Effets de la chute des cours de bourse

Bonjour,

je crois qu'il ne faut pas s'affoler inutilement.
Tout d'abord, cette peut-etre a encore du potentiel pour etre une peut-etre pas crise ...
Ensuite, si crise il y a, il existe un risque de baisse du marché du conseil SI mais qui est à relativiser :

• [*:98fd22df29]contrairement à la crise d'il y a 3 ans, ici on ne découvre pas des choses énormes, on se contente de réagir à la concrétisation de fait attendus
  [*:98fd22df29]plus dure est la chute ... plus haut est le rebon ... la crise c'est bien mais pas éternelle, la tendance reprend toujours le dessus et le besoin en conseil SI est haussier ...
  [*:98fd22df29]il faudra toujours des gens pour faire tourner les systemes crise ou pas
  [*:98fd22df29]la reaction est certes parfois de se départir des indépendant mais parfois à l'inverse, on préfère geler des embauches et prendre des indépendants quitte à payer un peu plus car on sait que c'est un main d'oeuvre flexible dont ont peu se débarasser en cas de retournement de l'activité alors que les embauches prévues en CDI rendraient cette séparation plus difficile

Bref il ne faut pas stresser outre mesure pour le moment ...

Bonjour,

Je dirai même que dans certains cas la crise est une opportunité pour les indépendants.

En effet, par peur de l'avenir les politiques de ressources humaines s'orientent vers des ressources plus flexibles et donc il peut y avoir un report des embauches salariées.

Ces périodes favorisent l'entrée d'indépendants qui certes conservent toujours cette insécurité de l'emploi. Mais une fois que l'on est référencé, c'est parfois difficile de se passer de cette compétence une fois les beaux jours revenus.

Bonjour,

Je dirai même que dans certains cas la crise est une opportunité pour les indépendants.

En effet, par peur de l'avenir les politiques de ressources humaines s'orientent vers des ressources plus flexibles et donc il peut y avoir un report des embauches salariées.

Ces périodes favorisent l'entrée d'indépendants qui certes conservent toujours cette insécurité de l'emploi. Mais une fois que l'on est référencé, c'est parfois difficile de se passer de cette compétence une fois les beaux jours revenus.

cladsam a écrit : Bonjour,

je crois qu'il ne faut pas s'affoler inutilement.
Tout d'abord, cette peut-etre a encore du potentiel pour etre une peut-etre pas crise ...
Ensuite, si crise il y a, il existe un risque de baisse du marché du conseil SI mais qui est à relativiser :

• [*:d6f320d763]contrairement à la crise d'il y a 3 ans, ici on ne découvre pas des choses énormes, on se contente de réagir à la concrétisation de fait attendus
  [*:d6f320d763]plus dure est la chute ... plus haut est le rebon ... la crise c'est bien mais pas éternelle, la tendance reprend toujours le dessus et le besoin en conseil SI est haussier ...
  [*:d6f320d763]il faudra toujours des gens pour faire tourner les systemes crise ou pas
  [*:d6f320d763]la reaction est certes parfois de se départir des indépendant mais parfois à l'inverse, on préfère geler des embauches et prendre des indépendants quitte à payer un peu plus car on sait que c'est un main d'oeuvre flexible dont ont peu se débarasser en cas de retournement de l'activité alors que les embauches prévues en CDI rendraient cette séparation plus difficile

Bref il ne faut pas stresser outre mesure pour le moment ...

Salut,
je l'ai vecu en 2009 ==> 5 mois de chômages

Pour ceux qui sont en mission longue ( planque dans les banques) , je leur conseille de cirer les chaussures de leur chef de projet pour ne pas se faire sortir en cette période.

NB : je pratique des formations en cirage de chaussures pour les concernés 🤣

Je pense que la capacité à se vendre, le métier / l'activité pratiqués, ont un poids au moins aussi important que la conjoncture.


J'ai commencé après la pseudo-apocalypse financière (Lehmann Brothers qui a coulé), j'ai continuellement du boulot depuis, en augmentant mes tarifs au minimum de 5% chaque année, voire 10-15% en montant d'un cran en terme de poste/prestations.

Les jours d'inter-contrats, c'est parce que je les ai décidés.

Donc difficile de généraliser.

Début 2009, mon téléphone n'a pas sonné pendant 6 mois alors que habituellement c'était chaque semaine que j'étais démarché. Heureusement j'étais au chaud chez un client.

Dans mon cas, les tarifs ont bien baissé depuis 2009 et ont du mal à remonter. Ca commencait à aller mieux ces derniers mois.

Faut pas oublier non plus que beaucoup de personnes se ont mises indépendantes ces 2 dernières années suite aux vagues de "dégraissage du mamouth" dans les SSII.

Si le nombre d'offres se restreint, ça va faire mal.

La crise de 2001 a été fatale pour une bonne partie des indépendants, mais depuis, c'est crise sur crise, et on survit ...

La crise qui me fait le + peur, c'est celle des achats et leur politique anti indépendant + le développement des centres de services un peu partout...

J'abonde dans le sens de findus.
J'ai connu la crise de 2001, étant à l'époque tout jeune freelance, et celle de 2008.

En 2008 le ralentissement a été notable, mais pas dramatique non plus, et il n'y a pas eu (de ce que j'ai vu) de trop grosses renégociations à la baisse des tarifs.

2001 a été vraiment sanglant. A vrai dire, je ne pensais pas qu'un marché pouvait se contracter autant et aussi vite.

Personnellement, j'estime que le nombre quotidien de missions diffusé par des sites comme freelance-info est un bon indicateur (avec la durée des missions). En 2001, en l'espace de quelques semaines, le nombre d'appels d'offres dans ma boîte mail à été divisé par 6 ou 7. En 2008, je n'ai pas noté de diminution notable.

Olivier_M a écrit : 2001 a été vraiment sanglant. A vrai dire, je ne pensais pas qu'un marché pouvait se contracter autant et aussi vite.

En même temps, 1999-2001, c'était un peu n'importe quoi. Donc bon ...

Mais ouais, par moment, avec des Fessbouque évalués à $65G, ça a un petit côté 2001 / Bulle Internet.