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Etat du marché - direction projet et management
Free-Worker-167483
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Free-Worker-167483
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31 octobre 2018
Bonjour,
C'est moi ou les métiers qui touchent à la gestion de projet / management c'est plus ou moins la cata en ce moment ?
Soit il n'y a pas de mission, soit elles sont payées au lance pierre ?
Des expériences à partager, ou des astuces pour ceux qui sont dedans ?
C'est moi ou les métiers qui touchent à la gestion de projet / management c'est plus ou moins la cata en ce moment ?
Soit il n'y a pas de mission, soit elles sont payées au lance pierre ?
Des expériences à partager, ou des astuces pour ceux qui sont dedans ?
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Free-Worker-301294
Nombre de posts : 1368Nombre de likes : 224Inscrit : 15 mars 2022Bonjour
ça va être mon point de vue de Dev donc pas franchement objectif mais dans ma région (Auvergne) les SSII on fait pas mal de rupture conventionnelle collective. Bizaremment seules les demandes de Rc pour les emplois de gestion, d' administratif, manager, etc. ont été acceptés. Aucun dév ou autre profil "technique" n'a pu partir.
En revanche, à présent il recommence à embaucher en masse idem surtout des profils techniques. Logiquement ils ne devraient pas tarder à se rendre compte que s'il y a personne pour gérer derrière c'est plus compliqué😆
Après est ce qu'ils ont fait àa pour limiter les CDI et faire appel à des prestas externes, c'est possible. -
Olivier_M
Nombre de posts : 1498Nombre de likes : 88Inscrit : 17 mars 2010Non non, ça ne vient pas de vous, c'est franchement plus difficile qu'auparavant, avec des tarifs souvent "surprenants".
On en parle un peu aussi dans le fil Impossible de trouver une missionDirecteur de projet / Banques / Gérant majoritaire depuis 2001 / SARL à l'IS -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Par contre je reçois quelques propositions en CDI, voir préembauche chez le client final. Dès que je prononce le mot indépendant, c'est niet.
Paradoxalement (car j'imaginais qu'avec la crise ils privilégieraient la flexibilité) les donneurs d'ordre sont frileux pour recruter des indépendants, surtout à des tarifs conséquents, et préfèrent le salariat qui à première vue est moins coûteux. -
Free-Worker-179758
Nombre de posts : 49Nombre de likes : 14Inscrit : 22 mai 2019Pour être de nouveau en recherche, je trouve qu'il y a plus d'offre que la fin de l'année dernière (Q3-Q4 2020)
Par contre, un commercial me démarchant au téléphone va directement me propsoer un CDI dès qu'il connait mon statut au motif que les clients ne souhaitent pas travailler avec des indépendants. Pour moin c'est plus le commercial qui recherche à se refaire une marge en vérouillant le marché -
Olivier_M
Nombre de posts : 1498Nombre de likes : 88Inscrit : 17 mars 2010
Je ne pense pas qu'il cherche à vérouiller le marché. Je reçois également pas mal d'offres en CDI, et plusieurs commerciaux, au cours de conversations, m'ont indiqué que de très nombreux "grands comptes" s'étaient mis à refuser les indépendants (tout en sachant que passer un certain niveau de "séniorité", presque tous les consultants présents chez eux sont des indéps)Freelance7892 a écrit : Par contre, un commercial me démarchant au téléphone va directement me propsoer un CDI dès qu'il connait mon statut au motif que les clients ne souhaitent pas travailler avec des indépendants. Pour moin c'est plus le commercial qui recherche à se refaire une marge en vérouillant le marchéDirecteur de projet / Banques / Gérant majoritaire depuis 2001 / SARL à l'IS -
Free-Worker-179758
Nombre de posts : 49Nombre de likes : 14Inscrit : 22 mai 2019Effectivement c'est contradictoire de refuser des independants sachant pour proposer un profil pertinent (dispoinibilité et compténces du mouton à 8 pattes) la SSII va s'orienter vers un freelance si elle n'a pas le salarié en inter contrat.
Et le client fait semblant de ne pas savoir... -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Le souci c'est qu'avec la crise les clients finaux ne cherchent pas forcément le meilleur profil, ils cherchent un prix. Je pense aussi que la pyramide des âges des internes plutôt élevée dans pas mal de secteurs combinée à l'assouplissement du code du travail ne nous avantage pas.
Beaucoup nous perçoivent uniquement comme des mercenaires. Entre payer des consultants 600++€/j qui partiront à terme et embaucher à 55 quelqu'un qui à leurs yeux fera le même boulot, ils choisissent la seconde option. -
isavory
Nombre de posts : 88Nombre de likes : 8Inscrit : 29 septembre 2007
Embaucher quelqu'un à 55k€ est une question de stratégie de l'entreprise, entre prendre un consultant ou pérenniser le poste. Que le client refuse de prendre des indépendants aux postes de consultant est un autre sujet, car un salarié d'ESN peut couter le même ordre de prix qu'un indépendant. La réticence des clients à travailler avec les indépendants est provoquée sans doute par de nombreux facteurs :Paul92 a écrit : Le souci c'est qu'avec la crise les clients finaux ne cherchent pas forcément le meilleur profil, ils cherchent un prix. Je pense aussi que la pyramide des âges des internes plutôt élevée dans pas mal de secteurs combinée à l'assouplissement du code du travail ne nous avantage pas.
Beaucoup nous perçoivent uniquement comme des mercenaires. Entre payer des consultants 600++€/j qui partiront à terme et embaucher à 55 quelqu'un qui à leurs yeux fera le même boulot, ils choisissent la seconde option.
- mauvaise presse par les commerciaux des ESN qui préfèrent placer leurs salariés
- des mauvaises pratiques par certains indépendants qui abandonnent des clients pour des missions plus lucratives en plein milieu d'un projet
- Une mauvaise évaluation par les entreprises de la valeur ajoutée d'un indépendant qui peut être plus cher mais qui la plupart du temps demande un prix qui correspond à son expérience et son expértise
Je ne sais pas comment cela pourrait se faire, mais dans une économie où on encourage (ou en tout cas on fait mine d'encourager) l'esprit d'entreprise et dans le même temps des grands acteurs de l'économie qui sont les banques, par exemple, refuse de travailler avec ceux qui justement vont dans le sens de cet =11.0ptentrepreneuriat, il faudrait mettre nos décideurs politiques devant cette incohérence.
A ce sujet, je ne sais pas si d'autres ont la même vision que moi, mais j'ai l'impression que les acteurs du gouvernement et du monde politique ignorent totalement comment fonctionnent les indépendants dans le monde de l'IT, quelles sont leurs problématiques, quelle est leur approche de leur métier, comment fonctionne le marché sur lequel ils opèrent. J'ai l'impression que pour le gouvernement, les indépendants se limitent aux médecins, avocats, jardiniers, etc. Ils semblent totalement ignorer les spécificités de l'activité des consultants indépendant du monde de l'IT (travaille en régie, concurrence avec les ESN, obligation quasi systématique de travailler en sous-traitance, refus de certains entreprises de les engager, etc).Chef / Directeur de projet -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Là c'est encore un autre aspect du problème. De nombeuses SSII ont aujourd'hui un niveau d'intercontrat très élevé. Nous sommes leur variable d'ajustement (sachant qu'elles-mêmes sont les variables d'ajustement des clients finaux), du coup nos CV ont de plus en plus de mal à arriver jusqu'à destination.
Mieux vaut privilégier les SSII qui ne travaillent qu'avec des indépendants. J'en suis aussi au point où je me demande s'il ne serait pas intelligent de contacter les clients finaux, plutôt que de rester à la merci des intermédiaires. Pour les grands comptes c'est peine perdue, mais avec des clients de taille moyenne c'est peut-être jouable. -
OscillationForcée
Nombre de posts : 254Nombre de likes : 83Inscrit : 23 novembre 2016
Ils ne sont pas tant ignorants que cela, la preuve étant qu'ils cherchent à faire main basse sur le magot de la CIPAV pour combler en partie les caisses ultra déficitaires qu'ils gèrent eux-mêmes. Regardez aussi l'intérêt porté aux dentistes, mis en concurrence avec une multitude de centres fraîchement arrivés sur le marché,.. Notre activité ne suscitera aucun autre intérêt que celui d'une réglementation accrue, limitant les possibilités de travailler librement (en termes de volume horaire annuel par exemple) et visant essentiellement à nous faire les poches encore un peu plus. Ne vous vexez pas mais je pense qu'il faut être naïf pour croire que l'on puisse susciter un autre intérêt que la convoitise (même nous ne sommes pas millionnaires).J'ai l'impression que pour le gouvernement, les indépendants se limitent aux médecins, avocats, jardiniers, etc. Ils semblent totalement ignorer les spécificités de l'activité des consultants indépendant du monde de l'IT -
Free-Worker-167483
Nombre de posts : 5Nombre de likes : 1Inscrit : 31 octobre 2018Bonjour,
Merci à tous pour vos réponses.
Je ne blâme pas les sociétés de service, qui sont soumises aux mêmes lois du marché que nous, et qui ont pour objectif de gagner de l'argent, comme nous le devons. La question de la gestion du risque est notre principal avantage vs un salarié, qui certes coûte "moins cher" dans une certaine mesure, mais présente un risque non négligeable lorsqu'il s'agit de se séparer d'une ressource qui n'est plus en mesure de rentabiliser son activité.
Si le marché n'est pas favorable en ce moment, c'est ainsi.
Il me faudra donc patienter 🙂 -
Olivier_M
Nombre de posts : 1498Nombre de likes : 88Inscrit : 17 mars 2010
Ne pas oublier cet élément à mon sens fondamental pour expliquer le refus de prendre des indépendants : la quantité proprement absurde de paperasse à remplir et d'obligations légales pour chacun des fournisseurs que vous employez, ainsi, en France, que les sanctions pécuniaires qui peuvent tomber sur le donneur d'ordre (dépendance économique, rupture abusive des négociations, salariat déguisé, paiement des charges sociales du sous-traitant...).isavory a écrit : La réticence des clients à travailler avec les indépendants est provoquée sans doute par de nombreux facteurs :
- mauvaise presse par les commerciaux des ESN qui préfèrent placer leurs salariés
- des mauvaises pratiques par certains indépendants qui abandonnent des clients pour des missions plus lucratives en plein milieu d'un projet
- Une mauvaise évaluation par les entreprises de la valeur ajoutée d'un indépendant qui peut être plus cher mais qui la plupart du temps demande un prix qui correspond à son expérience et son expértise
Ça encourage fortement à limiter le nombre de fournisseurs et à privilégier les plus gros. A vrai dire, une entreprise qui voudrait respecter scrupuleusement tous les textes, et se prémunir de tout risque, arriverait vite à la conclusion qu'elle ne doit plus faire travailler d'indépendants. C'est exactement ce qui se passe.
J'ai la chance de passer en direct pour pas mal de missions. Avec les "petits" comptes, qui n'ont de toute façon pas les moyens humains de suivre la production règlementaire de notre admnistration, c'est très rapide : le contrat se résume à une page écrite rédigée par mes soins et une poignée de main. Et chacun fait assez confiance à l'autre pour que l'on se dispense mutuellement des obligations/vérifications.
Avec les "grands" comptes par contre, ça devient assez hallucinant en terme d'obligations réciproques et de papiers à fournir. Pas par manque de confiance, juste parce qu'en cas de contrôle administratif, mon client devra fournir ces papiers.
Avec le dernier en date par exemple, je dois être en mesure de leur transmettre un document écrit, détaillant les mesures que j'ai mis en place afin de limiter l'impact environnemental de mon activité, ainsi que les mesures en cours d'implémentation à court, moyen et long terme, visant à réduire mon bilan carbone. Document écrit que je devrais produire à première demande en cas d'audit décidé unilatéralement par le client (si lui-même est contrôlé) mais à mes frais bien sur. Et ça, ce n'est qu'un exemple parmi une longue liste. Je suis indépendant comme tout le monde ici, et je bosse sans aucun salarié !Directeur de projet / Banques / Gérant majoritaire depuis 2001 / SARL à l'IS -
isavory
Nombre de posts : 88Nombre de likes : 8Inscrit : 29 septembre 2007Bonjour,
La lourdeur administrative à laquelle les entreprises sont soumises peut expliquer le souhait de limiter le nombre de fournisseurs, mais pas le refus que ces fournisseurs fassent appel à des sous-traitants. Il serait effectivement l'idéal pour nous, les indépendants, de pouvoir contracter directement avec les clients finaux, qui arrivent maintenant rarement. Je me satisfait actuellement de devoir faire de la sous-traitance.
Mais si même cette sous-traitance est remise en cause, il y a à mon sens un problème de structure même de notre métier.
- Notre modèle économique est-il remis en cause?
- Y'a-t-il des réformes qu'il faudrait apporter à la législation pour permettre à des personnes qui souhaitent adopter ce modèle de carrière de pouvoir se développer?
CordialementChef / Directeur de projet -
yanolezard
Nombre de posts : 289Nombre de likes : 285Inscrit : 5 décembre 2016Bonjour à toutes et à tour,
C'est un sujet intéressant et cela mérite que l'on s'y attarde un peu.
Je souhaiterai vous faire part de quelques réflexions issues de mes pérégrinations françaises, européennes et outre-atlantique où l'on parle notre belle langue avec un fort accent si sympathique. J'ai exercé ce métier pendant de très longues années, à temps plein, à temps partagé, à temps partiel, mêlé à d'autres activités ou à d'autres fonctions ou rôles. J'ai fait des coupures, volontaires, parfois par "ras-le-projet", parfois par lassitude, parfois par mépris, parfois pas dédain ou dégoût, parfois aussi pour résister à la tentation .... de recommencer ... Coupures parfois longues ou moins longues, histoire de voir si quelque chose avait changé au cours du temps.
Aujourd'hui, j'ai remis le "pied à l'étrier", dans une autre dimension, dans un autre esprit, avec un peu plus de liberté, de recul, de cumul ...
Oui, le marché du "Projet" et du "Management" (ou du "Management" et du "Projet") a changé et s'est transformé, peut-être plus vite que l'on ne l'aurait pensé, au-delà de nos frontières. En France, nous sommes encore timorés sur ces sujets, façon "grand-papa" et l'on ferait bien de se projeter, de voir ce qui se passe au-delà de nos frontières, chez nos voisins et amis .... c'est d'ailleurs cela, il y a plusieurs dizaines d'années qui m'a poussé à aller voir ....ailleurs
La gente féminine a apprivoisé ces spécialités et je ne peux que la remercier car son approche est différente, sa manière de voir juste et de gérer avec conviction du travail bien fait. La population projet et management, dans le secteur public, en Europe et au Québec par exemple, est très féminine. En France, ce serait plutôt le contraire mais cela commence a changé et c'est très bien.
Plus de parcpours, plus de formation, plus de certification, plus de reconnaissance et se développe maintenant en France, une sorte de mentorat du projet/management, copié un tantinet sur les "Compagnons du Devoir" (pour ceux qui ne connaissent pas, voici un lien intéressant https://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnons_du_Devoir
Réaliser des missions de projet/management, en France, pour un client Européen, Canadien ou Québecquois n'est pas du tout la même chose que de réaliser ces mêmes misisons directement chez le client. Et dans certains cas, vu de certains pays européens, les projets/management "à la Française" les font parfois "rigoler", parfois les attristent, parfois les font pleurer et parfois cela se transforme en osmose .... Allez comprendre ...Qui peut faire le + peut faire le - !!! J’ai constaté depuis des années et je constate toujours d’ailleurs, que la chefferie de projets (gestion, suivi, conduite) n’a guère évolué : - Production de rapports en tous genres que personne ne lit et qui occupe des "Go" sur des espaces de stockage (oui, oui, avec le cloud … on s’en fout du stockage ;-)) et de diagrammes en tous genres, capacité à faire (CAF), - Budget, ressources, charges ….
- Compte-rendus, etc …. beaucoup d’administratif qui occupe beaucoup de monde (internes/externes) et dont le ROI a toujours du mal à s’extirper ….
Durant mes longues pérégrinations, j'ai constate que les PMO (Project Manager Officer) de transition ou externes, et qui ont appris et acquis une spécialité sont très recherchés et que le PMO, si il sait bien s’organiser peut assumer le rôle de Chef de Projet +++Le PMO est un transversal, devenu un "homme" ou une "femme" clé, en grandes, moyennes, ou petites structures :- organisation & processus (sur la même ligne que le DPO, le DSI)
- portefeuille de projets (émergence, opportunités, faisabilité)
- contrôles budgétaires, et notions de contrôle interne
- vision globale métier jusqu’à l’infrastructure
- projets transverses/verticaux.Au Québec, en Allemagne ou au Danemark, par exemple, être PMO et Chef de Projet Règlementaire n’est pas contradictoire, bien au contraire car il maîtrise la totalité du projet et la ligne portefeuille rattachée. J’ai remarqué un autre élément très important : l’accompagnement du PMO externe / transition, similaire aux « Compagnons du Devoir » en France, et dont ils se sont largement inspirés.Une certification est souvent appréciée mais pas obligatoire (tout dépend du parcours, de l’expérience, du secteur, des « 3 skills » : hard, soft, human). Nos voisins et amis mettent un point d'honneur pour les certifications "terrain" avec comme pré-requis des expériences simlilaires, décortiquées, découpées, examinées pou qu'ensuite, la certification soit la plus performante possible, la plus ancrée, la plus valable, souvent une certification à étage (2 ou 3 niveaux à passer, le dernier n'étant accessible qu'à partir d'expériences entre 4500 et 6000 heures de projets par exemple).
Enfin, on trouve une mutation "naturelle" des métiers de la chefferie de projet :
Avant : Chef de Projet ==> Evolution : Chef de Projet + un rôle/fonction (technique, fonctionnel, métier, data, etc.)Avant : Directeur de Projet ==> Evolution : Directeur de Projet + une activité (R&D, Réseaux/télécom, Production, Cloud)Avant : PMO ==> Evolution : PMO + une activité (contrôle budgétaire, FinOps, règlementaire, architecture, logiciel, etc.) + 80 % des activités d'un chef de projet spécialisé
Pour finir, j'ai constaté sur une (très) longue période que les TJM, à l'extérieur de nos frontières avaient considérablement évolué et augmenté car le métier de PMO est de plus en plus complexe, de plus en plus responsabilisant, de plus en plus demandé (dans tous les secteurs publics/privés) et que ceux qui avaient/ont choisi la "voie royale" (accompagnement par un "parrain" du "Devoir") s'en sortait plus que raisonnablement .... alors qu'en France, nous sommes restés et considérés comme les "petites mains" du projet et payés, parfois, pour reprendre les propos de certains, "au lance-pierre" voire à des TJM frisant le ridicule.
Bien à toutes et à tous,
Prenez soin de vous et de vos proches.
Yano