Almasy
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Réponse postée 3 mars 2024 20:33
Je ne voulais pas tomber dans les querelles de chapelles ni faire rentrer telle notion dans telle case de telle méthode ni empiler les acronymes, tous plus éloignés les uns que les autres du sujet initial.
J'essayais juste de prendre un peu de hauteur et de dire qu'indépendamment d'une méthode de développement ou de gestion de projet, la qualité de la communication entre parties prenantes au projet est importante et que l'adoption d'un langage commun favorise la coopération entre parties prenantes au projet. Et donc que c'est une qualité à avoir pour un développeur. Certes Eric Evans utilise les termes "langage commun" et "expert du domaine" mais je ne crois pas qu'il s'offense si on les réutilise en dehors du DDD. Ou bien faut-il écrire "vocabulaire partagé" et "connaisseurs du métier". Je vais lui demander...
J'ai cité Jeff Atwood pour tout à fait autre chose ("faire simple").
Réponse postée 3 mars 2024 07:55
Pour l'ubiquitous language, j'évoquais surtout la phase d'analyse, durant laquelle le dialogue avec les experts du domaine (disons: "la maitrise d'ouvrage" pour ne pas trop utiliser le vocabulaire DDD) doit conduire à des documents de travail (disons "les specs") utiles pour les devs frontend, backend et et le dba.
C'est important de trouver une manière de décrire le métier qui "parle" à tout le monde. Souvent lorsqu'un développeur a un doute (exemple: cohérence forte ou cohérence à terme pour tel cas d'utilisation ?) la réponse est "ça dépend", et ça dépend souvent du métier. Expliquer la situation, proposer des options en expliquant avantages et inconvénients de chacune (un choix est forcément est un compromis) , et choisir ensemble me semble être une qualité importante, et ça s'applique quelque soit la technologie.
Avec le temps on apprend aussi à "faire simple", là où le jeune loup essaiera peut-être d'utiliser telle ou telle nouvelle technologie, le vieux loup de mer se demandera comment on peut s'en passer. Voir : https://blog.codinghorror.com/the-magpie-developer/ (l'auteur, Jeff Atwood, est le cofondateur de stackoverflow).
Réponse postée 2 mars 2024 21:39
Un mot sur la possibilité d'être "full stack":
Je donne des cours en Java et .NET depuis des années et rencontre 100 à 200 développeurs par an.
Certains prétendent être fullstack sans connaître ni les subtilités d'une flexbox css ni le currying en typescript ni les niveau d'isolation d'une transaction ni la raison d'être d'un thread pool en Java. Et je pourrais continuer avec les systèmes de messaging type Kafka ou RabbitMQ, la containerisation, OpenID Connect, les microservices, les pipelines CI/CD, etc... Pourtant il ne sont pas de mauvais développeurs et ils ont réussi leur entretien d'embauche dans la boîte dans laquelle ils travaillent. Et ce qu'ils connaissent suffit pour qu'ils développent une application CRUD avec des formulaires et des listes, comme on en retrouve tant dans l'informatique de gestion.
Le risque en voulant être fullstack d'emblée est d'être moyen partout et de se retrouver sur des projets pas très intéressants. Être professionnel c'est aussi connaître ses limites: moi par exemple, je connais les sujets évoqués plus haut mais je sais que je ne serai jamais aussi bon en css qu'un dev frontend qui en fait toute la journée ni aussi expérimenté qu'un sysadmin pour garantir le bon fonctionnement en prod d'un cluster Kubernetes. Mais ces connaissances sont précieuses car elles permettent de mieux collaborer sur un projet avec ceux qui ont cette expertise, de la même manière qu'un défenseur au football a une vague idée du boulot d'un attaquant.
On peut tendre vers une aptitude fullstack avec le temps (on dit qu'il faut 10 000 heures - soit 5 ans à plein temps - pour exceller dans un domaine, que ce soit les échecs ou le tennis ou la programmation Java) et la passion. Personnellement je pense que c'est plus intéressant d'exceller dans un domaine et de collaborer avec d'autres qui excellent dans le leur sur des projets pointus que d'être moyen partout et de tout faire sur des projets fastidieux. A un recruteur qui me poserait des questions sur les DaemonSet Kubernetes ou les css je dirais "rassurez moi, vous avez bien des devs frontend et des sysadmin, n'est-ce pas ?".
A propos des "soft skills": savoir appréhender un contexte métier, utiliser un langage commun (voir ubiquitous language), avoir comme priorité la qualité de la collaboration entre les membres du projet (dba, frontend, backend, maitrise d'ouvrage) et manifester un intérêt pour leur travail.
Deux bons lien: https://touilleur-express.fr/2017/02/18/un-developpeur-experimente/ et https://touilleur-express.fr/2020/12/27/larchitecture-moite-moite-ou-quand-tu-en-mets-des-2-cotes-de-la-tartine/
Désolé ne pas pas beaucoup t'aider sur l'aspect "marché du travail" mais j'espère que ça te permettra de savoir quelle développeuse tu veux devenir.
Réponse postée 2 février 2023 19:14
Oui, d'après le lien que tu as donné dans l'autre poste (https://www.ulam.info/travailler-en-suisse/les-autorisations/les-conditions-d-exercice-en-suisse) c'est assez simple jusqu'à 90 jours. Je travaillerai quelques semaines par an tout au plus donc et resterai donc en dessous de ce seuil.
Réponse postée 2 février 2023 18:47
Bonjour à tous,
Merci pour vos réponse,
Yebor j'avais lu la discussion dont tu donnes le lien mais il était surtout question de CDI et de travail à temps plein, dans mon cas ce sont des missions d'expertise de quelques jours, dont seulement une partie sur site en Suisse.
Je vais essayer de travailler en direct, en restant ouvert à la facturation via un intermédiaire basé en Suisse si le client préfère (même si c'est un peu bizarre dans le cas où je trouve le client).
Réponse postée 27 janvier 2023 16:59
Bonjour,
Je travaille en freelance depuis longtemps, en France je facture via mon EURL. Je voudrais développer mon activité en Suisse, à ceux qui l'ont fait: avez-vous été obligé de passer par une société intermédiaire suisse pour facturer (si oui laquelle) ? De créer une structure là bas ?
L'objectif n'est pas de s'installer là bas, tout au plus irai-je 3 ou 4 semaines par an et travaillerai le reste du temps à distance. La création d'une entreprise individuelle là bas ne convient pas, pas plus que le portage salarial. La SARL Suisse pourrait convenir mais j'aimerai attendre la fin de la première année avant de créer une seconde société.
Réponse postée 3 septembre 2021 18:23
Comme tu es en exercice décalé il faut provisionner suffisament en fin d'exercice pour que l'exercice suivant (pendant lequel tu devras payer la cipav et le dernier trimestre URSSAF) n'ait pas à payer la part des cotisations urssaf et cipav liée à la "prime du gérant" versée à la fin de l'exercice précédent.
Réponse postée 31 août 2021 08:17
Par contre la cipav régule dans l'autre sens puisque les cotisations demandées en 2020 pour la retraite complémentaire se basaient sur les revenus 2019. Dès lors qu'ils ont connaissance du revenu 2020 ils appliquent le remboursement du trop perçu.
Réponse postée 27 août 2021 18:24
En EURL IS on retient générallement un taux de 40% de prélèvements sociaux. Si tu te paies 100 il faut prévoir 40 (URSSAF + CIPAV) donc gagner 140.
Donc si tu gagnes 210*400=84000 tu peux te verser 60000 si tu n'a aucun frais (donc en réalité un peu moins). C'est un ordre de grandeur, des effets de seuils s'appliquent (pour la retraite complémentaire et les allocations familiales par exemple) si bien que le taux de 40% n'est qu'une approximation (un peu pessimiste dans mon cas).
Reste ensuite à payer l'impôt sur le revenu, calculé sur 90% du revenu déclaré mais celui-ci doit réintégrer la part non déductible de la CSG, la CRDS et les cotisations facultatives (mutuelle) payées par la société. Ces 3 postes représenteront moins de 5000 euros dans ton cas.
Réponse postée 2 avril 2021 08:12
La difficulté vient du temps passé dans ce logement : si l'on y passe que quelques jours par mois rien ne justifie de louer un appartement plutôt que d'aller à l'hôtel, et si l'on y établit sa résidence principale rien ne justifie que la société paie 80% du loyer (sauf sans doute si ce loyer est refacturé au client).
Sinon il suffirait de se faire domicilier chez un cousin à la campagne pour justifier de faire payer à la société la location d'un appartement à Paris où l'on habite à temps plein.
Pour prendre mon exemple : j'habite à la campagne et dois passer entre 5 et 10 jours par mois à Paris pour donner des cours. C'est la société qui paie le déplacement et l'hotel ou le airbnb à Paris, et je peux refacturer ces frais de déplacement au client. Et dès lors que je travaille aussi de chez moi la société paie une quote part du loyer (25%).
Réponse postée 11 mars 2021 17:15
Je fais ca chaque année, ainsi je paie en octobre une somme calculée d'après mes revenus de l'année (que je peux estimer avec quasi certitude dès la fin de mon exercice, c'est à dire en juin).
Réponse postée 7 décembre 2020 11:13
Réponse postée 6 décembre 2020 18:42
Savez-vous si le CA du mois pour la demande d'aide est calculé d'après les prestations effectuées le mois, les factures envoyées ce même mois, les factures réglées ce même mois ?
Par exemple pour une prestation de 5 jours effectuée en novembre mais dont la facture est envoyée le 2 décembre et réglée fin décembre. Le CA de novembre tel que déclaré sur le formulaire d'aide doit-il inclure cette prestation ? Y a-t-il un texte officiel qui précise cela ?
Merci !
Réponse postée 7 octobre 2020 14:06
Il y avait aussi l'aide de 477 euros sur la retraite de base, qui a fait l'objet d'un communiqué officiel le 22 mai mais qui n'est apparemment plus d'actualité. Il n'apparait certes pas dans la mise à jour du 26 juin, mais le second communiqué n'est venu qu'un mois après le premier premier, il ne s'agit pas d'un brouillon qui aurait été mis en ligne par erreur pendant quelques heures.
Un communiqué officiel ne les engage-t-il pas ?
Réponse postée 1 mai 2020 07:50
Extrait de l'avis d'imposition :
Détail des revenus
Revenus des associés et gérants donnant lieu à acompte : X (somme déclarée en GB)
Déduction 10% ou frais réels : 10% de X
Salaires, pensions, rentes nets : X - 10% de X
Je suis en EURL IS.
EDIT :
Cette année le fait de renseigner GB conduit à devoir remplir AN : "Rémunération nette de l'année 2019". Extrait de la notice : Dans la déclaration des revenus de l'année 2019 vous devez indiquer case 1AN à 1TN le montant net imposable de la rémunération versée en 2019 par la société contrôlée (après déduction forfaitaire de 10 % ou des frais réels). . Il faudrait donc y déclarer GB * 0.9.
Réponse postée 10 juin 2019 08:31
Mais je viens de trouver : ils utilisent la case XI de la DSI des revenus 2018. Ils ajoutent ce montant au revenu 2019 déclaré et obtiennent ainsi une assiette pour la CSG 2019, fausse puisque non basés sur les cotisations dûes en 2019.
Sans doute est-ce trop difficile pour eux d'additionner au revenu 2019 annoncé les cotisations maladies et af qu'ils ont eux-mêmes recalculées, ainsi que les chiffres CIPAV.
Réponse postée 10 juin 2019 08:12
Oui, le revenu 2018 est très supérieur à celui de 2017 (x 3), 2017 était la première année d'activité.
Mais sur 2017 et 2018, les revenus estimés par l'urssaf étaient inférieurs à ceux déclarés sur la DSI. Les deux premiers appels à cotisation de 2019 étaient basés sur la DSI des revenus 2017, hors le revenu 2019 est supérieur donc je ne comprends pas d'où auraient pu venir des remboursements.
Si j'utilise le net comme base de calcul de la CSG j'arrive à un montant inférieur de 15% à celui des échéanciers.
Pour arriver à un montant quasi identique (à 4 euros près) il faut que j'enlève de la base de calcul la seconde tranche de l'assurance vieillesse, la retraite complémentaire et l'invalidité décès (je ne garde donc que la première tranche d'assurance vieillesse).
Je ne prévois pas de les appeler pour demander à payer plus, mais si je dois anticiper une régularisation l'année prochaine j'aimerai autant le savoir. Sachant qu'il y en aura de toute façon une petite, puisque la CSG non déductible et la CRDS payées en 2019 devront être réintégrés dans les revenus déclarés.
Réponse postée 9 juin 2019 17:45
Je suis gérant majoritaire d'une EURL IS, j'ai réduit mon activité en 2019 par rapport à 2018 et j'ai contacté l'URSSAF pour leur indiquer la rémunération 2019. Je peux être assez précis sur le montant puisque l'exercice se termine le 30 juin et que la part variable de ma rémunération est connue en juin (mis à zéro du résultat pour tout me verser en rémunération).
Quelques jours après je trouve sur le site de l'urssaf les 2 prochains appels à cotisation mis à jour. Idem pour la CIPAV, avec la seconde tranche de l'assurance vieillesse de base mis à jour.
Au final les montants d'assurance maladie, allocations familiales et retraite de base correspondent exactement à ce que j'avais prévu (la retraite complémentaire reste calculée sur la base de la rémunération de l'année n-1).
Par contre je n'arrive pas à retrouver le même montant pour la CSG CRDS 2019. Il me semble que la base de calcul est
* le revenu (celui prévu en 2019 dans mon cas)
* les cotisations dues en 2019 au titre de l'année 2019 (les deux premières colonnes des échéanciers urssaf).
* les cotisations cipav dues en 2019 pour les revenus 2019.
J'arrive à un montant 17% supérieur à celui des appels à cotisations urssaf, voyez vous une erreur dans l'assiette que j'utilise ?
Merci !
Réponse postée 3 juin 2019 06:19
Merci pour votre réponse.
8 mois d'activité (société créé fin avril), effectivement en appliquant un prorata (/8 *12) cela réduit l'écart.
Réponse postée 2 juin 2019 21:20
Je suis gérant majoritaire d'une EURL IS créée en 2017, je suis en train de faire la déclaration de revenus et le message suivant apparaît au moment de confirmer ma déclaration :
"Vous êtes redevable d'un impôt au titre des revenus exceptionnels perçus en 2018 ou au titre de la régularisation de l'avance sur les réductions et crédits d'impôts versée en janvier 2019 ou au titre des prélèvements sociaux sur revenus d'activité ou de remplacement. À la réception de votre avis d'impôt à compter de juillet, l'impôt sur les revenus perçus en 2018 devra être acquitté en une seule fois, en ligne et par TIP si vous recevez un avis papier."
Effectivement les revenus 2018 sont bien supérieurs à ceux de 2017 (année de la création de la société).
2017: 23000 ;
2018: 70000 dont 10000 lié au fait que l'exercice a duré 15 mois et que je me verse en rémunération ce qu'il reste sur le compte (moins provisions urssaf, cipav,tva) avant la fin de l'exercice. Ces 10 000 sont ils exceptionnels ou plutôt des revenus différés ?
Les rémunérations sur 2019 et 2020 devraient se situer entre 50 000 et 70000, selon le temps consacré à l'activité freelance pour laquelle j'ai créée cette société (ce n'est pas un travail à plein temps).
Faut il attendre de déclarer des revenus constants sur les trois prochaines années pour faire entendre que les revenus 2018 ne sont pas exceptionnels ? Faut il plutôt utiliser la mention expresse ?
L'acompte mensuel n'est pas non plus très clair. J'imagine que c'est l'impôt 2019 des revenus 2019, calculé dans un premier temps, faute de mieux, sur la base des revenus 2018 déclarés (GB). Mais comme c'est mensuel et que nous sommes en juin, le montant annoncé est-il le montant total de l'impôt divisé par le nombre de mois restant (6 ou 7 selon qu'il y ait un prélèvement en juin ou non) ou dois-je m'attendre en plus à un prélèvement rétroactif pour les mois déjà écoulés ?
Merci pour votre aide !
Réponse postée 8 octobre 2018 14:42
J'en profite pour poser une autre question sur le calcul de la CRDS et CSG non déductible.
J'ai le plus grand mal à trouver la règle de calcul, jusqu'à présent j'ai trouvé qu'un taux de 2.9% s'appliquait à 98.5% des revenus. Soit XG*0,985*0,029 (il y a aussi des tranches, le 98.5% ne semble pas s'appliquer à toutes).
Mais l'info ne venait pas d'un site officiel et le numéro d'aide DSI ne répond jamais. Auriez vous un lien qui explique comment calculé cette somme pour les revenus 2017 ?
Merci.
Réponse postée 8 octobre 2018 13:43
J'ai saisi ma DSI sur le site net-entreprises.fr, lorsque je soumets la déclaration, je lis sur la page récapitulative :
La base de calcul de vos contributions sociales (CSG-CRDS) reconstituée sur la base de vos cotisations déclarées est de : XXX (avec XXX = XG+XI).
Selon moi XI correspond à ce qui a déjà été payé (deux appels à cotisations pour les deux derniers trimestre 2017, la société ayant été créée en avril 2017).
Sauriez vous pourquoi la base de calcul des cotisations intègre-t-elle des sommes déjà payées et qui n'ont rien à voir avec des revenus ?
Merci !
Réponse postée 26 avril 2018 07:51
Réponse postée 25 avril 2018 17:01
Peut on comptabiliser en charge les dons à des organisations qui produisent un contenu ou fournissent un logiciel que j'utilise dans mon travail ? Exemple : Ubuntu propose de donner ce qu'on veut, Wikipedia aussi, Mozilla aussi. Et j'utilise les 3 quotidiennement pour travailler.
La question peut s'étendre à tous les modèles de financement participatifs (tel projet open source m'intéresse, je soutiens son développement).
Merci !
Réponse postée 5 avril 2017 07:17
Réponse postée 4 avril 2017 21:19
Je suis en train de créer une société, qui devra facturer des prestations effectuées pour un client depuis le début de l'année (et des prestations futures évidemment). Il y a une relation de confiance, j'ai juste un peu tardé à créer la société mais dès que ce sera fait - la procédure est en cours - je devrais envoyer les factures (quitte à mettre la mention "société en création" pour les envoyer au plus tôt) et recevoir le règlement correspondant.
Pour la date des factures, doit elle être postérieure à celle de la rédaction des statuts ou postérieure à celle d'immatriculation de la société ? Est-ce un problème si le détail de la prestation fait apparaître des dates situées en janvier, février et mars (je suis obligé de préciser le détail de la prestation).
Dois-je mentionner ça dans les statuts, notamment dans la partie "Actes accomplis pour le compte de la société en formation" ? Sachant qu'il n'y a pas d'engagement de ma part ni de contrat qui cadre ce travail, je n'ai rien signé ni pris aucun engagement.
Merci.
- A
Réponse postée 4 avril 2017 12:24
Réponse postée 3 avril 2017 23:14
Merci pour vos réponses. J'ai pensé à l'IR car avec l'option IS la somme de l'IS, des prélèvements sociaux et des cotisations sociales sur les dividendes me semble supérieur au 38% du net qui s'applique à la rémunération en tant que gérant majoritaire TNS, et les 40% d'abattement au moment de calculer l'IR ne m'avaient pas l'air de compenser. Et : il faut attendre 1 an pour se payer les dividendes, et il faut avancer les 21% d'impôts.
On lit aussi un peu partout que la rémunération en dividendes pour les SARL et EURL est devenue moins intéressantes depuis 2013 du faite de leur soumission aux cotisations, et (sur ce forum) que l’optimum est de tout se verser en rémunération. @Mixomatose : sur un autre fil vous conseillez de tout se verser en rémunération (on parle bien de la rémunération TNS en tant que gérant majoritaire), du coup je ne saisis pas l'intérêt de l'option IS dans ce cas. Il y a surement quelque chose que je n'ai pas compris.
J'ai 110K de CA garanti cette année, 20K de frais (pied à terre à Paris). Le CA sera le même l'année prochaine (sauf si je choisis de bosser plus ou moins), ce n'est pas un démarrage d'activité.
Réponse postée 3 avril 2017 08:05
Je suis en train de préparer la création d'une EURL sur infogreffe.fr; c'est assez bien fait mais je ne suis pas sûr du choix pour les options fiscales.
C'est une EURL IR, les 3 champs sur lequels j'ai un doute sont :
imposition sur les bénéfices. Choix : BNC - déclaration contrôlée, IS - régime réel normal, IS - régime réél simplifié, BIC - régime réel normal, BIC - régime réel normal. Est-ce bien "BNC - déclaration contrôlée" ?
imposition sur les bénéfices - options particulières. Choix : aucune, option pour le régime des sociétés de personnes, option pour assujettissement à l'impôt sur les société. A priori je n'aurais choisi aucune option.
Régime d’imposition en matière de TVA. Choix : Franchise en base, Régime réel simplifié, Régime mini réel, régime réel normal. Là je ne sais pas du tout quoi choisir.
Merci pour votre aide,
Réponse postée 1 avril 2017 20:35
Ai appelé l'agessa, d'après eux il n'est possible de recevoir des droits d'auteur que s'il y a une société éditrice et si les contenus créés sont disponible à tous (pas de cession exclusive). La vente en ligne est acceptée.
Pour être dans les règles il faudrait donc créer une société éditrice et une société qui loue les supports à la société éditrice pour donner des cours et en tirer des revenus.