free-worker52
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Réponse postée il y a 2 jours
très belle vidéo, de passage vous n'êtes pas aussi vieux que laisse prétendre votre signature :)
Réponse postée 26 août 2024 13:18
1- Prend contact avec ton commercial, il trouvera toujours un alibi pour te calmer ( un alibi qui n'est pas forcement vrai).
2- essaie d'exiger un paiement total des retards ou un planning de paiement ( qui ne sera pas forcement respecté)
3- dès que tu trouve une nouvelle mission barre toi.
4- continue avec les relances de façon régulière et professionnelle .
5- un recours en justice est couteux et prends beaucoup de temps, il doit être la dernière option
avis de quelqu'un qui est passé par là et qui n'est pas encore sorti de l'auberge.
Réponse postée 29 juillet 2024 16:40
c'est encore tot pour une disponibilité fin de l'année, je serai disponible à partir de fin septembre et je me dis que c'est encore tôt pour lancer ma quette à une grande vitesse.
Bonjour à tous,
en ce qui me concerne j'ai reçu beaucoup de propositions (sur linkedin/malt) depuis les dernières semaines. Bien plus que sur tout 2023 et début 2024 cumulé.
Comme je vais devoir me trouver une nouvelle mission d'ici la fin 2024 j'ai commencé à répondre. Et je constate avec amertume que dès que mon CV est envoyé avec un go pour organiser une rencontre avec le client je perds le son et l'image. J'imagine qu'il y a encore beaucoup de concurrence qui sont dispo immédiatement.
J'ai bon espoir d'avoir des opportunités plus sérieuses d'ici septembre.
Pour info je suis dans l'infra / cloud AWS
Réponse postée 26 juillet 2024 07:50
Madame Camille, ne laissez pas une mauvaise expérience vous décourager de poursuivre votre activité de freelance. Il est vrai que je constate de plus en plus de situations où des alternants, moins expérimentés, manquent de respect envers les freelances (j'ai moi-même vécu une expérience similaire).
Pourtant, votre meilleure revanche est de trouver des clients finaux et de travailler avec des entreprises de services du numérique (ESN) sérieuses. N'oubliez pas que, bien que nous soyons moins rentables pour les ESN, nous apportons une expertise et une flexibilité précieuses. Souvent, nous sommes sollicités pour des missions urgentes ou spécifiques où les entreprises peinent à trouver des profils en CDI.
Concentrons-nous sur nos atouts et continuons à valoriser notre métier !
Vraiment pas sure que cela vienne de la région...
Ça fait environ 17 ans que je suis à mon compte, aussi directrice de projets, et je vais bientôt quitter le Freelance pour redevenir salariée à la rentrée parce qu'après des années où ça se passait très bien avec les clients et les ESN (bonne relation, partenariat, sérieux,...), j'en ai eu assez de voir que, depuis 2 ou 3 ans, nous avons à faire à des stagiaires ou des alternants qui n'y connaissent rien, nous prennent pour des imbéciles avec des techniques à 2€, nous ghostent pour ensuite revenir pour nous proposer une nouvelle mission et nous re-ghostent, essayent de casser nos tjm et n'en ont absolument rien à faire de la relation long terme. Ce sont des mercenaires dont le seul objectif est d'avoir un idiot qui acceptera de se vendre 400€ alors qu'il en vaut le double, fera des jours de gratuité et acceptera des clauses totalement inégalitaires. Ces derniers temps, je n'ai misé que sur mon réseau pour avoir des missions car je ne voulais plus avoir à travailler avec des incompétents.
J'ai bossé dans le sud plusieurs années et je suis aujourd'hui proche de Paris. Le problème n'est, à mon avis, pas la région mais une arrivée massive de freelances sur le marché suite au covid, pour beaucoup avec très peu d'expérience, immatures, incapables de faire la différence entre le CA et le revenu et persuadé qu'en misant sur les ESN ils trouveront la super mission. Du coup, les ESN ne prennent même plus le temps de mettre des vrais commerciaux sur le coup, elles missionnent des stagiaires qui font ''le tri'' et n'en ont rien à faire de la relation.
Perso, je quitte tout ça dans 2 mois et j'en suis vraiment contente :)
Réponse postée 26 juillet 2024 07:40
je me trouve dans vos commentaires,Il y a un an, je pensais être le candidat idéal pour une mission. J'ai postulé via deux ESN, mais mon CV a été ignoré par l'une d'elles et jugé inadéquat par l'autre. Persuadé de mes qualifications, j'ai pris l'initiative de contacter les recruteurs pour expliquer en quoi mon profil correspondait au poste. Mon insistance a payé : j'ai obtenu un entretien et suis depuis embauché avec un TJM satisfaisant. Conclusion : La réussite ne dépend pas uniquement de votre CV. La proactivité et la capacité à convaincre sont des atouts indispensables.
Bonjour,
Il est vrai que la qualité du recrutement a fortement dégradé. Aujourd'hui, les recruteurs ne font même plus l'effort de se renseigner sur un candidat, c'est devenu CV et uniquement CV. Donc tout se joue dessus à coups de mots-clés, et celui qui remporte la mission ou le contrat en CDI n'est pas le plus compétent, mais celui qui, au final, se vend le mieux.
Bien dommage tout ça. J'ai eu plein de recruteurs qui m'ont dit : "Vous postulez pour cette offre freelance dans la technologie X, mais on ne voit rien sur votre CV à ce sujet". Alors que je donne le lien de projets GitHub ou d'entreprise, qui contiennent des dizaines de projets sur la technologie demandée, et donc ça se finit en "votre profil ne correspond pas". Quelle mauvaise blague.
Ou alors, ils/elles ne comprennent pas que quand on maîtrise un framework front (ou back), on maîtrise les autres aussi. Exemple entre Nest, Next, React, et autres, c'est de la littérature et simplement une autre manière d'écrire les choses. Donc même si l'on arrive sur un projet ou il faut monter en compétence dessus, ça sera rapide, contrairement à une personne qui n'a pas une maîtrise réelle d'un framework front ou back.
J'ai même eu le cas d'un qui m'a demandé si je connaissais réellement la gestion de projet, alors que j'ai un Master 2 en gestion de projets. C'est vraiment devenu un squetch le monde du recrutement.
Il y a aussi certains recruteurs qui se permettent de remettre en question vos positionnements : full remote ou non. Quel culot et quelle malpolitesse., ainsi que les recruteurs(euses) qui ne font même pas l'effort de vendre le candidat. Ils voient juste "il n'y a pas les mots-clés sur le CV, il n'y a pas exactement la technologie demandée dessus" => Op ! suivant ! Et après ils se plaignent que les candidats qu'ils ont vendus ne soient pas au niveau ...
Les recruteurs(euses), trop souvent, semblent oublier qu'un contrat ou une mission, nous, nous en trouverons toujours, qu'ils soient là ou non. Ok pour ne pas se prendre pour une divas, mais quand même ... N'abusons pas.
Réponse postée 25 juillet 2024 07:20
merci pour ce lien, dites moi s'il vous plait comment puis je traduire ces indices en pourcentage pour calculer l'augmentation à demander.
ça me servira de base pour savoir quel est le minimum qu'on peut accepter.
Comme dit fort justement Orangina rouge, ça va être une dure négociation, mais c'est faisable.
En revanche, c'est plutôt l'indice SYNTEC qui est utilisé dans les prestations IT :
https://www.syntec.fr/indicateurs/indice-syntec/
Réponse postée 17 juillet 2024 17:28
Je partage ton avis à 100%.
Bonjour,
Je ne partage pas les avis précédents.
J'ai 10 ans de freelancing.
Ce genre de pratique me scandalise.
Ca m'est arrivé une fois, avec la grande distrib... j'ai refusé et j'ai quand même eu la mission (je pense que l'ESN a financé ces jours.. )
Nos prestations ont de la valeur (en général..), nous ne sommes pas des produits.. (10 kg de patates achetées , 1 offert.. 😅)
Le seul cas de figure acceptable serait une formation réutilisable chez un autre client.
Autrement, si je veux faire du bénévolat, je vais proposer mon aide aux Restos du Coeur ou à la Croix-Rouge, ils en ont plus besoin qu'un groupe du CAC40.
Réponse postée 17 juillet 2024 08:03
Bonjour,
je n'ai pas vu ça en tant que free-lance ( une petite expérience de 3 ans ), par contre dans mon ancienne vie de salarié j'ai vu des ESN qui proposaient au client final une gratuité sur 15 jours.
Réponse postée 16 juillet 2024 12:49
seulement vous qui peut trancher, du point de vu économique le CDI me parait plus rentable.
reste à voir la solvabilité et la stabilité économique du client, je connais un cas qui a refusée un salaire qui dépasse les 100 K.
au final il a fait le bon choix car la boite ( une petite startup) a coulé un an après.
Réponse postée 16 juillet 2024 10:26
j'ai eu un cas pareil, tellement cela m'a énervé que j'ai contacté la police nationale, ils m'ont conseillé de le signaler sur un site anti-fraude je ne me rappelle pas du lien.
Réponse postée 11 juillet 2024 07:09
@Droopyann j'avoue, je suis un amateur chatgpt, par contre il s'agit de la reformulation d'une phrase dans le même sens.
@Vincentb_ : le choix est vraiment en fonction de plusieurs parametres. Mais aussi de tes priorités, personnellement je suis en sasu is.
Bonjour.
Personnellement je continue de recommander l'EURL IR micro. Même s'il faut parfois se battre avec l'URSSAF.
Et oui le résultat sera le même qu'en EI.
Et non pas besoin d'EC.
Réponse postée 10 juillet 2024 15:49
Il est important de ne pas baser son choix de statut juridique uniquement sur les gains immédiats. Il faut adopter une vision à long terme et trouver un équilibre entre l'optimisation des revenus et la protection sociale.
Voici quelques points à prendre en compte :
Protection sociale : Le statut d'EI (entrepreneur individuel) offre la protection sociale la moins avantageuse, tandis que la SASU (Société par actions simplifiée unipersonnelle) offre la meilleure. L'EURL (Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) se situe entre les deux.
Fiscalité : Le régime fiscal de l'EI est le plus simple, tandis que celui de la SASU est le plus complexe. L'EURL offre un régime fiscal intermédiaire.
Responsabilité : En EI, votre patrimoine personnel n'est pas protégé. En EURL et SASU, votre responsabilité est limitée au capital de l'entreprise.
Coût de création et de gestion : La création et la gestion d'une EI sont les moins coûteuses, tandis que celles d'une SASU sont les plus coûteuses. L'EURL se situe entre les deux.
Réponse postée 9 juillet 2024 14:20
j'ajoute à votre commentaire, que nous ne discutons pas du TJM directement avec ce genre de clients mais avec l'ESN.
en générale les négociations entre ESN et client sont transparent pour nous, biensur il peut y avoir des exceptions.
Bonjour,
En phase à 100% avec votre message. Une question m'interpelle cependant : vous dites avoir toujours travaillé en direct avec vos clients (membres du CAC40). Comment avez-vous procéder ? Tous les clients avec qui j'ai travaillé, sans exception, ont imposé de passer par une société référencée. Quand bien même je les connaissais personnellement...
J'ai l'impression que la seule manière est de connaître du monde haut placé, afin de pouvoir vous faire référencer auprès des achats... (et encore...)
Merci pour votre partage d'expérience.
Réponse postée 5 juillet 2024 09:20
Malheureusement chez les grandes boîtes il y a le problème du référencement, j'ai prospecté directement le client final pour deux de mes missions, pour l'une le manager m'a renvoyé vers la société référencée chez eux ( une ESN).
pour la deuxième, c'était un refus direct ( on ne prends pas des freelances), là aussi j'ai du passer par une ESN qui avait posté le même besoin sur ce site.
Je suis passé freelance depuis 8 mois environ et ma vision du freelancing a déjà bien évolué depuis le temps. Comme tu l'as dis, pour beaucoup de personne, le freelancing se résume à du salariat en mieux payé et c'était également mon cas.
Depuis je me suis me suis fait violence pour évoluer :
Etre plus à l'aise avec la fiscalité pour maximiser mes revenus et mon confort de vie
Améliorer mon images auprès des futurs clients (Profil linkedin, certifications, demande de recommandations sur Malt, etc)
Améliorer mon story telling autour des mes opportunités et mes choix de carrière
Définie mes objectifs sur les 2, 5, 10 prochaines années
Améliorer mon réseaux pour ne plus passer par les ESN/Boite de recrutement
Me positionner sur le marché pour trouver des missions à l'avenir (etant très technique, j'ai trouvé une mission qui me donne une facette plus dans la gestion de projet et vers des outils utilisés sur le marché)
Je penses que ceux qui vont être le plus en difficulté, sont ceux qui ne vont pas être en mesure de s'adapter (pivoté dans le jargon des startup) et d'anticiper
Réponse postée 28 juin 2024 07:42
Il est regrettable de lire des commentaires aussi désobligeants.
Il est indéniable que le niveau de vie en France est supérieur à celui du Maroc. Cependant, il ne s'agit pas de vous inciter à venir en France ou à rester au Maroc.
La première étape clé est d'obtenir un diplôme Bac+5, et de perfectionner votre niveau d'anglais.
Croyez-moi, sans ces acquis, il vous sera difficile de progresser, que ce soit au Maroc ou ailleurs.
Réponse postée 28 juin 2024 07:22
Je ne serais pas aussi radical pour affirmer que les ESN sont nuisibles.
Le marché du travail est relativement ouvert, et selon moi, il n'y a pas de bon ou de mauvais choix, mais plutôt un ensemble de facteurs qui influencent notre décision entre un CDI en interne, une ESN, le portage salarial ou le freelance à plein temps.
Comme vous, j'ai eu la mauvaise expérience de passer plusieurs entretiens avec la même ESN ( même BU mais avec plusieurs commerciaux ), parfois avec des questions ou des commentaires plutôt provocants.
Personnellement, je ne me focalise pas sur l'ESN en elle-même, mais plutôt sur la mission en cours. Si elle ne me convient pas, je change.
Actuellement, je suis en freelance et cela me convient parfaitement.
Si, demain et après une longue période, je ne parviens pas à me positionner, un retour à un CDI en ESN ou même en intérim n'est pas exclu.
Réponse postée 25 juin 2024 07:44
il s'agit surtout des offres en doublons, voici mon constat/expérience :
pour un besoin client final
le client contactera plusieurs ESN ( donc forte probabilité de voir plusieurs annonces similaires de plusieurs ESN pour le même poste)
aussi les ESN qui n'ont pas été sollicités vont poster des annonces similaire et tenter leur chance.
Bref c'est compliqué, sans oublié ceux qui anticipent un besoin et contacte plusieurs personnes avant que le besoin soit confirmé.
poster ton CV sur APEC ou autre sera une opération suicidaire pour un profil d'expert ( se faire contacter par tout et n'importe qui)
sauf si tu le mets en mode anonyme, à toi de décider quand appeler et qui.
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Réponse postée 18 juin 2024 07:26
j'ai vécu une situation pareil, à mon avis :
1- communiquez votre désarroi à l'ESN en question
2- exigez un plan de remboursement ( engagement souvent pas respecté)
3-en parallèle cherchez une autre mission et barrez vous, n'attendez pas que les impayés s'accumulent.
Réponse postée 12 mai 2024 18:55
[post modéré]
Réponse postée 12 mai 2024 16:59
l'idée de faire UBER VTC( pas uber eat) est bonne, car autour de moi beaucoup le font et ont un bon retour d’expérience ( car ils peuvent gérer leur temps comme ils veulent, il y a certainement des contraintes que j'ignore car je n'ai pas pris cette décision).
dans mon cas, inter-contrat deux mois ( par choix en plus), c'était veille technologique, formation ( en elearning) et sport, en ce qui concerne la formation c'est soit pour acquérir de nouvelles compétences ou d'approfondir les tiens.
Réponse postée 15 décembre 2022 13:02
j'ai vu pire sur malt, encore ce sont des nouveaux diplômé en management prêt à travailler en freelance avec un tjm pareil.( fin selon leur annonce, mis je ne pense pas que c'est sérieux!)
