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Et non pas tout à fait. L'abattement de 10% pour frais professionnels dont vous bénéficiez en tant que gérant majoritaire de SARL ne s'applique pas aux BNC.
L'abattement est plafonné à 12000 euros par personne Donc pour un foyer fiscal en tranche maximale l'économie est de 12000 x 45% soit exactement 5400 euros.
Cela dépend des cas mais c'est pour cela que je disais "jusqu'à".
Quoiqu'il en soit pour une rem de 60K, 1,8 K euros d'économie d'impôt n'est pas négligeable.
Sans compter les autres avantages juridiques de protection du patrimoine.
Vous pouvez être affilié comme hmg l'a indiqué en EI.
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Les frais en question doivent être inéluctablement dus par le client s'il n'avait pas sous traité la mission.
Rien n'oblige un client à utiliser un taxi, un train ou aller au restaurant pour accomplir la mission. Ce n'est donc pas un débours.
L'usage veut que ce type de frais qui sont réalisés sont pris en charge mais leur refacturation sera dans tout les cas considérée comme un service soumis au taux normal de TVA.
Votre "employeur" prend de gros risques.
Je le répète, vous ne facturez pas une prestation de restaurant quand vous refacturez votre frais de restauration. Vous facturez un service.
Ce service est donc soumis au taux normal de TVA peu importe que vous le refacturiez avec ou sans marge. Dans ce cas la notion de marge est purement économique et pas fiscale.
Le raisonnement est totalement identique si la facturation portait sur de la sous traitance.
Si vous intervenez pour un client mais que vous sous traitez la prestation à un sous traitant, ce dernier vous facture un service. Que vous réalisiez une marge ou non, vous refacturez le client final un service. Ce service est soumis à TVA au taux normal.
La TVA sur la marge ne concerne que les biens d'occasion, les marchands de bien...etc... mais en aucun cas les services.
Par ailleurs, l'absence de facturation de TVA sur les refacturations à l'euro près peut s'appliquer uniquement en cas de régime des débours.
Encore faut il respecter les conditions de ce régime (cf mon précédent message)
Pour rappel, pour être au régime des débours il faut impérativement :
1) un mandat explicite du client écrit,
2) une reddition de compte détaillée comportant le liste des débours engagés ainsi que les copies des factures qui doivent être libellées à Société x pour le compte de Société y
3) une comptabilisation dans des comptes de passage
4) il doit s'agir de frais inéluctablement dus par le client s'il avait accompli la formalité lui même. Cela ne concerne donc que les droits, les coûts des formalités... (les photocopies, frais de déplacements, restauration, hôtel ne sont donc pas des débours)
5) la facture doit mentionner "Régime des débours Article 267-II-2° du CGI"
En conséquence, les refacturations de frais doivent obligatoirement être soumise à TVA (quand c'est applicable en france).
En effet, en facturant le taxi ou le train que vous avez pris, vous ne facturez pas à votre client une prestation de taxi ou de train (vous n'êtes ni taxi ni cheminot).
Vous facturez en fait le service de votre déplacement pour lequel vous avez supporté un coût. Cette refacturation étant un service que vous avez accompli dans l'exercice de votre mission, elle est donc soumise au taux de TVA normal.
Question : la TVA doit elle est rajoutée au montant HT ou TTC ?
Cela va dépendre de la déductibilité de la TVA des frais en question et d'un principe d'équité.
Si vous souhaitez répercuter ces frais à l'euro près alors vous ne pouvez pas appliquer la TVA sur le TTC car si la TVA est déductible sur ces frais votre cout à vous sera le HT alors que vous allez refacturer le TTC au client (sur lequel on réapplique la TVA au taux normal). Ce n'est donc pas équitable vis à vis du client.
En conclusion :
1) TVA déductible sur les frais (Repas d'affaires, fournitures...)
Refacturez le montant HT de vos frais + TVA au taux normal (peu importe le taux de TVA qu'on subi ces frais en amont).
Exemple : Vous refacturez un restaurant sur lequel il y a deux taux de TVA (50 € à 10% soit 5 € de TVA et 20€ à 20 % soit 4€ de TVA : total TTC : 79 €).
Votre refacturation sera de 50 + 20 = 70€ HT + TVA à 20 % soit 14 € = 84 € TTC)
Vous constatez qu'en trésorerie vous facturez plus que ce que vous avez sorti en cash. Mais les incidences de TVA font que cela est neutre sauf pour les assujettis partiels ou non assujettis.
2) TVA non déductible sur les frais (déplacements : Taxis, SNCF, RATP, nuitées d'hôtel...)
Refacturez le montant TTC de vos frais + TVA au taux normal.
Quel intérêt ?
Si vous ne faites pas cela vous ne respectez pas les règles fiscales et êtes susceptibles de subir un redressement.
En effet, vous ne facturez pas une prestation de taxi ou de restaurant en refacturant donc vous facturez un service.
Vous ne pouvez prétendre au régime des débours (sur lequel en plus vous n'auriez pas appliqué les règles de forme et de fond)
Vous faites échapper au fisc la TVA collectée qui n'est pas récupérable pour les non assujettis à la TVA ou les assujettis partiels (par exemple les banques assurances).
Le non respect de ce principe de facturation créant une pénalisation du fisc vous en seriez responsable.
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Réponse postée 28 mai 2018 17:38
J'ai dit jusqu'à...mixomatose a écrit : 6000€ d'économie d'IR, c'est grandement exagéré
🤣
Et non pas tout à fait. L'abattement de 10% pour frais professionnels dont vous bénéficiez en tant que gérant majoritaire de SARL ne s'applique pas aux BNC.
L'abattement est plafonné à 12000 euros par personne Donc pour un foyer fiscal en tranche maximale l'économie est de 12000 x 45% soit exactement 5400 euros.
Cela dépend des cas mais c'est pour cela que je disais "jusqu'à".
Quoiqu'il en soit pour une rem de 60K, 1,8 K euros d'économie d'impôt n'est pas négligeable.
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Réponse postée 20 mai 2018 00:42
Pas tout à fait, à rémunération équivalente l EURL peut vous faire payer jusqu a 6000 euros environ d impôt en moins par rapport à l EI.cacail a écrit : En rythme de croisière, les différences entre EI et EURL sont très minces dans nos activités.
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Réponse postée 19 mai 2018 14:49
Vous pouvez vérifier que cet appel n'inclut pas à la fois les cotisations URSSAF et RSI ?
Car désormais pour les appels 2018 tout est regroupé sur un seul bordereau URSSAF.
Car désormais pour les appels 2018 tout est regroupé sur un seul bordereau URSSAF.
Réponse postée 19 mai 2018 14:43
Bonjour,
Vous êtes éligible à l'ACCRE et l'ARE uniquement si votre activité est créée après votre éligibilité au pôle emploi.
Cette éligibilité ne résulte pas simplement de l'inscription au pôle emploi mais de la perte non volontaire de votre emploi.
Donc vous êtes éligible au dispositif de chômeur créateur d'entreprise dès le lendemain de votre rupture de contrat.
Si vous n'êtes pas "chômeur" au moment de la création de votre entreprise, effectivement le dispositif tombe à l'eau.
L'astuce dans ce cas est d'indiquer que même si vous avez créé votre entreprise avant (la création étant récente), elle a été créée sans activité et la prise d'activité se fait réellement après la fin de votre contrat.
Cela devrait passer auprès du pôle emploi et vous pourrez bénéficier du dispositif.
Vous êtes éligible à l'ACCRE et l'ARE uniquement si votre activité est créée après votre éligibilité au pôle emploi.
Cette éligibilité ne résulte pas simplement de l'inscription au pôle emploi mais de la perte non volontaire de votre emploi.
Donc vous êtes éligible au dispositif de chômeur créateur d'entreprise dès le lendemain de votre rupture de contrat.
Si vous n'êtes pas "chômeur" au moment de la création de votre entreprise, effectivement le dispositif tombe à l'eau.
L'astuce dans ce cas est d'indiquer que même si vous avez créé votre entreprise avant (la création étant récente), elle a été créée sans activité et la prise d'activité se fait réellement après la fin de votre contrat.
Cela devrait passer auprès du pôle emploi et vous pourrez bénéficier du dispositif.
Réponse postée 19 mai 2018 13:59
Attention, si votre activité est rattachée à la MDA ce qui semble être fortement le cas, vous n'avez pas la possibilité d'être micro entrepreneur (anciennement autoentrepreneur).Astri a écrit : Ne serait-ce qu'en tant que micro entrepreneur pour commencer.
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Réponse postée 9 août 2017 16:18
Bonjour,
Une entreprise Française facturant une entreprise UK facture en HT en mentionnant les numéros de TVA des deux parties.
En tant que prestataire vous avez une DES (déclaration d'échanges de services) à faire sur le site des douanes.
Une entreprise Française facturant une entreprise UK facture en HT en mentionnant les numéros de TVA des deux parties.
En tant que prestataire vous avez une DES (déclaration d'échanges de services) à faire sur le site des douanes.
Réponse postée 11 mai 2015 10:56
oui vous pouvez panacher...
A savoir,la prime déductible en 2015 devra être versé début 2016. La somme relative à la prime sera alors imposée à l'IR en 2016.
A savoir,la prime déductible en 2015 devra être versé début 2016. La somme relative à la prime sera alors imposée à l'IR en 2016.
Réponse postée 11 mai 2015 09:58
Bonjour,
Non, quand on enregistre une écriture ayant pour contrepartie le compte banque (512xxx) il s'agit obligatoirement d'un journal de banque.
Après le 646 est pour les exploitants en nom propre. Pour les gérants de société, utilisez plutôt un 641xxx.
Non, quand on enregistre une écriture ayant pour contrepartie le compte banque (512xxx) il s'agit obligatoirement d'un journal de banque.
Après le 646 est pour les exploitants en nom propre. Pour les gérants de société, utilisez plutôt un 641xxx.
Réponse postée 11 mai 2015 09:56
Bonjour,
Il suffit de ne pas se rémunérer sur la société en 2015 mais de passer une prime à payer au 1er janvier 2016.
Ainsi pas trop d'IS sur 2015 et pas trop d'IR sur 2015.
Il suffit de ne pas se rémunérer sur la société en 2015 mais de passer une prime à payer au 1er janvier 2016.
Ainsi pas trop d'IS sur 2015 et pas trop d'IR sur 2015.
Réponse postée 11 avril 2015 10:39
oui je vous réponds en MP.
Réponse postée 11 avril 2015 10:09
passer d'un capital fixe à un capital variable est une simple modification statutaire.
Pas besoin de commissaire à la transformation car il n'y a pas de transformation.
Si vous êtes actionnaire unique vous passerez de SASU à SASU à capital variable
sinon SAS à SAS à capital variable.
Pas besoin de commissaire à la transformation car il n'y a pas de transformation.
Si vous êtes actionnaire unique vous passerez de SASU à SASU à capital variable
sinon SAS à SAS à capital variable.
Réponse postée 11 avril 2015 08:01
Bonjour,
Il faut mettre :
1) 4000 €
2) 4000 €
Il faut mettre :
1) 4000 €
2) 4000 €
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Réponse postée 20 mars 2015 09:12
Bonjour,
Vos acquisitions de droits à chômage sont conditionnés à une durée de cotisation dans le régime ainsi qu'à un motif légitime de fin de contrat ouvrant droit aux allocations.
Je vous invite tout d'abord à consulter la nouvelle convention unedic d'Octobre 2014 qui définit les nouvelles règles d'acquisition de droit chômage.
http://www.unedic.org/nouvelle-convention/connaitre-les-nouvelles-regles
Vos acquisitions de droits à chômage sont conditionnés à une durée de cotisation dans le régime ainsi qu'à un motif légitime de fin de contrat ouvrant droit aux allocations.
Je vous invite tout d'abord à consulter la nouvelle convention unedic d'Octobre 2014 qui définit les nouvelles règles d'acquisition de droit chômage.
http://www.unedic.org/nouvelle-convention/connaitre-les-nouvelles-regles
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Réponse postée 19 mars 2015 20:13
La SAS à l'IR n'a d'intérêt que lorsque vous faites des déficits (imputables sur l'IR global).
Dès qu'elle devient bénéficiaire l'option à l'IS s'impose.
Comme le dit HMG, la fiscalité sur les dividendes des SAS à l'IR est rédhibitoire.
Dès qu'elle devient bénéficiaire l'option à l'IS s'impose.
Comme le dit HMG, la fiscalité sur les dividendes des SAS à l'IR est rédhibitoire.
Réponse postée 19 mars 2015 20:09
Bonjour,
Il suffit que votre femme devienne gérante à votre place.
Il suffit que votre femme devienne gérante à votre place.
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Réponse postée 19 mars 2015 20:06
Bonjour,
Hormis quelques cas pour lesquels les prestations de services sont matériellement localisés pour définir les règles applicables en matière de TVA, ce qui compte ce sont la qualité du prestataire et celui du preneur.
Si le preneur (société Irlandaise) est assujettie à la TVA et fournit son numéro de TVA UE alors vous facturez HT et les règles de TVA intracommunautaires s'appliquent peu importe le lieu de réalisation de la prestation.
Il faut donc veiller à respecter le formalisme en la matière (mention sur les factures, vérification du numéro de TVA, établissement de DES sur le site des douanes...).
Après la demande de la société peu être incongrue car si l'utilisateur du service (le preneur définitif) est bien une société française alors que c'est la société irlandaise qui est facturée, alors en théorie il devra y avoir une refacturation intra groupe et donc la volonté d'échapper à la TVA française est caduque...à moins d'omettre cette nécessité...!
Hormis quelques cas pour lesquels les prestations de services sont matériellement localisés pour définir les règles applicables en matière de TVA, ce qui compte ce sont la qualité du prestataire et celui du preneur.
Si le preneur (société Irlandaise) est assujettie à la TVA et fournit son numéro de TVA UE alors vous facturez HT et les règles de TVA intracommunautaires s'appliquent peu importe le lieu de réalisation de la prestation.
Il faut donc veiller à respecter le formalisme en la matière (mention sur les factures, vérification du numéro de TVA, établissement de DES sur le site des douanes...).
Après la demande de la société peu être incongrue car si l'utilisateur du service (le preneur définitif) est bien une société française alors que c'est la société irlandaise qui est facturée, alors en théorie il devra y avoir une refacturation intra groupe et donc la volonté d'échapper à la TVA française est caduque...à moins d'omettre cette nécessité...!
Réponse postée 19 mars 2015 19:59
Bonjour,
Le régime simplifié avec acomptes trimestriels pour la TVA passe au semestriel.
Si pas d'IS à payer, pas de déclaration à faire.
Donc en théorie pas grand chose à faire en déclaratif pour ce début d'année si vous êtes dans une telle situation.
Le régime simplifié avec acomptes trimestriels pour la TVA passe au semestriel.
Si pas d'IS à payer, pas de déclaration à faire.
Donc en théorie pas grand chose à faire en déclaratif pour ce début d'année si vous êtes dans une telle situation.
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Réponse postée 19 mars 2015 19:44
Il est utile de savoir que désormais pour les PME, en remplissant une déclaration de confidentialité, vos comptes ne sont plus accessibles au public (uniquement à la banque de france et autres administrations)
Ainsi vous remplissez votre obligation légale de dépôt des comptes mais personne du public n'a accès à vos informations.
Ainsi vous remplissez votre obligation légale de dépôt des comptes mais personne du public n'a accès à vos informations.
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Réponse postée 19 mars 2015 19:40
Bonjour,
En fait le HT sert de base au calcul de la TVA.
Mais votre HT net est celui diminué du précompte.
Donc l'écriture est la suivante :
HT brut 300 (uniquement pour le calcul)
HT net 272 (compte de produit)
TVA 30 (compte TVA collectée)
Solde à payer 302 ( compte client)
Mais attention si vous êtes en micro BNC, il n'y a pas de TVA.
Par ailleurs si vous êtes sous le régime de la déclaration contrôlée, vous avez tout intérêt à opter pour la dispense de précompte et obtenir le formulaire S2062 et dans ce cas, le diffuseur n'est pas le collecteur des cotisations (sauf la part diffuseur) et on fait abstraction du précompte.
En fait le HT sert de base au calcul de la TVA.
Mais votre HT net est celui diminué du précompte.
Donc l'écriture est la suivante :
HT brut 300 (uniquement pour le calcul)
HT net 272 (compte de produit)
TVA 30 (compte TVA collectée)
Solde à payer 302 ( compte client)
Mais attention si vous êtes en micro BNC, il n'y a pas de TVA.
Par ailleurs si vous êtes sous le régime de la déclaration contrôlée, vous avez tout intérêt à opter pour la dispense de précompte et obtenir le formulaire S2062 et dans ce cas, le diffuseur n'est pas le collecteur des cotisations (sauf la part diffuseur) et on fait abstraction du précompte.
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Réponse postée 29 septembre 2014 14:05
Est ce que votre question sous entend la contrepartie du CICE ?
En effet ce dernier est institué en vue d'engager des dépenses d'investissement et d'emploi.
Si cette contrepartie n'est pas réalisée Le CICE perd son objet.
En effet ce dernier est institué en vue d'engager des dépenses d'investissement et d'emploi.
Si cette contrepartie n'est pas réalisée Le CICE perd son objet.
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Réponse postée 25 septembre 2014 18:18
Bonjour,
La CIPAV appelle trois catégories de cotisations :
- Le retraite de base
- La retraite complémentaire
- L'invalidité décès
La retraite de base est appelée forfaitairement et régularisée en fonction de la rémunération réelle en N+2
La retraite complémentaire est forfaitaire et non régularisée
Donc les points 2012 sont définitifs pour la retraite complémentaire mais pas pour la retraite de base qui est en fonction de la rémunération réelle.
La CIPAV appelle trois catégories de cotisations :
- Le retraite de base
- La retraite complémentaire
- L'invalidité décès
La retraite de base est appelée forfaitairement et régularisée en fonction de la rémunération réelle en N+2
La retraite complémentaire est forfaitaire et non régularisée
Donc les points 2012 sont définitifs pour la retraite complémentaire mais pas pour la retraite de base qui est en fonction de la rémunération réelle.
Réponse postée 22 septembre 2014 13:04
Bonjour,
Les cotisations sociales ne sont pas des frais professionnels.
En fait il faut considérer que votre rémunération est la somme des versements que vous vous faîtes à vous et des versements aux organismes sociaux.
Si les cotisations sociales sont payées par la société :
Votre rémunération brute est égale à : vos prélèvements + Cotisations sociales payées pour votre compte.
Mais vous touchez seulement le net (c'est à dire vos prélèvements) et déclarez à l'IR le net imposable (retraité de la csg non déductible...etc...)
Si les cotisations sociales sont payées par vous :
Votre rémunération brute est égale à : vos prélèvements + Cotisations sociales
payées par vous. (donc idem)
Vous touchez le net (c'est à dire vos prélèvements) et déclarez à l'IR le net imposable (retraité de la csg non déductible...etc...) diminué des cotisations sociales payées par vous même.
En fait le raisonnement de placer la trésorerie sur les cotisations sociales en attente de paiement n'a pas vraiment de sens car :
Vous ne pouvez pas prévoir la saisonnalité des cotisations (sauf si vous connaissez d'avance votre rémunération définitive mais c'est renoncer à tout arbitrage et donc optimisation...)
Ce raisonnement conduit à ne pas avoir la même politique de rémunération et donc de ne pas pouvoir comparer les deux options.
Les cotisations sociales ne sont pas des frais professionnels.
En fait il faut considérer que votre rémunération est la somme des versements que vous vous faîtes à vous et des versements aux organismes sociaux.
Si les cotisations sociales sont payées par la société :
Votre rémunération brute est égale à : vos prélèvements + Cotisations sociales payées pour votre compte.
Mais vous touchez seulement le net (c'est à dire vos prélèvements) et déclarez à l'IR le net imposable (retraité de la csg non déductible...etc...)
Si les cotisations sociales sont payées par vous :
Votre rémunération brute est égale à : vos prélèvements + Cotisations sociales
payées par vous. (donc idem)
Vous touchez le net (c'est à dire vos prélèvements) et déclarez à l'IR le net imposable (retraité de la csg non déductible...etc...) diminué des cotisations sociales payées par vous même.
En fait le raisonnement de placer la trésorerie sur les cotisations sociales en attente de paiement n'a pas vraiment de sens car :
Vous ne pouvez pas prévoir la saisonnalité des cotisations (sauf si vous connaissez d'avance votre rémunération définitive mais c'est renoncer à tout arbitrage et donc optimisation...)
Ce raisonnement conduit à ne pas avoir la même politique de rémunération et donc de ne pas pouvoir comparer les deux options.
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Réponse postée 22 septembre 2014 09:12
Bonjour,
La SASU va facturer quel type de service ?
Posez vous la question de la réalité de la facturation...
En l'absence de cette réalité physique vous commettez un abus de bien social outre une fraude fiscale.
Libre à vous...
La SASU va facturer quel type de service ?
Posez vous la question de la réalité de la facturation...
En l'absence de cette réalité physique vous commettez un abus de bien social outre une fraude fiscale.
Libre à vous...
Réponse postée 9 septembre 2014 12:35
C'est vrai que des gérants non associés sont TNS que s'ils font partie d'un collège de gérance qui lui est majoritaire.
Il faut donc supposer qu'en plus des 3 co-gérants non associés il y a d'autres co-gérants associés qui eux détiennent plus de 50% des parts.
Il faut donc supposer qu'en plus des 3 co-gérants non associés il y a d'autres co-gérants associés qui eux détiennent plus de 50% des parts.
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Réponse postée 9 septembre 2014 11:25
Cela ne permet pas de les soumettre au régime des débours car une des conditions n'est pas remplie :hmg a écrit : Pour rappel (et pour le lecteur), notre débat ne porte que sur l'application de la TVA sur les frais remboursés au réel sur justificatifs (donc listés et faisant l'objet d'un accord écrit avec le client).
Les frais en question doivent être inéluctablement dus par le client s'il n'avait pas sous traité la mission.
Rien n'oblige un client à utiliser un taxi, un train ou aller au restaurant pour accomplir la mission. Ce n'est donc pas un débours.
L'usage veut que ce type de frais qui sont réalisés sont pris en charge mais leur refacturation sera dans tout les cas considérée comme un service soumis au taux normal de TVA.
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Réponse postée 9 septembre 2014 11:20
Le texte est très clair, c'est celui relatif à la TVA sur les prestations de services et celui sur le régime des débours.hmg a écrit : Je considère que ce n'est pas logique et qu'il n'y a pas de texte clair sur la question.
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Réponse postée 9 septembre 2014 10:53
Je ne vois comment le lien de subordination ne peut pas être qualifié de flagrant par l'administration.elyams a écrit : la boîte dans laquelle j'ai effectué mon stage en 2014 m'a proposé un poste à Paris.
Votre "employeur" prend de gros risques.
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Réponse postée 9 septembre 2014 10:20
Justement, les règles fiscales ne sont pas une impression de normalité.hmg a écrit : Facturer de la TVA sur de la TVA n'est pas normal. On parle ici de refacturation de frais réels sans marge.
Je le répète, vous ne facturez pas une prestation de restaurant quand vous refacturez votre frais de restauration. Vous facturez un service.
Ce service est donc soumis au taux normal de TVA peu importe que vous le refacturiez avec ou sans marge. Dans ce cas la notion de marge est purement économique et pas fiscale.
Le raisonnement est totalement identique si la facturation portait sur de la sous traitance.
Si vous intervenez pour un client mais que vous sous traitez la prestation à un sous traitant, ce dernier vous facture un service. Que vous réalisiez une marge ou non, vous refacturez le client final un service. Ce service est soumis à TVA au taux normal.
La TVA sur la marge ne concerne que les biens d'occasion, les marchands de bien...etc... mais en aucun cas les services.
Par ailleurs, l'absence de facturation de TVA sur les refacturations à l'euro près peut s'appliquer uniquement en cas de régime des débours.
Encore faut il respecter les conditions de ce régime (cf mon précédent message)
Réponse postée 9 septembre 2014 09:56
Bonjour,
Si vous ne changez pas de département il n'y a pas de changement de ressort du greffe.
Si vous ne changez pas de département il n'y a pas de changement de ressort du greffe.
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Réponse postée 9 septembre 2014 09:51
Attention, la refacturation à l'euro près (qui remplace au franc le franc) n'est valable que dans le régime des débours.hmg a écrit : Si c'est un remboursement "au francs le francs" des frais ttc sur justificatif, dans ce cas la refacturation sans ajouter la TVA se voit régulièrement (sinon cela voudrait dire ajouter de la TVA à des frais en contenant déjà). Les clients préfèrent souvent tout de même une refacturation avec TVA pour simplifier leur gestion sur des frais HT.
Pour rappel, pour être au régime des débours il faut impérativement :
1) un mandat explicite du client écrit,
2) une reddition de compte détaillée comportant le liste des débours engagés ainsi que les copies des factures qui doivent être libellées à Société x pour le compte de Société y
3) une comptabilisation dans des comptes de passage
4) il doit s'agir de frais inéluctablement dus par le client s'il avait accompli la formalité lui même. Cela ne concerne donc que les droits, les coûts des formalités... (les photocopies, frais de déplacements, restauration, hôtel ne sont donc pas des débours)
5) la facture doit mentionner "Régime des débours Article 267-II-2° du CGI"
En conséquence, les refacturations de frais doivent obligatoirement être soumise à TVA (quand c'est applicable en france).
En effet, en facturant le taxi ou le train que vous avez pris, vous ne facturez pas à votre client une prestation de taxi ou de train (vous n'êtes ni taxi ni cheminot).
Vous facturez en fait le service de votre déplacement pour lequel vous avez supporté un coût. Cette refacturation étant un service que vous avez accompli dans l'exercice de votre mission, elle est donc soumise au taux de TVA normal.
Question : la TVA doit elle est rajoutée au montant HT ou TTC ?
Cela va dépendre de la déductibilité de la TVA des frais en question et d'un principe d'équité.
Si vous souhaitez répercuter ces frais à l'euro près alors vous ne pouvez pas appliquer la TVA sur le TTC car si la TVA est déductible sur ces frais votre cout à vous sera le HT alors que vous allez refacturer le TTC au client (sur lequel on réapplique la TVA au taux normal). Ce n'est donc pas équitable vis à vis du client.
En conclusion :
1) TVA déductible sur les frais (Repas d'affaires, fournitures...)
Refacturez le montant HT de vos frais + TVA au taux normal (peu importe le taux de TVA qu'on subi ces frais en amont).
Exemple : Vous refacturez un restaurant sur lequel il y a deux taux de TVA (50 € à 10% soit 5 € de TVA et 20€ à 20 % soit 4€ de TVA : total TTC : 79 €).
Votre refacturation sera de 50 + 20 = 70€ HT + TVA à 20 % soit 14 € = 84 € TTC)
Vous constatez qu'en trésorerie vous facturez plus que ce que vous avez sorti en cash. Mais les incidences de TVA font que cela est neutre sauf pour les assujettis partiels ou non assujettis.
2) TVA non déductible sur les frais (déplacements : Taxis, SNCF, RATP, nuitées d'hôtel...)
Refacturez le montant TTC de vos frais + TVA au taux normal.
Quel intérêt ?
Si vous ne faites pas cela vous ne respectez pas les règles fiscales et êtes susceptibles de subir un redressement.
En effet, vous ne facturez pas une prestation de taxi ou de restaurant en refacturant donc vous facturez un service.
Vous ne pouvez prétendre au régime des débours (sur lequel en plus vous n'auriez pas appliqué les règles de forme et de fond)
Vous faites échapper au fisc la TVA collectée qui n'est pas récupérable pour les non assujettis à la TVA ou les assujettis partiels (par exemple les banques assurances).
Le non respect de ce principe de facturation créant une pénalisation du fisc vous en seriez responsable.