quelle a été votre situation avant de devenir freelance ?
MD78
Bonjour,
La question est dans le titre. Est-ce qu'avant de quitter votre CDI vous aviez déjà trouvé une mission (ou à défaut des pistes sérieuses), ou alors vous n'aviez aucune opportunité en vue mais vous vous êtes tout de même jeté à l'eau ?
J'envisage de me lancer en tant que dev python mais j'ignore si mes économies et mon solde de tout compte me suffiront pour tenir avant de dénicher une mission.
Merci d'avance.
- Free-Worker-655133
### Fin 2020
- Stage de fin d'études dans l'entreprise A à Paris.
- Rémunération : Environ 1 200 € par mois.
### Début 2021
- Diplôme obtenu.
- Situation financière : -20 000 € de patrimoine (prêt étudiant).
- Offre de CDI dans l'entreprise A avec un package annuel de 45 000 €.
- Logement : Maintien du logement étudiant à Paris pour 350 € par mois.
### Fin 2021
- Augmentation salariale dans l'entreprise A.
- Package annuel : 48 000 €.
- Investissements réguliers dans le SP500 : 800-1 000 € par mois.
### Mi-2022
- Nouvelle augmentation salariale dans l'entreprise A.
- Package annuel : 52 000 €.
- Achat de résidence principale via un bailleur social, grâce à un revenu N-2 faible.
- Prêt à taux zéro obtenu.
- Patrimoine net : Positif, environ +15 000 €.
### Mi-Fin 2022
- Négociation d'une rupture conventionnelle (RC) avec l'entreprise A.
- Test du marché en freelance avec un TJM de 550 €, plusieurs propositions reçues.
- Première mission freelance en province : 3 mois à 620 € par jour.
### Fin 2022
- Rupture conventionnelle acceptée.
- Indemnité de rupture : Près de 20 000 €.
- ARCE : Deux paiements de 12 000 € sur six mois.
- Patrimoine juste avant de commencer le freelance : 55 000 - 60 000 €, principalement en cash.
### Depuis 2022
- Enchaînement de 3 missions freelance différentes.
- Patrimoine actuel : Dépassé les 200 000 €, avec une grande partie en cash.
- Objectif : Atteindre les 300 000 € de patrimoine avant 30 ans (dans 2 ans).
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MD78
Nombre de posts : 18Nombre de likes : 3Inscrit : 14 décembre 2020merci pour ton retour très détaillé
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Droopyann
Nombre de posts : 3730Nombre de likes : 1864Inscrit : 21 mai 2018Pour moi, j'ai quitter mon CDI sur une rupture conventionnelle fin 2018. Je n'avais même pas le début de l'idée d'être indep.
J'ai suivi le parcours Activ'Crea de pôle emploi (France Travail maintenant) plutôt par curiosité. Ca m'a beaucoup intéressé et après 6 mois de "chômage" (Pas tant chômé que çà pour bien préparer la suite), je me lançais dans ma première mission freelance. Ca fait un peu plus de 5 ans maintenant.
J'ai attendu de signer ma première mission pour créer l'entreprise. J'avais donc l'ARE jusque là. Et j'ai ensuite pris l'ARCE.
J'ai mis le montant de côté, et je n'y ai jamais touché. Ca représentait à peu près 5 mois de rémunération. C'était un début d'assurance chômage.
Ensuite, chaque bonne année (3 sur 4), j'ai mis le surplus de côté, ce qui fait qu'aujourd'hui, lorsque je cumule ce surplus et l'ARCE que j'avais mis de côté, j'ai de quoi tenir un an sans rien facturé.-- Yann EURL IS depuis 2019 -
probe
Nombre de posts : 388Nombre de likes : 222Inscrit : 26 novembre 2007heu, se barrer d'un CDI pour aller prospecter dans un secteur bouché, c'est un peu risqué non?
Tiens moi je vais acheter un fond de commerce, pas faire de business plan, et construire un TABAC
Pas de chance, ya déjà un tabac à 100M, j'aurai JAMAIS ma licence, j'ai jeté 300 000 € par les fenêtres!
J'adore les gens qui croient que FREELANCE c'est comme le LOTO, ya que ceux qui tentent leur chance, qui une chance de gagner, mais aussi de PERDRE !
Fatigué de recadrer, écoutez : https://www.dailymotion.com/video/x61ed23 OrelSan - Basique -
michel95
Nombre de posts : 632Nombre de likes : 45Inscrit : 14 juillet 2010Bonjour
"J'envisage de me lancer en tant que dev python mais j'ignore si mes économies et mon solde de tout compte me suffiront pour tenir avant de dénicher une mission. "
En principe, on trouve une (ou des) mission(s) avant de se lancer.
Surtout dans le contexte décrit.
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Free-Worker-713705
Nombre de posts : 88Nombre de likes : 86Inscrit : 15 février 2024J'avais quitté le cdi à une époque où il y avait pénurie sur le marché mais ce n'est plus le cas désormais.
En ce moment, il y a le risque de ne pas trouver de mission et celui d'avoir un tjm tellement bas qu'il est équivalent à un cdi.
A moins d'aimer souffir, la tendance actuelle est plutôt de quitter le freelancing et non l'inverse.
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Celeri
Nombre de posts : 104Nombre de likes : 46Inscrit : 30 avril 2015Pour ma part, j'étais dans une mini-SSII (genre 10 personnes) avec seulement la patronne au-dessus de moi. Fin 2014 elle m'annonce qu'elle va fermer la boîte pour se salarier ailleurs car sa santé ne lui permet plus de gérer à la fois l'opérationnel et l'administratif. J'avais donc le choix de trouver une autre SSII ou de passer freelance.
Or, comme c'était moi qui avais trouvé ma mission d'alors (je touchais une prime d'apporteur d'affaires qui le prouvait), je n'avais pas de crainte par rapport à la poursuite de la mission. Et comme j'avais encore presque 1 an devant moi (gros projet), je me suis dit que devenir indépendant était jouable, au moins pour essayer et voir ce que ça donne, d'autant plus que comme c'était un licenciement économique, j'avais droit aux ARE. Je ne me suis pas payé jusqu'à la fin de cette mission-là afin de me faire un petit "matelas" de trésorerie, et quand j'ai pu embrayer chez un autre client, j'ai mis en place un schéma basé sur salaire + dividendes (pour les bonnes années), mais toujours en gardant suffisamment de trésorerie pour avoir ma propre "assurance chômage".
Je pense qu'il est bon de se lancer lorsqu'on a un minimum de visibilité sur ce qui va se passer, c'est à dire une mission d'au moins 6 mois, car si c'est pour ne rien faire dès le départ, ça peut vite devenir déprimant – surtout si on n'a pas droit à des aides. Et même si on se lance dans de bonnes conditions, il faut garder en tête que la conjecture peut changer, et donc se faire un plan de réaction : formations, réorientation, retour au salariat, etc. Rien n'est jamais acquis, et c'est d'autant plus vrai pour le freelance. Mais quand ça marche et qu'on voit son activité se construire sans (trop de) problèmes, alors c'est épanouissant !
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bougn
Nombre de posts : 308Nombre de likes : 20Inscrit : 28 janvier 2016Pour moi CDI en ESN (plusieurs) de nombreuses années avant décision de me lancer en freelance; Clairement le fait d'avoir pu bénéficier d'une rupture conventionnelle, et donc de l'Arce, a été décisif, car ça donne un sacré filet de sécurité dans cette activité incertaine. Surtout qu'on trouve rarement une mission avant de démissionner/rupter du fait du préavis de 3 mois; J'ai trouvé ma 1ère mission 1 mois après mon départ. Je pense qd même que la situation est un peu moins favorable en ce moment (il y a autant de missions je pense, mais il y a bcp plus de consultants freelances pour se les partager)
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FreeSC
Nombre de posts : 156Nombre de likes : 41Inscrit : 29 octobre 2015Bonjour,
J'étais pendant quelques années en CDI au sein d'une ESN avant de démissionner pour me lancer en freelance. Pendant ma période de préavis de 3 mois, j'avais fortement cherché et obtenu une mission juste 1 ou 2 semaines après la fin de celle-ci. Il s’agissait néanmoins d'une période beaucoup plus favorable...
Avant de vous jeter à l'eau, prospecter pour une mission et regarder l'attractivité de votre profil. Néanmoins le marché de la prestation semble difficile en ce moment. Certaines de mes connaissances freelances sont sans mission depuis quelques mois et peu de perspectives à court terme.
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FreelanceDream
Nombre de posts : 152Nombre de likes : 120Inscrit : 10 juin 2012J'ai été dans une petite PME éditeur de logiciel
Puis je voulais me lancer en freelance mais j'ai vu que je n'avais pas du tout le niveau technique, donc j'ai courbé l'échine pendant 3 ans en SSII pour prendre de l'expérience, puis première expérience en freelance en 2012 en EURL IS
C'est là que j'ai gouté avec dégout le délire des appels de cotisations de l'URSSAF, avec des erreurs récurrentes, des appels en doublon
Ensuite, j'ai eu une opportunité exceptionnelle dans une boite US en télétravail, donc j'ai fermé ma boite
Je suis revenu en freelance 3 ans plus tard mais en SASU IS et depuis lors, le business se porte bien, toujours par réseau et contacts personnels, 0 intermédiaire sangsue SSII
MD78
Nombre de posts : 18Nombre de likes : 3Inscrit : 14 décembre 2020Merci pour ton retour, tu as donc démissionné par 2 fois ? Et à chaque fois tu avais déjà trouvé ta mission freelance avant de poser la démission ?
FreelanceDream
Nombre de posts : 152Nombre de likes : 120Inscrit : 10 juin 2012La première fois en 2012 j'avais posé ma dem sans avoir trouvé de mission. Je flippais à mort car en effet, aucun client ne veut attendre un préavis de 3 mois ...
Pour la 2ème fois, c'était bien plus facile, c'était par connaissance. On est venu me chercher
MD78
Nombre de posts : 18Nombre de likes : 3Inscrit : 14 décembre 2020je vois, merci pour ces précisions
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orangina rouge
Nombre de posts : 272Nombre de likes : 171Inscrit : 14 août 2023Salut,
Alors de mon côté, après un licenciement pour "faute grave" en 2013 (requalifié 18 mois plus tard par les prud’hommes en licenciement "abusif", et bingo pour moi). Donc après 2 mois de repos suite à mon licenciement, j’ai commencé une mission en intérim pour un client, ça se passait pas top avec la boite d’intérim, hop direction portage salarial.
Bien à toutes et tous
mais pourquoi est il si méchant ? ... PARCE QUE !!! (vieux grincheux 2 ... le retour et il n'a pas changé) Que les espèces de pdf nazillons de -free-work aillent se faire déchirer le soupirail avec du sable en guise de lubrifiant (et si y a pas sable... avec des gravillons) -
Free-Worker-120196
Nombre de posts : 50Nombre de likes : 25Inscrit : 4 février 2016Je sortais d'étude en 2001, c'était la crise, on me proposait que des postes au SMIC https://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_boursier_de_2001-2002
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Free-Worker-685793
Nombre de posts : 271Nombre de likes : 117Inscrit : 13 avril 2023Pour ceux qui disent qu'on ne se lance pas si on a pas de perspective, il faut savoir que c'est compliqué quand tu es en CDI avec 3 mois de préavis.
J'avais passé des entretiens et ils voulaient me prendre mais à chaque fois c'est le délais qui n'allait pas, toujours besoin de quelqu'un moins sous un 1 mois. J'ai fini par posé ma démission en pensant trouver facilement, finalement plein d'entretiens mais ça n'allait pas au bout car pas de budget. Finalement c'est 2 mois après la fin de mon préavis que j'ai trouvé ma première mission sur laquelle je suis encore aujourd'hui (jusque fin décembre au mois)
Pendant cette période, j'ai pu être en portage, puis passer en AE (avec ACRE et ARCE) et demander une petite revalorisation du TJM.
Sachant que c'était déjà compliqué le freelance l'année dernière, j'ose pas imaginer aujourd'hui (crise chez les ESN, marché saturé, vendeur de rêve sur les réseaux sociaux, ...)
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gazole3
Nombre de posts : 12Nombre de likes : 3Inscrit : 2 août 2022Situation avant d'être freelance
Situation avant d'être freelance
J'étais à 7 ans d'expérience. J'avais quitté une SSII qui m'avait gardé en mission. Je pensais que ma nouvelle SSII avait bien compris que j'étais pas un bleu, mais elle continuait à faire des petits s*loperies. Individuellement, rien de grave, mais mis bout à bout c'était usant.
En mission (que j'ai acceptée à contrecœur au début), que des freelances. L'un d'eux venait de court-circuiter sa SSII en rompant la période d'essai et revenant immédiatement en freelance en passant par eux :D (mais je connaissais a commerciale, et elle passait son temps elle-même à entuber les SSII pour lesquelles elle bossait donc elle a trouvé le geste plutôt élégant :D).
Il discutait déclarations, URSSAF, etc. avec les autres au déjeuner. Au bout de quelques semaines il m'a dit "J'ai jusqu'à la fin de ta mission pour te convaincre de passer freelance". Je lui ai répondu que j'étais déjà convaincu. Mais j'avais du mal à le faire ; il voulait déjà que je fasse pareil et que je court-circuite la SSII, mais j'avais pas le courage. J'ai attendu la fin de la mission.
Finalement, ma mission n'a pas duré 3 ans mais une seule, ce qui a précipité mon choix.
J'ai demandé la Rupture Conventionnelle à la SSII. Au début elle a rechigné (elle les gardait pour d'autres récalcitrants) mais a finalement accepté mais fallait que je le dise à personne :D (de toute manière, j'avais interdiction de parler aux jeunes diplômés parce que je les pervertissais :D)
En plus, elle a fait un truc complètement illégal, à savoir poser des congés a posteriori sur mon intercontrat du début. Mais bon, j'ai eu la RC et c'était le plus important pour garder l'ARE.
Est-ce qu'avant de quitter votre CDI vous aviez déjà trouvé une mission (ou à défaut des pistes sérieuses), ou alors vous n'aviez aucune opportunité en vue mais vous vous êtes tout de même jeté à l'eau ?
Pour répondre à ta question : j'ai créé ma structure qu'à partir du moment que j'avais une mission. Mais si tu as une Rupture Conventionnelle, il faut d'abord passer par la case Pole Emploi avant toute chose.
J'imagine que tu t'es renseigné, mais au doigt levé 80% des freelances ont attendu d'avoir des droits (licenciements, RC) pour pouvoir un maintien d'ARE. Ca aide beaucoup. Surtout que la première année est un peu difficile (disons que tu manges beaucoup de pâtes). Donc autre conseil : si t'as un peu de réserve, c'est mieux.
A partir de là, j'ai (sur les conseils sur ce forum) d'abord cherché une mission, et seulement à ce moment fait ma boîte. Cela peut être très rapide, je suis passé à la CCI et pour 80 euros j'ai été bien accompagné. Le plus important c'est d'avoir une RC Pro, et il faut un numéro de SIRET temporaire (de mémoire). Mais ça ne prend pour quelques jours. Pendant ces deux jours, la SSII intermédiaire m'a un peu tanné :D
Après, c'est sûr qu'il y a d'autres situations. Je connais des gens qui s'entendent très bien avec leur client, qui eux-mêmes ont poussé le consultant à passer freelance :D ils avaient donc la mission avant.
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Menderes
Nombre de posts : 221Nombre de likes : 87Inscrit : 15 mars 201814-17 apprenti 1400e
18-21 ESN 4500e puis démission
21-23 chômage 1600e puis 3 mois RSA 600e (j'en ai profité pour lancer une startup (faillite) mais qui justement mais mis dans la sauce entrepreneuriat). J'ai préféré le RSA (beaucoup de temps libre) que d'aller à un CDI payé 2500e, et cela à payer car :
23-25 Freelance 10Ke en micro entreprise
Tout les montant sont en net. Je vais devoir passer en société car plafond dépassé deux années de suite.
Normalement mission bien partir pour durée en 2025.
Je n'avais pas d'argent de côté avant de passer freelance, j'avais uniquement une gestion du budget très organisé pour vivre avec le strict minimum. Cela m'a permis d'avoir toujours mon mot à dire sur les conditions de la mission.
MD78
Nombre de posts : 18Nombre de likes : 3Inscrit : 14 décembre 2020comment avais-tu réussi à toucher le chômage après une démission ?
Menderes
Nombre de posts : 221Nombre de likes : 87Inscrit : 15 mars 2018Il y a plusieurs conditions pour toucher les ARE après une démission. Celle que moi j'ai utilisé a été de suivre ma conjointe (déménagement à +30km).
Pour toucher les allocations de retour à l'emploi (ARE) après une démission, il existe plusieurs possibilités :
Dans certains cas, une démission peut être considérée comme légitime et ouvrir droit aux allocations chômage. Les principaux motifs de démission légitime sont :
Déménagement pour suivre son conjoint qui change de lieu de résidence pour des raisons professionnelles
Mariage ou PACS entraînant un déménagement
Déménagement des parents pour un salarié mineur
Victime de violences conjugales
Création ou reprise d'entreprise
Non-paiement des salaires par l'employeur
Harcèlement au travail
Si la démission n'est pas considérée comme légitime, le salarié peut demander un réexamen de sa situation après 121 jours (4 mois) de chômage non indemnisé. Pour bénéficier des allocations, il faut :
Être inscrit à France Travail (ex-Pôle emploi)
Justifier d'une recherche active d'emploi
Avoir effectué des formations ou occupé des emplois de courte durée
Dans tous les cas, pour toucher les ARE, il faut remplir les conditions d'affiliation suivantes :
Avoir travaillé au moins 6 mois (130 jours ou 910 heures) au cours des 24 derniers mois (36 mois pour les 53 ans et plus)
S'inscrire à France Travail dans les 12 mois suivant la fin du contrat
Être en recherche active d'emploi
Reliquat de droits : si le salarié avait des droits au chômage non épuisés avant de reprendre un emploi, il peut les récupérer en cas de démission dans les 3 mois suivant l'embauche
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Abandon de poste : depuis 2023, un abandon de poste peut être assimilé à une démission, sauf motif légitime, après mise en demeure de l'employeur
.
En résumé, une démission n'exclut pas systématiquement le droit aux allocations chômage, mais les conditions sont plus restrictives que pour un licenciement. Il est important de bien évaluer sa situation avant de démissionner.
MD78
Nombre de posts : 18Nombre de likes : 3Inscrit : 14 décembre 2020en effet, j'avais oublié que dans certains cas on pouvait en bénéficier
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MD78
Nombre de posts : 18Nombre de likes : 3Inscrit : 14 décembre 2020Merci pour vos témoignages.
Je constate que vous êtes plusieurs à d'abord s'être assurés de pouvoir bénéficier des allocations chômage (RC ou autre) avant de se lancer. Dans l'idéal j'aimerais vraiment obtenir une RC mais je ne vois vraiment pas quels arguments pourraient convaincre mon employeur de me la donner (je suis actuellement salarié au sein d'une ESN, en mission chez un client)
Droopyann
Nombre de posts : 3730Nombre de likes : 1864Inscrit : 21 mai 2018Dans ce cas, vous avez une alternative qui est de démissionner, trouver une mission que vous faites en portage salarial et ensuite faire une RC au bout de 6 mois (ou plus).
Ça sécurise en partie (il y a quand même l'incertitude d'une première mission). Ca permet aussi de tester quelque chose qui ressemble au freelancing, et donc de voir si ça plaît.-- Yann EURL IS depuis 2019