yanolezard
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Réponse postée 19 décembre 2024 21:15
Bonjour "ann-999",
Une des bonnes questions à poser serait "de quoi ai-je envie, dans ce domaine, pour m'épanouir, pour faire mon métier" en lieu et place de "qui donnent envie aux recruteurs" ... car si vous exercez un métier/une fonction qui ne vous plait pas plus que cela et que c'est juste pour "faire envie" aux recruteurs .... je réfléchirais à 2 fois.
Bien à vous,
Yanolezard.
Réponse postée 19 décembre 2024 20:41
Bonjour "Droopyann",
L'andragogie concerne les adultes, la pédagogie concerne les enfants (à moins que l'on ne considère les adultes comme des "grands enfants", dans ce cas, il s'agit d'un autre problème).
Anecdote récente avec un centre de formation :
"Nous vous avons demandé un dossier pédagogique et le document reçu n'en est pas un ... il est écrit "Dossier Andragogique". Merci de bien vouloir rectifier le titre."
Réponse : "Si vous ne savez pas ce qu'est l'andragogie, alors révisez vos connaissances. Cela fait bien des années que je fais des dossiers andragogiques pour les formations en France, et même pour des formations en Europe, depuis 1995. Je pense, au final, que je ne travaillerais pas avec vous, nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde (et j'ai bien fait : par un autre moyen détourné, j'ai pu récupérer les conditions tarifaires qu'ils avaient refusé de m'envoyer .... les prix pratiqués étaient du même genre que ceux pratiqués par les "Fossoyeurs de l'Etat" (les fameuses formations "en volumes" pour faire des belles statistiques et montrer que PE/FT savaient former des "tonnes" de demandeurs d'emplois en un temps record, sur les nouvelles technologies comme l'IA, le Big Data, ou la Blockchain en 1 mois.
Il y a encore des formateurs/OF qui n'ont toujours pas été réglés par l'Etat (cela fait maintenant environ 6 ans, pour un paiement annoncé entre 90 à 120 jours), certains de ces formateurs ne sont malheureusement plus là pour en parler (RIP Messieurs/Dames).
67 € : pour certaines actions de formations récurrentes, c'est inclus.
Lorsqu'il y a du spécifique, j'arrive à négocier un peu de temps : c'est ma personne qui fait tout le travail (méritant rétribution) et eux ne font rien, des fois, c'est "Niet, Nada, Rien, Nothing, Nicht, ...
Via l'INPI, il y a plusieurs offres (pour le coût, ça dépend de ce que l'on veut faire : une "trademark", un filigrane, une enveloppe soleau, un horodatage/cachet électronique ..., du volume, du niveau/périmètre juridique que vous voulez faire porter, pour une année ou pour 2, 3, 5 ans).
Si c'est de l'horodatage/cachet avec dépôts à l'APP, c'est de l'ordre de quelques centimes d'euros par document (si vous avez des cahiers d'exercices, ou d'atelier, ... ), cela peut être aussi un dépôt chez un Commissaire de Justice (ex - Huissier), ils ont des offres intéressantes,
L'avantage du cachet/sceau/horodatage en avancé ou qualifié : sa validité partout dans le monde, sa simplicité de mise en oeuvre, les preuves de dépôts ... encore faut-il prendre le bon service.
Pour ma modeste contribution,
Yanolezard.
Salut "Droopyann",
Je vous/te cite : "Pour le fait de devenir formateur en école d'ingé, c'est super intéressant mais plutôt mal payé. Surtout, ça demande un investissement de préparation des cours, généralement non rémunéré. Donc c'est pas simple."
Cela fait approximativement un peu de 15 ans que je pratique la formation en école d'ingénieur et autres du même genre (voire même en Faculté) : cela dépend de nombreux facteurs : si le volume est assuré (noir sur blanc, signé/tamponné), à l'année, je négocie un tarif au forfait, avec quelques ajustements : j'inclus, par exemple, la "location" de certaines de mes certifications/accréditations, pour certaines formations précises, en fonction aussi du nombre de personnes : au-delà d'un certain nombre de trombines et de jolis minois, le tarif n'est pas le même, si apport de matériels spécifiques ... j'arrive à 67 euros TTC de l'heure et c'est plutôt bien, public ou privé.
Si ce sont des formations par des "OF" (organismes de formations), dans ce cas, ce n'est pas la même musique, ni les mêmes attentes, ni les mêmes conditions (exemple : une formation de 3 jours, en cybersécurité stratégique peut se négocier différemment).
Une chose est sûre, par contre et je rejoins votre/ton commentaire : il y a un gros travail de préparation, de conception (à la fois andragogique et "technique", préparation des ateliers, dépôts juridiques des manuels, ...) et si on est "astucieux", on s'arrange pour réintégrer cette partie, lorsqu'une nouvelle demande pointe son nez. "business is business" et il n'y a pas de petite fortune ... 😀
En espérant avoir contribué aux réponses.
Yanolezard.
Réponse postée 15 décembre 2024 21:16
Bonjour "Je suis un pseudo" (il va falloir que je m'habitue à vos changements 😀)
1/ Je rejoins le propos de notre Estimable et Estimé "VincentB_" : juridiquement parlant, un "freelance/indépendant/travailleur-à-façon et autre vacataire"' est un sous-traitant, vis-à-vis du donneur d'ordre.
Je vous cite :
"EDF, Engie, etc, sont des grands comptes et grandes entreprises, mais ne sous-traitent pas, ni pour réaliser leurs produits, ni pour demander une expertise comme les gens comme moi, qui viennent faire des audits de code, des audits de sécurités ect. Ils contactent en direct."
Pas tout-à-fait d'accord avec ce que vous dites : j'ai toute une malle de projets, de produits et d'expertises de "haut-vol" sous-traitées à des ESN (je ne donnerais pas de noms, ni de projets, car je respecte les NDAs et la déontologie).
2/ Ayant travaillé pendant un certain nombre d'années en interne chez "Electricité & Co/Cie", puis en prestations freelance, par la suite, vous seriez surpris du nombre de développeurs "Web" et "Logiciels" portés, soit par des ESN, soit par des cabinets de recrutements, soit par des "nourrissons de tous poils" et j'en passe et des meilleures, il y a aussi des ESN "Dev" qui ont "pignon sur rue" dans certains domaines et des freelances aussi.
Les bons de commandes, je les ai vu bien en clair et j'en vois toujours passer, et des sérieux.
(PS : j'ai "piloté" de nombreux développeurs , non EDF, spécialisés en logiciels embarqués pour des produits quasi conçu et développés à 99 % par les les externes, pendant très longtemps)..., il ne faut oublier que l'informatique est un outil pour eux et ne sont pas des éditeurs de logiciels.
3/ Dans le domaine industriel, EDF possède effectivement quelques équipes Dev internes, mais beaucoup ne le sont pas ... Je connais bon nombre d'ESN, des petites comme des grandes, qui sont présentes depuis des lustres, avec une "armée" de développeurs en tout genre, et je peux dire qu'il y en a des excellents, voire des très bons, qui frisent la "haute altitude" (ce n'est pas la majorité, mais lorsque vous avez un gus, en face de vous, capable de vous concevoir, développer et programmer un analyseur de spectre logiciel, "en se morfalant un kouign-amann pour 6, en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire", on change un peu de discours).
Oui, quand il ne peuvent pas faire autrement, ils passent par le "marché parallèle" (en direct, avec les freelances). Et pour respecter un certain nombre de règles et de processus, la tendance "Direct Free" est à la baisse et même si les "pointures" sont là pour les accompagner, ils doivent passer par un "chausseur" pour des questions notamment d'interchangeabilité juridique ...(si vous êtes aux "abonnés absents" et que vous avez une place importante dans la chaîne, le projet, lui, ne s'arrête pas et parfois, ça peut faire mal).
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 15 décembre 2024 20:33
Bonjour "aszik",
Je suis entièrement d'accord avec votre point du vue : "théorie, sans pratique terrain, vaut moins qu'un pet de lapin".
Pour avoir expérimenté plusieurs fois ce genre d'exercice, on s'aperçoit que cela ne sert qu'à avoir un "bout de papier" qui n'a aucune valeur.
Je reçois des CVs avec des mentions "Maîtrise ou expertise, certifié "Lead" ou "Implementor" de l'ISO 27001/27002 et 27034 (et aucune expérience relative), je "p*ouffe un peu ..
"Puisque vous êtes certifié ISO/IEC 27034, pouvez-vous me dire comment on sécurise les bibliothèques cryptographiques utilisées dans la NIST 800-53 ?' ..... Tic ... Tac ... Tic ... Tac ...Grand blanc .... White Noise ... Imparable (je connais la réponse, mais l'interlocuteur en face, non !).
Next ...
Bien à vous,
Yanolezard.
Tu mentionnes Skills4All, et c’est vrai que les organismes de certification jouent un rôle clé. Perso, je pense qu’il est aussi intéressant de compléter ces cours avec des ressources pratiques, comme des retours d'expérience ou des outils pour structurer ses démarches. Dans un projet récent, on a utilisé une plateforme qui simplifie la gestion documentaire et aide à suivre la conformité en temps réel. C’est le genre de trucs qui permet de relier théorie et application, surtout quand on bosse avec des équipes multi-domaines.
Réponse postée 15 décembre 2024 20:20
Bonjour "Je suis un pseudo",
Si vous ajoutez le développement en ".NET" , comme indiqué, (C# ou un autre langage comme Delphi) ... ça fait du logiciel ET du Web.
PS : pour faire un langage "Web", il faut d'abord créer le "logiciel" qui va produire le langage Web.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Bonjour,
Juste comme ça mais Angular et quelques autres cités, ne sont pas fait pour faire du logiciel, mais du web.
Réponse postée 15 décembre 2024 20:13
Salut "Droopyann",
Je vous/te cite : "Pour le fait de devenir formateur en école d'ingé, c'est super intéressant mais plutôt mal payé. Surtout, ça demande un investissement de préparation des cours, généralement non rémunéré. Donc c'est pas simple."
Cela fait approximativement un peu de 15 ans que je pratique la formation en école d'ingénieur et autres du même genre (voire même en Faculté) : cela dépend de nombreux facteurs : si le volume est assuré (noir sur blanc, signé/tamponné), à l'année, je négocie un tarif au forfait, avec quelques ajustements : j'inclus, par exemple, la "location" de certaines de mes certifications/accréditations, pour certaines formations précises, en fonction aussi du nombre de personnes : au-delà d'un certain nombre de trombines et de jolis minois, le tarif n'est pas le même, si apport de matériels spécifiques ... j'arrive à 67 euros TTC de l'heure et c'est plutôt bien, public ou privé.
Si ce sont des formations par des "OF" (organismes de formations), dans ce cas, ce n'est pas la même musique, ni les mêmes attentes, ni les mêmes conditions (exemple : une formation de 3 jours, en cybersécurité stratégique peut se négocier différemment).
Une chose est sûre, par contre et je rejoins votre/ton commentaire : il y a un gros travail de préparation, de conception (à la fois andragogique et "technique", préparation des ateliers, dépôts juridiques des manuels, ...) et si on est "astucieux", on s'arrange pour réintégrer cette partie, lorsqu'une nouvelle demande pointe son nez. "business is business" et il n'y a pas de petite fortune ... 😀
En espérant avoir contribué aux réponses.
Yanolezard.
Réponse postée 15 décembre 2024 19:52
Bonjour "Free-Worker-Starter",
Il aurait été judicieux de présenter simplement ce qu'est "NinjaOne" (qui est par ailleurs, un excellent produit, venant d'Allemagne - Berlin, en 2013).
Le rôle de NinjaOne : plateforme de gestion automatisée des terminaux, en mode Saas, pour terminaux Windows/Mac/Linux, écosystème VMWare, Infrastructure Cloud/tout ce qui est accessible via SNMP - Simple Network Management Protocol), Android, iOS, etc.
Petit rappel SNMP : Simple Network Management Protocol (en abrégé SNMP), en français « protocole simple de gestion de réseau », est un protocole de communication permettant aux administrateurs réseau de gérer les équipements du réseau, de superviser et de diagnostiquer des problèmes réseaux et matériels à distance.
La gestion des terminaux (industriels, ordinateurs de bureau, serveurs, clients légers, smartphones, tablettes, ordinateurs portables).
La gestion des appareils mobiles (Mobile Device Management : un peu différent des "MdM" traditionnels).
La gestion des vulnérabilités liées aux terminaux
La gestion des correctifs relatifs à ces terminaux (mais pas que : il est possible également de mettre à jour des firmwares).
La sauvegarde des données des terminaux.
La gestion des accès à distances de ces terminaux (quelques restrictions ou plutôt exceptions).
Le renforcement de la sécurité terminaux (avec risques et impacts en temps réels).
Une petite recherche rapide d'intégrateurs, avec votre ami préféré, devrait vous apporter la solution (la France est un vaste territoire).
PS : je l'ai conseillé à l'un de mes clients, qui en est pleinement satisfait (gestion de 750 terminaux aussi divers que variés, aussi "obsolètes" que "tout neufs") et que l'on a intégré, comme des grands, en équipe ... c'est assez simple et vous pouvez même vous former à la solution et devenir partenaire.
En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes ...
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 4 décembre 2024 19:29
Bonjour à toutes et à tous,
De plus en plus fréquemment, la population des développeurs/développeuses (systèmes/applications) se tournent vers la "facilité" d'une sorte d'Intelligence Artificielle (IA spécialisée) pour produire (pi*sser) du code informatique.
Cela amène plusieurs questions :
La créativité ferait-elle défaut ?
Dans un "lointain" passé, les louanges autour des "Analystes-Programmeurs", des "Analystes-Développeurs", des "Analystes-Réalisateurs" étaient au firmament et justement, les organisations se les "arrachaient' car ils étaient ou représentaient ce qui se faisait de mieux en terme de créativité en programmation informatique (et il est loin ce temps ... qu'il faudrait peut-être songer à faire ressurgir).
Cette "IA" spécialisée est-elle un "aidant" ou un "accompagnant" ?
"Aider" : faire à la place de ...
"Accompagner" : ne pas faire à la place de ... guider pour trouver la meilleure solution.
Au final, c'est beaucoup de facilité .... un prompt bien "enveloppé" et en "2 coups de cuillère à pot (ou de louche), l'IA déverse un flot et un flux de codes (parfois énigmatiques voire hallucinogènes ou halogènes selon la nature du modèle LLM), qu'il faut souvent retoucher (comme la couturière avec ses ourlets).
Sans être "provocateur", une "IA Générative" (IAG) est un outil parfait pour les "fainéants du code plus ou moins propre".
L'IAG va "réfléchir" à votre place, produire ou pas de "alambiqué", plus ou moins optimisé/profilé, avec ou sans bugs, allant chercher des dépendances sans trop les regarder, ne pas vérifier si un code a été banni pour plein de justes raisons ...
Et la maintenance de ce code, va-t-elle être aussi simple à faire que cela, à tous les niveaux de l'organisation ... Il suffit d'un humain, d'un grain de sable, d'un caillou ou d'une défaillance du modèle, de l'algorithme, d'un paramètre pour que le code généré s'abandonne joyeusement, ruisselle gaillardement dans les antres et les affres d'un SI pour participer à la fête.
L'IA Générative (même spécialisée) reste une "machine" ... elle produit du code programmatique à la demande, sans rien ... demander en retour, pas même une rétribution ou une modeste contribution ...ce qui pose, en soi, plusieurs interrogations :
1/ En bonne logique, tout travail méritant salaire/rémunération : une partie du TJ devrait être attribuée à l'IAG puisque c'est elle qui a "travaillé" à votre place.
2/ La mention "générée par l'IAG "xxxx" devrait figurer quelque part dans les entêtes ou pieds-de-page des fichiers sources ou dans le code lui-même, ne serait-ce qu'éthiquement parlant ... car bon nombre d'individus s'attribue généreusement la propriété intellectuelle de cette production et déontologiquement, devant son propre miroir, cela pose question.
3/ Quid de la recherche en/de la responsabilité en cas de gravité ?
Officiellement, l'IA n'est que virtuelle (une suite "machiavélique et gargantuesque" de paramètres, d'algorithmes et de modèles ... dénuée de toute humilité, de tous remords ou de regrets, aussi froide et glaciale que la lame du po*ignard d'un nageur de combat de la Marine Nationale).
Que se passe-t-il, se passera-t-il ou se passerait-il si une erreur fatale due à cette génération de code mettait en péril toute ou partie d'un SI, standard ou industriel, que les "dégâts" directs, indirects ou collatéraux concernent des octets ou des humains (l'Homme est loin d'être parfait, surtout lorsqu'il manipule une machine dont il ne maîtrise pas le fonctionnement ... L'IAG, c'est aussi cette part de mystère .
Questions philosophiques ? Éthiques ? Déontologiques ? Conscience ou Inconscience ?
Le débat est ouvert ...
PS : j'utilise aussi de l'IA, des Systèmes-Experts, mais uniquement selon des uses-cases bien précis, mais si je peux m'en passer, je le fais avec plaisir et créativité.
Bien cordialement,
Yanolezard
Réponse postée 4 décembre 2024 18:36
Bonjour "Freelance91",
Cette organisation fonctionne de plusieurs manières :
Officiellement, les prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon sont devenus "persona non grata" depuis plusieurs années.
Officiellement, les prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon doivent "signer" un CDI avec un intermédiaire (ESN, CR) pour prouver qu'ils sont bien "employés" par ces "loufias" avec une jolie attestation URSSAF (attestation d'1 journée à 5 jours, histoire de ... ) et une fois le contrôle passé, le "tour de passe-passe" s'efface collégialement et chacun revient à sa place ... seule contrainte : l'intervenant doit toujours se méfier et dire, même sous la "tort*ure : "Oui, Monsieur/Chef ! je suis bien salarié du "loufia x".
Officieusement, lorsque ladite organisation ne trouve pas " chaussure à son pied" ouvre le cadenas du "marché alternatif" (comprendre "aller à la pêche au prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon, discrètement ... bouches-à-oreilles, "petits réseaux entre amis", ...), le TJ (toujours raisonnable n'est pas véritablement un problème) et lorsque la cible est repérée, identifiée, vérifiée, le reste n'est que futilité.
Je me rappelle que les prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon font partie de la fameuse et énigmatique "marmite des 11% ... invisibles".
Pour la petite histoire, certains "DBA Oracle / DB2 / Sybase Level 3 or 4" indépendants sont "assis" confortablement dans cette organisation depuis des lustres, sans inquiétudes et seront encore là jusqu'à leurs retraites avec des TJ frôlant l'insoutenable (pour certains) depuis qu'ils sont à bord du "Navire Amiral" ... Petite anecdote arrivé à l'un deux (que je connais) : dans le parking central, il lui a été gentiment demandé de "déplacer" son "monstre de puissance" vers une place plus appropriée et moins visible du reste des collaborateurs du parking.
Tout ce beau monde est parfaitement au courant de "comment ça marche" et des "contraintes" imposées.
Ce genre de pratiques n'est pas spécifique à ladite organisation et beaucoup d'acteurs du même genre, à secteurs/domaines identiques procèdent exactement de la même manière.
Bien cordialement,
Yanolezard
Officiellement ils ne prennent plus d'indépendants depuis des années, non ?
Réponse postée 29 novembre 2024 20:58
Bonjour "FreeWorker-777",
La suite n'est que futilité ...
Tous les 6 mois, ils (re)publient des demandes de ressources avec les mêmes âneries (copier/coller).
Tous les 6 mois, mes amis et moi-même répétons aux mêmes "cabinets, ESN, et autres profiteurs - qui n'entravent que couic", la chanson des "Grognons Grognards de l'Empereur".
Cela fait maintenant 3,5 ans que les vents de travers sont amplifiés par "Force 3 à 5" (météo marine en AM ou ondes courtes, la plus fiable)
Quant aux dérives, c'est pire que l'Âge de Glace et les copains de "Sid le Paresseux".
Le budget est plombé car il faut sans cesse boucher les trous dans la cale, qui ressemble aujourd'hui au bateau des pirates dans Astérix.
("Tu sais ce que c'est que ça ? (en s'adressant à César, le capitaine pirate lui tend un morceau de planche du pont inférieur) ...
Non, mais tu vas me le dire ... Eh bien, c'est tout ce qui me reste de mon bateau, mi, un honnête pirate ...
César, en colère : "Et bien, tu peux te le coller quelque part, ta planche, ton bateau et les coquillages avec !!!!).
(Mal)Heureusement, ils ont les instances étatiques et internationales "aux f*sses (comme les brigands avec la Police) et c'est plutôt la "course à l'échalote" (ou aux oignons) car là (sans jeu de mot inapproprié), ça commence à piquer sévère, étant donné que le budget initialement prévu n'est pas élastique et encore moins en toc.
Heureusement, 1 ou 2 internes (que l'on avait "extirpés" et rudimentairement formés aux bons moments) ont repris un peu de "poils de la bestiole" (ils nous interrogent parfois sur quoi faire ou aller et on prend le temps de leur expliquer quoi faire/dire/répondre/écrire/lancer/contrôler/auditer, sans trop "r"éveiller les soupçonneux ...qui doivent se douter qu'il y a "anguille sous roche" ... des phases de "steppes" qui apparaissent, sorties comme "un lapin d'un chapeau" n'est pas que pure coïncidence.
Et comme ces 2 projets ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre et que certaines populations "d'Huiles" sont sous pression, au regards des lois internationales .... il y a double dérives ... ils sont passés de 3800 j/h à + de 5000 j/h, avec moins de brouzoufs (à ce rythme, ils ne pourront plus prendre un "taxi pour Toubrouk").
A l'époque de "notre débarquement" et une fois les pieds sur le "plancher des vaches", nous leur avions conseillé ce livre (on y apprend beaucoup de choses : https://www.amazon.fr/TRAVAILLER-LINDISPENSABLE-GUIDE-SURVIE-BUREAU/dp/2350760715 )
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 29 novembre 2024 20:14
Bonjour "NSV",
En ce qui me concerne, il n'y a aucune réponse d'un outil d'IA.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Sympa les réponses de chatgpt...
Réponse postée 29 novembre 2024 12:28
Bonjour "Erwann P.",
Je rejoins votre propos sur : " Mon expérience me donne l'impression que pas mal d'internes se sont souvent sentis menacés par ma prestation".
Cela m'est arrivé aussi il y a quelques mois ou années maintenant, pour un groupement assurantiel fort connu, dans une région où le fromage de chèvre est à l'honneur tous les jours.
Les sujets à traiter étaient assez "touchy, velu, trappu, chelu" et peu de personnes (une poignée dans une petite main) en France étaient en mesure de les traiter convenablement, en évitant les banderilles, les peaux de bananes et les herses anti-chars.
L'équipe cliente nous a réuni (1 freelance par coin de France, soit 4 personnes + 1 directeur d'ESN ayant vendu la solution) pour traiter de ces sujets complexes (on parlait de 3800 jours/homme), mais nous avait fort mal évalué et n'ont pas pris le temps de parler avec nous ... quasi "carte blanche".
Non seulement, le dérive de ce projet ouvert depuis 17 mois, avait du "plomb dans le bois", en "serrant de près", on a ramené le bateau dans la ligne de vent en 4 mois, remis tout le monde (90 personnes) autour de la "table des cartes et des instruments" avec instructions/actions précises et chirurgicales pour chacun des matelots => l'équipe globale interne était "aux abois" et complètement "aux fraises ou aux champignons", totalement dépassée par les évènements ... on a bouclé le projet stratégie/business/fonctionnel avec 1 mois d'avance et on s'est fait sortir (l'arrête d'un conteneur, non signalé et non répertorié, en pleine nuit, dans la coque d'un trimaran de course, plein nœuds ... pas de détail) : un directeur visiblement agacé et énervé n'a pas apprécié que l'on vienne inopinément lui "subtiliser" les honneurs du projet et a balancé ledit conteneur à la "baille" ... on s'est tous fait sortir pour (il faut être gonflé comme Vahiné) : association de sous-traitance en freelance ayant un but de surclasser l'équipe interne du projet "xxxx" et "zzzz" par excès prouvé de compétences trop avérées ... depuis, nous sommes considérés comme "personae non grata" pour ce groupement ... comme quoi, il faut de tout pour faire un monde.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Bonjour,
Je ne sais pas si c'est une question de jalousie.
Mon expérience me donne l'impression que pas mal d'internes se sont souvent sentis menacés par ma prestation.
Mon interprétation est que vraisemblablement je les gênais parce que:
1) Mon investissement et la qualité de mon travail rendait évident que le leur n'était pas terrible.
2) Ils sont dans une démarche de recherche de pouvoir au sein de leur entreprise et mon attitude intègre, visant à rendre transparent toute chose dans le process afin de mettre en place une vraie amélioration continue, gâchait l'impression de perfection qu'ils voulaient donner et leurs discours pour se faire mousser auprès des managers.
Il faut du courage pour être indépendant, ça forge le caractère. Il est possible que tu tombes sur des personnes qui n'ont pas ce courage et qui le vivent mal (l'envie est là mais ils n'arrivent pas à se lancer, peut-être par peur ou parce qu'intérieurement ils savent qu'ils n'en sont pas capables). S'ils voient que de ton côté tu gères ça très bien ça peut les rendre aigris et entrainer ce genre d'attitude.
Pour gérer ce genre de situation ça dépend du niveau de dépendance que tu as avec cette personne dans ta mission. Le plus simple est de prendre de la distance, voir de l'isoler au sein même de l'entreprise en te rapprochant d'autres internes qui t'apprécient et qui lui mettront la pression vis à vis de son attitude à ton égard.
On est également dépendant de la politique du client final. Celui chez qui je suis actuellement met clairement les internes au dessus des prestataires alors que j'ai été chez des clients qui communiquaient pour qu'il n'y ait pas de discrimination entre internes et presta et étaient très vigilants sur ce point.
Si le client final voit les prestataires comme des larbins pour répondre aux ordres des internes qui ne foutent rien, passent leur temps en réunion et comptent sur les autres pour produire et faire avancer les choses, il faut aller voir ailleurs.
Réponse postée 29 novembre 2024 12:00
Bonjour "ArmLamba",
Je vous rejoints sur certains points. Néanmoins, pour les marchés que j'adresse, je rencontre plusieurs situations :
"La patte dans Azure et la bureautique collaborative" : pas toujours vrai, en fait ... Certains clients veulent rester "compliant" dans le "libre" échange de documents bureautique et prennent de l'O365 mais pour le reste, pas question d'Azure (il y a de multiples raisons propres aux organisations)
Pas besoin d'être "à l'échelle conséquente" pour passer sur de l'AWS ou du GCP : j'ai des petits éditeurs de logiciels de gestion ou d'autres secteurs (startups) ou TPE/TPI/PME/PMI/ETI qui prennent de l'AWS car c'est fiable, éprouvé, sécurisé ... en 10 ans, j'ai dû avoir un "blocage" de sécurité de 2 heures pour de l'IIoT ... En 2 ans, j'ai eu 20 blocages d'IIOT sur Azure).
De plus, AWS est plus "ouvert" à la discussion sur les aspects commerciaux et juridiques (éprouvés plusieurs fois avec un taux de réussite, en toute humilité , de l'ordre de 65%, ce qui est déjà bien, vu la qualité de leurs contrats - et je connais la "boutique internationale" qui leur valide leurs contrats (ayant travaillé pour cette même "boutique" en filiale française).
Pour GCP, j'ai des organisations de toutes tailles, plus orientées services/dev ou alors qui demandent du "lourd" (compute/storage à hautes performances, et pas forcément dans la durée ... la dernière en date sera pour de l'IA non générative et des systèmes-experts en Prologue).
Pour l'OCI, je ne traite pas encore (mais ce n'est pas mon chemin)
Pour de l'OVH, Outscale et autres SecNumCLoud, j'en fais de plus en plus et pour négocier les contrats, c'est nettement plus facile, la discussion est plus ouverte (commerciale et juridique).
Je n'ai pas la "science infuse", très loin de là ...Ce que je relate ici ne sont que mes expériences et les pulpes de fruits recueillies avec soin de ces mêmes expériences, tout au long de mes pérégrinations et autres tribulations respectives et je conçois parfaitement que d'autres avis divergent, chacun voyant "midi à sa porte", qu'il soit de nature international, européen, national, régional, départemental ou local .. je suis sur le terrain du quotidien, assez en présentiel pour rencontrer les prospects, les futurs clients et répondre à des besoins au mieux de leurs attentes, hors des sentiers battus par les médias à chiffres.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Azure c'est un peu la solution de facto dès lors que l'entreprise a une patte dans l'écosystème Microsoft...donc hors startup, à peu près tout le monde :D
Pour être dans une structure qui fait du multi-cloud à une échelle assez conséquente, on a du AWS, Azure, OCI (oui oui), et bientôt GCP
Les applis font à peu près la même chose sur AWS/Azure, pour les applis "toutes justes sorties de l'ESX" qui font du compute/DB classique, AWS ou Azure on s'en fiche un peu. Le serverless c'est une autre histoire, j'en fait beaucoup sur AWS c'est un plaisir. On a vite besoin de compétences de dev/data/IaC pour gérer tout ça à l'échelle (et ouais, faire tourner du terraform dans Lambda, 1000 déploiements en parallèle c'est magnifique). Azure je ne sais pas ce que ça donne. Je crois que les services y sont, mais ça se tire la bourre surtout sur les perfs.
La grosse différence que je vois au quotidien : il y a TOUJOURS des incidents sur Azure, c'est un truc de fou. AWS c'est assez stable, sauf une fois par an où y'a vraiment un gros plantage type IAM qui déconne et qui impacte toute la planète (bah alors le well architected? blast radius de type nucléaire?)
Le truc qui me saoule avec le cloud chez tout le monde c'est qu'il n'y en a que pour l'IA. Tout tourne autour de l'IA. Pendant ce temps, il y a de vrais progrès à faire en terme de sécurité, infrastructures distribuées, et observabilité...Quand le serpent aura fini de se mordre la queue à s'entraîner sur ses propres résultats peut-être qu'on reviendra à des choses intéressantes
Réponse postée 29 novembre 2024 11:33
Bonjour "Free-Worker-Pharma",
Les procédures de réponses aux Appels d'Offres (AO) pour les freelances ont été simplifiées et ne demandent plus la constitution d'un énorme dossier de candidatures où il manque toujours un papier ou un formulaire avec un tas de justificatifs divers et variés à fournir, avec un tube de "Doliprane" à proximité de votre table de travail.
Résultats : abandon des dossiers en constitution et possible manque du business (les meilleurs, arrivant au bout du parcours, mettaient quelques jours, voire semaines de "jus d'énervements") ... L’État n'avait pas prévu, à ces moments-là, que des (très) petites structures pouvaient répondre au même titre qu'un "habitué", d'où cette "simplification" certes arrivée un peu sur le tard, mais bénéfique pour le business, si choix de travailler avec les collectivités locales, territoriales ou nationales (attention, il y a des spécificités propres, notamment sur les conditions de paiements, et qui ne sont majoritairement pas trop négociables ... pour la petite histoire, si vous êtes en avance sur la facturation électronique, vous avez beaucoup plus de chance que votre candidature se trouve remontée vers le haut d'une pile).
Une des seules contraintes aujourd'hui à respecter est la signature électronique du dossier complet, doit être est de type "avancée" (on trouve un tas d'articles sur le choix et les bonnes pratiques des solutions de signature électronique).
Au-delà des AO :
Vous avez un site plutôt bien fait (pas de publicité pour la netiquette du site Free-Work 😎), qui regroupe toutes les demandes et les AO publiques, c'est un outil sympathique, parfois un peu envahissant en termes de notifications (le site est un peu neuf, il faut le temps du rodage avec le retour des utilisateurs dans but d'amélioration : je n'ai aucune action chez eux et je l'ai découvert vraiment par hasard : une seule adresse email + couple identifiants choisis en amont).
Vous pouvez aussi trouver 1 ou 2 petites structures françaises, bien placées, très fiables - des anciens plein d'astuces - , justement spécialisées dans l'accompagnement des montages pour les réponses d'AO (et qui se rémunèrent sur un très faible pourcentage sur la réussite d'un dossier ou en "one-shot" (il suffit de chercher peu avec votre "ami préféré").
Pour le reste des plateformes d'AO, certaines entreprises privées ou semi-privées possèdent ou font appel à des structures privées que l'on trouve, en peu de recherches (comme la SNCF par exemple ou VEOLIA) ...
Pour ma modeste contribution.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Bonjour,
Je découvre ces plateformes d'appel d'offre, certaines missions seraient dans mes cordes.
Des retours d'expériences sur des candidature à des appels d'offre publics? On a une vague chance d'être pris en tant que freelance?
Réponse postée 28 novembre 2024 23:04
Bonsoir "FreelanceDream",
Azure n'adresse pas les mêmes marchés de toute manière et tant mieux si ils font du CA : cela prouve que des organisations en ont besoin.
Par contre, sur le terrain, le CA ne dit pas que certains migrent ailleurs (il ne faut surtout pas affoler le "marché") et je le vois tous les jours, petit pas par petit pas.
J'en discutais encore ce matin et sans faire l'autruche ou l'opossum, et hop ! deux startups dont je vais m'occuper migrent d'Azure vers GCP, pour de la Data/IA en HPC , comme quoi ... il n'y a pas que moi qui le dit.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 28 novembre 2024 11:56
Bonjour "revo",
Je vous rejoins sur quelques points :
Le cloud n'est qu'un "entrant" dans l'écosystème "DevOps" : d'ailleurs, bien avant que le cloud et le "DevOps" ne soient sur les Dev(ants) de la scène (1000 excuses pour le jeu de mots ;-), on pratiquait déjà le "DevOps", comme Mr Jourdain faisait de la prose.
Il est vrai que l'écosystème de la sécurité est en manque de développeurs compétents et bien "câblés" (on ne fait pas n'importe quoi, n'importe comment, ni n'importe où) et demande quand même un certain niveau de maturité, notamment lorsque l'on sort de l'angle Web et que l'on adresse des problématiques plus "terre-à-terre", plus "chelues, velues, trappues".
Les outillages "Dev ... Ops" : il y a(ura) toujours cette puérile velléité entre les "Dev" et les "Ops", sauf si l'on insère les "Sys" (Dev ... Sys ... Ops) : AWS a très bien compris la chose dans son système de certifications (AWS SysOps).
Néanmoins (je vais le faire exprès : le Développeur a un un instinct un peu "bordelique" dans ses pratiques professionnelles et joue constamment au "Chaton Equilibriste" - j'ai été développeur pendant 15 ans, je le suis encore un peu dans certains cas systèmes, donc j'ai un "peu " d'expériences, notamment dans les "embedded security systems") et il ne serait pas inopportun d'ajouter un fond ou des compétences d'architectes pour augmenter et prendre de la hauteur/valeur, ce qui dans le lot, apporterait, à la fois pour le prestataire (il prend du recul et n'agit pas direct à l'instinct) et pour le client (qui n'a pas en face de lui, un "lapin de 6 semaines" ou un "perdreau de la dernière année", car contrairement à ce que l'on peut raconter, tous les clients ou intermédiaires d'ESN ne sont certes pas des "cadors" mais certains, non plus, ne sont pas "à prendre pour des truffes" (même si la saison est propice).
Il y a toujours moyens pour promouvoir ses savoirs (faire, être) même si l'expérience éprouvée n'est qu'un ersatz.
Pour ma modeste contribution,
Bien cordialement,
Yanolezard.
Le cloud n'est pas du devops c'est des outils managés à configurer. On y a vite fait le tour...
Le devops c'est une culture, c'est le fait d'automatiser des tâches, de fournir des outils (factory) pour les développeurs (cicd, déployments, ..) et pour créer ces outils c'est mieux d'être développeur.
Dans la sécurité il y a moins de développeur et tout plein de chose à créer.
Réponse postée 28 novembre 2024 11:18
Bonjour "FreelanceDream",
Je travaille quasi quotidiennement avec ces 3 fournisseurs, qui n'adressent pas les mêmes catégories d'organisations, ni les mêmes marchés.
De par mes expériences (ce ne sont que quelques exemples),
les startups, que j'assiste et qui développent des produits Saas à hautes valeurs ajoutées sont ou partent en (Sec)Dev(Sec)Ops(Sec) sur AWS ou sur GCP et non sur Azure.
les secteurs que j'adresse (TPE/PME/TPI/PMI : innovation, recherche, IA, ML, DL, Data, Blockchain, IIoT) sont AWS en majorité, suivi de très près par GCP.
j'adresse aussi des ETI ou des organisations qui sont "Full Azure" (pour du Dynamics, de l'API, de l'IioT, de l'infra cloud bon marché, ou de la Data) : certaines en sont satisfaites, d'autres beaucoup moins, d'autres encore cherchent à quitter Azure (instabilités notoires pour certains services, bibliothèques qui disparaissent, services en bêta/prod qui s'annulent sans rien dire ...) pour AWS et je ne suis ni pour les uns, ni pour les autres, c'est un simple constat que je fais de par ce que j'adresse.
J'ai eu (la chance) d'être au départ historique des offres AWS, Azure, GCP et je les ai vu se développer, chacun leur tour, avec leurs lots de "good" et de "bad".
J'ai eu l'occasion aussi d'avoir été invité chez AWS pour voir comment un service naît, comment il est conçu, comment il est testé et utilisé au sein de la DSI d'AWS, avant d'être mis à disposition des clients .... J'ai tenté la même chose avec Microsoft (bien que partenaire et Alumni depuis très longtemps) : sans succès et avec GCP, aucun problème.
Quant aux chiffres du marché, je n'en tiens pas compte et mes clients non plus : ce qui les intéresse, c'est ce qu'ils peuvent réaliser et vendre (en interne, comme en externe) rapidement, de manière fiable avec un support sans faille, au juste coût et à la sécurité éprouvée.
Alors même si vous pensez que je suis "lambda" sur un forum "lambda" (en parlant de "lambda" : https://aws.amazon.com/fr/lambda/features/), grand bien vous fasse et libre à vous de le penser : ce genre de commentaires ne m'atteint pas mais je me devais de vous répondre, ce qui ne m'empêche pas de vous souhaiter une belle journée.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 27 novembre 2024 23:25
Bonjour "AF.NY.",
Les certifications "Azure DevOps" ne sont pas très représentatives de l'écosystème "DevOps".
Celles d'AWS et de GCP (Google Cloud Platform) sont assez coûteuses en termes de préparations et de passage car il y a de vrais ateliers bien "velus, chelus, trappus" qui sont tirés des expériences de la vraie vie d'un Sys(Sec)Ops / Dev(Sec)Ops ... Par expériences et par ceux que je côtoie, ces certifications sont bien recherchées : AWS et GCP s'adressent à de vraies entreprises, Azure est plutôt considéré comme un "outillage" pour les PME.
Cela dit, comme le précisait le "free-worker ArmLambda", rien ne vaut des expériences "projets/réalisations". Avec les technologies et les facilités d'apprentissages (plus ou moins gratuites), vous pourriez accéder à un Git "Lab" ou "Hub", préparer un environnement avec du Kubernetes, de la CI/CD, etc ... et si vous le pouvez, participez à des manifestations "Devops" (bootcamp par exemple, même si c'est un peu "relevé" par rapport à vos connaissances, c'est toujours agréable d'apprendre de ses pairs).
Et puis, pour accéder à l'Antre du "Dev(Sec)Ops", mieux vaut commencer par le "garage Cloud" (des petites missions cloud, design, sécurité de bases, écosystèmes Kubernetes, testing, monitoring, Finops ... Dev(Sec)Ops n'est que la dernière étape du processus, mais avant cela, il faut bien maîtriser les processus et les bases de départ.
Si cela a pu contribuer à éclairer quelques lanternes.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 13 novembre 2024 10:03
Bonjour "ouinon",
J'ai déjà rencontré ce genre de situations avec d'anciens collègues freelances, pour en avoir discuté longuement avec des services "Achats & Juridiques" d'ESN de toutes sortes (mais aussi des cabinets de recrutement/placement). Mes constats, c'est que beaucoup fonctionnent en mode "méfiance" :
Le statut "Auto-Entrepreneur" ou "Micro-Entrepreneur" = "nids à embrouilles" (en cas de problèmes divers et variés, beaucoup de difficultés à gérer)
Les clients "finaux" de ces ESNs sont de plus en plus méfiants sur ces statuts "très seul" :
vers qui se tourner en cas de défaillances d'activité ? => capacité à "dédommager", départ anticipé façon "on laisse le pot sous la vache", etc.)
Pour certaines organisations, "auto/micro-entrepreneur" = pas sérieux et à la "petite semaine".
La vue d'une structure de type "EI" (à minima) ou "EIRL" (Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée), par exemple, rassure : ET l'ESN ET le CLIENT FINAL. (il y a un vrai SIREN/SIRET, un n° de TVA Intracommunautaire - ou pas, selon), une RCP/RCE (Responsabilité Civile Professionnelle / Exploitation), un KBIS, ... (ce qui m'a été rapporté par les services concernés).
Peut-être que votre intermédiaire ESN si situe dans ce cas ...
En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes,
Bien cordialement,
Yanolezard
Réponse postée 7 novembre 2024 15:39
Bonjour "Marou77",
Bienvenue sur le forum.
Sans être indiscret, quel est votre domaine d'activité ?
Sortir du "privé" pour une proposition dans le "publique", c'est plutôt rare dans ce sens ... Donc, vous devez avoir un profil intéressant.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 6 novembre 2024 16:41
Bonjour "lydia09",
Bienvenue dans le monde de la "WomenTech".
Les "affaires internationales" restent toujours un peu "complexes" à résoudre.
Ce forum (peuplé de bonnes intentions et d'accompagnement, sans offenser qui que ce soit) n'est pas forcément le lieu idéal pour avoir des réponses claires, précises, et surtout validées et tamponnées, ce que vous recherchez plus in fine, dans et relatif à votre contexte.
Nous essayons, au maximum de nos connaissances et de nos compétences, d'accompagner le plus grand nombre de "questionneurs" ... néanmoins, mêmes les plus affutés d'entre-nous, n'avons pas forcément les réponses à ces questions contextuelles.
D'ailleurs, vous l'avez dit vous-même dans un précédent fil (vous avez 2 fils de discussions d'ouvert pour quasiment le même sujet) :
"Qui serait le mieux placé pour répondre à mes questions et résoudre mes problèmes : un expert-comptable, un avocat ou un fiscaliste ?"
Le mieux serait de prendre contact avec un avocat-fiscaliste en droit international (option Algérie) :
Supposant que vous habitiez Paris ou ailleurs : il existe la "Maison des Avocats" (une petite recherche rapide, à l'aide de votre moteur préféré).
Dans ma région, la "Maison des Avocats" existe et offre une consultation gratuite (après, c'est payant : tout travail méritant rémunération).
Sinon, toujours à l'aide de votre moteur de recherche préféré, vous trouverez des avocats-fiscalistes, sérieux, spécialisés en droits des affaires, des contrats internationaux (je n'ai pas le droit de faire de publicité afin de respecter la charte du site).
Pour ma modeste contribution à votre réflexion.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 5 novembre 2024 14:10
Bonjour "donj8e",
D'abord, félicitations pour la réussite de votre alternance et l'obtention de votre diplôme dans le vaste écosystème de la (cyber)sécurité.
Vous avez pratiqué du "DevOps" :
1) - Le "DevOps" n'est pas un métier : c'est un état d'esprit, une culture d'entreprise, une démarche, une philosophie ... En ce moment, l'IT met ce mot à toutes les sauces et en devient un galvaudage. A noter qu'il est plus délicat pour un "Ops" de faire du "Dev", que l'inverse et si l'on prend le cas des "SysOps" qui sont plus proches de la vérité (c'est un débat philosophique ....).
Dans la démarche "DevOps", on inclut de plus en plus de "stream de sécurité", à différents niveaux :
Dev(Sec)Ops, (Sec)DevOps, DevOps(Sec) ou du (Sec)Dev(Sec)Ops(Sec) => cela fait plusieurs années que je pratique le dernier choix et les retours de résultats et de bénéfices sont à 95% positifs (c'est une autre débat) => ce qu'il faut voir ici, c'est que plusieurs métiers/fonctions/rôles/profils peuvent interagir dans le processus du "Devops".
Sécurité en amont des projets, sécurité pendant le projet, sécurité en aval des projets, sécurité en post-production
2) - Le vaste univers du "Pentest" (BlackBox, GreyBox, WhiteBox, RedTeam, Blueteam, PurpleTeam, BugBounty) :
Le "Pentest" (tel que présenté dans la plupart des annonces ou des métiers) n'est plus une niche : pentester un site web ou une application web, un Active Directory ou un Azure/AWS/GCP devient d'une banalité sans nom (la majorité des outils sérieux sont offerts par l'opensource ou le libre ... c'est devenu aussi "facile" que de faire une "homepage" en PHP avec "SPIP").
Des "pentesteurs" de ce type, j'en trouve "100 à la 12zaine" ... par contre, des "pentesteur" type "Bugbounty", c'est une autre "paire de manches" (il faut avoir un "top niveau" en sécurité : pour s'exercer, essayez le challenge de l'ANSSI et de son écusson. Beaucoup s'essaient, peu arrivent au bout (9 niveaux).
Des "pentesteurs" sur de l'embedded (embarqué), là, ils se comptent sur les doigts d'une main (secteur aéro, auto, nucléo, médico, blockchain, IIoT, IA, Défense, Robotique, PLC, machines industrielles ...). Nombreuses demandes, peu d'élus = "pénurie".
Comme le disait un précédent internaute, l'écosystème de la (cyber)sécurité ne s'arrête pas au "pentest" ou au "Devops" :
entre l'offensif et le défensif, il y a le forensique, l'investigation, le juridique, le pénal.
les nouvelles technologies : Blockchain, Intelligence Artificielle, Quantique
l'embarqué : et pas que l'IOT/IIOT, tout ce qui embarque du code dans un "Bios", un "Firmware', un ensemble électronique, un calculateur (je connais des personnes dont le métiers est l'analyse de sécurité du code en temps réel, pour les salles de marché ou pour les calculateurs en avionique).
les réseaux et les protocoles de communications : analyse de trames, de l'analyse de code (en utilisant des "SAST" , "DAST" et autres du même acabit.
D'autres métiers autour du SOC (très en vogue actuellement), de la détection des menaces, des risques, des crises, de l'architecture en (cyber)sécurité (IT/OT).
Il y a quelques références intéressantes autour des métiers de la cybersécurité et les tendances :
(sans faire de publicité : https://guardia.school/metiers/)
Si j'étais "novice" en la matière, j'aurais une approche "pieds de marmite" (3 comme pour les vieilles marmites en fonte, celles dans lesquelles on fait les meilleures soupes et les meilleurs plats), en cumulant connaissances, expériences, compétence, formations et auto-formations, certifications, etc. :
un socle technique de base (architecture de sécurité car cela couvre à peu près le toit de la "cyber")
une spécialité : le pentest avec options, ou de l'analyse de sécurité de code, ou du forensique, ou du SOC (et ce qui tourne autour)
une complémentarité : OSINT, RGPD, "Devops" (? Sec ?), IA (au sens large), Blockchain, Datas, Solutions matériel/logiciel (sondes, firewall, hsm, de l'ICS, .... avec une bonne de dose de normes (ISO 27001 et consorts, NISv2, NIST, ...)
une subsidiarité : avec de l'expérience, on peut devenir formateur en "cybersécurité"" ou se diriger vers une fonction de collaboration (RSI, RSSI, CISO, PO, CTO, etc.).
Il y a différentes façons d'exercer dans la cybersécurité, le tout est de savoir par où commencer (l'entrée du tunnel) ... les routes ne sont jamais droites, pas toujours bien éclairées, les "nids-de-poules" sont existants, et cela ne s'arrête jamais ...
PS : cela fait environ 40 années que je vagabonde dans les limbes de la (cyber)sûreté/sécurité informatique, entre autres) et j'en découvre tous les jours et ce n'est pas prêt de s'arrêter.
En espérant avoir pu contribuer à éclairer quelques lanternes,
Bien à vous,
Yanolezard.
Oui c’est un peu ce côté niche (= plus de demandes quand on est bon) que je recherche. J’essaye de voir le truc le plus long-termiste possible et c’est pour ça que je viens vers ce forum pour votre recul et expertise
Réponse postée 4 novembre 2024 17:04
Bonjour "HiFriend",
Le nombre de modules/compartiments/plaques permet de stocker et de redistribuer la puissance calorifique plus finement et de manière équitable et répartie.
Comme les goûts et les couleurs ne se discutent pas, il n'y a que vous qui puissiez faire votre choix selon vos besoins, vos envies, vos finances ...
Bien cordialement,
Yanolezard.
Pour la première marque, je vois celui ci en promo : https://www.klarstein.fr/Chauffage/Radiateur-a-bain-d-huile/Thermaxx-Heatstream-radiateur-a-bain-d-huile-2500-W-5-35-C-minuterie-24-h-blanc-Blanc.html
sinon, j'hésite à attendre que celui-ci soit de nouveau en stock pour la seconde marque : https://www.delonghi.com/fr-fr/radiateur-bain-d%E2%80%99huile-trns0505m/p/TRNS0505M
plus petit, mais surement suffisant dans mon cas
qu'en pensez vous ?
privilégier le nombre de modules/compartiments/plaques de 11 à 12 minimum) -> je suppose qu'il faudrait au moins le premier alors ?
merci
Réponse postée 4 novembre 2024 14:21
Bonjour "HiFriend",
Ce que je vais écrire ci-dessous n'est que le fruit de mes expériences avec 2 marques (qui pour l'instant me conviennent et n'engagent que moi) :
La teutonique "Klarstein" et l'Italienne "Delonghi" (attention pour les "bain d'huile", privilégier le nombre de modules/compartiments/plaques de 11 à 12 minimum). Au-delà du prix (que vous pouvez faire passer dans les charges professionnelles en fonction du statut juridique), il faut penser à. la maintenance et au changement éventuel de pièces, après la période de garantie, le retour en atelier, la réparabilité, ou si cela peut être réalisé par un atelier "standard", d'où :
"Klarstein" (fabrication gerrmanique, solide, bien conçue, avec des pièces interchangeables et rapport/qualité prix, durée donnée pour 15 ans et cela fait quasi 18 ans que je l'ai et il fonctionne toujours aussi bien ... tellement bien que je l'ai donné un à ma belle-mère (83 ans), très fileuse, et qui en est contente aussi et j'en ai racheté un plus récent, et de la même catégorie (l'avantage : étant mobile et pas trop lourd, je peux l'emmener et le placer dans toutes les pièces, plus ou moins grandes et chauffer en appoint sans problème, avec de bonnes températures et un contrôle sur la facture).
Si vous ne souhaitez pas plaire aux Teutons, vous avez le choix de l'italien "Delonghi" : très bonne qualité professionnelle, durée dans le temps éprouvée, notamment sur les modèles "Dragon" (un peu plus chers, mais rudement efficaces). J'en ai 2 depuis près de 10 ans, sans aucun problème.
Un des utilisateurs d'un "Dragon" Delonghi est un jeune étudiant (en B.U. T) logé dans les mansardes d'une vieille grange (beaucoup de vieux bois tordus, pas très bien isolée avec du "mortier de renard", dans le département de l'Ain).
En achat direct sur leurs sites (il y a souvent des promotions)
Bien à vous.
Yanolezard
bonjour Yanolezard
maison, avec des briques creuses essentiellement pour les murs exterieur (pas d'isolation mur exterieure)
il y a un velux sur cette mezzanine, en bon état . elle fait à peine 6m² je dirais, car très vite très mensardé (max 1,75 de hauteur, au niveau de là ou j'ai mis mon bureau)
escalier en bois, poutre en bois (2 au niveau de la mezzanine : une a gauche de mon bureau, au niveau de la rampe d'escalier, une à la droite de mon bureau, au niveau de la partie la + mansardée, juste avant un espace de rangement avec des placards coulissant -- partie où l'on accède rarement donc!)
le plancher en bois, plafond avec des especes de lattes en bois également
je préfère aussi du mobile, je ne souhaite pas le fixer
ce serait pour chauffer à 22° max je pense (j'ai passé le premier hiver sans chauffage avec 16 degrés je pense ^^)
on m'a conséille celui ci, à huile justement si j'ai bien compris : https://www.amazon.fr/gp/product/B01K3X8R94/
peut être est-ce un peu too much dans mon besoin ? je vois qu'il y a des modèles de la meme marque pour 100€, peut etre est-ce suffisant?
merci d'avance pour les reco
Réponse postée 4 novembre 2024 11:44
Bonjour "HiFriend",
Installer un chauffage d'appoint, pour le télétravail, demande un peu de réflexion et quelques questions, pour prendre une bonne décision et faire le bon choix en ces périodes d'économies d'énergie et du respect de la planète.
Cette mezzanine se trouve dans :
Une maison ou un appartement ?
Type(s) de matériau(x) des murs intérieurs et extérieurs / cloisons intérieures ?
Comment accède-t-on à la mezzanine (escalier en bois, pierre, métal) ?
Quelle est la surface de la mezzanine ainsi que son volume à chauffer ?
Type(s) de matériau(x) de la dalle ou du plancher et du plafond ?
Existe-t-il des obstacles "naturels" (exemples : une poutre apparente, du mobilier, etc) ?
Quels genres d'ouverture dispose la mezzanine ? (fenêtre extérieure, un "Vélux", un wasistas, une baie vitrée, etc)
Si connue : catégorie de pièce "Adème" (si pièce de "vie" : 19°C, si pièce de repos : 16°, si pièce de mobilité : 18°).
Vous avez plusieurs type de radiateurs d'appoint (quel que soient les marques /modèles, toujours privilégier ceux à thermostats dynamiques ou connectés).
Radiateurs électriques à bain d'huile :
petite surface (=> petit volume à chauffer), durée de chauffe courte ) à moyenne (si longue, modèle avec thermostat dynamique ou connecté)
technologie "bain d'huile minérale" : très force puissance calorifique, très longue, restitue de façon bien répartie la chaleur.
Attention à ne pas se brûler (c'est l'équivalent de nos "Mirus" d'autrefois), d'où modèles à protection contre les accidents bêtes).
Plus lourds car la plupart sont en acier/fonte.
Radiateurs électriques à inertie (sèche ou fluide):
très souvent à fixer à un mur/cloison.
si technologie sèche : chauffage lent et puissant (coeur de chauffe en briques réfractaires, comme un four à pain)
si technologie fluide (différents types : végétal, liquide caloriporteur, huile minérale) : chauffage rapide, très puissant, mais pas en continu.
Radiateurs électriques rayonnant :
Principe de fonctionnement : résistances chauffant une plaque (aluminium)
Chaleur par rayonnement infrarouge (même sensation que celle du soleil sur votre peau) et par convection.
Montée de température rapide : instantané, par rebond des ondes, les murs, les meubles, les personnes et les objets (chaleur rapide, homogène),
Précaution : pas de mobilier à proximité du radiateur => car ces derniers captent la chaleur.
Sitôt éteint : plus de chaleur.
Radiateurs électriques à inertie (fonte/aluminium, céramique/aluminium, fonte/briques réfractaires, aluminium/briques réfractaires) :
Doubles coeurs de chauffe : pour une bonne inertie, privilégier les types "fontes/réfractaires" (montée lente, chaleur persistante)
Radiateurs souvent "assez" lourds (bonnes fixations murales)
Si "Aluminium/Réfractaires" : montée rapide, chaleur persistante.
En fonction des marques et des modèles, divers accessoires sont indispensables :
La mobilité de l'appareil (petites/grandes roulettes, rails à patins, socle, poignée de déplacement, poignée anti-basculement).
Sondes de protection thermiques (température, thermostat statique ou dynamique, connecté ou pas, protection contre les brûlures).
Protections électriques (cordon d'alimentation électrique normalisé FR et Europe, soit "2 pôles + terre" ou " 2P+T")
Si appareil à fluide liquide : possibilité de vidange ou de complément ou pas si pensé pour.
On trouve de nombreuses marques et de multiples modèle en fonction des critères et des données : comme chaque personne ou chaque corps est unique en son genre et ne perçoit pas la chaleur et ses effets de la même manière, il va de soi que je ne peux répondre de manière précise à votre demande (la fourchette de prix pour un équipement digne de ce nom se situe entre 100€ et 450€ pour les plus "velus"').
PS : j'apprécie les équipements à bain d'huile et ceux à inertie sèche (mais en mobile) : je prête une attention particulière aux roulettes (remplaçables, matériaux durs type "rollers", à grandes roulettes)
En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes.
Bien à vous,
Yanolezard
hello,
je suis en télétravail, mon bureau est dans une mezzanine pas très grande, et je me caille un peu maintenant (les blocs de clim n'atteignent pas cette zone)
Du coup je cherche un radiateur electrique d'appoint : des recommandations ?
pas trop bruyant / consommateur ; le budget n'est pas un souci mais bon pas 500€ non plus!
merci
Réponse postée 25 octobre 2024 14:42
Bonjour "clmntmcht ",
Félicitations pour votre démarche.
Sans être indiscret, dans quelle(s) région(s) recherchez-vous votre parcours de reconversion ? (Paris / RP / Province et si province, quel Région/département ? ) et quel système de financement envisageriez-vous ?
Avez-vous fait une VAE ou un bilan de compétences (cela peut aider parfois) ?
Vous êtes déjà porteur d'une Licence en Communication, donc, il faut soit se diriger vers une Licence Pro, un Licence Pro + (Bac+4) ou un Master2 ou un titre RCNP, toujours en alternance ou une formation bien cotée d'un an ou plus via l'AFPA (il y en a qui vont râler, mais j'assume ce que j'écris).
J'ai quelques amis et connaissances qui sont un peu plus "âgées" que vous, en reconversion actuellement ou s'étant déjà reconverties, et qui s'en sortent (très) bien. Comme dit dans les discussions, "passions, volonté, gniack, abnégation" tout en étant humble pourra vous amener à réussir un nouveau départ ...
Plusieurs secteurs/domaines : Réseaux et Télécommunications (Cloud), Systèmes & Réseaux (Cloud), (Cyber)Sécurité Informatique, Management de Projets/PMO, Intelligence Artificielle (et pas que la Générative), si vous êtes ouvert aux choses bizarres (Administration Systèmes, Réseaux, Sécurité en Grands "zOS" et/ou Minisystem "OS400/Poweri"), si vous vous sentez une âme de concepteurs/développeurs d'applications, vous avez le choix, ... comme pour les formations métiers type SAP où France-Travail a toutes les peines du monde à "remplir leurs paniers SAP" car ils ne savent pas communiquer à ce sujet - il y a une semaine, j'ai encore dû, pour une agence régionale FT, leur expliquer comment favoriser et intégrer le mouvement SAP en expliquant de manière claire et précise ce qu'il faut savoir et dire en toute honnêteté : 2 ou 3 personnes ont même demandé au responsable de cette agence régionale si je faisais partie du personnel, tellement c'était clair, limpide et honnête (en plus, j'avais invité rapidement en visio un directeur technique SAP régional pour présenter le monde et l'écosystème SAP :=> résultat des courses : depuis que je suis passé là-bas, ils ont quasi-rempli la prochaine promotion de reconversion, soit 17 personnes sur 20, plus qu'il n'en faut pour démarrer (minimum 12) et tous les participant ont une entreprise qui les accueillent (et ce n'est qu'un humble exemple).
PS : une petite chose à savoir : certains organismes de formations (étatiques ou pas) ont des calendriers précis pour les reconversions en alternance et on ne peut pas forcément démarrer comme on le souhaiterait et d'autres peuvent "intégrer" des alternants à leurs convenances (idem pour les entreprises car les RHs ont des plans et des budgets à respecter avec des "quotas" d'alternants bien cadrés : un alternant n'est pas là comme "bouche-trou" ou pour remplacer un salarié en maladie par exemple).
En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes,
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 21 octobre 2024 12:45
Bonjour "Spooner",
Les habilitations "défense" au sens global, suivent des processus parfois bien étranges et c'est d'ailleurs pour cela que les accréditations ont commencé à fleurir un peu partout.
Ce que vous décrivez est valable :
Prestataire (vous) = habilitable en tant que personne physique <= > L'ESN (et son Officier de Sécurité) <= > l'Organisation cible.
Le dossier de "candidature" est à la main de l'ESN, ce qui déclenchera le reste du processus (peut être rapide ou pas, selon l'Officier de Sécurité).
PS : il est effectivement possible :
d'avoir une habilitation pour sa structure/organisation et une habilitation pour sa personne physique.
d'être son propre "Officier de Sécurité" (formation, certification et périodes de renouvellement obligatoire)
de justifier d'un volume "important" de projets (sur la durée, sur le nombre de projets, sur le nombre d'audits, ...) à l'année.
A noter que certaines ESN (notamment celles qui font prester des freelances, n'ayant pas la nationalité française, depuis le near/offshore vers la métropole/france) utilisent un process d'accréditations. Attention car ces accréditations ont une portée courte et basse sur les périmètres couverts.
J'ai déjà rencontré des cas où le prestataire ne pouvait travailler que sur un point précis du projet, le reste demandant une vraie habilitation, et là, ça pose questions à la fois pour l'ESN et pour le client.
PS : j'ai été habilité pendant de très nombreuses années (personne physique) en raison d'anciens métiers, puis habilité en tant que personnes morales et physique (pour d'autres fonctions), et encore habilitable sans difficulté (je suis aussi Officier de Sécurité).
Un point important que les personnes physiques ont tendance à oublier : il fut un temps où les habilitations obtenues étaient presque "à vie", depuis quelques années/décennies, ce n'est plus le cas, quelles que soient les niveaux d'habilitations et les processus attenants sont systématiquement réengagés, même si la personne physique reste chez le même client, mais sur des projets différents ou qui nécessitent un niveau d'habilitation plus élevé.
Par contre, les accréditations, elles se terminent à une date précise, celle de la fin de la tâche ou du projet, donc de la mission.
D'un point de vue ministériel, les accréditations restent problématiques et certains services font "machine arrière" pour les refuser (curseurs en business/gros sous, sécurité et lobbying pour les travailleurs "petites mains qui parlent pas français ou baragouinent l'anglais" et qui coûtent "peau de z.be").
En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes, dans le clair-obscur de ce monde.
Bien cordialement,
Yanolezard
Merci Free-Worker pour ton retour d'expérience.
Pour apporter quelques précisions à ma question : j'ai déjà travaillé avec cette ESN et pour ce client qui relève de la défense (j'ai utilisé le terme "armée" de façon générique).
Je ne suis pas un officier de sécurité, ce qui nécessite une formation..., mais l'ESN a un officier de sécurité.
Le périmètre de ma mission change et j'ai maintenant besoin de cette habilitation.
Quand je vois les annonces qui réclame un profil habilitable
https://www.free-work.com/fr/tech-it/jobs?query=habilitable&contracts=contractor
je me dis que le montage suivant est possible : INDEP (habilité en tant que personne physique mais pas moral) <-> ESN (avec officier de securité) <-> client final
Y a t-il des free-worker dans ce contexte ?
Réponse postée 10 octobre 2024 17:07
Bonjour "Free-Worker-1273389",
Ne vous en déplaise, c'est pourtant la vérité : il y a pléthore d'applications dans les industries françaises qui ont été développées en Fortran, en Delphi, en Forth, en Lisp, etc .. et dans plein d'autres langages aujourd'hui laissés parfois en désuétude.
Prenez ce bon vieux "Microsoft Visual Basic 6.0" qui nous a fait rêver ou pleurer ou suer ou grandir :
dans l'industrie automobile, ne serait-ce que pour un équipementier automobile ayant "pignon sur rue" (je tais le nom par déontologie), il y a plus d'une centaine d'applications d'applications développées en VB 6.0 et hors de question d'y toucher (coûts, production, etc.).
VB 6 est "out" depuis longtemps chez MS et pourtant, de "valeureux combattants" (que je soutiens financièrement, par un don professionnel annuel, depuis quelques mois) a décidé de poursuivre l'aventure avec un "VB 6.0-like" et pleinement compatible (codes et fonctionnement) : le produit est en bêta et je peux déjà commencer à reprendre des applications (tout n'est pas implémenté mais ça avance à grands pas) et la promesse d'accéder à une version "entreprise" approche à grand pas.
Ces applications, pour beaucoup d'entre-elles, sont en production depuis des décennies, voire des lustres et il faut les maintenir, faire des corrections, les interfacer avec d'autres systèmes, les migrer (dans des versions supérieures) ... Delphi est très présent dans des industries sensibles de défense ...
Pour l'instant, dans le monde du calcul massivement parallèle et dans les calculateurs HPC, le Fortran est le langage de base (et je sais de quoi je parle par expérience, pour avoir presté sur des développements Fortran pour le support L3, pour des équipementiers du HPC, comme Fujitsu, Hewlett-Packard, pour Intel et ST Micro pour des problématiques de temps réel "dur" ...etc.
Les statistiques, les chiffres et les % de qui utilise quoi .... en toute franchise, ça me passe "par-dessus" et je n'en tiens absolument pas compte.
Ce que je sais par contre, c'est ma réalité des terrains de chasses que j'exploite tous les jours et aussi longtemps qu'il me sera permis de le faire et cela fait déjà plus + de 40 années.
Vous pouvez penser ce que bon vous semble ... mais je ne connais pas de baisse d'activités, bien au contraire, j'en arrive même à avoir du débordement.
Mais comme les goûts et les couleurs varient en fonction des individus ...
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 9 octobre 2024 14:17
Bonjour à toutes et à tous,
Je vais me "commenter" moi-même : chacun a le droit de penser ce qu'il veut et c'est tant mieux (les goûts et les couleurs ...).
Pour ce mois d'Octobre 2024, l'index "Tiobe" (certains diront que ce n'est pas une "référence" ...) nous montre que le podium est le suivant :
1 : Python => 2 : C++ => 3 : Java => 4 : C => 5 : => C# => 6 : JavaScript => 7 : Visual Basic => 8 : Go => 9 : Fortran => 10 : Delphi
C'est en partie ce que je constate au quotidien, sur mes terrains de chasses et de jeux, au contact des industriels et de ceux qui n'en sont pas, et même si certains pensent qu'il y a des "niches", une partie de mes activités consiste justement à ce que lesdites "niches ne tombent pas sur les pauvres chiens" (et cela n'est ni de la "risquophobie", ni du manque de réalisme) et je suis toujours au 21ème siècle, bien que j'apprécie régulièrement les allers-retours temporels.
Pour la petite anecdote : certains cassent leurs tirelires pour s'acheter une motocyclette de type "Harley Davidson" et d'autres cassent leurs tirelires pour acquérir ... un "Business Deprecated Mainframe" (plus dans le catalogue commercial, mais toujours et longtemps maintenu par IBM Corp) ... pour faire de l'hébergement (hosting) de système d'information (bien calculé, avec un rapport sécurité/qualité/prix inégalable, à moyen terme, il devient tout-à-fait rentable face à des quantités astronomiques de serveurs toujours aussi gros, volumineux, calorifiques et bruyants, qu'il faille toujours sans cesse upgrader et d'hyperviseurs aussi instables commercialement que bancals à la sécurité).
Actuellement, à ma connaissance (3 vérifiés), il y aurait 5 hébergeurs à avoir, pour le moment, "viré leur cuti" en passant sur des "Mainframes" équipés et/ou des "Minisystèmes" (style AS400/Power I/ Alpha /) et ceux qui ont fait ce choix il y a 4 ans maintenant, se "pourlèchent les babines" (il y en a d'ailleurs un en Loire-Atlantique).
Certains secteurs comme les assurances ont arrêté définitivement leurs "hosts" pour passer vers d'autres technologies plus "modernes" (cloud), mais cela n'est pas pareil, entre les baisses de régimes, les pannes, les temps de réponses monstrueux, les engorgements, la sécurité "inquiétante" et les coûts en CAPE/OPEX (certains ont pleuré durement de chaudes larmes) ... C'est joli sur le papier ... et ne pas oublier une "armée mexicaine" de petites mains à gros doigts pour faire fonctionner "tout le toutim". Ceux qui ont changé n'arrêtent depuis 4 ou 5 ans de m'envoyer des demandes de prestations de toutes sortes car ils "se sont noyés eux-mêmes" dans leurs lessiveuses et certains pensent même à revenir car c'était mieux avant.
En ce moment, pour les courageux (même ceux du 21ème siècle 😀 avec de vrais outils : du Cobol avec VSCode/Eclipse ou même avec Emacs), il y a du travail : Cobol, Fortran, Forth, Ada, les inséparables C/C++, du Prolog ... et même du Windev/Mobile ... que ce soit en migration, en virtualisation, en maintenance, en transformation, en cohabitation, en "nuages" ou en "planchers des vaches" ...
J'ai un backlog aussi avec du "Rust", du Python, du Perl, de l'Erlang, de l'Embedded, de l'architecture, de la sécurité ... (tout cela en versions anciennes et modernes) et je ne compte pas l'embarqué et autres affaires toutes aussi communes, plus quelques erzatzs d'autres langages et technologies d'informatiques industrielles, viennent s'y rajouter les blockchains et autres "IAs" et "LLMs".
J'ai même le Ministère de Travail et de l'Education Nationale qui ont validé ma proposition pour des formations nationales en Cobol, Fortran et Forth pour les industriels. Alors, avec ma "garde rapprochée", on se partage le boulot et lorsque l'on ne sait pas faire ou que l'on ne peut faire, alors on trouve des "personnes bien sous tous rapports" en apporteurs d'affaires.
Evidemment, il faut "aller au charbon", "mouiller la chemise", "suer et faire suer", "se prendre parfois un coup de bambou", éviter "d'avoir le melon", "faire l'âne pour avoir du son", "laisser penser certains que vous avez la vue basse", éviter de "se prendre pour Napoléon", sans pour autant "baisser son pantalon" et aller "à la fête du slip" ... et lorsque la journée a été bien remplie, comme les flibustiers/corsaires et autres pirates, on "écume" les différents sites (cela fonctionne aussi pour la confiture et celle des jours), connus et moins connus, pourvoyeurs d'annonces et de missions, à la recherche de "plaisirs simples" mais onctueux (une petite pierre précieuse + une autre et ainsi de suite, peut conduire à un véritable trésor ou à une leurre en caoutchouc ... "C'est le jeu ma pauvre Lucette") ....
Je reste confiant ... la kermesse continue et on n'est jamais sûr du contenu de l'enveloppe que l'on hésite à prendre ("si j'avais su, ... j'aurai pas venu" ou à l'inverse, "p'tain, c'est de la balle") et c'est ce qui rend notre métier attrayant, non ?
Bien cordialement,
Yanolezard.
Bonjour "Free-Worker-1273389",
Concernant les technologies Cobol & Co et les écosystèmes "Mainframe, Mini, Micro", il y en a beaucoup plus que vous ne le penseriez.
Les "éminents savants" avaient prédit leurs extinctions respectives il y a 40 ans ... leurs prédictions sont tombées à l'eau. A l'heure où les "anciens" vont partir en retraite bien méritée, ces mêmes systèmes vont continuer à perdurer, pendant encore de très .... longues années car i y a du travail en migrations de matériel/logiciel, en maintenance & migration d'applications, en réseaux et sécurité, en nouvelles "petites" applications, en formation, ... dans tous les secteurs d'activités (industries, tertiaire, commerce, banque & assurance, civil, défense .. j'en passe et des meilleures).
De plus, il faut sortir des mythes, du bureau des légendes/mystères et autres légendes urbaines : les systèmes matériels, les OS, les solutions logicielles, les AGL (Ateliers de Génie Logiciel) ... ont évolué dans le temps : on développe aussi bien en GNU Cobol, en Visual Cobol, avec des IDE genre VisualStudio, VisualStudioCode, Eclipse, Jetbrain, ... sous Linux, Windows, OS/400, Unix, MVS, zOS, avec des tas de SGBDRO (de DB2 à PostgreSQL) en passant par de l'interconnexion avec le cloud AWS, GCP, ou Azure, sur de l'IBM System i/Power i ou un serveur virtualisé ou un poste de travail sous Windows 10 ... et sait dialoguer avec un tas de frameworks modernes (du Web et pas que).
Je fais encore partie de cette "vieille" et jeune garde à la fois, pour faire découvrir d'autres facettes que le développement Web (où il y a des milliers de freelancers sans repas) et je continue à prester, sous différentes formes, et à former des "courageux".
Alors, non, le "Cobol" n'est pas une niche et représente bien un énorme ensembles d'écosystèmes ... il suffit juste d'être humble et de regarder dans la bonne direction.
Il remonte ... lentement mais sûrement ... Dans mes tribulations, pour 1 demande Java, j'ai 10 demandes Cobol ... Alors, non, je n'échangerais pas "mon Cobol" pour du Java.
Bien à vous,
Yanolezard.
Réponse postée 6 octobre 2024 18:30
Bonjour "Free-Worker-1273389",
Concernant les technologies Cobol & Co et les écosystèmes "Mainframe, Mini, Micro", il y en a beaucoup plus que vous ne le penseriez.
Les "éminents savants" avaient prédit leurs extinctions respectives il y a 40 ans ... leurs prédictions sont tombées à l'eau. A l'heure où les "anciens" vont partir en retraite bien méritée, ces mêmes systèmes vont continuer à perdurer, pendant encore de très .... longues années car i y a du travail en migrations de matériel/logiciel, en maintenance & migration d'applications, en réseaux et sécurité, en nouvelles "petites" applications, en formation, ... dans tous les secteurs d'activités (industries, tertiaire, commerce, banque & assurance, civil, défense .. j'en passe et des meilleures).
De plus, il faut sortir des mythes, du bureau des légendes/mystères et autres légendes urbaines : les systèmes matériels, les OS, les solutions logicielles, les AGL (Ateliers de Génie Logiciel) ... ont évolué dans le temps : on développe aussi bien en GNU Cobol, en Visual Cobol, avec des IDE genre VisualStudio, VisualStudioCode, Eclipse, Jetbrain, ... sous Linux, Windows, OS/400, Unix, MVS, zOS, avec des tas de SGBDRO (de DB2 à PostgreSQL) en passant par de l'interconnexion avec le cloud AWS, GCP, ou Azure, sur de l'IBM System i/Power i ou un serveur virtualisé ou un poste de travail sous Windows 10 ... et sait dialoguer avec un tas de frameworks modernes (du Web et pas que).
Je fais encore partie de cette "vieille" et jeune garde à la fois, pour faire découvrir d'autres facettes que le développement Web (où il y a des milliers de freelancers sans repas) et je continue à prester, sous différentes formes, et à former des "courageux".
Alors, non, le "Cobol" n'est pas une niche et représente bien un énorme ensembles d'écosystèmes ... il suffit juste d'être humble et de regarder dans la bonne direction.
Il remonte ... lentement mais sûrement ... Dans mes tribulations, pour 1 demande Java, j'ai 10 demandes Cobol ... Alors, non, je n'échangerais pas "mon Cobol" pour du Java.
Bien à vous,
Yanolezard.