Démarchages ESN
Camille Legrand
Bonjour, depuis quelques semaines je suis contactée par des ESN quotidiennement. Elles n'ont rien a me proposer mais veulent à tout prix qu'on échange... J'ai toujours refusé ces démarchages qui, pour moi, sont une perte de temps, un moyen d'alimenter les fichiers des ESN et ne m'ont jamais permis d'avoir une mission.
N'ayant pas de mission actuellement et ayant donc un peu de temps libre, je m'interroge sur le fait d'accepter leurs entretiens de salon.
Que faites-vous de votre côté ? Vous êtes ouverts à ce genre de démarchage, j'y suis très fermée, peut être trop ?
-
Droopyann
Nombre de posts : 3675Nombre de likes : 1828Inscrit : 21 mai 2018En mission, j'évite de perdre du temps avec ces entretiens, sauf si c'est suite à une recommandation particulière.
Je suis assez clair sur les échanges, souvent linkedIn, quelquefois mail.Après, si je suis en fin de mission (1 à 2 mois) ou en intercontrat, je fais les entretiens.
Ca permet de roder un peu le discours, d'avoir la tendance du marché (voir les prix proposés par exemple), de tester des choses et au final, sur un malentendu, il peut y avoir une mission. Donc toujours bon à prendre.-- Yann EURL IS depuis 2019 -
FreeSC
Nombre de posts : 140Nombre de likes : 37Inscrit : 29 octobre 2015Bonjour Camille,
Si je suis en mission, je réponds très peu à ce genre de sollicitations. Néanmoins lors de période d'inter-contrat, je suis plus enclin à ces échanges tout en évitant les très grosses ESN et les trop jeunes structures (je pense que cela ne va pas m'apporter grand chose pour ces 2 cas).
Ces entretiens me permettent de garder un contact avec le monde de l'entreprise/ESN, voir l'état du marché vis-à-vis de mon positionnement/domaine, les perspectives. Si le courant passe bien lors de cet échange, je propose de re-faire un point ensemble dans 3-6 mois, cela me permet d'étendre mon réseau à d'autres prospects ESN qui me paraissent sérieux.
-
Free-Worker-773279
Nombre de posts : 48Nombre de likes : 27Inscrit : 18 décembre 2023Il m'arrive exactement la même chose, des appels quotidiens des ESN avec un nombre incalculable d'entretien totalement inutile et répétitif.
Premier échange téléphonique avec la RH, deuxième entretien visio avec la RH, troisième entretien visio avec un business manager, quatrième entretien avec le responsable d'agence et son beau père..
À savoir qu'entre le premier et dernier entretien, le contenu est strictement identique (présentation de l'ESN, présentation globale de son parcours et de ses attentes futures)Je vous jure qu'absolument toutes les ESN procèdent de cette manière, vous comptez en moyenne 45min/1h pour l'entretien et multipliez par le nombre d'ESN qui vous sollicitent ça fait une perte de temps considérable !
Je vais finir par blacklister toutes les ESN rien que pour ça, ce qui est très dommage..yanolezard
Nombre de posts : 289Nombre de likes : 285Inscrit : 5 décembre 2016Bonjour "Free-Worker-773279",
"Je vous jure qu'absolument toutes les ESN procèdent de cette manière" : ben .... NON.
En un peu moins de 40 ans de prestations diverses et variées, ce n'est pas vraiment comme cela se passe et des clients (par intermédiaire ou pas, j'en ai rempli des bourriches entières !!!).
De mon côté, c'est 2 entretiens MAX et c'est ma personne qui FIXE les règles, que ce soit pour une prestation, une formation ou un évènement.
A quelques exceptions près où j'ai demandé VOLONTAIREMENT à disposer d'un entretien COMPLEMENTAIRE pour éclaircir un détail ou un point nébuleux, cela doit bien se compter sur les doigts des 2 mains.
Certes, mes entretiens sont plus longs et je demande systématiquement que toutes les personnes intéressés entrant dans le processus soient présentes : cela fait gagner du temps à tout le monde.
En cas de refus (et il y en a eu quelques-uns), je leur indique que je passerais mon tour et mon chemin et qu'ils ne sont pas les seuls sur la place de marché :
Certains m'ont "blacklisté" définitivement (pour "insubordination" ou pour "forte tête" ou pour "caractère de cochon" ou pour "refus de compréhension" ou de "non respect des personnes et des individus"),
D'autres m'ont passé de "black-listé" à "white-listé" (ne trouvant personne pour la prestation et acculés "dos au mur" par les pénalités, le temps, les instances managériales ou supérieures, par l'égo) ... ils sont revenus en me "suppliant" (donc là, pas de détails ou de quartiers, j'applique MES conditions). Certes, on peut trouver mais c'est moins bien.
D'autres me demandent de "m'assouplir" : désolé, je ne reviens jamais en arrière (cf.. le proverbe : "cochon qui s'en dédit). Pour les non-connaisseurs : https://fr.wiktionary.org/wiki/cochon_qui_s%E2%80%99en_d%C3%A9dit ou https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/cochon-qui-s-en-dedit
Ou bien encore me "promettent Monts et Merveilles" si j'accepte quelques "bricoles" en termes de concessions : désolé, pas dans mon style. Déjà que ceux qui "cachent" volontairement leurs calculs de marge ou qui ne communiquent pas sur la "tonte du mouton" ne sont pas en "odeur de sainteté". La confiance commence par là (entre autres). Allez, pour la forme : https://fr.aleteia.org/2019/01/25/pourquoi-dit-on-etre-en-odeur-de-saintete/
Pour la majorité, cela se passe très bien et répondent très volontiers à toutes mes questions MAIS j'annonce la "couleur" dès le départ, AVANT le premier entretien : cela m'est déjà arrivé de "partir physiquement" ou de quitter la communication inopinément pour manque de transparence du "recruteur" ou du "donneur d'ordre", sans autres formes de procés.
Et pour terminer, je me suis construit un "dictionnaire des us-et-coutumes" qui se remplit au fur et à mesure du temps qui passe, par secteurs/domaines d'activités, typologie de clients ou d'intermédiaires, façons de s'exprimer, postures, vocabulaires, expressions, catégories d'âges et de cultures, ce que l'on peut dire, écrire, réciter, chanter ou pas et dans quelle(s) circonstance(s), comment arpenter et comprendre les signaux envoyés par les silences et les "lourdeurs" des secteurs publics, sans créer de "vagues" et autres écumes, ou comment extraire l'ivraie du bon grain lorsque l'outil n'est pas le bon, bref un "Tips and Tricks" indispensable à qui sait bien l'utiliser en toutes circonstances, pour ne pas se retrouver piégé par les autres (certains sont plus finauds ou fins que d'autres, malgré leur air bête, bonhomme, ébahi comme "face de lune"" et la "vue basse") et par soi-même, par défaut de tout-à-chacun.
On peut aussi compléter par un bestiaire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bestiaire en dilettante.
Bien à vous,
Yanolezard.
-
code38
Nombre de posts : 585Nombre de likes : 180Inscrit : 23 septembre 2018Pour ma part, j'essaie de répondre au sollicitations mais par message principalement, surtout que je n'ai pas le temps. Mais dans les premiers contacts, on peut déjà voir si l'approche est pertinente ou pas ... Et si c'est par téléphone, en étant sans mission, ça peut quand même valoir la peine de prendre des appels mais de s'y préparer et peut-être de poser les règles en début d'entretien sur la durée et les objectifs de l'échange. Possiblement le plus dur peut être de couper court ou conclure qu'il est préférable d'en rester là pour l'instant.
Donc, avec du temps disponible, ça peut ne pas être inutile d'avoir des échanges, je trouve que très vite on voir si ça passe ou pas (si c'est une RH qui ne va pas vraiment comprendre, si c'est un commercial insistant ...).
En tout cas, ce sont souvent par ces intermédiaires qu'on obtient des missions et tous ne sont pas pourris. Avec certains, on n'a pas encore travaillé ensemble mais parfois on se tient rapidement au courant de la situation. Comme cela a été dit plus haut, ça aide à s'établir une sorte de short list.
-
Sre&DevOps
Nombre de posts : 48Nombre de likes : 44Inscrit : 14 octobre 2014Pour ma part même en inter contrat, je refuse un premier entretien vidéo, si pas d'échange préalable via LinkedIn, ou mail avec une description de la mission à pourvoir, une fois cette étape validée un premier échange téléphonique pour discuter de la mission. J'accepte les entretiens vidéo avec les intermédiaires que s'il y a déjà un entretien client en vue.
-
JohnnyJohn
Nombre de posts : 100Nombre de likes : 99Inscrit : 13 novembre 2023Actuellement je n'ai que des positions à des AOs. Cependant, si vous parlez d'un "échange", je peux très bien passer 5 minutes pour développer un peu plus. Mon CV s'oriente pour être assez généraliste tout en ayant de l'orientation, cela n'empêche pas d'avoir un échange oral. Les bons commerciaux notent cela dans un coin et réévoquent le sujet.
Si vous parlez ensuite d'un blocage de 30 à 60 minutes avec visio... Bon, dans un premier temps je ne suis pas contre car il faut me "dérouiller" des entretiens, je suis un peu crispé des maxillaires et du vocabulaire, donc avoir quelques entretiens préalables peuvent aider à détendre un peu tout cela.
Par la suite, effectivement si cela fait plusieurs mois que vous êtes en recherche, un entretien par semaine ça va, enchainer 8 entretiens par jour en sachant que le gusse n'a rien et espère par l'opération du saint-esprit que cela va matcher tout seul, je refuse(rai). Je renvoie poliment mon CV avec quelques explications sur les focus de mon parcours, mes points qui sont indiscutables (nombre de TT par jour, localisation géographique) et d'autres qui peuvent être assouplies.
-
FreeWorker-777
Nombre de posts : 189Nombre de likes : 185Inscrit : 27 février 2019Bonjour,
Dans votre cas (et je m'en approche, ma mission actuelle prenant fin dans quelques jours), et n'étant jamais sûr à 100% des intentions de l'ESN, je joue le jeu avec deux conditions :
1) Je ne perds pas mon temps à rédiger des documents spécifiques à l'entreprise (exemple : remplir des dossiers de compétences, ce n'est pas mon job). Accorder 15 minutes de mon temps pour échanger est tout à fait acceptable selon moi et suffisant à une ESN sérieuse pour déterminer si mon profil peut matcher avec la demande de son client.
2) Je ne donne plus de références clients (j'accepte de les fournir au client final qui est seul juge), je me suis fait avoir par 2 ou 3 boîtes l'année dernière (notamment une célèbre boîte anglaise au trigramme connu de tous sur ce site 😋), je suis vacciné (façon de parler..). Ainsi une ESN qui veut me faire perdre mon temps va en perdre tout autant, sans récolter la moindre information sur un client.
Et puis, accepter de perdre quelques minutes avec pour seul risque de trouver une mission... ça peut valoir le coup (sur un malentendu ou pas).
Bon courage et bonne journée.
"Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes" -
Camille Legrand
Nombre de posts : 204Nombre de likes : 245Inscrit : 28 septembre 2023Merci Yanolezard pour les réponses toujours intéressantes et rigolotes à lire 😀 Merci à tous les autres aussi ! Je vois que les avis sont assez variées
Je vous fais mon retour de 2 prises de contact faites ce matin (une en visio, une par tél). Les 2 ont été rigoureusement identiques et m'ont rappelé mes débuts où, naïvement, je répondais à toute sollicitation :
La personne présente sa boite
On me demande de me présenter
On me demande ce que je cherche comme mission alors que la personne a mon cv, que je viens de me présenter et que je fais la même chose depuis 20 ans
Je donne ma région d'intervention, on me demande alors si je suis prête à déménager pour une mission (lol) et si je suis prête à prendre une mission à 600 km de chez moi (bah non...). Perso, j'appelle ça des questions à la c..
Enfin, on me demande mon TJM que je refuse de donner puisqu'il n'y a pas de mission. Le premier insiste lourdement : TJM plancher ? A quel tarif je refuse de travailler ? TJM de ma dernière mission ? Je l'envoie promener, fin de la Visio.
Le second, toujours en lice, me demande 2 référence clients, comme Free777, je ne donne jamais les coordonnées de mes clients (même au client final). Il me répond que sans référence client, il ne pourra pas travailler avec moi. Je met alors fin à la conversation.
Conclusion : je reviens à mes pratiques habituelles : pas de proposition de mission, pas de contact !
JohnnyJohn
Nombre de posts : 100Nombre de likes : 99Inscrit : 13 novembre 2023Je vais un peu "adoucir le mélange" (référence au pudding à l'arsenic de Astérix chez Cléopâtre) juste avec deux points :
Il y a toujours une différence avec ce qui est écrit et réel. Je trouve pas si déconnant qu'il demande de représenter à l'oral. Nous savons tous qu'il peut y avoir des jeux de dupe, de subtilités, de discours indirect dans un CV. Et aussi que, malgré l'effort qu'on donne, on a seulement notre propre perception de notre CV, pas comment il est perçu d'extérieur.
De ce fait, expliquer à haute voix peut éviter certaines perturbations parce qu'on a voulu noyer le poisson dans le CV, ou simplement parce que c'est mal exprimé, je trouve ça OK. Pour ainsi dire, mon CV essaie d'être un peu généraliste parce que je ne me ferme pas des portes. Je suis d'ailleurs toujours extrêmement surpris quand je tombe sur le CV d'un collègue et qu'il est à des antipodes de la mission avant d'y entrer (ce qui ne signifie pas qu'il ne peut apprendre rapidement, qu'il n'est pas motivé).
Donc une explication orale, je trouve ça OK, pourvu que ça ne dure pas 25 minutes.
Il y a beaucoup de gens qui sont beaucoup plus mobiles qu'on ne l'imagine. A part si c'est écrit noir sur blanc sur CV que tu as une zone d'intervention, je ne vois pas en quoi c'est gênant de demander si tu es mobile, surtout si ta situation familiale ou tes besoins ne sont pas décrits. Pour te donner un exemple, dans mon association de jeux de société j'ai rencontré en juin dernier un type qui a la trentaine, je lui ai demandé s'il serait là à la rentrée de septembre, il me dit qu'il va là où les missions le portent...
Par contre, insister comme un lourdingue pour t'envoyer à Lille alors que tu habites à Narbonne et que tu dis non une première fois, là ça manque clairement de compétence, voire faire preuve d'amateurisme.
Ceci étant dit, c'est malheureusement plus tard que l'on sait si le commercial prend bien en main les choses. Un commercial m'a rappelé en janvier, on s'est eus en janvier 2023. Il avait bien noté que je n'étais pas en région parisienne, que je pouvais avoir une mission sur Paris avec 30 minutes de métro autour de la gare d'arrivée, éventuellement plus loin si j'avais 2 voire un jour sur site. Nous n'avions rien dit de cela par mail, uniquement par téléphone, et pourtant il a pris le temps de noter tous ces détails et de me contacter pour une mission qui correspondait à tous mes critères (malheureusement, le client avait besoin d'une compétence-clef, selon moi cela s'apprend sur le tas mais il voulait vraiment un expert là-dessus, là c'est le critère du client).
-
Camille Legrand
Nombre de posts : 204Nombre de likes : 245Inscrit : 28 septembre 2023@Johnny Je suis d'accord sur le besoin de se présenter, pas de soucis mais demander à un freelance s'il est prêt à déménager pour une mission (qui sera peut-être arrêtée dans 3 mois), c'est grotesque, un salarié, oui mais pas un freelance.
Je suis en contact avec plusieurs ESN avec lesquelles je n'ai jamais travaillées et avec lesquelles je suis entrée en contact sur un simple appel téléphonique. Par contre, je pense que je ne donnerais plus suite à ces demandes de rendez-vous très formelles où le commercial (qui ne comprend souvent rien à mon métier) rempli son fichier : disponibilité, tjm, zone d'intervention, mots clés et, cerise sur le gâteau, contacts clients pour montrer à son chef qu'il a bien bossé. Mon cv est à jour, il est sur Linkedin tout y est sauf mon tjm et les tels de mes clients 🤐
Sre&DevOps
Nombre de posts : 48Nombre de likes : 44Inscrit : 14 octobre 2014J'accepte de me présenter et de décrire plus en détails mes expériences mais à conditions que le premier filtre est passé à savoir un fiche de mission, le tjm, localisation et le rythme passé cette étape. J'accepte un appel téléphonique pour un échange et pas plus de 15 à 20 mn.
Si je suis positionné sur une mission et le client souhaite me rencontrer pour un entretien, la j'accepterai un entretien préalable avec le commercial pour préparer l'entretien client final.
Ça m'arrive de faire quelques exceptions mais c'est uniquement pour des commerciaux avec qui j'ai été en contact sur d'autres missions ou au moins jusqu'à l'étape d'entretien client.
JohnnyJohn
Nombre de posts : 100Nombre de likes : 99Inscrit : 13 novembre 2023Vous faites une très grande généralisation de votre cas. Encore une fois, il y a beaucoup de gens qui n'ont pas d'attaches à leur région actuelle, et sont bien contents de changer de villes ou de régions. J'en dénombre personnellement une petite poignée, en contrat "précaire" (CDIC, portage salarial...). Je ne me sens pas outré qu'on me le propos ; je m'en sentirai outré si on insiste.
Camille Legrand
Nombre de posts : 204Nombre de likes : 245Inscrit : 28 septembre 2023@Johnnyjohn
Vous ne savez rien de ma situation 😁 mais quand on sait ce que coûte un déménagement et le temps que ça prend (minimum 3 mois pour une location, pire si vous êtes propriétaire), je doute que beaucoup de personnes prennent le risque de déménager pour une mission qui peut-être arrêter au bout d'un mois. Parce que, quand on vous demande si vous êtes OK pour déménager, c'est pour aller à Limoges ou à Guéret, déserts ruraux sans voies de communication et donc impossible de trouver un freelance, c'est pas pour aller à Lyon ou à Paris où il est toujours possible de rebondir en cas d'arrêt de la mission.
-
Sre&DevOps
Nombre de posts : 48Nombre de likes : 44Inscrit : 14 octobre 2014Je suis en inter contrat depuis 3 semaines (je souhaitais prendre du temps en famille avec les vacances scolaires).
Avec le recul, trouver une mission relève de plusieurs concours de circonstances, et la chance en fait partie.
Dans mon cas les démarchages des ESN me rapportent au moins des entretiens clients, c'est toujours bon à prendre.
J'ai refusé la semaine dernière une offre pour une mission intéressante mais à temps partiel sur 6 mois et qui ne me laisserai pas le temps de prendre une autre mission. C'est plus comment cette mission m'a été proposée qui été hallucinante.
-
Zbendah
Nombre de posts : 7Nombre de likes : 3Inscrit : 22 décembre 2023Aucun intérêt ces entretiens ( apprendre à se connaître disent tils ) .tu leur réponds que tu ne souhaites pas rejoindre leur ESN en CDI mais que tu es freelance et donc tu attends un appel d'offre concret et pas ( copier coller )...tu verras 50% vont disparaitre quand tu leur diras ça, ensuite ne donne jamais tes références sans avoir l'entretien avec le client finale.. tu verras 40% vont aussi disparaître dans la nature....donc avec ces ESN rester au strict minimum ne leur raconte pas tes expériences à la Lettre mais rester brief et surtout ne jamais leur filer les références.
-
PSWARM
Nombre de posts : 69Nombre de likes : 13Inscrit : 5 novembre 2015Bonjour
Perso je leur rappelle que je ne suis pas leur employé, et que je ne suis pas payé pour faire cela.
Cette pratique est hérité du salariat, et permet pour un commercial de justifier un emploi du temps chargé.Fondateur PSWARM (groupement de freelance). -
probe
Nombre de posts : 364Nombre de likes : 193Inscrit : 26 novembre 2007Bonjour,
Je pense que c'est une tradition française, héritée de la "Société des Nations".
Cette manie que les ESN ont à faire des phrases, sans fondement, pas de descriptif de poste, encore moins un AO.
Une véritable inquisition, on se croirait revenir à une période révolu : VICHY.
Je demanderai à mon prochain interlocuteur si je vais être banni si je n'ai pas les bonnes réponses à ses non-questions.
Fatigué de recadrer, écoutez : https://www.dailymotion.com/video/x61ed23 OrelSan - Basique