponse postée 14 mai 2025 20:44
Bonsoir,
Essayez de voir le côté positif : c’est l’occasion de vous constituer un nouveau réseau professionnel et de reprendre une activité. Il est tout à fait normal d’avoir des hauts et des bas, y compris dans sa carrière. Profitez-en pour monter en compétence sur de nouveaux sujets, faire financer vos formations par votre nouvel employeur, et tirer parti d’une armée de commerciaux qui seront là pour vous trouver des missions.
Réponse postée 9 mai 2025 10:11
Un critère que je prendrai également en compte est votre âge, que nous ne connaissons pas. En effet, il existe une certaine forme de discrimination à l’embauche une fois passé un certain âge, dans certaines entreprises. Ainsi, cette opportunité d’un CDI à 75k€ (variable inclus), avec tous les avantages associés (comité d’entreprise, congés payés, mutuelle, intéressement/participation éventuels...), pour un poste qui vous plaît, peut représenter une excellente opportunité.
En résumé :
Si vous avez 50 ans ou plus, optez pour le CDI.
Si vous avez moins de 40 ans, vous avez largement le temps de retrouver un CDI plus tard dans votre carrière, et vous pouvez continuer l’aventure en freelance sans regret.
Entre 40 et 50 ans, vous êtes dans une zone stratégique où il est important de bien peser le pour et le contre selon votre situation.
Bien entendu, ces hypothèses ne sont pas gravées dans le marbre. Il est tout à fait possible d’alterner entre CDI et freelance au cours de votre carrière. Cela dépend en grande partie de votre réseau et des opportunités qui se présenteront.
Un autre critère important à considérer est votre situation familiale (célibataire, divorcé, en couple, avec enfants, etc.) ainsi que vos projets éventuels d’achat immobilier. Un CDI peut faciliter l’obtention d’un crédit, tandis qu’un statut freelance nécessitera trois bilans comptables pour justifier votre niveau de rémunération auprès des banques.
Réponse postée 24 mars 2025 22:22
Mon conseil : continuer en alternance une année supplémentaire avec cette même entreprise pour atteindre le Bac+5. C'est bête, mais certaines personnes en RH prennent le sujet du diplôme trop très au sérieux. Si vous passez en freelance, le diplôme n'a pas trop d'importance, mais si vous cherchez à devenir salarié, il faudra y prêter un peu plus attention.
Cela vous donnera un an de plus pour affiner votre projet professionnel et valoriser à la fois votre parcours scolaire et votre expérience en alternance.
Réponse postée 22 mars 2025 10:13
Tous les contrats sont négociables. Voici une proposition alternative :
Chaque jour est facturé à un TJM de XXX € HT, y compris les 5 premiers jours du contrat.
Si la mission dépasse XXX jours, un geste commercial sera accordé à l'ESN, correspondant à une remise équivalente à 5 jours * TJM.
En d'autres termes, il s'agit d'une remise sur volume, qui garantit que ces 5 jours ne sont offerts que si l'accord est avantageux pour vous, c'est-à-dire dans le cadre d'un contrat conséquent de XXX jours facturés.
Réponse postée 21 février 2025 18:34
Morale de l'histoire, s'investir à mort chez ce client va pas me rendre riche..
Eh bien, si vous obtenez une promotion en tant que Head of Data, votre investissement personnel dans la réussite de vos projets n’aura pas été vain.
Je me permets de vous conseiller, comme piste de réflexion, d'examiner quels frais peuvent être réduits dans votre train de vie. Vous avez la possibilité de remettre en question tous vos coûts fixes, qu'ils soient personnels ou professionnels (logement, assurance, forfaits, crédits immobiliers, comptabilité, frais bancaires, etc.).
Ayant moi-même fait l’erreur, par le passé, d’enchaîner pendant un an deux side projects en parallèle de mon client principal, j’ai failli y laisser ma peau. Faites donc attention au burn-out. Prendre ce risque en vaut-il vraiment la peine ? Vous retrouver dans cette situation avec 0 € facturé serait, à mon sens, encore plus précaire.
Réponse postée 21 février 2025 18:20
@NSV : Je réagis pour dire que "prendre la mission et chercher ailleurs en même temps" est, de mon point de vue, un comportement inapproprié, souvent associé aux freelances. Mon argument reste valable, quel que soit le type de contrat signé. Lorsqu'on signe un contrat, on s'engage à aller au bout, et non à chercher ailleurs avant même d'avoir mis les pieds dans l'entreprise. Ce n'est que mon avis. Le seul cas où il faut partir en vitesse, c'est si la mission elle-même ne convient pas (erreur de casting, projet en souffrance, environnement toxique, etc.).
Si tu n'as pas d'autre piste actuellement, prends la mission et cherche ailleurs en même temps. Si tu as la chance de trouver rapidement, tu seras encore en période d'essaie et donc tu pourras partir rapidement.
Essaye également de garder contact avec le client pour revenir sans l'ESN dans 6 mois/1 an
Réponse postée 20 février 2025 20:37
Ceci fait clairement partie de la réputation de mercenaire de certains prestataires... raison pour laquelle certains clients préfèrent de vrais internes de l'ESN plutôt que des sous-traitants en freelance ou en portage.
Donc, avant de se griller avec un client final, il faut bien réfléchir à l'engagement que vous prenez sur une mission.
Si tu n'as pas d'autre piste actuellement, prends la mission et cherche ailleurs en même temps. Si tu as la chance de trouver rapidement, tu seras encore en période d'essaie et donc tu pourras partir rapidement.
Essaye également de garder contact avec le client pour revenir sans l'ESN dans 6 mois/1 an
Réponse postée 15 février 2025 11:33
Vous avez défendu votre position en recadrant le client final. Ce dernier n'a pas apprécié et décide de vous évincer. Peut-on considérer ce recadrage comme une faute professionnelle dans la relation fournisseur-client propre à cette situation ?
Peut-être aurait-il fallu éviter de recadrer directement le client et plutôt en discuter avec le commercial de l'ESN qui vous a placé sur cette mission ?
Quoi qu'il en soit, il est trop tard : le client final a demandé à l'ESN de mettre fin à votre mission. Vous êtes donc en conflit avec l'ESN, et non avec le client final. Le contrat entre vous et l'ESN précise-t-il qu'en cas d'interruption unilatérale de la mission par le client final, votre préavis devient caduc ?
Réponse postée 6 février 2025 20:55
La banque définit ses propres conditions générales de service. Si elle refuse toute activité professionnelle sur un compte particulier, c'est son droit. La loi autorise donc l'usage d'un compte bancaire personnel, mais elle n'oblige pas la banque à accepter les activités professionnelles sur un compte particulier. La banque, ayant pour objectif de générer du chiffre, vous contraint donc à opter pour un compte professionnel payant (et probablement trop cher) si vous souhaitez continuer à utiliser ses services. Une seule solution : aller ailleurs. Pensez simplement à lire les conditions générales d'utilisation avant d'ouvrir un compte dans une banque.
Enfin, BoursoBank donne la possibilité à ses clients existants d'ouvrir un compte business sans frais. C'est une piste à explorer si vous voulez faire des économies sur vos frais bancaires.
Ma banque (SG) me dit le contraire et qu'il me faut un compte pro... alors que je leur ai montré la page du service public.....
Sacré banquier!
Réponse postée 6 février 2025 08:41
L'enregistrement vidéo a-t-il été réalisé avec l'accord des personnes filmées ? J'ai un doute sur la recevabilité de la preuve si cela a été filmé à leur insu. D'ailleurs, est-ce parce que la situation sentait le roussi que vous avez activé cette caméra ?
Clairement, je vous conseille de prendre un premier contact avec un avocat, qui pourra vous dire si, oui ou non, cela vaut le coup d'aller en procès.
Votre client a déjà transmis le dossier à son avocat. Vous devez donc en faire de même pour défendre vos intérêts si vous estimez être victime de l'entreprise et, de ce fait, en droit d'être dédommagé.
Réponse postée 5 février 2025 08:51
je pense sinon continuer avec indy et faire une rectification de ma déclaration 2065 pour ajouter mes investissements apres leur télétransmission.
Je ne vois pas ou serait le problème avec cela finalement...
Vous allez avoir une incohérence dans l'historique dans vos bilans qui fait apparaitre l'année n-1 et n-2 si vous bypassez votre compta en falsifiant vous même le document généré par Indy...
Bonjour,
Je suis curieux de savoir ce que vous avez fait car je suis exactement dans la meme situation : en SASU depuis novembre 2023, Indy ne souhaite absolument pas que je fasse d'investissement crypto. Je suis très embêté car ma compta étant très simple, c'est la solution parfaite pour moi en terme de tarif et de facilité, pas envie de passer par un comptable ... Néanmoins je souhaite absolument mettre ma trésorerie en crypto.
Je ne comprends pas pourquoi je ne peux pas / ils ne veulent pas, récupérer les bilans générés et ajouter mes écritures comptables avant de les envoyer moi meme aux impôts.
J'espère trouver une solution simple à ce probleme.
Réponse postée 28 janvier 2025 21:46
Il y a une différence entre les missions en régie et les missions au forfait :
Missions en régie : Un freelance rejoint une équipe composée d’autres personnes (internes et/ou prestataires). Il est donc nécessaire de créer une synergie de groupe, ce qui implique souvent de travailler sur site une partie du temps.
Missions au forfait : Le freelance gère seul un projet complet. Il n’a de comptes à rendre à personne tant que la date de livraison est respectée. En cas de retard, des pénalités peuvent être appliquées.
En d’autres termes, une mission en régie peut effectivement se rapprocher d’une forme de salariat déguisé. Cependant, le TJM (taux journalier moyen) d’un freelance est généralement bien supérieur à ce qu’un salarié en poste gagnerait pour un travail équivalent. Ainsi, le freelance bénéficie d’une rémunération plus élevée.
La "précarité" liée à la durée de la mission est donc compensée par cette rémunération attractive, ainsi que par des règles bien définies à l’avance auxquelles le prestataire doit se conformer. Dès lors, deux options s’offrent à vous : soit vous acceptez ces conditions, soit vous les négociez en amont. Quoi qu’il en soit, une négociation est toujours possible et doit être menée dès le départ.
Réponse postée 27 janvier 2025 12:58
En toute honnêteté, gardez cette mission pendant un an. C'est une chance inespérée de retrouver une mission après 5 ans d'arrêt. Personnellement, j'avoue que je ne vous aurais même pas reçu en entretien, vu la concurrence sur le marché, si j'avais été à la place d'un recruteur. Oui, il y a de meilleurs TJM ailleurs, mais cette mission a l'avantage de vous remettre sur le marché du travail, ce qui est indispensable pour vous valoriser en vue de la prochaine mission ou du prochain job !
Courage ! 400 € x 220 jours = 88 k€ de CA. Ce n'est pas rien et cela vous permettra de rebondir dès 2026.
Réponse postée 22 janvier 2025 00:24
10 ans d'expérience professionnelle pour 38k dans un poste situé à 500 km... ce n'est vraiment pas très généreux comme offre.
Mais avez-vous envisagé de chercher un CDI dans une grande ville plutôt qu'une mission freelance ?
Personnellement, je pense que je préférerais intégrer une ENS plutôt que de me tourner vers la fonction publique. Cela permet de développer son réseau et, avec un peu de chance, de se faire placer chez un grand client qui pourrait proposer une internalisation en cours ou en fin de mission.
Réponse postée 5 décembre 2024 10:54
Update:
Mon forfait renégocié d'EC passe à 1250€ pour gérer la compta et le juridique de ma société à partir de 2025 (avec un CA de 0€ estimé).
Mon EC me propose de transformer mon EURL en SASU afin de supprimer les 1 230€/an de cotisation minimale d'URSSAF en devenant un président de SASU non rémunéré. Le coût de la transformation est cependant conséquent et ne peut être "rentable" qu'après 3 ans.
Coût : EC 1800€ HT / commissaire à la transformation 1200 € HT / frais administratif (annonces légales, greffe, tresor public) 675€
Je suis très indécis par rapport à cette proposition...
@Droopyann :
Frais INSEE : renouvellement annuel de l'identifiant d'entité juridique requis pour investir via une personne morale en bourse.
Frais bancaire : dès que mes CAT arrivent à leurs termes, je compte basculer sur Boursobank Business, donc prévu en 2026
Hébergement web : ça inclus mon mail pro et quelques mini pages web... donc je vais devoir conserver cette petite dépense
Assurance : j'ai résilié... c'était un coût annuel de 530€ chez Hiscox.
Bonjour Marc,
Je suis dans une situation assez similaire à la vôtre. Après avoir travaillé en freelance pour mon client principal pendant 7 ans, j'ai été internalisé il y a 4 mois.
Pour l’instant, n’ayant pas encore pris de décision sur l’avenir de mon activité freelance, je laisse mon EURL à l'IS ouverte. Fermer l’entreprise et récupérer le "trésor de guerre" que j’ai épargné et investi via l’EURL au fil des 10 dernières années me coûterait une somme conséquente. J'avais conservé cet argent pour financer une pré-retraite et valider les trimestres manquants des dernières années de ma carrière.
Nous partageons le même souci : le coût de maintenir une EURL ouverte est important. Dans mon cas, voici les coûts fixes annuels que j'ai identifiés :
- Comptabilité et juridique : 2 500 € (en cours de renégociation pour une structure sans réelle activité avec mon expert-comptable)
- IS : 0 € (à vérifier selon les gains des placements financiers)
- CFE : 820 €
- URSSAF : 1 230 € (régime général - cotisation minimale estimée pour un gérant bénévole)
- Frais bancaires : 510 €
- INSEE : 50 € (LEI)
- Dépôt des comptes annuels au Greffe : 50 €
- Hébergement Web : 110 €
TOTAL estimé : 5 270 € HT/an.
Mes investissements financiers couvrent en grande partie ces coûts, donc en théorie, garder l’entreprise ouverte me coûterait peu, mais elle ne générerait aucun revenu. Idéalement, il me faudrait 1 ou 2 petits clients par an pour équilibrer, mais je ne suis pas certain d'en trouver.
Réponse postée 11 novembre 2024 17:42
Mon retour d'expérience concernant les achats et ventes d'actions en "titres vifs" :
Mon expert-comptable (EC) n’utilise pas l’Imprimé Fiscal Unique (IFU) ; il comptabilise chaque opération individuellement (achat, vente, dividende).
Je constate également que certains experts-comptables ne maîtrisent pas forcément les particularités des investissements boursiers. Le mien, par exemple, a insisté pour que je paie de l'impôt sur les sociétés (IS) sur une plus-value latente… alors que les titres vifs ne sont imposables qu'au moment de la vente des actions. En effet, les titres vifs sont traités fiscalement de manière différente des OPCVM et des ETF. J’attends sa réponse pour corriger cette erreur.
Bonjour,
Je pense qu'il ne faut pas confondre le placement de trésorerie : tu as la tréso rémunérée classique comme des obligations, et l'achat d'actif qui peut fluctuer (notamment des actions ou ETF)
Moi j'ai un compte titre au nom de ma société mais pas chez IB. J'ai un truc français (je ne fais pas de pub en public ?) qui envoie un IFU règlementaire (je dis ça car déjà eu une "mauvaise" expérience avec un broker étranger) pour un placement de trésorerie classique qui me rapporte 2 ou 3%.
Je l'ai ouvert cette année donc pas encore vu la compta, mais mon comptable ne semble pas inquiet pour gérer ça. En revanche, je n'ai pas acheté d'action avec (je pense que c'est mieux de sortir les dividendes et de placer en nom propre)
Pour ta question des transactions, je pense que ton comptable s'en fout : il va regarder a la fin de l'année la plus-value. Si elle est faite via 1000 opérations, ou via une seule opération, je pense que ca ne change rien grace a l'IFU.
Réponse postée 7 novembre 2024 18:26
Bonsoir Marou77,
Avez-vous des projets à financer dans les prochaines années ? (Achat d'une maison par exemple).
Si oui, dites-vous qu'emprunter est plus simple en CDI.
Le CDD de 3 ans risque de poser problème, et le freelance nécessite souvent 3 bilans pour décrocher un prêt bancaire.
Avez-vous tenté une renégociation salariale avec votre employeur actuel pour obtenir l'équivalent de la proposition de 67k€ du CDD ?
Réponse postée 28 octobre 2024 10:44
Bonjour Marc,
Je suis dans une situation assez similaire à la vôtre. Après avoir travaillé en freelance pour mon client principal pendant 7 ans, j'ai été internalisé il y a 4 mois.
Pour l’instant, n’ayant pas encore pris de décision sur l’avenir de mon activité freelance, je laisse mon EURL à l'IS ouverte. Fermer l’entreprise et récupérer le "trésor de guerre" que j’ai épargné et investi via l’EURL au fil des 10 dernières années me coûterait une somme conséquente. J'avais conservé cet argent pour financer une pré-retraite et valider les trimestres manquants des dernières années de ma carrière.
Nous partageons le même souci : le coût de maintenir une EURL ouverte est important. Dans mon cas, voici les coûts fixes annuels que j'ai identifiés :
- Comptabilité et juridique : 2 500 € (en cours de renégociation pour une structure sans réelle activité avec mon expert-comptable)
- IS : 0 € (à vérifier selon les gains des placements financiers)
- CFE : 820 €
- URSSAF : 1 230 € (régime général - cotisation minimale estimée pour un gérant bénévole)
- Frais bancaires : 510 €
- INSEE : 50 € (LEI)
- Dépôt des comptes annuels au Greffe : 50 €
- Hébergement Web : 110 €
TOTAL estimé : 5 270 € HT/an.
Mes investissements financiers couvrent en grande partie ces coûts, donc en théorie, garder l’entreprise ouverte me coûterait peu, mais elle ne générerait aucun revenu. Idéalement, il me faudrait 1 ou 2 petits clients par an pour équilibrer, mais je ne suis pas certain d'en trouver.
Réponse postée 28 octobre 2024 09:36
Bonjour,
Je ne vois pas l’utilité de dépenser de l’argent pour une mise en sommeil de 6 mois. Cette période est trop courte. Laissez l’entreprise ouverte et cumulez votre poste de gérant avec un CDI.
Si la banque vous demande pourquoi votre société n’est pas encore liquidée, précisez simplement que vous avez des engagements en cours à finaliser auparavant.
Point d'attention : l'instabilité de votre statut (CDI > Freelance > CDI) sur un court laps de temps ne plaide pas en votre faveur...
Je partage l'avis de VincentB : améliorez votre profil en démontrant plutôt votre capacité à épargner en augmentant votre apport personnel. Idéalement, visez un apport de 20 à 30 % du prix du bien à acheter.
