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Sans rentrer dans les détails, dans le cas d'une SASU à l'IS avec prise total du bénéfice en dividendes.
Ton activité te permet de toucher un CA.
De ce CA, tu déduis tes frais (~10%), ensuite tu déduis l'Impôts sur les Sociétés (~27%), enfin tu déduis la flat rate (30%). Ce qui reste est ce qui tu touches net d'impôts dans ta poche.
Si ton adsl te sert dans ton activité (car tu travailles en remote par exemple), tu peux en mettre une partie en charge.
Donc au contraire, ce que tu mettras en charge, tu ne paieras pas d'IS dessus et donc ton net à la fin sera plus élevé puisque tu n'auras pas ce montant à sortir de ta poche.
Fais l'exercice sur une feuille excel ou sur un simulateur, tu verras tout de suite la différence.
Après le choix du statut dépendra d'autres choses aussi : mutuelle, prévoyance, retraite, tec...
Sinon en charges, ne pas oublier les frais bancaires. Après il y a tout ce qui tourne autour de l'activité : bureau si travail en remote, adsl, forfait mobile, cartes de visite, matériel informatique, logiciels, site web, etc...
Mais je suis d'accord avec toi, il y a des effets pervers à tout ça.
J'avais déposé mon CV en ligne, puis on a commencé à m'appeler. Je n'ai pas eu à démarcher.
Pour ma seconde mission, c'était le réseau. Un ancien collègue a fait appel à moi.
Pour ma seconde mission, je savais un peu plus ce que je valais, c'était plus facile à imposer mon tarif.
Si on opte l'ARE, on ne cache rien puisqu'il faut déclarer les heures lors de l'actualisation.
Par ailleurs, il y en a qui optent pour l'ARCE pour toucher rapidement du cash (genre avec une AE), et voire se remettre en salarié juste après. Des abus, j'en vois dans l'un comme l'autre.
Ce ne sont pas des histoires, que ça soit SASU+ARE, EURL+ARCE, ou n'importe quelle autre combinaison, se constituer un matelas de trésorerie pour palier au paiement et aux inter-missions reste vrai dans la carrière d'un freelance.
Je soulignais juste les différences avec le médecin. Après le reste, chacun fait ce qu'il veut...
Déjà, il faut que tu dédramatises un peu. Dans l'ordre des choses, en théorie, on créé d'abord la société avant de contractualiser, puisque le contrat est un accord entre 2 sociétés. On conseille même de s'y prendre à l'avance. Ce n'est pas forcément une erreur. Si tu es sur de devenir freelance, il faut la créer de toute façon à un moment donné.
Il se trouve que dans la pratique, on essaie d'avoir un accord avant de créer la société pour payer le moins de charges possible.
Après, il faut relativiser, l'indep en info n'a pas les mêmes charges qu'un gars qui ouvre un grosse boutique, qui a du matos à acheter à l'avance ou d'énormes serveurs à faire tourner dont les charges d'exploit coûtent un bras.
Rien n'est joué pour l'instant sur cette mission, donc continue à essayer de la gagner et de négocier au mieux. Cela ne doit pas t'empêcher de continuer à chercher à côté, ce que tu devrais faire pour au moins faire jouer la compétition et avoir le choix.
Justement, tant que c'est pas signé, il faut continuer à chercher, ça doit te motiver d'ailleurs. Les périodes sans mission ou les intercontrats font partie de la vie du freelance.
Pour les ARE, ça dépend si tu te déclares salarié ou pas.
En gros :
Tu es salarié de ta SASU :
- ta rémunération >70% de tes ARE : tu ne perçois rien
- ta rémunération <70% de tes ARE : tu perçois le complément à hauteur des ARE
(Tu trouveras les calculs plus précis sur leur site)
Tu n'es pas salarié (les revenus restent dans la SASU): tu perçois les ARE
Les premiers rendez-vous sont obligatoires. Car ils vont devoir t'"étiqueter" pour savoir si tu es autonome ou pas.
Si c'est le cas et que tu dis ne pas avoir besoin de formations, tu peux être dispensé de certains rendez-vous (genre la présentation des outils PE). Après, PE est moderne maintenant (🤣), ils peuvent faire les points en visio.
Je pense que ta suggestion est intéressante mais pas forcément bien placée.
En tant que freelance, on a la plupart du temps une obligation de moyens, car les clients cherchent certaines compétences.
Pour reprendre ton exemple, le gars ne va pas se brader pour réaliser un morpion en python, alors qu'il sait développer une IA dans le secteur bancaire. Le reste est négociation (durée de mission, conditions de travail, localisation, etc...).
Si le client demande une obligation de résultat, c'est différent. Mais pour les freelance info, à mon avis c'est pas le gros du marché.
Si on ne veut pas savoir, on aura coupé court en disant qu'on est pas à l'écoute du marché.
Par contre, donner tout de suite son TJM permet de couper court à la conversation.
Ca ne sert à rien de discuter une demi heure pour que ça se termine sur : "ah je pense que votre tarif de 700€ ne correspondent pas au budget du client de 400€".
Les chargés de recrutement souvent ne comprennent rien à ce qu'on fait, ils ne fonctionnent que par mot-clés, donc la conversation se poursuit tant que ces mots-clés sont activés.
J'ajouterais qu'il faut essayer d'embarquer dès le départ certaines conditions, notamment de télétravail si le client est loin, ou de matériel ou de congés. Ça permettra de négocier, mais aussi de ne pas se faire considérer comme de la main d'oeuvre interchangeable ou "low cost" comme tu dis.
Ca fait 6 mois que je reçois des appels pour une grosse boite qui n'arrivent pas à recruter. Ils sont assez loin mais refusent le télétravail et proposent un tjm dans la fourchette basse du métier. Tant qu'ils ne comprennent pas ça...
belougatech
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Réponse postée 8 novembre 2020 08:30
Bonjour,
mon avis est le suivant. Capitalise sur ton expérience, surtout que l'ETL, traitement de la data, environnement big data, etc... sont des compétences plus que demandées actuellement. Rafraichis et complète tes connaissances sur les outils actuels, les environnement (comme le cloud) ou le python mais en restant dans ce domaine. Tu pourras justifier de beaucoup d'expériences sur le domaine.
En tant que freelance, tu vas souvent faire face à des recruteurs/sourceurs/ingé d'affaires sauf si tu as des filons pour travailler avec des clients directs. En reprenant de zéro sur un autre domaine, le problème est est qu'ils vont te poser la question "combien avez-vous d'expérience sur xxx ?". Si c'est zéro, ils vont te zapper très vite bien que tu aies 15 ans d'expériences dans l'informatique.
Pour le télétravail, ce n'est pas ancré encore chez tous les clients mais actuellement, les sociétés doivent s'y plier. C'est le bon moment pour montrer qu'il n'y a pas de problème d'être à distance.
Bon courage.
mon avis est le suivant. Capitalise sur ton expérience, surtout que l'ETL, traitement de la data, environnement big data, etc... sont des compétences plus que demandées actuellement. Rafraichis et complète tes connaissances sur les outils actuels, les environnement (comme le cloud) ou le python mais en restant dans ce domaine. Tu pourras justifier de beaucoup d'expériences sur le domaine.
En tant que freelance, tu vas souvent faire face à des recruteurs/sourceurs/ingé d'affaires sauf si tu as des filons pour travailler avec des clients directs. En reprenant de zéro sur un autre domaine, le problème est est qu'ils vont te poser la question "combien avez-vous d'expérience sur xxx ?". Si c'est zéro, ils vont te zapper très vite bien que tu aies 15 ans d'expériences dans l'informatique.
Pour le télétravail, ce n'est pas ancré encore chez tous les clients mais actuellement, les sociétés doivent s'y plier. C'est le bon moment pour montrer qu'il n'y a pas de problème d'être à distance.
Bon courage.
Réponse postée 27 février 2020 14:59
Ton CA reste ton CA.Xercasy a écrit : Je ne suis pas sur de comprendre ... Je vais "forcément" avoir internet à mon domicile pour à priori mes loisirs .. Déclarer internet comme charges m'apporterai des "bonus" ? Par exemple diminution du CA de l'entreprise et donc une diminution des charges ?
Sans rentrer dans les détails, dans le cas d'une SASU à l'IS avec prise total du bénéfice en dividendes.
Ton activité te permet de toucher un CA.
De ce CA, tu déduis tes frais (~10%), ensuite tu déduis l'Impôts sur les Sociétés (~27%), enfin tu déduis la flat rate (30%). Ce qui reste est ce qui tu touches net d'impôts dans ta poche.
Si ton adsl te sert dans ton activité (car tu travailles en remote par exemple), tu peux en mettre une partie en charge.
Donc au contraire, ce que tu mettras en charge, tu ne paieras pas d'IS dessus et donc ton net à la fin sera plus élevé puisque tu n'auras pas ce montant à sortir de ta poche.
Fais l'exercice sur une feuille excel ou sur un simulateur, tu verras tout de suite la différence.
Réponse postée 27 février 2020 14:26
Ca dépend du cas de figures, SASU sans rémunération sans ARE par exemple, tu n'auras pas droit à la sécu (mais tu peux demander la CMU).Xercasy a écrit : Ce que je sais actuellement est qu'avec une SASU j'aurai une meilleur sécurité sociale de base (mais plus cher).
Après le choix du statut dépendra d'autres choses aussi : mutuelle, prévoyance, retraite, tec...
Normalement, on ne décide pas de se mettre au chômage... 🙄Xercasy a écrit : Par conséquent si je décide de me mettre au chômage avant
Sinon en charges, ne pas oublier les frais bancaires. Après il y a tout ce qui tourne autour de l'activité : bureau si travail en remote, adsl, forfait mobile, cartes de visite, matériel informatique, logiciels, site web, etc...
Réponse postée 26 février 2020 13:12
Je ne pense pas que les ESN passent par Malt.
Car Malt affiche les profils freelance en clair et prend une commission de 10%. Donc aucun intérêt pour une ESN de passer par ce genre de plateforme, autant contacter les profils directement.
Quand on dit intermédiaire, ça peut être une ESN, un cabinet de recrutement, une plateforme, etc...
Il y a parfois des montages avec plusieurs intermédiaires, chacun prenant sa petite commission au passage. Car certains profils se faisant rares, des cabinets sont mieux positionnés pour les dénicher.
Après l'idée, c'est d'avoir le moins d'intermédiaire possible, voire pas du tout pour maximiser son CA. Sachant qu'avoir un intermédiaire peut avoir son intérêt : accès à d'autres missions, la chasse aux impayés, avoir un commercial qui vend son profil, gestion contractuelle, etc...
Car Malt affiche les profils freelance en clair et prend une commission de 10%. Donc aucun intérêt pour une ESN de passer par ce genre de plateforme, autant contacter les profils directement.
Quand on dit intermédiaire, ça peut être une ESN, un cabinet de recrutement, une plateforme, etc...
Il y a parfois des montages avec plusieurs intermédiaires, chacun prenant sa petite commission au passage. Car certains profils se faisant rares, des cabinets sont mieux positionnés pour les dénicher.
Après l'idée, c'est d'avoir le moins d'intermédiaire possible, voire pas du tout pour maximiser son CA. Sachant qu'avoir un intermédiaire peut avoir son intérêt : accès à d'autres missions, la chasse aux impayés, avoir un commercial qui vend son profil, gestion contractuelle, etc...
Réponse postée 24 février 2020 15:42
Bonjour à tous,
On peut observer des méthodes changeantes sur le recrutement IT (au sens large, du CDI au freelance) certaines années.
Parfois en bien comme une meilleure approche et suivi de certains sourceurs.
Mais surtout en mal, avec des méthodes crapuleuses de certains cabinets (spam, présentation de missions non acquises, etc…) pour faire du chiffres et bloquer les profils.
Certains cabinets font même du off-shoring, je ne sais pas où tout cela nous mène, d’autant que dans l’IT, certaines expériences ont fini en échec complet.
Je vous propose de partager ce que vous aimez et ce qui n’aimez pas lors de vos échanges avec le recruteur/l’intermédiaire/le commercial ESN.
Histoire de voir si on peut améliorer tout ça. Pour ma part…
Ce que j’aime :
-Message personnalisé (reflétant qu’il y a eu un minimum de recherche)
-Feedback après le positionnement sur une mission
Ce que je n’aime pas :
-Les appels pour avoir des renseignements sur l’organisation du client
-Non compréhension des métiers, des technos, donc du besoin client (ce qui résulte d’annonces du genre : recherche expert 15 ans d’XP sur techno rare devops TJM 300) ou de la lecture du CV (perte de temps et mauvais placement)
Une petite anecdote pour illustrer ce dernier point :
-Bonjour, je suis à la recherche d’un consultant Cloud blabla… super mission… blabla…
-Bonjour, je suis consultant Cloud, j’ai fait blabla… et j’ai travaillé sur Google Cloud Plateform blabla…
-Sinon, vous avez travaillé sur GCP ?
-(Facepalm) En fait, GCP = Google Cloud Plateform. (Et histoire de meubler) En France, il y a 3 grands fournisseurs de Cloud publics blabla...
-Ah… (gêné)
Le pire, c’est que j’avais pris soin de ne pas donner l’acronyme exprès.
A vous, et je suis sûr que vous avez également des choses à partager !
On peut observer des méthodes changeantes sur le recrutement IT (au sens large, du CDI au freelance) certaines années.
Parfois en bien comme une meilleure approche et suivi de certains sourceurs.
Mais surtout en mal, avec des méthodes crapuleuses de certains cabinets (spam, présentation de missions non acquises, etc…) pour faire du chiffres et bloquer les profils.
Certains cabinets font même du off-shoring, je ne sais pas où tout cela nous mène, d’autant que dans l’IT, certaines expériences ont fini en échec complet.
Je vous propose de partager ce que vous aimez et ce qui n’aimez pas lors de vos échanges avec le recruteur/l’intermédiaire/le commercial ESN.
Histoire de voir si on peut améliorer tout ça. Pour ma part…
Ce que j’aime :
-Message personnalisé (reflétant qu’il y a eu un minimum de recherche)
-Feedback après le positionnement sur une mission
Ce que je n’aime pas :
-Les appels pour avoir des renseignements sur l’organisation du client
-Non compréhension des métiers, des technos, donc du besoin client (ce qui résulte d’annonces du genre : recherche expert 15 ans d’XP sur techno rare devops TJM 300) ou de la lecture du CV (perte de temps et mauvais placement)
Une petite anecdote pour illustrer ce dernier point :
-Bonjour, je suis à la recherche d’un consultant Cloud blabla… super mission… blabla…
-Bonjour, je suis consultant Cloud, j’ai fait blabla… et j’ai travaillé sur Google Cloud Plateform blabla…
-Sinon, vous avez travaillé sur GCP ?
-(Facepalm) En fait, GCP = Google Cloud Plateform. (Et histoire de meubler) En France, il y a 3 grands fournisseurs de Cloud publics blabla...
-Ah… (gêné)
Le pire, c’est que j’avais pris soin de ne pas donner l’acronyme exprès.
A vous, et je suis sûr que vous avez également des choses à partager !
Réponse postée 24 février 2020 14:51
hmg a écrit : Bonjour,
Je pense que le référencement tombera et qu'il y aura un nombre plus important de SSII en contact avec les clients finaux.
Mais il ne faut pas rêver, oubliez le direct.
Le direct, je ne sais pas. Mais les clients sont de plus en plus sensibles aux plateformes[modéré] etc...
Les barrières de référencement vont tomber, mais pas seulement à l'avantage d'autres SSII.
Réponse postée 24 février 2020 14:48
Je pense que ce n'est pas seulement une question de SSII. Le recrutement IT étant pénurique, il n'y a pas vraiment le choix. Si un projet doit avancer, ou un poste est vacant, le client ne pourra pas se permettre d'attendre trop longtemps. Et c'est là qu'ils optent pour d'autres profils.macherif a écrit : Et là ils ont inondé le marché de juniors et ceux qui ont fait une conversion professionnelle. Et les présentes comme des vraies experts avec des TJM de merde.
Mais je suis d'accord avec toi, il y a des effets pervers à tout ça.
Réponse postée 14 février 2020 12:03
Il y a la théorie et la vraie vie...
Il y a plusieurs approches pour fixer son TJM, tu as pas mal de littérature sur le forum.
Après si tu as confiance en ce que tu vends et du marché, tu n'as pas à te soucier du tarif final. Si tu n'es pas sur, le jeu est d'aller chercher l'info (avant ou après avoir démarré la mission, mais avant c'est difficile) puis à toi de voir si ça se négocie ou pas.
Sur un même client, parfois j'ai reçu le paiement dans les temps, parfois j'ai eu jusque 2 mois de retard.
L'idée, c'est de négocier le délai de paiement le plus court possible puis de suivre les paiement à la culotte.
ça, j'en ai vu des vertes et des pas mures...un collègue cdp vendu comme directeur de projet au client final avec le tarif qui va bien, bien entendu...Bibi75 a écrit : par exemple une mission de chef de projet / PMO à 550 l’intermediaire Peut difficilement proposer au client final un tjm à 900/1000 ...
Il y a plusieurs approches pour fixer son TJM, tu as pas mal de littérature sur le forum.
Après si tu as confiance en ce que tu vends et du marché, tu n'as pas à te soucier du tarif final. Si tu n'es pas sur, le jeu est d'aller chercher l'info (avant ou après avoir démarré la mission, mais avant c'est difficile) puis à toi de voir si ça se négocie ou pas.
Non, c'est pas toujours fixe. Et plus tu as d'intermédiaires, plus ça peut être aléatoire.Bibi75 a écrit : Ah tu retrouves nécessairement des délais de paiements c’est Pas quelques chose de fixe du type tous les fin de mois t’as l’encaissement ?
Il faut pas hésiter à les relancer et relancer sans cesse ?
Sur un même client, parfois j'ai reçu le paiement dans les temps, parfois j'ai eu jusque 2 mois de retard.
L'idée, c'est de négocier le délai de paiement le plus court possible puis de suivre les paiement à la culotte.
Réponse postée 14 février 2020 07:26
Hello,
pour le 1) il y a les plusieurs cas de figure. Premier cas, tu passes par un intermédiaire qui t'as trouvé la mission. C'est avec celui-ci que tu négocieras ton TJM. Et cet intermédiaire négocie son propre TJM avec le client final en prenant soin d'y intégrer sa marge. Le client final paie l'intermédiaire, qui te paiera.
Il arrive parfois même d'avoir plusieurs intermédiaires, mais tu ne traiteras qu'avec le premier.
Le 2ème cas est de passer en direct, pas d'intermédiaire. Tu négocies directement ton TJM avec le client final, qui te paies directement. Charge à toi de trouver ce client et de traiter avec les achats du client final.
Dans les 2 cas, il y avoir des problèmes avec les achats : lenteur de processus, retard de paiement, etc...Comment résoudre ? pour l'instant, je n'ai pas trouvé de recette miracle à part les harceler 🤣
pour le 1) il y a les plusieurs cas de figure. Premier cas, tu passes par un intermédiaire qui t'as trouvé la mission. C'est avec celui-ci que tu négocieras ton TJM. Et cet intermédiaire négocie son propre TJM avec le client final en prenant soin d'y intégrer sa marge. Le client final paie l'intermédiaire, qui te paiera.
Il arrive parfois même d'avoir plusieurs intermédiaires, mais tu ne traiteras qu'avec le premier.
Le 2ème cas est de passer en direct, pas d'intermédiaire. Tu négocies directement ton TJM avec le client final, qui te paies directement. Charge à toi de trouver ce client et de traiter avec les achats du client final.
Dans les 2 cas, il y avoir des problèmes avec les achats : lenteur de processus, retard de paiement, etc...Comment résoudre ? pour l'instant, je n'ai pas trouvé de recette miracle à part les harceler 🤣
Réponse postée 30 janvier 2020 12:54
On avait dit que ça on en parle pas ici !cacail a écrit : Sinon, ya les bonnes vieilles valises de petites coupures !
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Réponse postée 22 janvier 2020 09:52
Pour ma première mission, par ici :)Treadstone a écrit : Tu es passé par quel canal pour trouver ta mission ?
J'avais déposé mon CV en ligne, puis on a commencé à m'appeler. Je n'ai pas eu à démarcher.
Pour ma seconde mission, c'était le réseau. Un ancien collègue a fait appel à moi.
Au début, j'avais proposé un TJM qui me semblait correct, un peu sans trop savoir. Ce qui avait été accepté. Puis je l'ai renégocié à la hausse 3 mois après compte tenu du travail qui m'était demandé et du tarif du marché (j'ai vu que j'étais en dessous).Treadstone a écrit : Tu as eu le TJM que tu voulais ?
Pour ma seconde mission, je savais un peu plus ce que je valais, c'était plus facile à imposer mon tarif.
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Réponse postée 21 janvier 2020 15:36
Hello,
bienvenue sur le forum.
Je suis moi-même spécialisé dans le Cloud et les télécoms.
J'ai sauté le pas il y a un peu moins d'un an. Ca s'est plutôt bien passé.
Pour l'instant, je n'ai pas vraiment de problème pour trouver une mission. Je rencontre tout de même les aléas basiques du freelancing (manque de visibilité de la part du client, retard de facturation, etc...) mais je m'y attendais :)
Bonne chance !
bienvenue sur le forum.
Je suis moi-même spécialisé dans le Cloud et les télécoms.
J'ai sauté le pas il y a un peu moins d'un an. Ca s'est plutôt bien passé.
Pour l'instant, je n'ai pas vraiment de problème pour trouver une mission. Je rencontre tout de même les aléas basiques du freelancing (manque de visibilité de la part du client, retard de facturation, etc...) mais je m'y attendais :)
Bonne chance !
Réponse postée 17 janvier 2020 12:28
Bonjour,
je dirai que ça dépend de ce qui a été demandé.
Généralement, on me demande un bon pour accord dans le cadre des données confidentielles (RGPD et tout ça) et pouvoir utiliser mes informations (genre le CV) lors de la présentation au client.
je dirai que ça dépend de ce qui a été demandé.
Généralement, on me demande un bon pour accord dans le cadre des données confidentielles (RGPD et tout ça) et pouvoir utiliser mes informations (genre le CV) lors de la présentation au client.
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obtention extrait kbis pour AE
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Réponse postée 7 octobre 2019 06:16
Au temps pour moi, je n'avais pas vu que c'était BNC.hmg a écrit : Bonjour,Une EI BNC n'est pas enregistrée au RCS.belougatech a écrit : tu peux faire une demande d'immatriculation sur infogreffe.
A l'issue de la demande, ils t'enverront un kbis.
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obtention extrait kbis pour AE
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Réponse postée 7 octobre 2019 05:47
Bonjour,
tu peux faire une demande d'immatriculation sur infogreffe.
A l'issue de la demande, ils t'enverront un kbis.
tu peux faire une demande d'immatriculation sur infogreffe.
A l'issue de la demande, ils t'enverront un kbis.
Réponse postée 4 septembre 2019 11:06
Aux yeux de PE, c'est pareil. Les 2 options sont bien proposées au même titre pour un créateur d'entreprise.YaFoye a écrit : SASU+ARE et EURL +ARCE sont 2 choses très différentes.
Si on opte l'ARE, on ne cache rien puisqu'il faut déclarer les heures lors de l'actualisation.
Par ailleurs, il y en a qui optent pour l'ARCE pour toucher rapidement du cash (genre avec une AE), et voire se remettre en salarié juste après. Des abus, j'en vois dans l'un comme l'autre.
Réponse postée 4 septembre 2019 10:30
T'es énervé toi 🤣cifer a écrit :
Il y a un moment c'est insupportable ce genre de message. OUI on profite du système, il faut assumer, pas besoin de se raconter des histoires.
Ce ne sont pas des histoires, que ça soit SASU+ARE, EURL+ARCE, ou n'importe quelle autre combinaison, se constituer un matelas de trésorerie pour palier au paiement et aux inter-missions reste vrai dans la carrière d'un freelance.
Je soulignais juste les différences avec le médecin. Après le reste, chacun fait ce qu'il veut...
Réponse postée 4 septembre 2019 09:33
Merci pour le partage. Il y a toutefois quelques différences à noter.
Le généraliste encaisse directement les revenus (et le tiers payant n'était pas généralisé à l'époque).
Quant au consultant freelance, il doit attendre le paiement qui peut aller jusque 60j, voire fin de projet. Les clients ayant tendance à payer au dernier moment, des fois en retard.
Par ailleurs, le généraliste va avoir un flux continu de clients/patients.
Alors que le consultant signe des contrat de quelques mois et peut avoir des périodes plus ou moins longues d'inter-missions.
Du coup, le consultant doit se constituer un minimum de trésorerie pour son activité.
Le généraliste encaisse directement les revenus (et le tiers payant n'était pas généralisé à l'époque).
Quant au consultant freelance, il doit attendre le paiement qui peut aller jusque 60j, voire fin de projet. Les clients ayant tendance à payer au dernier moment, des fois en retard.
Par ailleurs, le généraliste va avoir un flux continu de clients/patients.
Alors que le consultant signe des contrat de quelques mois et peut avoir des périodes plus ou moins longues d'inter-missions.
Du coup, le consultant doit se constituer un minimum de trésorerie pour son activité.
Réponse postée 28 août 2019 14:27
Hello,
1) il peut exister un engagement, mais de la part de la SSII, pas toi.
Le contrat est bien entre la SSII et le client.
De ton côté, tu as CDI avec la SSII, tu n'es pas lié au client directement.
2) le TJM dépend d'une tonne de choses, le domaine, la localisation, etc...difficile à dire. Sur le site, il y a des enregistrements si tu veux faire des comparaisons. Ou alors, jette un oeil sur Malt ou une plateforme pour voir où en sont tes confrères avec une situation similaire.
3) carrément. Avec une rupture conventionnelle, tu peux bénéficier des indemnités ARE (donc sécurité sociale, cotisation retraite qui vont avec), de la portabilité de mutuelle et de la prévoyance si besoin.
Je ne sais pas de quoi tu parles concernant l'ARCE
Ceci dit, en te lisant, j'aurais tendance à te dire d'aller voir ailleurs.
1) il peut exister un engagement, mais de la part de la SSII, pas toi.
Le contrat est bien entre la SSII et le client.
De ton côté, tu as CDI avec la SSII, tu n'es pas lié au client directement.
2) le TJM dépend d'une tonne de choses, le domaine, la localisation, etc...difficile à dire. Sur le site, il y a des enregistrements si tu veux faire des comparaisons. Ou alors, jette un oeil sur Malt ou une plateforme pour voir où en sont tes confrères avec une situation similaire.
3) carrément. Avec une rupture conventionnelle, tu peux bénéficier des indemnités ARE (donc sécurité sociale, cotisation retraite qui vont avec), de la portabilité de mutuelle et de la prévoyance si besoin.
Je ne sais pas de quoi tu parles concernant l'ARCE
Ceci dit, en te lisant, j'aurais tendance à te dire d'aller voir ailleurs.
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Réponse postée 27 août 2019 05:56
L'un n'empêche pas l'autre en théorie mais cela dépend de ton contrat de travail.
Si tu es en SSII, tu as peut être des clauses, d'exclusivité notamment.
Ceci dit, tu t'es peut-être lancé un poil trop tôt, tu aurais du le vérifier avant.
Tu peux laisser ta SARL en sommeil mais tu vas payer des charges pour rien, donc autant rapidement passer en contrat avec ta société.
Si tu es en SSII, tu as peut être des clauses, d'exclusivité notamment.
Ceci dit, tu t'es peut-être lancé un poil trop tôt, tu aurais du le vérifier avant.
Tu peux laisser ta SARL en sommeil mais tu vas payer des charges pour rien, donc autant rapidement passer en contrat avec ta société.
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Réponse postée 26 août 2019 11:08
Hello,Capmind a écrit : Bonjour à toutes et à tous,
Voilà, je me sens nul d'avoir ouvert ma société alors que je n'ai pas signé de contrat, j'avais trop peur que le contrat me file sous le nez pendant les démarches d'ouverture..
Donc au cas où le contrat ne sera pas signé, je n'ai pas d'autre choix que de trouver une autre mission alors ? Parce que j'ai mis plus de 8 mois à trouver cette mission, donc je me sens vraiment pas bien là. Si quelqu'un pouvait m'aviser d'un conseil éclairé, je lui serais reconnaissant.
Déjà, il faut que tu dédramatises un peu. Dans l'ordre des choses, en théorie, on créé d'abord la société avant de contractualiser, puisque le contrat est un accord entre 2 sociétés. On conseille même de s'y prendre à l'avance. Ce n'est pas forcément une erreur. Si tu es sur de devenir freelance, il faut la créer de toute façon à un moment donné.
Il se trouve que dans la pratique, on essaie d'avoir un accord avant de créer la société pour payer le moins de charges possible.
Après, il faut relativiser, l'indep en info n'a pas les mêmes charges qu'un gars qui ouvre un grosse boutique, qui a du matos à acheter à l'avance ou d'énormes serveurs à faire tourner dont les charges d'exploit coûtent un bras.
Rien n'est joué pour l'instant sur cette mission, donc continue à essayer de la gagner et de négocier au mieux. Cela ne doit pas t'empêcher de continuer à chercher à côté, ce que tu devrais faire pour au moins faire jouer la compétition et avoir le choix.
Justement, tant que c'est pas signé, il faut continuer à chercher, ça doit te motiver d'ailleurs. Les périodes sans mission ou les intercontrats font partie de la vie du freelance.
Réponse postée 20 août 2019 06:41
C'était clair dès le début que je ne resterai pas en portage très longtemps.
La boite de portage et la boite intermédiaire qui m'a placé font parti du même groupe, cela a peut-être facilité les choses, mais tout le monde avait son avantage.
D'un côté, je pouvais commencer immédiatement ma mission et j'étais libre du temps que je prenais pour la création. De l'autre, si jamais je préférais, je pouvais rester en portage salarial.
La boite de portage et la boite intermédiaire qui m'a placé font parti du même groupe, cela a peut-être facilité les choses, mais tout le monde avait son avantage.
D'un côté, je pouvais commencer immédiatement ma mission et j'étais libre du temps que je prenais pour la création. De l'autre, si jamais je préférais, je pouvais rester en portage salarial.
Réponse postée 19 août 2019 13:31
C'est possible de faire du portage salariale en CDI et de le rompre pendant la période d'essai. C'est ce que j'ai fait quand j'ai commencé.
J'étais pris sur une mission alors que je n'avais pas entamé les démarches de création de ma SASU. Ne sachant pas le temps que ça allait prendre, j'étais en portage salariale pendant 2 mois le temps des démarches et de me familiariser avec mon nouveau statut.
Une fois que tout était prêt, le CDI a été rompu pendant la période d'essai et j'ai basculé sur un contrat avec ma société.
Après je ne sais pas si c'est monnaie courante comme pratique.
Je ne crois pas avoir payé l'approvisionnement d'une rupture conventionnelle.
J'étais pris sur une mission alors que je n'avais pas entamé les démarches de création de ma SASU. Ne sachant pas le temps que ça allait prendre, j'étais en portage salariale pendant 2 mois le temps des démarches et de me familiariser avec mon nouveau statut.
Une fois que tout était prêt, le CDI a été rompu pendant la période d'essai et j'ai basculé sur un contrat avec ma société.
Après je ne sais pas si c'est monnaie courante comme pratique.
Je ne crois pas avoir payé l'approvisionnement d'une rupture conventionnelle.
Réponse postée 14 août 2019 05:00
Hello,
si le nombre de tickets restaurants du mois N est basé sur le nombre de jours travaillés du mois N-1, c'est tout à fait normal. Le mois blanc est juste indemnisé avec un mois de décalage.
Si c'est pas le cas...je ne sais pas...Il doit y avoir une explication.
En tout cas, c'est comme ça que ça fonctionnait dans les boîtes où je suis passé.
si le nombre de tickets restaurants du mois N est basé sur le nombre de jours travaillés du mois N-1, c'est tout à fait normal. Le mois blanc est juste indemnisé avec un mois de décalage.
Si c'est pas le cas...je ne sais pas...Il doit y avoir une explication.
En tout cas, c'est comme ça que ça fonctionnait dans les boîtes où je suis passé.
Réponse postée 13 août 2019 12:11
Tu dis simplement que tu as un projet de création de société. Ensuite il pose quelques questions (tout seul, avec des associés, quelle forme juridique, est-ce que tu as besoin d'aide, etc...).Mirzo a écrit : Merci,
Mais lors de l'entretien avec Pole emploi, quel est le discours ?
On gros je touche de TJ équivalent a des salaires supérieur a 4k mensuel. Et je peux toucher le chômage ?
C'est n'est pas mon cas actuel mais je me renseigne.
Et si le conseiller me demande de passer des entretiens alors que je travaille en tj a côté ?
Merci,
Pour les ARE, ça dépend si tu te déclares salarié ou pas.
En gros :
Tu es salarié de ta SASU :
- ta rémunération >70% de tes ARE : tu ne perçois rien
- ta rémunération <70% de tes ARE : tu perçois le complément à hauteur des ARE
(Tu trouveras les calculs plus précis sur leur site)
Tu n'es pas salarié (les revenus restent dans la SASU): tu perçois les ARE
Les premiers rendez-vous sont obligatoires. Car ils vont devoir t'"étiqueter" pour savoir si tu es autonome ou pas.
Si c'est le cas et que tu dis ne pas avoir besoin de formations, tu peux être dispensé de certains rendez-vous (genre la présentation des outils PE). Après, PE est moderne maintenant (🤣), ils peuvent faire les points en visio.
Réponse postée 7 août 2019 16:30
Oui d'accord, ça existe dans le cadre d'une négociation mais dans l'entame d'un conversation, bof, il n'y a rien à convaincre encore.da23ad a écrit : Le but n'est pas de convaincre...:D La règle des 3 oui existent depuis des lustres...une recherche sur Google vous donnera de quoi en prendre connaissance. Et si les entames de conversations téléphoniques sont à peu près toujours les mêmes, ce n'est pas le fruit du hasard.
Je pense que ta suggestion est intéressante mais pas forcément bien placée.
Evident, pas forcément.da23ad a écrit : Je pense que la réponse est évidente... Donc donner un TJM avant d'avoir des éléments probants sur la mission n'est pas constructif... Le TJM doit être déterminé au regard de la mission proposée...
En tant que freelance, on a la plupart du temps une obligation de moyens, car les clients cherchent certaines compétences.
Pour reprendre ton exemple, le gars ne va pas se brader pour réaliser un morpion en python, alors qu'il sait développer une IA dans le secteur bancaire. Le reste est négociation (durée de mission, conditions de travail, localisation, etc...).
Si le client demande une obligation de résultat, c'est différent. Mais pour les freelance info, à mon avis c'est pas le gros du marché.
Réponse postée 7 août 2019 15:17
Pas convaincu. Quand on reçoit un appel, on veut savoir quelle est l'opportunité de toute façon, mais ça ne veut pas dire qu'on va céder quelque chose.da23ad a écrit : 4-Attention aux 3 oui
Si on ne veut pas savoir, on aura coupé court en disant qu'on est pas à l'écoute du marché.
Totalement d'accord pour la fourchette.da23ad a écrit : 6-La question du TJM
Quand vous êtes sollicité par téléphone, ne donnez jamais votre TJM avant d'avoir pris connaissance de la description détaillée du poste, de savoir qui est le client ou au moins de savoir son secteur d'activité et la localisation géographique... Ne donnez pas non plus de fourchette. Si vous donnez une fourchette, par exemple "entre 500 et 600€", vous pouvez être certain que votre client ou la SSII ne retiendra que "500€".
Par contre, donner tout de suite son TJM permet de couper court à la conversation.
Ca ne sert à rien de discuter une demi heure pour que ça se termine sur : "ah je pense que votre tarif de 700€ ne correspondent pas au budget du client de 400€".
Les chargés de recrutement souvent ne comprennent rien à ce qu'on fait, ils ne fonctionnent que par mot-clés, donc la conversation se poursuit tant que ces mots-clés sont activés.
J'ajouterais qu'il faut essayer d'embarquer dès le départ certaines conditions, notamment de télétravail si le client est loin, ou de matériel ou de congés. Ça permettra de négocier, mais aussi de ne pas se faire considérer comme de la main d'oeuvre interchangeable ou "low cost" comme tu dis.
Ca fait 6 mois que je reçois des appels pour une grosse boite qui n'arrivent pas à recruter. Ils sont assez loin mais refusent le télétravail et proposent un tjm dans la fourchette basse du métier. Tant qu'ils ne comprennent pas ça...
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Réponse postée 11 juillet 2019 10:21
Non, les entrées de la microentreprise sont considérées comme un revenu à déclarer lors de l'actualisation. Si c'est en dessous de tes ARE, Pôle Emploi complète. Si au-dessus, tes droits sont juste repoussés.Thunderbird69 a écrit : ... Et pourrais-je cumuler chômage + entrées au niveau de la micro-entreprise ?
Réponse postée 11 juillet 2019 08:43
Bonjour,
si tu es sûr de trouver une mission rapidement, commence les démarches de création car c'est très long, malgré tout ce qu'on peut dire.
Même en passant par des sociétés qui vont les faire les démarches pour toi, comme les EC, car il n'y a pas que ça.
Dans les délais :
- EC si tu en veux un : le temps de le rencontrer (voir rencontrer plusieurs pour comparer), contractualiser
- Forme juridique : le temps de comprendre ce qui correspond le mieux à sa situation et choisir
- Echange des documents administratifs de création, signature des statuts
- Délai de greffe, annonce et attente du kbis définitif
- Banque : le temps de comparer, rencontrer si besoin, contractualiser, déposer le capital, échanger les documents administratifs
- RCE/RCP : idem banque
Puis si besoin, selon la forme juridique mutuelle, prévoyance, etc...
Il y a des délais incompressibles (greffe) et des démarches qui ne peuvent se réaliser avant d'autres (ex: avoir un kbis pour la banque).
Ceci dit, si tu trouves rapidement une mission, tu peux facturer avant que la création ne soit effective.
En essayant d'être le plus rapide possible dès que j'avais la main, j'en ai eu pour 1 mois et demi.
Concernant Pôle emploi, inscris toi dès que possible en leur indiquant ton projet de création d'entreprise, pour qu'ils te mettent dès le début dans la catégorie des créateurs (et qu'ils ne te sollicitent pour des emplois). Il te demanderont ensuite des informations genre kbis pour valider.
Tu seras concerné par l'ACRE si tu comptes te rémunérer pour la première année. Donc à toi de voir le timing.
Bon courage.
si tu es sûr de trouver une mission rapidement, commence les démarches de création car c'est très long, malgré tout ce qu'on peut dire.
Même en passant par des sociétés qui vont les faire les démarches pour toi, comme les EC, car il n'y a pas que ça.
Dans les délais :
- EC si tu en veux un : le temps de le rencontrer (voir rencontrer plusieurs pour comparer), contractualiser
- Forme juridique : le temps de comprendre ce qui correspond le mieux à sa situation et choisir
- Echange des documents administratifs de création, signature des statuts
- Délai de greffe, annonce et attente du kbis définitif
- Banque : le temps de comparer, rencontrer si besoin, contractualiser, déposer le capital, échanger les documents administratifs
- RCE/RCP : idem banque
Puis si besoin, selon la forme juridique mutuelle, prévoyance, etc...
Il y a des délais incompressibles (greffe) et des démarches qui ne peuvent se réaliser avant d'autres (ex: avoir un kbis pour la banque).
Ceci dit, si tu trouves rapidement une mission, tu peux facturer avant que la création ne soit effective.
En essayant d'être le plus rapide possible dès que j'avais la main, j'en ai eu pour 1 mois et demi.
Concernant Pôle emploi, inscris toi dès que possible en leur indiquant ton projet de création d'entreprise, pour qu'ils te mettent dès le début dans la catégorie des créateurs (et qu'ils ne te sollicitent pour des emplois). Il te demanderont ensuite des informations genre kbis pour valider.
Tu seras concerné par l'ACRE si tu comptes te rémunérer pour la première année. Donc à toi de voir le timing.
Bon courage.
Réponse postée 10 juillet 2019 06:50
C'est bien le dernier jour travaillé qui compte, au jour près. Inscris toi dès que tu peux. Mais tu vas avoir un délai de carence, minimum 7j, ensuite cela dépend des indemnités de rupture et des congés payés.
Vérifie sur le simulateur Pôle Emploi.
Vérifie sur le simulateur Pôle Emploi.