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Rupture conventionnelle compliquée avant passage freelance
Drahas
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Drahas
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1 septembre 2014
Bonsoir à tous,
J'ai engagé les démarches pour devenir indépendant et j'ai eu mon entretien pour parler de la rupture conventionnelle avec mon employeur qui m'a dit 3 choses :
- Date de départ au 31/03, je trouve ça fait vraiment tard mais bon passons ...
- Indemnité transactionnelle de 2k, là c'était assez bizarre, il m'a dit que j'aurais droit à cette indemnité en renonçant à l'attaquer ensuite parce que la rupture aurait été forcée. Le truc bizarre est que je devrais signer ce document mais que je l'aurais pas car il sera post daté. Là moi ça m'évoque l'enfumage ... mais passons je comptais pas sur ça
- L'acceptation de la rupture de se part est lié à un contrat de 6 mois pour continuer ma mission actuelle à un TJM ridicule de 280€ ...
Après il justifie ça en me disant qu'il y a une double cascade avec le client, et que sur Montpellier les TJM sont très bas.
Ayant 10 ans d'expérience en tant que développeur .Net maintenant, j'estime que ce TJM est trop bas et je n'ai pas du tout envie de signer un contrat pareil.
D'autre part on me proposerai (à valider) une mission avec un TJM dans les 400€, mais bien sûr je serais obligé de démissionner et je perdrais mon ACCRE.
Alors comment puis-je faire pour me sortir de cette situation ?
J'ai engagé les démarches pour devenir indépendant et j'ai eu mon entretien pour parler de la rupture conventionnelle avec mon employeur qui m'a dit 3 choses :
- Date de départ au 31/03, je trouve ça fait vraiment tard mais bon passons ...
- Indemnité transactionnelle de 2k, là c'était assez bizarre, il m'a dit que j'aurais droit à cette indemnité en renonçant à l'attaquer ensuite parce que la rupture aurait été forcée. Le truc bizarre est que je devrais signer ce document mais que je l'aurais pas car il sera post daté. Là moi ça m'évoque l'enfumage ... mais passons je comptais pas sur ça
- L'acceptation de la rupture de se part est lié à un contrat de 6 mois pour continuer ma mission actuelle à un TJM ridicule de 280€ ...
Après il justifie ça en me disant qu'il y a une double cascade avec le client, et que sur Montpellier les TJM sont très bas.
Ayant 10 ans d'expérience en tant que développeur .Net maintenant, j'estime que ce TJM est trop bas et je n'ai pas du tout envie de signer un contrat pareil.
D'autre part on me proposerai (à valider) une mission avec un TJM dans les 400€, mais bien sûr je serais obligé de démissionner et je perdrais mon ACCRE.
Alors comment puis-je faire pour me sortir de cette situation ?
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Drahas
Nombre de posts : 70Nombre de likes : 0Inscrit : 1 septembre 2014ssii je crois que tu t'écartes un peu trop du sujet, et j'apprécierai que tu arrêtes de poster des trucs sans rapport avec la discussion originale. -
j.michel-1
Nombre de posts : 20Nombre de likes : 0Inscrit : 28 octobre 2014
Le but étant de réussir, pas de toucher l'ARCE. Donc tout faire pour avoir l'ARCE c'est tout faire pour réussir. Je pense qu'il faut le prendre dans ce sens là. Mis à part d'avoir un client au démarrage qui assure une mission pour les 12 premiers mois à venir, tout faire pour avoir l'ARCE c'est augmenter les chances de réussite.ssii a écrit :
cette aide est attribuée sous conditions. vouloir tout faire pour que ces conditions soient respectées me parait un abus. -
j.michel-1
Nombre de posts : 20Nombre de likes : 0Inscrit : 28 octobre 2014
Quelqu'un qui refuse un poste qui lui correspond n'est pas un tricheur, mais un fainéant et un idiot car le chômage n'est pas éternel. C'est un mauvais calcul.ssii a écrit :
il n'y a aucun soucis. ton droit au chômage tu l'as du moment ou tu es au chômage. mais là tu essayes de tricher. Exactement comme celui qui pointe à pôle emploi et travaille tous les jours au black, Exactement comme celui à qui on propose plusieurs postes qui lui correspondent mais il les refuse car il veut rester sans rien faire et avoir son droit au chômage, etc....
Quand on fait en sorte d'obtenir le chômage en quittant/perdant son travail ce n'est pas pour tricher, c'est pour ne pas se retrouver en difficulté. Quand on fait en sorte d'obtenir l'ARCE c'est la même chose.
Et ceux qui pensent que les chômeurs sont tous des fainéants parce qu'il y a pleins de poste à pourvoir, ne sont pas non plus des tricheurs si vous voyez ce que je veux dire... -
ssii
Nombre de posts : 1223Nombre de likes : 0Inscrit : 24 août 2007
Je n'ai rien contre les chômeurs ni contre celui qui cherche à mettre toutes les chances de son coté.j.michel a écrit :
Quelqu'un qui refuse un poste qui lui correspond n'est pas un tricheur, mais un fainéant et un idiot car le chômage n'est pas éternel. C'est un mauvais calcul.ssii a écrit :
il n'y a aucun soucis. ton droit au chômage tu l'as du moment ou tu es au chômage. mais là tu essayes de tricher. Exactement comme celui qui pointe à pôle emploi et travaille tous les jours au black, Exactement comme celui à qui on propose plusieurs postes qui lui correspondent mais il les refuse car il veut rester sans rien faire et avoir son droit au chômage, etc....
Quand on fait en sorte d'obtenir le chômage en quittant/perdant son travail ce n'est pas pour tricher, c'est pour ne pas se retrouver en difficulté. Quand on fait en sorte d'obtenir l'ARCE c'est la même chose.
Et ceux qui pensent que les chômeurs sont tous des fainéants parce qu'il y a pleins de poste à pourvoir, ne sont pas non plus des tricheurs si vous voyez ce que je veux dire...
Je suis par contre indigné par des expressions comme "je ne vais pas passé à coté".
Sinon, je vais arrêter à polluer ce sujet comme demande son initiateur. -
j.michel-1
Nombre de posts : 20Nombre de likes : 0Inscrit : 28 octobre 2014
Il ne faut pas être indigné, surtout que c'est plutôt une erreur de langage. C'est plus, il me semble, dans l'idée de se priver d'une aide auquel on a droit par une erreur.ssii a écrit :
Je n'ai rien contre les chômeurs ni contre celui qui cherche à mettre toutes les chances de son coté.
Je suis par contre indigné par des expressions comme "je ne vais pas passé à coté".
Sinon, je vais arrêter à polluer ce sujet comme demande son initiateur.
Pour prendre un exemple qui m'est arrivé, je ne savais pas qu'il avait été mis en place un CIF pour les formations hors temps de travail. Quand j'ai su que j'allais être licencié j'aurais pu en faire la demande et être pris en charge même après mon licenciement. J'ai donc payé moi-même ma formation MIAGE, et aujourd'hui ça me manque pour démarrer mon activité d'entreprise Individuelle. -