Mr Sky
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Réponse postée 24 septembre 2024 08:44
BonjourFree-Worker-1273389
Vous êtes dans quel métier si ce n'est pas indiscret ? as-tu des conseils concernant mon sujet ?
Je vous remercie.
Bonjour,
Les métiers en full TT sont en voie de disparition notamment après que certaines grosses boites ont décidé du retour en full présentiel....
Réponse postée 23 septembre 2024 14:44
C'est ce que je constate en effet, le retour en présentiel est devenu la norme même pour les métiers IT,
Mon but n'est pas d'avoir une garantie ou une certitude mais la plus grande probabilité d'avoir des offres en full remote,
Pouvez-vous m'en dire plus sur les métiers (annexes) au devs ?
Merci
La mode est au retour du présentiel donc ça va être compliqué à trouver, surtout pour un débutant. Essayes de t'orienté sur des métiers "annexes" au devs comme QA, support, etc
Réponse postée 23 septembre 2024 14:42
Je te remercie beaucoup pour ta réponse détaillée,
Je te rejoins dans ton analyse concernant les devs, d'autant plus que je ne veux pas d'un métier avec beaucoup de (technique) et d'investissement inefficace, des devs en full remote se trouvent en Inde assez facilement, la concurrence sera donc intense,
Concernant la Suisse, je suis d'accord que c'est très attractif vu les salaires, mais mon but est de séparer ma vie personnelle de ma vie professionnelle, je ne veux plus que mon travail dicte où et comment je dois vivre quitte à laisser tomber le critère (rémunération).
C'est pas si simple de trouver un full remote encore moins pour les débutant. pour les personnes un peu plus expérimenté c'est un peu plus simple mais souvent la compétition est importante. J'ai eu 2 process dans les 4 derniers mois pour 1 CDI full remote et 1 mission full remote. Dans les 2 cas, le processus était assez sélectif. C'était des boites très internationales et donc anglais courant obligatoire biensur mais surtout 2-3 round techniques assez poussés (leetcode et autre). Je vois également quelques offres en 100% remote mais avec des salaires/TJM très faible.
Moi aussi de base je suis rentré dans la tech pour l'aspect remote mais cela va risquer d'être de plus en plus compliqué. J'ai changé un peu ma stratégie de mon coté en cherchant vers Zurich ou j'arrive a trouver des postes qui en TC frollent les 200k CHF mais souvent presque pas de remote. Je me dis que j'aurai une capacité d'épargne assez conséquence et cela compense finalement le remote. Mieux vaux cette option que de finalement bosser pour des peanuts en remote.
Je pense pas que nos métiers soient les plus simple pour avoir du full remote (même si cela devrait être le cas), je pense que c'est plus simple pour un recruteur tech d'être en full remote que un dev. Perso, j'ai jamais eu un recruteur (interne ou externe) en face. Je suis également certain que la plupart des cabinets de recrutement et chasseur de têtes voient rarement leur clients en dehors de visio.
Et dernièrement, en vu de tes objectifs, je te déconseille de devenir "dev" en France, les salaires sont bas et la compétition est importante. Regarde des choses comme solution architect qui demande plus des skills de sales et qui paye beaucoup mieux que nos pauvre dev. J'ai des amis en province qui gagnent mois que des gens qui bossent comme livreur UPS.
Réponse postée 20 septembre 2024 14:41
Bonjour les Free,
Je m'adresse à vous aujourd'hui pour avoir des conseils afin de bien m'orienter dans le chemin le plus pertinent pour ma reconversion,
Je suis ingénieur des structures et je voudrais me reconvertir dans l'IT, mes critères indiscutables par priorité sont les suivants :
Métier avec le plus de chance de le faire en FULL REMOTE à 100% ;
Métier qui ne demande pas un investissement trop important en temps (investissement de quelques mois (4 à 6) en formation) ;
Métier trop demandé où il est relativement facile de trouver des offres.
Je précise que le niveau de rémunération n'est pas un critère,
Je vous donne mes constations en cours :
Je me penche de plus en plus vers le DATA Analyst pour répondre aux critères 2 et 3 mais je ne suis pas sûr qu'il répond au premier critère.
Je vous laisse m'orienter vers un métier et si possible une formation qui peut répondre à ces 3 critères,
PS : j'ai déjà parcouru beaucoup de postes qui parlent du FULL TT mais je n'ai jamais trouvé les réponses à mes questions,
Je vous remercie beaucoup.
Réponse postée 13 septembre 2024 15:21
Merci beaucoup yanolezard
Pour une reconversion à partir d'un métier scientifique (ingénierie des structures), je cherchais un métier demandé, accessible et ne nécessite pas énormément d'investissement en temps, raison pour laquelle je me suis orienté vers le DATA (peut-être que je me trompe),
J'ai donc trois questions :
1- Parmi les 3 métiers cités, pensez-vous que le DATA Analyst est le mieux placé pour répondre à ces critères (temps d'apprentissage raisonnable, métier en forte demande) ?
2- Que pensez-vous de la formation de l'école (datascientest) qui existe en bootcamp de 4 mois ?
3- Je suis particulièrement attaché au Full Remote, est ce que cette pratique est répandue et courante pour ce métier ? si oui, est ce lier à l'expérience et si oui à partir de quel niveau d'expérience peut-on trouver ces types de missions ?
Je vous remercie d'avance encore une fois.
Bonjour " Steph0218 ",
Chaque personne est unique, chaque chemin professionnel aussi et ce n'est pas à moi de vous dire quelle voie emprunter, d'autant plus que vous ne dites rien sur votre parcours, sur vos aspirations ou sur vos intérêts ou si ce n'est pour un motif purement veinal (je ne fais point de jugement, je ne suis pas habilité pour cela).
Comme vous l'écrivez, le marché de la data est une niche, mais ce n'est pas nouveau : cela fait des années que l'on en parle, que l'on vulgarise, que l'on sensibilise ... l'actualité mondiale, au travers des affaires sécurité, nous rappelle à l'ordre que cet "or " commence à attirer beaucoup trop de monde, notamment la piraterie, la flibusterie, la filouterie, ... bref, pas que du "beau" monde, mais plutôt des aigrefins attirés par la couleur et le sentiment de puissance/jouissance/orgasme du "pognon".
La "data" est un écosystème très étendu et très vaste (il y a d'ailleurs d'éminents spécialistes sur ce forum qui pourraient en parler certainement mieux que moi, étant donné que je ne suis qu'une humble petite poussière, à ma juste mesure, dans ce monde étendu et mes expériences, compétences et connaissances peuvent certainement participer peu ou prou au partage et au savoir de la communauté).
Je constate, de par votre écrit, que votre "coeur balance" entre des métiers (certes, dont la racine principale conductrice est la donnée) qui, pour moi, sont bien distincts, à la fois en termes technologiques, techniques et de responsabilités différentes.
Pour éclaircir la situation, revoyons quelques points :
Le "data scientist" est missionné par un service ou la direction de son entreprise pour collecter, organiser et exploiter des données (aussi appelées big data à cause de leur volumétrie grandissante, de l'ordre du Zo actuellement). Les entreprises ont désormais de grands volumes de données à disposition. Le "data scientist" les " fait parler " afin d'apporter des éléments d'aide à la décision.
Le travail (souvent bien ardu, même pour une "tête bien faite") commence par l'analyse de la demande : exploiter des données industrielles ou pas, pour une meilleure productivité, améliorer la qualité ou faire de la maintenance préventive en analysant les pannes... Souvent, le data scientist travaille sur les données de clients ou des données publiques à des fins marketing, entre autres. Il récupère les plus pertinentes sur des serveurs, des fichiers, des bases de données, etc. et les " nettoie ", pour les mettre au bon format ou éliminer celles qui sont inexploitables.
Le plus important du travail vient ensuite de la modélisation et de la création d'algorithmes pour croiser et analyser les données (langages courants : SAS, R, Python, Scala). Des essais et ajustements sont nécessaires durant cette phase. La restitution des résultats se fait sous forme de rapports, de graphes, de tableaux ou d'applications.
Le "data scientist" est chargé de l'ensemble de ces tâches dans lesquelles il est aidé par d'autres professionnels des datas, de graphistes, etc.
Cette "discipline" requiert une/des formations et compétences pointues, notamment en analyse/développement d'algorithmes (tous aussi tordus les uns que les autres ... quoi que ...ça dépend ... ça dépasse 😄) mais aussi, en modèles (très) avancés et appliqués, des mathématiques scientifiques : matrices, dérivées, intégrales, ..., financières, statistiques : moyenne, vecteurs, valeurs propres, etc, probabilités et autres joyeusetés du même acabit, en marketing. . Pour mettre un poil d'humour, c'est le gars à qui vous dites "Salut, ça va ?" et qui te répond, 2 jours plus tard "Et toi ?).
Une maîtrise des outils, globalement, tels qu' Apache Hadoop, Spark, Map Reduce, bases de données NoSQL, langage de programmation SAS, R, Python... Le data scientist doit maîtriser de nombreux programmes informatiques pour mener à bien la collecte, l'analyse et la restitution des données. ... C'est un métier de curieux, de passionnés, d'apprentis-sorciers. J'en connais qui, pour "s'envoyer en l'air", préfère les algo/données à tout autre sandwich au gruyère ou autres plaisirs non divulgables.
Quelques outils ....
Langages de programmation :
Python : avec les bibliothèques "pandas", "NumPy," "scikit-learn," "TensorFlow", "Keras", "pyTorch", "StatsModels", etc.
R : avec les packages "dplyr", "ggplot2", "caret", etc.
SQL
Scala
Outils et environnements de développement : Jupyter Notebooks, RStudio, VS Code
Outils de visualisation de données : Matplotlib , Seaborn, Ggplot2 , Tableau, Power BI
Bases de données : MySQL, PostgreSQL, MongoDB, Apache Hadoop, Apache Spark
Outils de gestion et de versioning de code : Git, GitHub / GitLab, Bitbucket
Socles et Outils de cloud computing : AWS (Amazon Web Services), Google cloud platform (GCP), Microsoft Azure et les applications orientés "datas" pour chacun des fournisseurs de cloud.
Outils de traitement et de nettoyage de données : Excel, OpenRefine
Le "data analyst" est généralement rattaché à la direction des systèmes d'information (DSI) d'une entreprise, le "Data Analyst" (Analyste de Données, Data Manager, Data Miner) est responsable du recueil et de l’analyse de la donnée de l’entreprise. Ces données peuvent être liées aux clients (CRM), aux produits et à leurs performances, ou même aux concurrents : c'est un métier plutôt orienté décisionnel dont le langage SQL est le plus demandé.
Le Data Analyst a pour mission d'exploiter et interpréter les données pour en dégager des observations business utiles. Ainsi, les rapports fournis permettent d'orienter les prises de décision du management et améliorer les performances et les stratégies marketing, par exemple.
Quelques "facettes" :
Recueil et extraction des sources de données pertinentes et de qualité qu’il traduit ensuite en données statistiques ;
Traitement, exploitation et intégration des données dans un data warehouse (entrepôt de données) ;
Création de "dashboards", mise en place de KPIs, reporting des performances pour donner une vision cohérente des résultats aux différentes équipes ;
Mise en place de process/requêtes et automatisation ;
Production d’analyses métiers et de recommandations aux managers ;
Gestion des outils d’analyses pour que les décideurs internes et les clients puissent suivre l’évolution de leurs produits ;
Veille technologique des nouveaux outils visant à l’améliorer l’analyse des données.
Les outils principaux à maîtriser (liste non exhaustive et non à jour, étant donné l'évolutivité des technologies et de l'actualité) :
Langages de programmation : Python, R, SQL
Outils de visualisation de données : Tableau, Power BI, matplotlib, seaborn, Microsoft Power BI
Bases de données : MySQL, PostgreSQL, MongoDB
Outils de manipulation de données : Excel, pandas (pour Python)
Connaissances en Big Data : Hadoop, Spark (facultatif mais apprécié) ...
Tiens, il semblerait qu'entre "Data Analyst" et "Data Scientist", votre "coeur" balance et pourtant :
Le Data analyst se spécialise principalement dans l'analyse descriptive et la visualisation des données, en se basant sur des données historiques pour orienter les décisions.
Le Data scientist se concentre sur la modélisation prédictive et la création d'algorithmes avancés, afin d'extraire des informations et de faire des prévisions à partir de données complexes.
... Rajoutons l'anglais quasi obligatoire (TOIEC élevé) et des "soft skills" longs comme un bras, pour les "mal communiquants" 😁.
Le "data engineer" : à l'instar de l'architecte big data, est un "ingénieur" spécialisé dans la conception de solutions de récupération et d’exploitation de gros volumes de données ou big data.
Expert en identification de données, il est garant de la pertinence et de la qualité des données ainsi que du respect des bonnes pratiques et de la fluidité des processus.
Responsable de l’infrastructure des données, il est chargé des processus de collecte, de stockage et de modélisation des données pour que celles-ci soient faciles d‘accès et prêtes à l’analyse par les data scientists et les data analysts.
Il travaille en étroite relation avec l'architecte big data qui lui est plus orienté sur la conception de solutions.
Le "data engineer" automatise l’acquisition de données provenant de différentes sources (création des pipelines d’acquisition), les collecte et les agrège dans une data warehouse (base de données relationnelle) sur serveur ou sur le cloud (test d’intégration, mise en place et maintenance des outils d’automatisation) et gère les bases de données de stockage.
Son rôle est ensuite de nettoyer, de consolider et de structurer ces données à l’aide d’outils et d’algorithmes (création de tableaux de bord, intégration de modèles statistiques).
Le data engineer doit posséder un large éventail de compétences techniques (langages de développement IA, requêtes, base de données, stockage, analyse de données, cloud computing, Machine Learning, Deep Learning, IA, DevOps..).
Pour l’industrialisation des modèles de machine learning, il doit avoir des connaissances en statistiques et mathématiques.
Face à l’explosion du big data et notamment des technologies comme l’Iot (Internet of Things) et l’IA, le data engineer est un profil très recherché.
Avec l'arrivée des "IA" et autres joyeusetés du moment (NLP, ML, DL, Programmation Neuronale, Quantique, ...), ces métiers devront en permanence être à jour.
Concernant les formations, il y a "à boire et à manger", le "gratuit" ne l'est pas forcément et n'est pas toujours, loin s'en faut, signe ou gage de qualité.
Tout dépend des personnes, des objectifs, de la qualité, du sérieux, du professionnalisme, du suivi, .... Quelques exemples (par expériences) :
Mieux vaut privilégier :
Certificat de formation délivré par l'Ecole des Mines Paris | PSL
Bloc de compétences de niveau 7 (bac +5) enregistré au RNCP et reconnu par l'Etat.
Préparation et passage des certifications des "gros" pour le domaine "data" : AWS, GCP, AZURE
Chacun sa vie, chacun ses financements : pas de recette magique (à moins que les éminents spécialistes patentés de ce forum en possèdent)
De par mes expériences, tribulations et autres pérégrinations :
Les "bootcamp" peuvent être intéressants, si l'on maîtrise/expertise déjà le développement, avec au moins 1 langage de base (R ou Python ou Scala,) et que l'on possède d'excellentes bases scientifiques que j'ai citées plus haut dans le fil.
Les formations "pures et dures" prennent plus de temps (pas forcément plus coûteuses en brouzoufs", en temps, c'est différent).
A ne pas négliger, les formations/certifications des AWS, GCP et autres Azure : très demandées, existent en e-learning, en Blending-Learning, en centre spécialisés, ... C'est une "machine à brouzoufs" (tous les "x" mois/années, il faut renouveler et crac, sortie de la CB.) - Bien se renseigner, mais ce peut-être gagnant.
Si d'autres éminents spécialistes veulent compléter, qu'à cela ne tienne.
En attendant, j'espère qu'à travers cette modeste contribution, j'ai contribué à éclairer quelques-unes de vos lanternes, sur ce chemin lumineux, si ce n'est brillant, de votre (re)quête sur l'écosystème de la Data.
Bien cordialement,
Yanolezard.
Réponse postée 5 septembre 2024 15:37
Merci beaucoup pour vos réponses,
Je vais peut-être demander un rescrit fiscal pour être tranquille, je vous tiendrai au courant.
Réponse postée 5 septembre 2024 13:00
Merci beaucoup,
Je n'ai pas bien compris votre dernier point (vous êtes en situation de "fin de droit", mais pas en situation de précarité), le motif de déblocage est la fin des droits ARE indépendamment de la précarité n'est ce pas ?
Il me semble qu'il y a déjà eu la question recemment.
Apparamment c'est possible, mais ça ressemble quand même à la douille du siècle car les sommes débloquées correspondant aux versements sont exonérées totalement d'impôt sur le revenu. Je ne saurais dire si l'abus de droit est manifeste ni évaluer le risque (probablement faible vu le plafond de la déduction des versements PER en Micro-Entreprise).
Juste gardez en tête que ce n'est pas le but de ce cas de déblocage et qu'en plus, vous êtes en situation de "fin de droit", mais pas en situation de précarité...
Réponse postée 5 septembre 2024 12:31
Bonjour,
Je m'adresse à ceux qui sont déjà passés par là ou ceux qui ont des informations fiables sur le sujet,
Je suis auto-entrepreneur travaillant en prestation de service, j'ai bénéficie jusqu'à maintenant du cumul avec l'ARE,
Actuellement, il me reste environ 6 mois d'ARE et j'aimerai savoir si je peux ouvrir un PER maintenant et l'alimenter afin d'optimiser mes impôts ?
Est ce que je peux faire un déblocage anticipé à la fin de mes droits ARE qui va arriver probablement l'année prochaine ? est ce que ça pose un problème juridique vu que la date de l'ouverture et la date de déblocage est relativement proche (1 année environ) ?
Est ce que le faite d'ouvrir le PER en étant inscrit à PE (FT) peut poser un problème lors de la demande de déblocage pour motif de fin des droits ARE ?
Je précise que je ne l'ai pas ouvert avant car je ne connaissais pas les avantages de ce dispositif,
Je vous remercie beaucoup.
Réponse postée 28 avril 2024 06:53
Merci beaucoup,
Je ne trouve pas de réponses sur mes autres questions dans ces sujets, à savoir :
Y'a t-il des conditions pour ouvrir un PER pour quelqu'un qui est déjà au chômage avec une micro entreprise active ? ou bien une durée minimale à respecter avant de pouvoir débloquer le PER ?
Réponse postée 28 avril 2024 05:00
Bonjour les Freelances,
J'ai une question concernant le PER pour les micro, peut-on faire des versements sur le PER pour réduire la charge fiscale et ensuite profiter de la fin des droits ARE pour faire un déblocage anticipé ?
Y'a t-il des conditions pour ouvrir un PER pour quelqu'un qui est déjà au chômage avec une micro entreprise active ? ou bien une durée minimale à respecter avant de pouvoir débloquer le PER ?
Une dernière question pour le PER : doit-on forcément placer notre argent ? peut-on juste les laisser sans les faire travailler ?
Je vous remercie.
Réponse postée 3 mars 2024 20:00
D'accord, je vois,
En faite, je facture rarement mensuellement, je n'ai pas un rythme de facturation régulier...,
Quant au contrat, c'est justement ce que j'ai évoqué, je prévois de la modifier en précisant que la facturation se fera à la fin de celle-ci,
Peut-être que je ne suis pas bien calé sur le sujet, mais comment peut-on qualifier ça d'abus de droit, quand on voit à côté des entreprises faire de (l'optimisation fiscale) à un échelle industrielle tout en restant dans l'égalité, certes on n'a pas les mêmes avocats mais venir embêter des micro structures à la loupe comme ça, me parait disproportionné et contre productif,
Pouvez-vous développer s'il vous plaît ? si c'est légal quel est le rapport avec la but ?
Réponse postée 3 mars 2024 00:33
Pouvez-vous développer s'il vous plaît ? si c'est légal quel est le rapport avec la but ?
Réponse postée 2 mars 2024 20:34
D'accord, j'ai un contrat signé par le client ainsi que des fiches d'activité signés par le client chaque fin de mois, vous en pensez quoi ?
Oui.
Vous pouvez émettre une seule facture, mais cela suppose d'avoir sécurisé avant via un devis et au moins un contrat.
Mais ça n'est pas la bonne démarche pratiquée par l'ensemble des Freelances. On demande quasiment toujours un accompte, avant de démarrer la mission.
Réponse postée 1 mars 2024 22:50
D'accord je vois, je vais essayer d'être le plus clair possible,
Exemple :
J'ai un contrat de prestation de service intellectuel, je facture par journée travaillée selon un TJM, j'ai un contrat de 4 mois avec mon client,
Je souhaite faire une seule facture pour les prestations réalisées durant les 4 mois à la fin du contrat, puis-je le faire ? si oui dois-je le préciser dans le contrat ? y'a t'il une obligation de faire une facture par mois ?
Puis-je estimer que la livraison de mon service se termine avec le contrat càd après 4 mois ? je dis ça car dans l'obligation légale de facturation que j'ai cru comprendre, "la facturation est obligatoire dans le mois suivant la livraison du bien ou de service),
Vous en pensez quoi ?
Je vous remercie.
Bonjour.
Vous êtes sûr que vous ne pouvez pas nous donner encore moins d'informations ?
Réponse postée 1 mars 2024 19:43
Que voulez-vous comme information ? La question est la suivante :
Dans le cadre d'une activité indépendante de prestation de service, peut-on faire une seule facture pour l'ensemble du contrat de prestation de service qui couvre plusieurs mois ? doit-on l'inscrire dans le contrat ? avons-nous l'obligation de faire une facture chaque mois même si c'est préciser dans le contrat ?
Je vous remercie.
Bonjour.
Vous êtes sûr que vous ne pouvez pas nous donner encore moins d'informations ?
Réponse postée 1 mars 2024 15:04
Bonjour,
Peut-on facturer le client une seule fois pour tout le contrat de prestation ? doit-on le préciser dans le contrat ?
Je vous remercie.
Réponse postée 22 novembre 2023 18:57
Je vous ai posé une question, aucun ne m'a répondu 0% réponse mais 100% de jugement et des leçons de morale, pourtant il suffisait de dire oui ou non, selon une telle source,
Je vous ai donné un exemple, vous pouvez changer le 2026 en 2024, vous vous êtes restés longtemps coincer là-dessus, pourtant c'est bien un EXEMPLE,
Je suis vraiment déçu par vos retours, il suffisait de répondre à la question par oui ou non en appuyant sur des sources fiables plutôt que de partir sur des délires philosophiques et des suppositions très très aléatoires,
Quel gâcher ! des centaines de mots et 0 efficacité.
Réponse postée 22 novembre 2023 15:48
Bonjour,
J'aimerai savoir si l'on peut demander l'ACRE pour la deuxième fois pour la même activité et pour la même micro entreprise en étant toujours inscris à PE au moment de faire la demande ?
Exemple : Micro créée en Mars 2022 au même moment que l'inscription à PE et la demande de l'ACCRE--> bénéficier de l'ACCRE d'Avril 2022 à Mars 2023 --> demande l'ACRE à nouveau en Avril 2026 toute en restant inscris à PE à cette date,
Quelqu'un a déjà vu un cas pareil ? sinon, peut-on fermer et créer une nouvelle micro entreprise rapidement pour répondre au critère de (création d'entreprise) dans le nouvelle demande d'ACRE ? dans le même exemple ci-dessus par exemple fermer la micro en Avril 2026 et créer une nouvelle ne Mai 2026,
Je vous remercie d'avance toutes et tous.
Réponse postée 27 avril 2023 21:08
Pour le remboursement du trop-perçu, je n'ai jamais vu ce cas auparavant, mais je suppose qu'il s'agira d'un virement sur un compte bancaire...
Le but de cette procédure pour PE, est de vous aider à vous lancer dans une activité incertaine, vous aurez l'assurance chômage en cas de problème dans votre activité, maintenant, techniquement, si vous facturez 1 mois sur 2 vous aurez l'ARE 1 mois sur 2 également, c'est assez basique, 1 mois avec 0 CA encaissé= 1 mois indemnisé, je ne ferai aucun jugement la-dessus, ce sont vos droits finalement,
Pour l'ACRE, je pense que vous pouvez le redemander après 3 ans de la première demande, surtout en étant inscrite à PE,
Pour le cumul SASU/ARE, pour moi, l'ACRE ne vous sera d'aucune utilité si vous êtes à 100% dividendes qui sera très probablement le cas pour pouvoir bénéficier de l'ARE chaque mois,
Pour moi, elle est pas mal du tout cette solution à condition qu'elle soit bien validée par PE, surtout avec l'ACRE (max de net) et une comptabilité assez simple et surtout (gratuite), ce qui n'arrange pas les comptables qui vont vous pousser vers l'autre solution (payante), après chacun prêche pour sa paroisse, je les comprends aussi mais il faut que vous soyez consciente de tout vos options,
Bon courage dans vos réflexions.
L'idée du cumul Micro/ARE est que vous aurez vos ARE pour les mois ou vous déclarez 0, sinon, vos droits ARE seront juste décalés et non annulés, donc ça va couvrir par exemple vos périodes inter-mission, ou bien ça se peut que vous aurez deux mois de mission dans un seul encaissement et donc vous aurez 1 mois d'ARE,
Pour moi et ça n'engage que moi, je pense que si ça marche bien, votre solution est meilleure que le cumul SASU/ARE, car vous aurez le net le plus avantageux de votre activité en étant en Micro, et en plus vous aurez l'ARE durant vos vacances ou vos période inter-mission. Néanmoins, il faut juste bien s'assurer que votre Micro est prise en compte pour la procédure du cumul Micro/ARE, essayer d'avoir un écrit confirmant que vous êtes bien dans cette catégorie,
Pour les déclarations de l'URSSAF, c'est pas top de les faire trimestriellement car PE ne savent pas si vous allez faire du CA au pas pour les 3 prochains mois, donc il vont vous verser vos droit chaque mois et quand vous déclarez à l'URSSAF il vont vous demander de rembourser car vous n'êtes pas sensée recevoir ces droits...
Regarder avec PE si vous pouvez faire l'inverse, càd, déclarer que vous allez générer du CA et donc pas d'ARE même si vous n'êtes pas sûre et ensuite PE vont regarder si vous avez ou non encaissez du CA..., comme ça au pire vous aurez une bonne surprise,
Bon courage dans vos réflexions.
Réponse postée 26 avril 2023 16:14
L'idée du cumul Micro/ARE est que vous aurez vos ARE pour les mois ou vous déclarez 0, sinon, vos droits ARE seront juste décalés et non annulés, donc ça va couvrir par exemple vos périodes inter-mission, ou bien ça se peut que vous aurez deux mois de mission dans un seul encaissement et donc vous aurez 1 mois d'ARE,
Pour moi et ça n'engage que moi, je pense que si ça marche bien, votre solution est meilleure que le cumul SASU/ARE, car vous aurez le net le plus avantageux de votre activité en étant en Micro, et en plus vous aurez l'ARE durant vos vacances ou vos période inter-mission. Néanmoins, il faut juste bien s'assurer que votre Micro est prise en compte pour la procédure du cumul Micro/ARE, essayer d'avoir un écrit confirmant que vous êtes bien dans cette catégorie,
Pour les déclarations de l'URSSAF, c'est pas top de les faire trimestriellement car PE ne savent pas si vous allez faire du CA au pas pour les 3 prochains mois, donc il vont vous verser vos droit chaque mois et quand vous déclarez à l'URSSAF il vont vous demander de rembourser car vous n'êtes pas sensée recevoir ces droits...
Regarder avec PE si vous pouvez faire l'inverse, càd, déclarer que vous allez générer du CA et donc pas d'ARE même si vous n'êtes pas sûre et ensuite PE vont regarder si vous avez ou non encaissez du CA..., comme ça au pire vous aurez une bonne surprise,
Bon courage dans vos réflexions.
Réponse postée 25 avril 2023 23:16
Bonsoir,
Si je comprends bien, vous voulez bénéficier du cumul ARE/Micro, dans ce cas, vous pouvez déclarer mensuellement à pole emploi et vous aurez votre ARE pour les mois ou vous déclarez 0. Les heures sont normalement, à déclarer systématiquement même pour un CA de 0, je crois que c'est 151,
Pour chaque déclaration, vous devez impérativement indiquer que vous souhaitez toujours rester inscrit à PE autrement vous serez radier,
Maintenant pour votre ancienne ME, il faudra poser la question à PE car chaque agence vous indique une procédure différente..., mais l'idée est de changer le type de déclaration en mensuel pour l'URSSAF ensuite déclarer chaque mois sur les deux organismes, voir aussi s'ils vont pas considérer l'activité de l'ancienne ME comme activité conservée et donc elle ne peut pas être prise en compte dans le cumul ARE/Micro...
Bon courage.
Réponse postée 1 septembre 2022 12:42
Bonjour à tout le monde,
Je suis auto-entrepreneur et j'aimerais avoir vos avis sur le faite de retarder les factures et faire un envoi groupé.
Je pense à envoyer les factures d'Octobre et Novembre en mi-Décembre. En gros, il y'a juste la facture d'Octobre qui sera retardée de 30-45j
Côté client : aucun soucis
Côté comptable/juridique : est ce qu'on a le droit de faire ça ?
Je vous remercie beaucoup, ce forum est un régale et une mine d'or d'information
Réponse postée 16 mai 2022 10:01
Je vous remercie hmg,
Pour la facture EDF, en faite, toute la location était didiée à se rapprocher du client et ses locaux, s'il y'avait pas de mission, je prendrai pas de logment ni d'abonement EDF,
Et pour la location, pourquoi j'ai une TVA à 10% sur les facture alors ?
Je vous remercie encore une fois.
Réponse postée 15 mai 2022 19:04
Pour la location durant les missions, en faite, sur le contrat, c'était marqué une sous-location et sur les factures il y'a bien une TVA à 10%, est ce que c'est toujours non dans ce cas ?
Peut-on déduire la TVA sur l'éléctricité dans ce logement ?
Réponse postée 15 mai 2022 17:42
J'ai quelques questions pour les micro-entreprises qui sont assujetties à la TVA :
Peut-on déduire la TVA sur les charges suivantes :
1- Les charges avant l'année à partir de laquelle on est devenu assujetti à la TVA ?
2- Les loyers d'une location meublée qu'on a utilisé dans le seul but de pouvoir effectuer notre mission (résidence secondaire pour éviter un déménagement) ?
3- Les frais de l'assurance RC PRO ?
4- Le carburant dans notre véhicule personnelle utilisé pour se déplacer dans les locaux du client ? le péage ? le parking ?
5- Les repas de midi durant nos missions ? en cas de télétravail peut-on déduire d'éventuelle commandes de repas le midi ?
6- Les meubles pour son poste de travail chez-sois ? des écrans ? ordinateur ?
Je vous remercie.
Réponse postée 5 juillet 2021 18:40
Très étonnant ! je n'ai jamais lu ça avant,mrhounet a écrit : Bonjour,
Ca fonctionne mois par mois, vous pouvez ainsi regrouper des factures pour générer des mois à 0 CA et toucher des ARE.
MAIS il y aura un recalcul annuel (ils recouperont avec la déclaration de revenus) ce qui pourra engendrer une demande de remboursement de trop perçu.
Normalement, on déclare chaque moi notre CA donc, PE n'ont pas besoin de la décalaration de revenus pour savoir combien on a gagné sur l'année, ils les ont en détail chaque mois,
Est ce que vous avez des retours d'expériences sur ce cas précis ?
Je vous remercie.
Réponse postée 4 juillet 2021 22:06
Je m'intéroge sur le cumul de l'ARE avec l'activité d'AE, d'après ce que j'ai compris, on doit actualiser chaque moi notre situation à PE, celà veut dire déclarer le CA du mois précédant à PE, mais dans ce cas, on va déclarer uniquement ce qu'on a encaissé comme à l'URSSAF, c'est bien ça ? admettant qu'on a travaillé Juillet / Août et on encaisse ces deux mois en Septembre, est ce que celà veut dire qu'on aura 100% ARE en Juillet et Août et 0 ARE en Septembre ?
Une autre question, est ce que celà fonctionne MOIS par MOIS ? càd qu'il y'aura pas un lissage annuel sur le CA de l'AE par PE ?
Je vous remercie.