trouver des missions en tant que front

Merci de ta réponse, je t'ai vu intervenir à de nombreuses reprises sur le forum et je suis ravie que tu apportes ta pierre à mon sujet !

Ta réponse me fait même beaucoup de bien car, comme je le disais, même si je suis une grosse curieuse, j'ai touché à un peu de back mais bon... Je m'épanouis tellement dans le front ! Donc ta réponse ne fait que confirmer le fait que j'ai peut être "raison" de m'entêter autant dans le front.

Je n'ai pas osé parler de deux expériences que j'ai vécu car j'ai eu peur de paraître orgueilleuse, mais voici deux choses que j'ai vécu qui m'ont marquée :

Lorsque j'étais dans mon ancienne société, il y a eu une période dans laquelle je m'ennuyais profondément (manque de sujets intéressant), j'ai postulé à une offre dans ma région. L'entreprise avait un type de commerce qui me parlait pas mal en tant qu'ancienne graphiste, un des deux patrons était fullstack mais en avait marre de pondre du "front sale" pour reprendre ses termes et cherchait quelqu'un pour prendre le lead sur le front. L'opportunité m'a énormément parlé, j'ai eu un excellent échange avec le patron qui m'a dit percevoir complètement ma passion pour le front.
La balle était dans mon camp, sauf que... ma société était au Luxembourg, et on parlait de 1000€ de salaire de moins, d'autant plus que c'était encore l'époque où le covid était bien présent donc beaucoup de télétravail... Une période de ma vie durant laquelle je ne pouvais pas m'asseoir sur une telle somme même si le poste "me hypais" complètement. Donc j'ai refusé.

Deuxième expérience, cette fois lorsque j'ai appris que j'étais licenciée, j'ai été contactée par un chasseur de tête qui m'a tournée vers une société importante du luxembourg. J'ai accepté l'entretient mais j'ai exposé dès le début que mon licenciement était pour moi l'occasion de me tourner vers ma famille (car oui, nous étions passés à très peu de jours de télétravail par semaine, avec des trajets qui n'en finissent pas... des bouchons sans fin, je passais littéralement 4h dans les transports). J'ai rencontré le client qui cherchait de base un sénior. J'ai bien accroché avec le directeur, un peu moins avec les 2 autres devs, mais j'ai pris à coeur l'entretient, encore une fois il en est ressortit "vous avez l'air passionnée et curieuse ! c'est super !".
Je pensais franchement avoir raté l'entretient même si l'échange étant positif, ils voulaient un sénior. Finalement ils voulaient me prendre, mais j'ai refusé car si j'acceptais je pouvais faire une croix à nouveau sur ma vie de famille...

Tout ça pour dire que ce côté passionnée m'a permis de faire la différence à quelques reprises, d'après eux il ne s'agit pas seulement de passion mais aussi d'avoir un dialogue technique aboutit, tout en restant consciente que "je ne sais pas tout" non plus et ouverte à l'idée de me remettre en question et friande de façons de faire. Ce sont visiblement mes "soft skills" qui m'ont permis de faire la différence... Sauf qu'aujourd'hui, juste aller à l'étape d'entretien RH me semble presque inaccessible.

Je rebondis aussi sur ce que tu as dit, j'ai récemment donné un CV à une entreprise de ma région qui m'a fait un retour, pas de poste pour le moment mais ils m'ont tout de même proposé de passer un test technique à base d'intégration de page wordpress. Je me suis dit que ce serait une bonne occasion de faire de l'intégration de thème. Au pire je rate, pas grave, mais comme j'ai bientôt fini mon dernier side project, en voilà un nouveau à faire 😁 avec de nouvelles techniques à voir !

En tout cas, l'idée de viser du fullstack ne m'enjaille vraiment pas, comme tu dis, il y a déjà tellement à faire dans le front, mais est ce toujours le cas aujourd'hui ? Surtout avec l'arrivée des IA génératives... Est ce que je n'ai pas loupé le coche ?

Hello

En tant que coach dans l'IT, je suis amené à travailler avec tous les corps de métier. Chez mon client actuel, on a de tout, dev front, dev back, fullstack, devops mais rarement quelqu'un qui sait tout faire bien, d'où mon rôle pour guider les non sachant. Donc, je pense qu'il reste largement de la place si tu souhaites simplement faire du front sans tout savoir de l'informatique. Par contre, il est vrai qu'il existe une barrière à l'entrée très difficile à franchir à cause tout simplement de la concurrence, même si, une fois passé cette barrière le day to day job est assez basique. A te lire, sans vouloir émettre de jugement, j'ai l'impression que tu as obtenu ton expérience par "piston" en tant que femme, si c'est le cas, il faudrait que tu aies quelque chose de plus solide à montrer en entretien car on est loin de la pénurie de main d'oeuvre.

par piston ??? excuses moi mais j'aimerai vraiment savoir d'où tu tiens cette information. J'ai tout précisé dans mes récits, j'ai été contactée alors que je n'avais même pas encore fini ma formation et que je ne connaissais ni d'eve ni d'adam la société qui m'a embauchée, idem pour les deux autres... Puis la première cliente de la région à m'avoir contactée m'a trouvée par hasard via la page google business, elle a activé le bouche à oreille comme elle était satisfaite elle a filé mon contact à une de ses collègues qui avait également des besoins pour son site.

L'autre cliente qui m'a trouvée c'était sur malt, et enfin, le site du hockey dont je m'occupe c'est tout simplement parce que leur webmaster est parti en claquant la porte, ils ont laissé le site vivre sans personne s'en occuper jusqu'au jour où, forcément, wordpress & classic shits, le site tombe. Ils savaient qu'ils avaient une dev dans leurs rangs, ils m'ont demandé de les dépanner et c'est comme ça que j'ai pris la main sur le site.

"Sans vouloir émettre de jugement j'ai l'impression que tu as obtenu ton expérience par piston en tant que femme". Désolée mais on est complètement dans un jugement ^^' je parle de beaucoup de projets réussis et aboutis, ainsi que des sides projects que je réalise pour entretenir ma veille technique, je suis mentor auprès d'OC et tous mes étudiants ont réussis leur parcours. Comme beaucoup d'entre vous sur ce forum, je fais partie de ces gens qui étaient sollicités à minima 3x / semaine pour des offres alors que je ne demandais rien, et je suis surprise de constater à quel point le marché du travail a pris un coup même dans ce domaine depuis une bonne année.

En revanche je te rejoins sur le fait qu'il y a effectivement une barrière percevable à l'entrée, toujours est il que j'ai su faire mes preuves à ce niveau. C'est au contraire le "coup de frein" que je ressens sur le nombre de sollicitations, ainsi que rien que le fait d'obtenir un entretien me semble aujourd'hui compliqué alors qu'encore une fois, il y a un an c'était tout le contraire. J'ai vu des gens dire que malgré plus d'une dizaine d'année d'expérience dans le domaine, eux aussi galèrent.

Donc non, je n'ai pas été pistonnée et je n'ai pas à rougir d'avoir, en tant que femme, réussi à rentrer dans une équipe d'HOMMES et réussi dans un domaine majoritairement masculin sans avoir à passer par l'étape du canapé ;). Je vois énormément de personnes se poser la même question sur le marché du travail, j'ai cherché des réponses sur le fait d'être spécialisé front sur le forum et n'ai pas trouvé grand chose qui me réponde, donc je me suis permis de poster ma question.

je comprend, mais effectivement c'est toujours navrant de se voir rabaissé à sa condition féminine, surtout en lisant ceci :
"A te lire, sans vouloir émettre de jugement, j'ai l'impression que tu as obtenu ton expérience par "piston" en tant que femme, si c'est le cas, il faudrait que tu aies quelque chose de plus solide à montrer en entretien car on est loin de la pénurie de main d'oeuvre."

En gros on a pris ouvertement mon bagage technique, on l'a jeté à la poubelle sous prétexte que je suis une femme. C'est triste. D'autant plus que je me suis dit avant même de poster mon message que je devrais prétendre être un homme pour éviter d'avoir droit à ce genre de traitement. Pourtant loin d'être féministe, j'avoue être toujours dépitée devant ce genre de réaction... J'ai eu le cas aussi durant ma formation openclassrooms, j'ai eu un premier mentor qui n'accompagnait que sur les projets front, ça c'était hyper bien passé j'étais à fond, puis j'ai dû changer de mentor car je passais aux projets back... Quand le jeune homme a appris que mon conjoint était dev fullstack mon dieu... Il est parti dans l'idée que c'était lui qui faisait à ma place 🥲. Une femme, qui plus est accompagnée par un dev expérimenté, elle fait forcément pas les choses elle même ! Autrement dit j'ai fais 2 séances avec lui à me prendre des remarques sur ma condition de femme et j'ai passé sur un autre qui par contre était adorable et ne m'a nullement rabaissée au simple sujet de la forme de mon attribut féminin.

Encore une fois, j'ai tout de même fait la différence auprès d'un recruteur qui cherchait un sénior de base, il s'en tape des quotas féminins / handicapé / noir / beige / blanc / jaune, il voulait une expertise, d'autant plus qu'il s'agit de sites important puisque c'est littéralement tous les sites de l'état du luxembourg. Ce qui a fait la différence c'est qu'ils ont vus comme je l'ai souligné des soft skills qui leur plaisait : passion / engouement certain / capacité à se remettre en question / curiosité, mais aussi un bagage technique peut être pas aussi importants qu'ils le souhaitaient dans l'immédiat mais qui correspondait tout de même à ce qu'ils recherchaient.

Importance du code optimisé, réutilisable, robuste, évolutif, un langage technique adapté. Donc oui, si on pouvait à l'avenir éviter de me dire que c'est ma poitrine qui a pu faire la différence jusqu'ici, cela serait fortement appréciable et cela ne jette pas mes compétences techniques à la poubelle.

Je fais probablement un jugement de valeur retour, mais il n'empêche que c'est la réalité également => Avec des "si" on mettrait paris en bouteille, mais si je n'avais pas ouvertement dit que j'étais une femme, le sujet de la minorité et des quotas n'aurais pas été mis sur la table par quelqu'un qui n'a visiblement pas du tout compris la question 😉. On en a la preuve par A + B, cela vient de se produire. Donc je comprend le caractère vexant en retour et ce n'était pas non plus dans mon intention de blesser, du tout, mais encore une fois ce n'est pas normal que j'ai eu à me défendre sur mon bagage technique juste parce que je fais partie des 'minorités' et que j'ai dû me payer ce "il faudrait que tu aies quelque chose de plus solide à montrer en entretien car on est loin de la pénurie de main d'oeuvre", alors que cela n'a absolument rien à voir. On ne peut pas me dire "c'est injuste ce que tu dis" alors que c'est un fait qui est ici clairement démontré. Pour autant, toi tu as apporté une réponse tout à fait correcte et sans jugement de valeur, donc ma remarque ne te visais pas non plus.

Je rebondis par ailleurs là dessus "Mais ton argument est particulié, car tu dis que les recruteurs s'en fichent des quotas alors que toi même tu démontre avoir été recruté selon une forme de privilège, car, comme 797429 et moi l'indiquons, en général, les entreprises ne vont pas te démarcher quand tu es encore dans les études, encore moins au départ." OK, mais vous parlez d'UNE fois sur toutes les autres expériences que je vous ai cité, à savoir que j'étais encore en études. D'accord, mais ensuite ? J'étais dans mon entreprise lorsque j'ai été voir ailleurs, puis j'étais encore en entreprise, sur le départ certes pour cause de licenciement économique, mais tout de même, je n'étais plus dans cette situation particulière qui semble autant vous interpeller. Encore une fois, c'est triste de voir qu'une expérience sur toutes celles que j'ai vécu semble faussement pointer du doigt le "tu vois tu a été privilégiée juste pour remplir un quota mais en réalité c'est du vent ce que tu proposes" (ce n'est pas ce que tu dis 999999999, je l'ai bien compris, mais forcément ça fait bondir).

Comme tu le dis, ça a totalement fait dévier le sujet, et c'est triste, puisque ça nourrit encore le fait que cela amène sur la tables des choses qui n'ont rien à voir. Si prochaine réponse il y a, j'espère qu'elles seront bien plus constructives et ne tourneront pas autour d'un débat aussi stérile et inutile soit il.

Bonjour,
Que te dire a part que c'est compliqué ces derniers temps pour beaucoup de freelance mis a part il me semble certains domaines comme le devops et la data. Certains s'en sortent grâce a leur réseau ou leurs compétences spécifiques.
Peut être qu'une solution est de t'associer avec d'autres free lances si possible avec des compétences complémentaires ou bien essayer de proposer tes compétences a des TPE/PME qui veulent une présence sur le net et facturer de ci de la.
Voila mis a part ça je te souhaite bonne chance dans ta recherche.

PS: les Free-Worker-xxxxxx n'hésitez pas a mettre des pseudos car j'ai l'impression de m'adresser a des robots.

La dérive du fil est effectivement dommage.

Je rejoins plusieurs remarques sur les difficultés actuelles. Beaucoup de freelance (de mon entourage et pas de mon entourage, vrais freelance ou faux cdi 😅) ont des difficultés à trouver des missions.

Par rapport à ce que vous dites 258893, je comprends qu'au-delà des compétences techniques, vous avez un profil de passionnée.
Dans un marché compliqué, ça peut faire une énorme différence. Quand il y a 20 personnes compétentes pour une même mission, ce ne sont plus les compétences techniques qui font cette différence.
Dans ce contexte, il faut essayer de privilégier les démarches où vous pourrez montrer ces "soft kills" :

• Participer à des salons

• Participer à des rencontres avec des chefs d'entreprises accessibles, type TPE/PME (voir pour ça les clubs locaux, la CCI, la CPME ...)

• Faire des vidéos où vous mettez en avant votre technique ET votre passion (C'est une démarche plutôt long terme, il ne faut pas s'attendre à faire 1000 ventes avec une seule vidéo)

• Vendre la double compétence graphiste / front end

En complément, des pistes générales :

• Bien poser votre offre de service et montrer la valeur ajoutée

• Faire des partenariats avec d'autres freelance complémentaires (vous vous apportez mutuellement des affaires), pouvoir ainsi proposer une offre plus complète

Merci à Vince Ricosti et Droopyann pour vos réponses ! Effectivement je suis déjà associée avec deux autres freelances, l'un étant ui designer (et ancien collègue), l'autre expert SEO, donc c'est parfait en général ça roule assez bien pour savoir à qui adresser mes clients sur les compétences que je n'ai pas :)

Pour les vidéos, j'ai eu une idée similaire car pas très à l'aise en vidéo, c'est l'idée d'ajouter un blog à mon site vitrine publiant justement des articles sur mon parcours / des expériences qui pourraient servir à d'autres mais aussi des ressources (livres que j'ai parcourus, vidéos...)

l'idée de rencontrer des TPE/PME me semble excellente et je vais me tourner vers les organismes que vous avez cités !

Un mot sur la possibilité d'être "full stack":

Je donne des cours en Java et .NET depuis des années et rencontre 100 à 200 développeurs par an.

Certains prétendent être fullstack sans connaître ni les subtilités d'une flexbox css ni le currying en typescript ni les niveau d'isolation d'une transaction ni la raison d'être d'un thread pool en Java. Et je pourrais continuer avec les systèmes de messaging type Kafka ou RabbitMQ, la containerisation, OpenID Connect, les microservices, les pipelines CI/CD, etc... Pourtant il ne sont pas de mauvais développeurs et ils ont réussi leur entretien d'embauche dans la boîte dans laquelle ils travaillent. Et ce qu'ils connaissent suffit pour qu'ils développent une application CRUD avec des formulaires et des listes, comme on en retrouve tant dans l'informatique de gestion.

Le risque en voulant être fullstack d'emblée est d'être moyen partout et de se retrouver sur des projets pas très intéressants. Être professionnel c'est aussi connaître ses limites: moi par exemple, je connais les sujets évoqués plus haut mais je sais que je ne serai jamais aussi bon en css qu'un dev frontend qui en fait toute la journée ni aussi expérimenté qu'un sysadmin pour garantir le bon fonctionnement en prod d'un cluster Kubernetes. Mais ces connaissances sont précieuses car elles permettent de mieux collaborer sur un projet avec ceux qui ont cette expertise, de la même manière qu'un défenseur au football a une vague idée du boulot d'un attaquant.

On peut tendre vers une aptitude fullstack avec le temps (on dit qu'il faut 10 000 heures - soit 5 ans à plein temps - pour exceller dans un domaine, que ce soit les échecs ou le tennis ou la programmation Java) et la passion. Personnellement je pense que c'est plus intéressant d'exceller dans un domaine et de collaborer avec d'autres qui excellent dans le leur sur des projets pointus que d'être moyen partout et de tout faire sur des projets fastidieux. A un recruteur qui me poserait des questions sur les DaemonSet Kubernetes ou les css je dirais "rassurez moi, vous avez bien des devs frontend et des sysadmin, n'est-ce pas ?".

A propos des "soft skills": savoir appréhender un contexte métier, utiliser un langage commun (voir ubiquitous language), avoir comme priorité la qualité de la collaboration entre les membres du projet (dba, frontend, backend, maitrise d'ouvrage) et manifester un intérêt pour leur travail.

Deux bons lien: https://touilleur-express.fr/2017/02/18/un-developpeur-experimente/ et https://touilleur-express.fr/2020/12/27/larchitecture-moite-moite-ou-quand-tu-en-mets-des-2-cotes-de-la-tartine/

Désolé ne pas pas beaucoup t'aider sur l'aspect "marché du travail" mais j'espère que ça te permettra de savoir quelle développeuse tu veux devenir.

Bonjour,

De mon expérience, on ne trouve pas beaucoup plus de missions en tant que développeur fullstack JS en tout cas.

Ayant une appétence frontend avec une expérience backend, cela ne suffit pas forcément et ne change pas l'état actuel du marché.

Au point où j'en suis, si je trouve un CDI je prends 😢

Bonne chance 👋🏽

Pour l'ubiquitous language, j'évoquais surtout la phase d'analyse, durant laquelle le dialogue avec les experts du domaine (disons: "la maitrise d'ouvrage" pour ne pas trop utiliser le vocabulaire DDD) doit conduire à des documents de travail (disons "les specs") utiles pour les devs frontend, backend et et le dba.

C'est important de trouver une manière de décrire le métier qui "parle" à tout le monde. Souvent lorsqu'un développeur a un doute (exemple: cohérence forte ou cohérence à terme pour tel cas d'utilisation ?) la réponse est "ça dépend", et ça dépend souvent du métier. Expliquer la situation, proposer des options en expliquant avantages et inconvénients de chacune (un choix est forcément est un compromis) , et choisir ensemble me semble être une qualité importante, et ça s'applique quelque soit la technologie.

Avec le temps on apprend aussi à "faire simple", là où le jeune loup essaiera peut-être d'utiliser telle ou telle nouvelle technologie, le vieux loup de mer se demandera comment on peut s'en passer. Voir : https://blog.codinghorror.com/the-magpie-developer/ (l'auteur, Jeff Atwood, est le cofondateur de stackoverflow).

Je ne voulais pas tomber dans les querelles de chapelles ni faire rentrer telle notion dans telle case de telle méthode ni empiler les acronymes, tous plus éloignés les uns que les autres du sujet initial.

J'essayais juste de prendre un peu de hauteur et de dire qu'indépendamment d'une méthode de développement ou de gestion de projet, la qualité de la communication entre parties prenantes au projet est importante et que l'adoption d'un langage commun favorise la coopération entre parties prenantes au projet. Et donc que c'est une qualité à avoir pour un développeur. Certes Eric Evans utilise les termes "langage commun" et "expert du domaine" mais je ne crois pas qu'il s'offense si on les réutilise en dehors du DDD. Ou bien faut-il écrire "vocabulaire partagé" et "connaisseurs du métier". Je vais lui demander...

J'ai cité Jeff Atwood pour tout à fait autre chose ("faire simple").

Bonjour "Free-Worker-258893",

Bravo pour votre pugnacité et pour ce témoignage de parcours. Comme aurait aimé le rappeler Jean de la Fontaine (en arrangeant un peu les mots) "Et si votre ramage ressemble à votre plumage, alors vous êtes l'hôte de votre profession".

En tout cas, cela me fait plaisir de voir que l'écosystème numérique commence à être "envahi" par la gent féminine, dans de nombreuses activités car vous êtes nos complémentaires.

Je milite pour l'inclusion des femmes dans l'informatique, au sens large (des métiers/professions aux salaires), depuis la fin des années 90 ... petit-à-petit, l'oiseau fait son nid et je veille à ce qu'aucun "coucou" ne réoccupe une place déjà prise.

J'ai déjà été employeur et à l'époque, H ou F, à connaissances/compétences/diplômes/expériences égales, avaient le même salaire et personne ne grinçait des dents.

Et dans les nouveaux écosystèmes de l'entreprenariat au féminin, je suis toujours avec d'autres (des femmes et/ou des hommes) un militant acharné ... à tel point que notre "Ami Google" m'a octroyé des heures (rémunérées au forfait) de découvertes de "coding", dans les locaux de ma région, pour initier la jeunesse féminine (6 à 17 ans) au "NoCode éducatif" (et ça tombait bien, car je produis du "NoCode" depuis environ 40 ans ... j'ai créé et je créée toujours de tels outils "propres" en sortie de codes) ... Le produit "Scratch" ou "GDevelop" sont superbes pour cela alliés à la robotique éducative et créative.

En tout cas, félicitations et "never give up" dans votre profession/spécialité (le "Front" n'est pas ma tasse de thé !)

Bien à vous,

Yanolezard